Désultoirement vôtre !

Ce soir, le loïde a bien mérité son pot de semoule à la vanille car il a été très sage :

16 juillet 2019.

Quant à moi, j'avoue que je me sens fatigué, la journée ayant été fertile en événements (du moins à mon échelle).

Qu'il me suffise de dire que le contact établi par courriels avec l'architecte du patrimoine recommandée par Arnaud PAQUIN se développe utilement. Le débat devenant technique et nécessitant une connaissance des "pratiques de place", je laisse Yves LESCROART me conseiller dans l'intérêt du monument.

Demain ou après-demain (je ne sais plus), le terrassier reviendra. Il s'agira de caler d'abord, au laser, les pentes des futurs "trottoirs" éventuels de la cour. Bien entendu, ces pentes seraient plus fortes avec des pavés que si nous nous contentions, sur l'essentiel de la surface, de sols drainants ou, comme actuellement, goudronnés (à ma connaissance, depuis les années 50, époque où le propriétaire était conseiller général - mazette, que j'ai mauvais esprit ! -). Or, à ce stade, je ne sais toujours pas si le vendeur du gros lot de pavés accepterait de me céder son stock à un prix compatible avec mes moyens (soit moins de la moitié du prix applicable au détail). Il faudra sans faute que je le rappelle demain matin.

Pour le reste, j'aurais encore une bonne cinquantaine de photos à mettre en ligne pour finir de rendre compte de ce mardi. On voudra bien me pardonner de ne pas le faire immédiatement.
En cette fin de journée (19 heures), alors que le terrassier vient de quitter le chantier, il ne fait pas de doute pour moi :
- que la cour a été entièrement pavée au XVIIIème siècle ou avant, et jusqu'aux murs (au moins dans le coin Sud-Est de la cour, c'est-à-dire entre la porte piétonnière et l'entrée du logis) ;
- que ce pavage se situait une bonne vingtaine de centimètres sous le niveau actuel du sol goudronné.

Je mettrai mes preuves en ligne petit à petit. J'ai en effet tout photographié, dans la mesure du possible.
Mais les journées sont trop courtes pour moi. Et harassantes ces temps-ci, et pas seulement en raison de la chaleur. L'âge me pèse de plus en plus.
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En fait, Igor, absent hier, était de retour dès ce matin. Il a donc pu finir les joints du haut de la moitié Ouest du mur Sud de la cour. Pour ce faire, il a suivi les conseils de Sébastien DUVAL, notamment à propos du bourrelet de chaux supérieur :

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

Voici qui devrait, pendant quelque temps du moins, freiner les infiltrations d'eaux pluviales au niveau du 1er étage du colombier.

Ces joints seront grattés lorsque la météo le permettra. Igor envisage de déplacer ensuite les échafaudages pour traiter de même la moitié Est de ce mur.
A 20 h 39 précisément, en provenance de Maisons-Laffitte, bien sûr, avec étape à Alençon, bien entendu, voici l'arrivée tant attendue de Carole :

18 juillet 2019.

La photo mérite d'être zoomée :

18 juillet 2019.

L'effroi se lisait sur son visage :

18 juillet 2019.

Pourtant, reconnaissez qu'ici, depuis 24 heures au moins, on endurait pire spectacle que celui-ci qu'elle a ainsi découvert :

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

18 juillet 2019.

Et dire que nous avions même eu la prescience et, admettez-le, s'il vous plaît, le tact d'assortir à ses escarpins, donc à sa robe, la passerelle donnant désormais accès au bâtiment Nord et à son luxe inégalé (du moins ici) :

18 juillet 2019.

On ne sera pas surpris si j'ajoute que le dîner qui a suivi a été vite expédié. Comme le sera ce séjour de Carole, si j'ai bien compris.
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Grâce à Jérôme, la cour est en train de retrouver un aspect plus civilisé :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Les gravats sont évacués du côté de chez les GAHERY. Ils serviront à rendre un chemin plus carrossable :

19 juillet 2019.

Bien campé sur sa nouvelle passerelle-provisoire-qui-risque-de-durer-un-moment, le loïde fait part de sa satisfaction :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Voici les photos de la Cousinière, prises par Yves LESCROART lors d'une récente sortie de l'"Association normande".

Ce manoir a été bâti et décoré, au milieu du XVIIIème siècle, par un COUPPEL, cousin des LEDIN, de sorte que ses boiseries donnent une idée de ce que pouvaient être les boiseries de la Chaslerie à l'époque.

Donc, de mon point de vue, ces boiseries, de même que les deux escaliers de bois suivants, sont une source d'inspiration pour ce que pourraient être nos propres travaux de restauration intérieure.

La Cousinière se compose d'un bâtiment du XVIIIème siècle et, sur le côté, d'une bâtisse plus ancienne, d'ailleurs construite à plusieurs époques. Le chartrier dont il va être question se situe au premier étage de cette bâtisse (au fond à droite sur la photo suivante) :

Deux choses sont à remarquer sur le bâtiment principal :
- le système des porte-fenêtres, là depuis l'origine et qui donne beaucoup de clarté aux intérieurs (les ferronneries des garde-corps ne sont pas d'époque, hélas, au moins pour la plupart) ;
- des bandeaux de brique, sans doute à fonction décorative, au niveau des deux planchers correspondants :

La date de construction (vers 1750, de mémoire) apparaît au-dessus de la porte d'entrée :

Dans l'entrée, un très bel escalier, digne d'une malouinière. Noter le départ de l'escalier vers le sous-sol, ainsi que l'élégance de l'agencement des poteaux de support de l'escalier :

A droite de l'entrée, un superbe salon :

A gauche de l'entrée, la salle-à-manger. Noter que les boiseries étaient, à l'origine, tendues de cuir de Cordoue, signe de goût et de richesse, dont il ne reste qu'un fragment, d'ailleurs fort intéressant :

Sur la photo suivante, on aperçoit (...) :

Passons dans l'annexe pour voir le chartrier. Dans l'entrée, un superbe escalier :

Une superbe porte ajourée à l'entrée du chartrier :

L'armoire du chartrier (dommage que M. LESCROART n'ait pas photographié la fenêtre et le meuble qui lui font face ; il est vrai qu'il y avait là un vrai bazar) :

Dans le même bâtiment, toujours au premier, une autre boiserie, simple mais intéressante :

[img:900][/img]Un dernier regard sur ce superbe escalier de l'aile secondaire :


A ce jour, mon intention est de charger M. LESCROART de dessiner, sur les modèles de la Cousinière, de futures boiseries pour notre manoir favori.
Carole se désolait ce matin devant ses magnifiques rosiers, transplantés à côté de la chapelle et, malgré tous les efforts de Francis et de Jérôme, bel et bien en train de crever :

19 juillet 2019.

Pour tenter le lui remonter le moral, le loïde et moi lui avons montré que les ornières de l'"Avenue FOURCADE" seront bientôt un souvenir, car comblées grâce aux produits des derniers terrassements :

19 juillet 2019.

Il faut savoir qu'O'Gustin ne perd pas une occasion de faire des conneries, même quand le chantier est calme.

Ainsi, le voici en train de humer avec délectation les émanations d'une ancienne fosse dont il vient de découvrir l'ouverture...

19 juillet 2019.

... ou bien de déchiqueter différents plastiques, tubes de plomb ou fils électriques en attente d'évacuation vers la déchetterie :

19 juillet 2019.

Promenade du soir, en compagnie de Carole et du loïde, aux abords du manoir favori.

Jérôme a commencé à rendre à peu près présentable l'allée qui longe le bâtiment Ouest :

19 juillet 2019.

Derrière le manoir, on retrouve la trace de notre chasseur de taupes favori, Gérard :

19 juillet 2019.

Il aura à intervenir plus loin, entre deux petits bosquets, où il faudra également combler d'autres ornières...

19 juillet 2019.

... et retirer des saletés abandonnées là du fait de la flemme bien connue de mes deux derniers employés :

19 juillet 2019.

J'ai proposé à Carole de prendre en main l'entretien des cadrans celtiques, le grand...

19 juillet 2019.

... et le petit :

19 juillet 2019.

Elle a voulu que nous passions sous l'"allée courbe", un endroit qu'elle me dit beaucoup aimer...

19 juillet 2019.

... mais qui n'est pas courbe jusqu'au bout :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Près de la D22, il y a d'autres taupes oubliées :

19 juillet 2019.

Le loïde se perdait parfois dans les herbes :

19 juillet 2019.

19 juillet 2019.

Près de la terrasse, Carole a eu la satisfaction de voir que nous n'avions pas porté atteinte à d'autres de ses roses :

19 juillet 2019.

Quant à moi, j'ai remarqué, dans l'herbe, près de la tour Nord-Est,...

19 juillet 2019.

... une peau, abandonnée par un serpent pendant sa mue :

19 juillet 2019.

Qui saurait nous dire de quelle espèce il s'agit ?
Nicodème
rédigé le Vendredi 19 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
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1ers essais du puits canadien. 40°C en entrée et 24°C en sortie. J'ai enterré 8 tuyaux sur 55m à 3m de profondeur (4 à 3m et 4 à 2.50m). Le tout a coûté 8 000 € (coûts marocains). J'attends de voir le résultat sur le long terme et le comportement en hiver. Il est déclenché par une horloge (10h00 20h00 pendant les grandes chaleurs). Je ferai un dossier plus complet ultérieurement. Affaire à suivre.

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

K

C'est en voyant l'état de ta cour que j'ai eu l'idée de t'envoyer ces photos. Il semblerait que tu aimes bien les pelleteuses et les réservations...

N.D.L.R. : Ah, les coûts marocains, quel rêve, vu d'ici !

Dis-moi si j'ai bien mis tes photos dans l'ordre (j'en doute).
Michel Auclair‎ à LES BEAUX CHÂTEAUX ET AUTRES TRESORS DU PATRIMOINE EUROPEEN (via "Facebook")
rédigé le Samedi 20 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Bateman’s dans l’East Sussex (Angleterre)

Bateman’s est un domaine situé entre Tunbridge Wells et Hastings, à une dizaine de kilomètres de la Manche. Il est constitué d’un terrain, d’un ancien moulin et d’une maison de style jacobéen (règne du roi Jacques 1er et début du règne de Charles 1er) construite en 1634, on ne sait pas très bien par qui.

A partir de la fin du XIXème siècle, la maison fut transformée en ferme et son état se dégrada d’une façon importante jusqu’à ce que l’écrivain Rudyard Kipling (1865-1936) l’achète en 1902.

A cette époque, il commence à être célèbre et cette célébrité deviendra universelle lorsqu’il recevra le prix Nobel qu’en 1907. La maison étant en piètre état, il peut l’acheter pour une somme relativement modeste avec 13 hectares de terrain.

Kipling, sa femme et ses deux enfants se sont installés dans ce coin paumé pour ne pas être dérangés par des admirateurs ou des journalistes. Kipling refuse le téléphone et les messages urgents arrivent par la poste du village voisin.

La maison est meublée en style jacobéen et ne possède pas l’électricité. Kipling, à la demande de ses enfants, fait installée un groupe électrogène qui fonctionne 4 heures chaque soir.

L’auteur du Livre de la Jungle étant un maniaque de l’heure, les repas devaient être pris à l’heure tapante. Même en absence d’invités, Kipling exigeait une tenue impeccable. De sa jeunesse en Inde, l’écrivain avait gardé le goût des plats épicés, habitude qu’il devra abandonner lorsqu’il souffrira d’ulcères à l’estomac. Selon tous les témoignages, la nourriture était sans intérêt, mais le vin toujours excellent.

Cependant, le train de vie des Kipling n’avait rien de spartiate puisque la maisonnée se composait au moins, de 5 femmes de service, d’une gouvernante et d’un chauffeur pour la rutilante Rolls-Royce.

De nombreux amis et écrivains sont passé à Bateman’s, notamment le plus anglais des écrivains américains, Henry James (1843-1916), ainsi que le colonel Lawrence (1888-1935), le fameux Lawrence d’Arabie. Néanmoins celui dont il se sent le plus proche et qu’il invite dans son bureau — privilège rarissime — est Henry Rider-Haggard (1856-1925). Pratiquement oublié aujourd’hui, cet auteur de romans populaires fut célébrissime en son temps pour son récit « Les mines du roi Salomon » et pour un roman fantastique « She ». L’Afrique était pour Rider-Haggard, ce que l’Inde avait été pour Kipling, avec, peut être, un peu moins de préjugés colonialistes. C’est en tout cas un auteur à redécouvrir.

Lorsque le fils de Kipling, John, fut tué lors de la bataille de Loos-en-Gohelle en 1915, l’atmosphère de la maison devint beaucoup plus sombre, d’autant que c’est Kipling qui avait poussé son fils à s’engager, malgré un myopie importante.

La maison et les jardins sont ouverts tous les jours.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

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Bateman’s.

Bateman’s.

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Bateman’s.

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Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.

Bateman’s.


N.D.L.R. : J'aime le bureau. Et le mobilier en bois. Sur le reste, je suis beaucoup plus réservé. Not my cup of tea, too much restored.
Les preuves que j'avais données de la profondeur de l'ancien pavage n'étaient pas très nettes. Voici quelque chose qui pourra paraître plus lisible :

20 juillet 2019.

20 juillet 2019.

Mesures prises, la surface supérieure de l'ancien pavage se situe environ 23 centimètres sous le sol actuel.
Bonsoir PPF

Je te conseille un excellent système wi-fi que je viens d'acquérir et étudier pour les maisons de grande dimension.

Il s'agit d'un réseau de bornes répéteur wi-fi qui distribuent le signal wi-fi sur un maximum de 10 bornes différentes. L'avantage est que tu n'auras qu'un seul réseau wi-fi avec le même nom dans toute ta maison. Il existe, en effet, d'autres systèmes qui créent plusieurs réseaux wi-fi, un par zone par exemple. L'inconvénient est que lorsque l'on passe d'une zone à l'autre on se déconnecte d'un réseau pour se connecter à un autre et que chacun de ses réseaux un nom et un mot de passe différent.

Tu peux aussi, pour améliorer encore la portée et la couverture relier les bornes entre elles par des câbles RJ 45. Mais cela n'a rien d'obligatoire, et dans ton cas tu devrais donc pouvoir te passer d'un câblage dans ton bâtiment. Après, pour des points vraiment éloignés et où le passage d'un câble n'est pas problématique, (par exemple vers une dépendance) à travers une tranchée, la pose d'un câble prend alors du sens.

Je crois que le coût de trois bornes est de 160 € et il serait judicieux que tu en achètes 10. La configuration en réseau se fait très simplement à travers une application téléchargeable sur ton téléphone portable et plutôt bien expliquée.

En complément, il n'y a pas besoin de prévoir de réservation pour le wi-fi sauf dans le cas extrêmes de liaison par câble Rj45. En revanche, chaque borne doit être connecté au 220 V.

N.D.L.R. : Si tu savais comme ces questions m'ennuient... Mais il va bien falloir que j'y passe un jour.
J'ai loué une camionnette au garage (...) mais je n'ai pu, une fois que j'ai rendu l'engin, obtenir de facture en bonne et due forme. Des arguments foireux ont été avancés par le garagiste. Le point me paraît mériter d'être noté. Je saurai m'en souvenir.

Je me suis donc rendu à Reffuveille, c'est-à-dire au-delà de Mortain, où ma dalle m'attendait chez MARIAU :

24 juillet 2019.

J'ai immédiatement remarqué qu'un côté destiné à être visible n'en avait pas été bouchardé et j'ai demandé que ce soit fait :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Pendant ce temps, j'ai observé l'activité de l'atelier de découpe des blocs de granit, avec ses énormes robots,...

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

... et examiné les stocks à l'extérieur du bâtiment :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Je suis ainsi tombé en arrêt devant un lot de dalles qui pourraient fort bien convenir au sol de notre salle-à-manger favorite :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

M. MARIAU m'a dit qu'il saurait me les patiner et m'en a indiqué le prix au m2 qui n'a rien à voir avec le prix demandé par le vendeur de tommettes vernissées que l'on sait. Et, en plus, ces dalles seraient infiniment plus faciles à poser. Et il n'y aurait plus à résoudre la problème du choix de l'endroit où rassembler les tommettes les plus usées.

Il ne me reste plus qu'à faire valoir cet argument si, toutefois, mon vendeur de tommettes anciennes n'est pas fermé au dialogue.
Cette après-midi, Igor a jointoyé les fondations des bâtiments sur cour qui restaient à traiter :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Il était inutile qu'il jointoie les pierres sous la porte d'entrée du salon de l'"aile de la belle-mère" où j'entends, comme l'on sait, mener un travail de fond :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Il m'a également aidé à décharger la nouvelle dalle :

24 juillet 2019.

Comme on le voit, ce granit apparaît très clair au soleil. Il est pourtant vendu comme brun. Le fait est qu'il contient de la pyrite qui devrait rapidement, m'a dit M. MARIAU, lui donner des couleurs de rouille, bienvenues ici :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Toutes ces activités, jointes à la canicule, ont épuisé O'Gustin :

24 juillet 2019.

24 juillet 2019.

Ici, l'on peut observer que lorsque, par exception, notre Guguss ne dégobille pas dans ma "Twingo", ce loïde ressemble de plus en plus à Batman, y compris du fait de sa musculature globuleuse !