Visite


Bien que l'arrivée sur la Chaslerie doive se faire, normalement, par l'allée principale, accessible en passant par le bourg de La Haute-Chapelle, puis en se dirigeant vers la Thierrière, enfin en tournant à gauche de manière à emprunter un chemin communal, cette voie n'est toujours pas fléchée en dépit de nombreuses sollicitations adressées aux élus locaux de proximité depuis ce qui ne fait guère plus d'une trentaine d'années.

Le plus souvent, les visiteurs arrivent donc par la route qui relie Domfront et Lonlay-l’Abbaye (la D 22), à mi-distance entre les deux localités et entrent dans le domaine à hauteur des pilastres visibles de la voie publique. Il est cependant signalé que, comme le savent pertinemment les mêmes élus locaux de proximité, la sortie par cette voie est dangereuse. Il est donc recommandé la plus grande prudence aux visiteurs qui choisiraient néanmoins de sortir du domaine entre ces pilastres. La sortie recommandée, ne serait-ce que pour des raisons de sécurité, doit s'effectuer en passant devant le manoir puis en remontant l'allée principale.

En tout état de cause, le parking est prévu à proximité de la ferme de la Chaslerie (le premier bâtiment en descendant l’allée après les pilastres) et les visiteurs poursuivront à pied.

Ferme de la Chaslerie


A leur droite, ils apercevront, derrière des chênes, des poiriers et des noisetiers, au bout d’un chemin bordé de roses, la cave de la Chaslerie. Cette longère, dotée de peu d’ouvertures et dont le sol était en terre battue, était conçue pour loger, dans une pièce commune, une famille attachée au service du manoir, et, pour le reste du rez-de-chaussée, servait de cave pour le poiré et le calvados produits sur place ; à l’étage une réserve de pommes, de poires ou de fourrage était accessible par les lucarnes.

La cave de la Chaslerie


La charpente de cette cave, bâtiment aujourd’hui inhabitable en l'état, est remarquable avec ses croix de Saint André. Sa sablière porte l’inscription « FETFERRE PAR METRE PIERREDELEDINSIEURDE LA CHALERIS ET AUTRE LIEUX 1762 IEAN MIDYCP » (compte tenu de la date, le Ledin ainsi cité est Pierre-François).

Inscription sur la sablière de la cave


Après avoir terminé, entre les charmilles, la descente de l’allée d’arrivée, les visiteurs pourront commencer par faire le tour des bâtiments principaux du manoir, en profitant plus particulièrement, aux quatre angles de cet ensemble, des vues à 45° plus propices à de bonnes photographies.

La Chaslerie vue du Sud-Ouest



La Chaslerie vue du Nord-Ouest


Ils pourront remarquer les dix épis de faîtage en terre cuite protégeant les poinçons des charpentes, ainsi que les boules de granit ornant le haut des cheminées ; ces derniers décors, nommés « boules de noblesse » , étaient censés indiquer aux agents du fisc la noblesse des occupants, donc leur exonération d’impôts, ce qui ne fonctionne plus, hélas, depuis quelques lustres.

La Chaslerie vue du Sud-Est



La Chaslerie vue du Nord-Est


Les visiteurs comprendront ainsi que la cour de la Chaslerie est précédée au Sud d’une avant-cour où débouche l’allée historique du manoir, flanquée de la chapelle et de la charretterie-pressoir (en cours de restauration), et qu’elle est suivie au Nord d’une arrière-cour, avec le fournil.

Le fournil de la Chaslerie


A l’Est de la cour se trouve en contrebas un terrain rectangulaire limité sur trois côtés par les profonds fossés des douves ; ce terrain était appelé le « Pournouët », ce qui témoigne de la présence de marécages alentours ; sur son quatrième côté, ce Pournoët est délimité par une longue terrasse et par un mur percé de très nombreuses meurtrières. On a longtemps estimé que ce dernier contribuait à prouver qu’au début de la Guerre de Cent-Ans (1337 à 1453), un ancien manoir, bâti au milieu de cette terrasse, fut détruit avant que les Anglais ne soient boutés hors de France. On considère désormais que ce mur a été édifié lors de la régence de Marie de Medicis, afin de permettre à une troupe aux ordres du seigneur de la Chaslerie de défendre la place contre les incursions des Protestants.

On présentera ici les bâtiments sur cour dans l’ordre où ils ont été construits.

La partie la plus ancienne est constituée par les deux tours rondes, coiffées en poivrières (ce qui signifie que leurs charpentes sont coniques), qui flanquent le logis sur sa diagonale Sud-Ouest, Nord-Est.

La tour Sud-Ouest


A l’intérieur de chacune de ces deux tours, sont superposées deux pièces carrées, de sorte que les murs en atteignent 1,20 m d’épaisseur. Au rez-de-chaussée des deux tours, dans les angles des pièces, sont percées des meurtrières qui en assuraient la défense dans tous les azimuts. Dans la pièce de l’étage de la tour Sud-Ouest, une alcôve de maçonnerie abrite des latrines dont la descente, verticale à travers le mur, débouche au pied de cette tour, vers l’extérieur.

Entre les deux tours, à l’Est de la cour, le logis est de plan rectangulaire.

Le logis


Ce logis est accessible par une porte en granit ouvragé, avec un décor à l’ordre ionique ; cette porte est surmontée d’un fronton semi-circulaire orné des armes des Ledin posées sur un parchemin ; sous ce dernier apparaît la date de construction de ce bâtiment : 15 98 (avec la séparation entre les deux couples de chiffres).

La porte principale du logis


L'écu de la porte principale du logis


Ce logis abrite, sous un comble élevé, quatre grandes pièces, deux par étage, desservies par un important escalier central en granit « à mur d’échiffre » (les travées de l’escalier tournent autour d’un mur central, avec des paliers rectangulaires intermédiaires, ce mode de construction étant typique de la Renaissance ; il fallait sans doute alors quelques décennies pour que les modes architecturales arrivent dans cette partie du pays).

On sait que ce logis a brûlé après avoir reçu la foudre un soir de 1884 ; par voie de conséquence, toute la charpente et la poutraison ornée d’élégantes moulures peintes en rouge foncé ont alors disparu, de même que les anciens épis de faîtage avec leurs girouettes et, vraisemblablement, les importantes lucarnes de granit qui devaient surmonter les grandes fenêtres de l’étage. Le fait est que, consécutivement à cet incendie, la couverture du logis a dû être entièrement refaçonnée ; elle l’a d’ailleurs été non sans écrêter le bâtiment, outre ses lucarnes, de 60 cm environ de ses murailles (les linteaux des fenêtres de l’étage étant alors repris en simple chêne), ainsi qu’en témoigne également, au faîte de l’immeuble, le double « jet d’eau » sur la souche de la cheminée centrale.

L’incendie de 1884 n’était probablement pas le premier à atteindre ce logis ; en effet, la forme des ouvertures de fenêtres sur cour, ainsi qu’une reprise de maçonnerie qui s’aperçoit parfois au soleil couchant près de la porte principale, montre que les quatre fenêtres à gauche de celle-ci ont dû être percées dans le courant du 18ème siècle : leurs chambranles sont droits, contrairement à ceux des quatre fenêtres de droite qui sont moulurés, et le granit qui les encadre en a été taillé plus régulièrement, ce qui illustre les progrès de la technologie des carriers durant ces deux siècles.

Entre les quatre fenêtres de gauche du logis, côté cour, une pierre sculptée a été rapportée lors de ces travaux ; elle porte également la date de 1598 sous un écu commémorant l’union en 1586 de René Ledin (1568-1619) et de Madeleine Cormier (fille de Guy Cormier, vicomte de Domfront, qui s’était compromis avec Montgomery mais avait été amnistié ; les Cormier portaient « de gueules au chevron d’or accompagné de trois croissants posés 2 et 1 » ; ce seraient eux qui auraient édifié le manoir voisin de la Guyardière).

Ecu célébrant l'union d'un Ledin et d'une Cormier


A toutes les fenêtres anciennes de ce logis se remarquent des excroissances métalliques, les « crapaudines » qui servaient à maintenir en place les grilles qui protégeaient toutes ces ouvertures, y compris côté cour (puisqu’à cette époque, la cour n’était pas encore fermée). On pourra également noter qu’aucun des meneaux en granit des fenêtres ne nous est parvenu mais qu’il en reste diverses traces, cette élimination étant sans doute due à l’instauration de l’impôt sur les portes et fenêtres en 1798.

A l’angle Nord-Ouest de la cour, le pavillon Louis XIII, de forme bastionnée (c’est-à-dire avec un angle aigu vers l’extérieur, ce qui a dû compliquer sensiblement l’intervention du charpentier chargé de sa couverture) présente, en saillie, une verge de cheminée d’une remarquable hauteur de quinze mètres. Ici aussi, il apparaît que la mode architecturale en cours à Paris sous Louis XIII a mis quelques décennies pour atteindre ce coin-ci de Normandie.

Les dernières recherches menées au pied des murs par un architecte du patrimoine d'une compétence remarquable, M. Arnaud Paquin, ont permis de comprendre que le pavillon Louis XIII était relié, au fond de ce qui constitue actuellement la cour par une ou deux bâtisses aujourd'hui disparues.

Le pavillon Louis XIII


Ce pavillon Louis XIII comporte au rez-de-chaussée une meurtrière tournée vers l’intérieur des écuries, ce qui prouve que la cour n’était pas encore fermée lorsqu’il a été édifié. Sur le linteau de la cheminée de la salle du 1er étage, est sculpté un écu célébrant l’union d’un Ledin et d’une Croisilles : il s’agit de Pierre V Ledin (1666-1715) et de Catherine de Croisilles (« de sable, à trois croix croisetées d’or » ; de telles croix sont dites « de Jérusalem », ce qui semble indiquer que cette famille Croisilles participa aux croisades).

Ecu célébrant l'union d'un Ledin et d'une Croisilles


La salle du 1er étage de cette tour, ornée de boiseries de chêne, a servi longtemps de logement au chapelain attaché à la Chaslerie. Cet étage est actuellement desservi par un escalier de pierres extérieur qui occulte une ancienne ouverture dont on aperçoit les contours ; au niveau du 1er étage et côté Nord, il reste un cul de lampe qui supportait le passage entre les bâtisses disparues du fond de la cour actuelle et la tour Louis XIII ; ces deux faits prouvent que cet escalier est relativement tardif.

Les deux girouettes qui surmontent les importants épis de faîtage du pavillon Louis XIII sont aux armes des Ledin.

Epis de faîtage du pavillon Louis XIII


Entre le logis et la tour Louis XIII, donc au fond de la cour, sur sa façade Nord, existait jusqu’au début du 18ème siècle (car on n’en trouve pas trace sur les plans cadastraux postérieurs qui nous sont parvenus), dans l’emprise actuelle de la cour, un bâtiment accolé au logis et qui avait lui-même un caractère mi-résidentiel , mi-défensif : lors des travaux de 2008, on a en effet retrouvé dans la maçonnerie une fenêtre et une meurtrière tournées vers l’extérieur de la cour ; dans la description du logis, on a expliqué que ce bâtiment accolé avait dû brûler au 18ème siècle.

Ce qui apparaît aujourd’hui au fond de la cour est un bâtiment construit à l’extérieur de celle-ci ; selon le cadastre napoléonien, ce bâtiment a deux siècles ; sa construction a d’ailleurs condamné le nécessaire flanquement réciproque de meurtrières entre la tour Nord-Est et la tour Louis XIII du manoir ; ce bâtiment Nord avait un usage agricole jusqu’au percement de nouvelles fenêtres au milieu du 20ème siècle, qui lui a donné un caractère d’habitation.

Un réaménagement complet y est actuellement en cours.

L’ancien colombier est la tour quadrangulaire qui se trouve au Sud-Ouest de la cour. Les trous de colombes y sont visibles, à l’intérieur de la tour, au nombre de 120 environ et au niveau du 2ème étage.

Ce bâtiment a dû être transformé dès le 18ème siècle pour rendre ses deux niveaux inférieurs habitables, comme en témoignent les linteaux courbes des fenêtres et de la porte. Il paraît probable que ces transformations datent de 1764 puisque la charpente mansardée semble de même facture que celle des écuries.

La partie habitable a encore été accrue de deux niveaux supérieurs au milieu du 20ème siècle, lors du percement de quatre fenêtres supplémentaires au niveau du 2ème étage.

Les deux épis de faîtage surmontant la toiture mansardée de ce colombier représentent deux personnages stylisés, un marquis coiffé d’un tricorne et une marquise.

Epis de faitage sur le colombier


Le mur au Sud de la cour est percé de quatre meurtrières dont la hauteur au-dessus du sol laisse supposer qu’il a existé là, à tout le moins, un système de hourd permettant d’en faire usage ; en l'état des recherches menées sur l'histoire de la Chaslerie, ce mur aurait été bâti sous le règne de Louis XIV.

Le mur Sud de la cour


Quoi qu’il en soit, l’élégant dôme « à l’impériale » (ou « à doubles courbures inversées »), qui surmonte la double porte charretière et piétonnière d’accès à la cour, est un chef-d’œuvre de charpente et, surtout, de couverture ; pas moins de quatre techniques ont en effet été mises en œuvre pour éviter le phénomène disgracieux (mais habituel) d’ardoises qui ne colleraient pas étroitement à la pente :

- les ardoises sont posées « à pureaux décroissants » ; ceci signifie que la hauteur de la partie visible des ardoises décroît au fur et à mesure que l’on s’élève dans le dôme ; de la sorte, les ardoises les plus hautes ont, à pente égale, un meilleur contact avec la charpente ;

- sur toute une bande horizontale de la couverture, à mi-hauteur de l’ensemble, les ardoises ont été taillées en forme d’écailles de poisson ; ceci permet de borner à la pointe de l’écaille l’éventuel décollement de l’ardoise par rapport à la pente ;

- le couvreur a astucieusement cherché à éviter au maximum de poser les ardoises sur les lignes de plus grande pente ; il s’est au contraire écarté au maximum des plans de symétrie de la charpente, selon des faisceaux divergeant à partir de points virtuels situés au-dessus des poinçons (sur les petits côtés) et du milieu de la ligne faitière (sur les grands côtés) ;

- enfin, caractéristique sans doute la plus remarquable, le couvreur a fait usage d’ardoises « coffines » ; ce sont des ardoises qui ne sont pas plates mais naturellement courbées ; il faut, pour s’en procurer, les commander longtemps à l’avance aux ardoisières car les filons utiles sont très rares.

Le dôme de la Chaslerie


Les anciennes écuries se trouvent entre la tour Louis XIII et l’ancien colombier.

Comme pour ce dernier, leur couverture est mansardée et, à l’instar de la cave, une sablière (celle sur cour) porte l’inscription : « A ETE FAITTE PAR IEAN MIDY AN 1764 » : l’orthographe de cet artisan ne s’était pas améliorée mais il réalisait toujours d’aussi belles croix de Saint André.

Une porte et quatre fenêtres ont été percées dans ce bâtiment au milieu du 20ème siècle et dans le style du 18ème, afin de le rendre partiellement habitable.

Comme pour l’ancien colombier, d’importants travaux de dérestauration y sont en cours.

Enfin, la description de la cour de la Chaslerie doit citer le bassin monolithique en granit qui se trouve approximativement au centre de ce quadrilatère irrégulier. Ce bassin, qui servait autrefois à désaltérer les chevaux, aurait été installé là au XIXème siècle.

A une vingtaine de mètres au Sud de la cour, s’élève, en limite du Pournouët, la chapelle du manoir, dédiée à Sainte Anne.

La chapelle Sainte-Anne


Une statue de cette dernière a été sculptée en 2010 puis installée dans la niche extérieure prévue il y a des siècles à cet effet et dont le socle de granit ne manque pas d'avoir été orné de l’écu des Ledin.

La statue de Sainte-Anne sculptée par Pascal POIRIER en 2010 dans du granite de Louvigné


Le clocher effilé avec ses abat-sons en châtaignier et l’avant-toiture « en queue de geai » a été ajouté au 18ème siècle, remplaçant un gâble terminé par une croix de granit désormais visible dans la niche au-dessus de la porte charretière de la cour (où elle est incongrue). Au sommet de la croix fleurdelisée du clocher, le coq en girouette signifie qu’un chapelain était attaché à cette chapelle (l’on a vu qu’il logeait dans la tour Louis XIII du manoir).

Sur le support en bois de la cloche est vissée une plaque de cuivre portant l'inscription : « Cette cloche a été baptisée le 26 juillet 1891. Elle a été nommée EUGENIE-MARIE, prénoms de Mme GOUPIL, qui l'a donnée. »

Le coq du clocher de la chapelle


Apte à accueillir une bonne trentaine de fidèles, cette chapelle, dont la construction a été autorisée en 1614, est orientée vers le Sud et précédée d’un parvis ; elle comporte deux fenêtres en ogive, ornées de vitraux ; le vitrail de droite (ou à l’Ouest) représente l’écu des Ledin surmonté d’un heaume de chevalier, celui qui lui fait face, l’ancien écu de Lonlay (un loup blanc sur fond noir, surmonté de la crosse de l’abbé).

L'ancien écu de Lonlay


A l’intérieur de la chapelle, les peintures murales ont été restaurées avec un résultat décevant car la chapelle a, au 20ème siècle, servi de corral au fermier, après avoir longtemps abrité des fagots.

Ces peintures sont de trois époques :

- les plus anciennes sont Renaissance, avec des décors géométriques simples ;

- les plus abondantes datent du siècle de Louis XIV, avec des saints dans des niches et un riche décor architectural sépia où l’on remarque des pots-à-feu ; elles ont été réalisées vers 1680 par Charles Lehoux, « maître-peintre, bourgeois de Falaise, paroisse St-Gervais » (à noter que le chantier a duré assez longtemps pour que ce peintre épouse la servante du manoir) ;

- les plus récentes, autour des fenêtres, remontent au 19ème siècle.

Peintures murales Louis XIV


La voûte de la chapelle a été récemment restaurée en merrains de châtaignier.

Les deux « entraits » (poutres horizontales) et leurs « poinçons » (poutres verticales), peints en rouge sang de bœuf sont d’origine.

Surtout, les deux sablières intérieures portent dans des cartouches les noms des familles alliées des Ledin (dont certaines ne sont pas éteintes), chacun étant à l’origine surmonté de l’écu correspondant peint sur la voûte (on en conserve quelques morceaux, récupérés lors de la récente restauration). L'initiative de ces cartouches est due à Pierre-François Ledin :

Les brus des Ledin (côté Evangile)



- du côté gauche (ou Evangile), les brus, St-OMER de MORBECQ, de LEDIN près TOURNAY, CŒUR DE LA CHASLERIE, d’ORGLANDES de PRETÔT, MUSTEL du BOIS-ROGER et de NEUFVILLE, FOUCAULT et LEVERRIER, ROGER de COLLIERES, CORMIER de la BINDELIERE, de MARGUERIT de GUIBRAY, de CAIGNOU et HEBERT ;

Les gendres des Ledin (côté Epître)



- du côté droit (ou Epître), les gendres, ACHARD de St-AUVIEUX, COUPEL de LEPINAY, AUVRAY de St-ANDRE, DUHAMEL de VILLECHIEN, FORTIN de GOURGOUX, ACHARD de BONVOULOIR, de St-GERMAIN de ROUVEROU, de COURCELLES-POLLANS, de la PILLIERES-RECOURS, DELAUNAY, BILLEMONT, LALAIN et VETIN, COTEREL de PLECHIN-BILLEMONT

On peut aussi remarquer, dans la chapelle, le bénitier en granit.

Cinq membres de la famille Levêque ont été enterrés dans cette chapelle, la dernière inhumation datant de 1970 ; cinq caveaux sous dalle d’ardoise sont encore disponibles.

La tombe de Monsieur et Madame Henri Levêque.