A propos de la carrière du Mont Crespin, à Frênes, le vendeur du lot de dalles de granit m'a fourni cette nuit, via le site "leboncoin.fr" grâce auquel nous sommes entrés en contact, quelques informations complémentaires. Je le cite : "Le dernier tailleur de pierres a quitté le site en 1960 d'après les informations dont je dispose. Avant les bombardements de 1944, Flers était totalement construit en granit du Mont-Crespin (cf article). Bonne réception, A samedi."
C'est en effet ce samedi qu'il doit me livrer ces dalles.
Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Géologie
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Géologie
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
L'annonce de "leboncoin.fr" m'a été signalée hier matin par Frédéric LE BON, de l'entreprise BODIN. Elle avait été mise en ligne la veille au soir mais Frédéric a placé des "alertes" sur divers sites internet et l'avait immédiatement repérée en pensant à moi.
Hier matin, je me trouvais à Paris, et fort occupé comme je le raconterai dans un prochain message.
J'ai immédiatement contacté le vendeur et nous sommes convenus que je passerais le voir dès hier soir, à son domicile à Frênes, c'est-à-dire près de Tinchebray.
Lorsque je suis arrivé à une dizaine de mètres de sa maison, il est sorti sur le devant de son portail et m'a dit : "Je vous reconnais, vous êtes le propriétaire de la Chaslerie, on admire vos travaux, l’œuvre d'une vie". (La suite de la discussion m'a appris que mon vendeur ne connaît pas notre site favori - ce qui est un grand tort - mais qu'il vient régulièrement à notre manoir favori lors des "Journées du Patrimoine" - ce qui est pas mal, quand même -).
Après une pareille entrée en matière, vous ne serez pas surpris que j'aie topé en dépit d'un prix élevé et bien que j'aie vu, dès que je l'ai découvert, que ce lot serait très insuffisant pour l'usage auquel je pensais, à savoir le futur dallage de la salle-à-manger de notre logis favori. J'ai également compris tout de suite que les dalles de ce lot sont du XIXème siècle, donc peu patinées par des siècles d'usage (comme c'était le cas des dalles utilisées en 2014 pour l'entrée du logis, dalles qui avaient déjà été découvertes - celles-ci à La Motte-Fouquet - par l'excellent Frédéric). Mais leur couleur me convient, et elles comportent les mêmes types de "crapauds" (inclusions noires) que celles du lot de 2014.
Ces dalles proviennent, paraît-il, pour l'essentiel, du sol d'une ancienne écurie du secteur. Mon vendeur en a utilisé une bonne trentaine de m2 pour une terrasse, bien jointoyée au ciment, sur le côté de sa maison. Il a consommé un autre lot, celui-ci non jointoyé, pour servir de bordure à son potager mais désire garder ces dernières à cet endroit. Dommage pour ce qui nous concerne mais je lui ai demandé de me signaler d'autres lots analogues dont il aurait connaissance.
Ces dalles ont un autre inconvénient à mes yeux puisque leur largeur est uniforme et relativement faible (32 ou 33 cm), alors que le lot de 2014 était panaché (33, 38 et 43 cm). Autrement dit, si elles devaient être utilisées pour la salle-à-manger de notre logis favori, on aimerait bien qu'il y en ait d'autres de plus grande largeur, de manière à ce qu'il n'y ait pas de hiatus entre les sols de l'entrée et de la salle-à-manger qui se trouve être contiguë.
Bref, dès que j'ai topé pour ce lot, j'ai téléphoné à Frédéric LE BON pour l'en informer et le remercier. Je lui ai dit que j'attendais la réponse du bureau d'études pour savoir à quelle épaisseur scier ces dalles, de manière à permettre le chauffage par le sol. J'ai ajouté que, comme cela, on aurait du matériau pour compléter la surface. Frédéric m'a répondu qu'il n'y aurait pas de problème pour scier ces dalles mais que jamais on ne parviendrait à reproduire leur patine comme je l'imaginais.
Bien. Mon idée d'utiliser ces dalles pour la salle-à-manger avait un sérieux plomb dans l'aile.
Mais Frédéric m'a indiqué avoir été "alerté" (comme indiqué ci-dessus) par une autre annonce. Il me l'a décrite et j'ai marqué mon intérêt. Je n'en dis pas plus ici car le dossier est en cours. Ce pourrait être une excellente nouvelle.
Quant aux dalles achetées hier, je vais en parler à Igor tout à l'heure. Peut-être pourrait-on les affecter à la "terrasse n°1" ? Ce serait une façon, en les exposant aux intempéries, de leur faire acquérir un supplément de patine. Et il suffirait, me semble-t-il, de les poser sur un support comme de la chaux - et non du Baticim - pour pouvoir les déchausser facilement quand on en aurait un meilleur usage. A voir. Mais quid des pentes et des évacuations d'eaux pluviales à l'endroit en question ?
Hier matin, je me trouvais à Paris, et fort occupé comme je le raconterai dans un prochain message.
J'ai immédiatement contacté le vendeur et nous sommes convenus que je passerais le voir dès hier soir, à son domicile à Frênes, c'est-à-dire près de Tinchebray.
Lorsque je suis arrivé à une dizaine de mètres de sa maison, il est sorti sur le devant de son portail et m'a dit : "Je vous reconnais, vous êtes le propriétaire de la Chaslerie, on admire vos travaux, l’œuvre d'une vie". (La suite de la discussion m'a appris que mon vendeur ne connaît pas notre site favori - ce qui est un grand tort - mais qu'il vient régulièrement à notre manoir favori lors des "Journées du Patrimoine" - ce qui est pas mal, quand même -).
Après une pareille entrée en matière, vous ne serez pas surpris que j'aie topé en dépit d'un prix élevé et bien que j'aie vu, dès que je l'ai découvert, que ce lot serait très insuffisant pour l'usage auquel je pensais, à savoir le futur dallage de la salle-à-manger de notre logis favori. J'ai également compris tout de suite que les dalles de ce lot sont du XIXème siècle, donc peu patinées par des siècles d'usage (comme c'était le cas des dalles utilisées en 2014 pour l'entrée du logis, dalles qui avaient déjà été découvertes - celles-ci à La Motte-Fouquet - par l'excellent Frédéric). Mais leur couleur me convient, et elles comportent les mêmes types de "crapauds" (inclusions noires) que celles du lot de 2014.
Ces dalles proviennent, paraît-il, pour l'essentiel, du sol d'une ancienne écurie du secteur. Mon vendeur en a utilisé une bonne trentaine de m2 pour une terrasse, bien jointoyée au ciment, sur le côté de sa maison. Il a consommé un autre lot, celui-ci non jointoyé, pour servir de bordure à son potager mais désire garder ces dernières à cet endroit. Dommage pour ce qui nous concerne mais je lui ai demandé de me signaler d'autres lots analogues dont il aurait connaissance.
Ces dalles ont un autre inconvénient à mes yeux puisque leur largeur est uniforme et relativement faible (32 ou 33 cm), alors que le lot de 2014 était panaché (33, 38 et 43 cm). Autrement dit, si elles devaient être utilisées pour la salle-à-manger de notre logis favori, on aimerait bien qu'il y en ait d'autres de plus grande largeur, de manière à ce qu'il n'y ait pas de hiatus entre les sols de l'entrée et de la salle-à-manger qui se trouve être contiguë.
Bref, dès que j'ai topé pour ce lot, j'ai téléphoné à Frédéric LE BON pour l'en informer et le remercier. Je lui ai dit que j'attendais la réponse du bureau d'études pour savoir à quelle épaisseur scier ces dalles, de manière à permettre le chauffage par le sol. J'ai ajouté que, comme cela, on aurait du matériau pour compléter la surface. Frédéric m'a répondu qu'il n'y aurait pas de problème pour scier ces dalles mais que jamais on ne parviendrait à reproduire leur patine comme je l'imaginais.
Bien. Mon idée d'utiliser ces dalles pour la salle-à-manger avait un sérieux plomb dans l'aile.
Mais Frédéric m'a indiqué avoir été "alerté" (comme indiqué ci-dessus) par une autre annonce. Il me l'a décrite et j'ai marqué mon intérêt. Je n'en dis pas plus ici car le dossier est en cours. Ce pourrait être une excellente nouvelle.
Quant aux dalles achetées hier, je vais en parler à Igor tout à l'heure. Peut-être pourrait-on les affecter à la "terrasse n°1" ? Ce serait une façon, en les exposant aux intempéries, de leur faire acquérir un supplément de patine. Et il suffirait, me semble-t-il, de les poser sur un support comme de la chaux - et non du Baticim - pour pouvoir les déchausser facilement quand on en aurait un meilleur usage. A voir. Mais quid des pentes et des évacuations d'eaux pluviales à l'endroit en question ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
Je ne suis pas chasseur et avais donc classé sans le lire le document suivant émanant de la préfecture :C'est ce document qu'était venu chercher Claude MARTIN lors de sa dernière visite. Il a pu en prendre connaissance ce matin.
Ainsi, il ne nous est attribué qu'une seule bague de chevreuil, au lieu de deux antérieurement, ce qui nous paraissait déjà insuffisant.
Ainsi, il ne nous est attribué qu'une seule bague de chevreuil, au lieu de deux antérieurement, ce qui nous paraissait déjà insuffisant.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
Je ne connais toujours pas les limites d'Igor. Ce garçon a réussi, aujourd'hui, l'opération délicate dont je l'avais chargé. Tout cela est fait proprement et intelligemment :O'Gustin me charge de vous dire qu'il partage mon appréciation sur Igor :Bien sûr, du côté du pavage, c'était calme plat aujourd'hui : 0 pavé, 0 mètre.
Au courrier de ce jour, la réponse du professeur DORE à mon récent courriel à propos du Mont Crespin :Etait jointe à cette lettre, en plus du document que nous connaissons déjà, la carte suivante :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 5 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
rédigé le Vendredi 5 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
Aucune nouvelle, malgré sa promesse, du dénommé Kévin qui a donc préféré continuer à "toucher son chômage" plutôt que reprendre du service sur notre chantier favori.
Oserai-je écrire que je n'attendais pas mieux du porteur d'un pareil prénom ?
Oserai-je écrire que je n'attendais pas mieux du porteur d'un pareil prénom ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 5 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir
rédigé le Vendredi 5 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir
(Début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 5 juillet 2019 17:14
À : ANDRE
Objet : RE: Question épaisseur dallage granit
Merci beaucoup.
Dites-moi SVP quand vous aurez des nouvelles du géomètre.
Bon week-end !
Cordialement,
PPF
_____________________________________________________________________________
De : ANDRE <julien@beeplus.fr>
Envoyé : vendredi 5 juillet 2019 16:53
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Question épaisseur dallage granit
Bonjour,
Pour répondre à votre question sur l'épaisseur du dallage granit au-dessus du plancher chauffant.
Voici nos conseils :
- Épaisseur : maxi 5 cm, la densité du granit est plus importante qu'une chape (même à fortes sollicitations), entre 20 et 30% de plus,
- Cela impactera le temps de montée en température dans le volume concerné,
- Cela nécessitera un point de vigilance sur la résistance à la compression de la chape d'enrobage, des tubes et de l'isolant,
- Compte tenu de l’inertie du complexe plancher bas (et du bâtiment), il sera déconseillé de descendre la consigne de température intérieure de manière régulière.
Vous souhaitant bonne réception de ces informations.
Cordialement.
--
Julien André
Agence Bee+ Miniac Morvan
06 07 56 17 78
(Fin de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 5 juillet 2019 17:14
À : ANDRE
Objet : RE: Question épaisseur dallage granit
Merci beaucoup.
Dites-moi SVP quand vous aurez des nouvelles du géomètre.
Bon week-end !
Cordialement,
PPF
_____________________________________________________________________________
De : ANDRE <julien@beeplus.fr>
Envoyé : vendredi 5 juillet 2019 16:53
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet : Question épaisseur dallage granit
Bonjour,
Pour répondre à votre question sur l'épaisseur du dallage granit au-dessus du plancher chauffant.
Voici nos conseils :
- Épaisseur : maxi 5 cm, la densité du granit est plus importante qu'une chape (même à fortes sollicitations), entre 20 et 30% de plus,
- Cela impactera le temps de montée en température dans le volume concerné,
- Cela nécessitera un point de vigilance sur la résistance à la compression de la chape d'enrobage, des tubes et de l'isolant,
- Compte tenu de l’inertie du complexe plancher bas (et du bâtiment), il sera déconseillé de descendre la consigne de température intérieure de manière régulière.
Vous souhaitant bonne réception de ces informations.
Cordialement.
--
Julien André
Agence Bee+ Miniac Morvan
06 07 56 17 78
(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes
Il est non moins certain qu'avec cet interminable chantier, on se prive bêtement de quelques joies simples :
(L'histoire ne dit pas si la pépée est fournie avec la barcasse :
Je suppose que oui.
Voici qui me changerait de mon régime sans sel.)
(L'histoire ne dit pas si la pépée est fournie avec la barcasse :
Je suppose que oui.
Voici qui me changerait de mon régime sans sel.)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - O'Gustin
rédigé le Samedi 6 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - O'Gustin
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 7 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Nature (hors géologie) - O'Gustin
rédigé le Dimanche 7 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Nature (hors géologie) - O'Gustin
Promenade dans des allées en limite de boisements du manoir favori. Nous sommes partis à la recherche des animaux sauvages. Qui saurait nous dire à qui appartiennent ces empreintes ? La Bonne-Maman avait prévu des friandises pour les enfants :A l'arrivée, Guguss était épuisé :La Bonne-Maman l'a nourri pour le réconforter :
P.S. (à 18 h 30) : Pas très réactifs, les amis.
Chevreuil à l'évidence (on en a d'ailleurs vu un déambuler non loin de nous) :
P.S. (à 18 h 30) : Pas très réactifs, les amis.
Chevreuil à l'évidence (on en a d'ailleurs vu un déambuler non loin de nous) :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 7 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Dimanche 7 Juillet 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
J'ai eu le privilège insigne de pouvoir participer, cette après-midi, à la visite intérieure d'un manoir du Domfrontais...... où, au milieu du XVIIIème siècle, un COUPPEL (allié des LEDIN) avait fait réaliser de superbes escaliers et autres menuiseries intérieures, y compris incorporant, à l'époque, du cuir de Cordoue.
Visite très riche d'enseignements pour moi qui recherche en permanence des modèles authentiques pour mes propres travaux de restauration. Il est en effet probable que les boiseries qui ont brûlé en 1884 à la Chaslerie aient été réalisées par le même artisan ou, en tout cas, par l'un de ses émules ou admirateurs.
Visite très riche d'enseignements pour moi qui recherche en permanence des modèles authentiques pour mes propres travaux de restauration. Il est en effet probable que les boiseries qui ont brûlé en 1884 à la Chaslerie aient été réalisées par le même artisan ou, en tout cas, par l'un de ses émules ou admirateurs.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Logis - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Aile "de la belle-mère" - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Logis - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Aile "de la belle-mère" - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
Il faudrait que je me décide à lancer ou non le chantier de la cour.
Parmi les arguments contre :
- le désir (permanent) de ne pas ouvrir un nouveau front tant que les choses ne sont pas terminées sur d'autres ;
- le souhait que la cour ne soit pas transformée à son tour en pétaudière avant le séjour des enfants et petits-enfants que Carole m'a confirmé hier pour le début août ;
- l'idée, simple et de bon sens, qu'il vaudrait mieux connaître les préconisations du bureau d'études avant d'ouvrir des tranchées qu'on n'est pas sûrs de pouvoir refermer dans des délais raisonnables ;
- la grande incertitude sur la disponibilité de maçons pour effectuer leur part de travaux dans la cour ; à ce sujet, je ne peux m'en remettre indéfiniment à Igor, même si celui-ci est prêt à me dépanner amicalement quelques jours encore ; le fait est que son relais n'est toujours pas trouvé malgré plusieurs tentatives ;
- accessoirement (car on en a l'habitude), le risque sur la durée totale de cette tranche du chantier.
Parmi les arguments pour :
- le fait que l'été est la bonne saison pour procéder à de tels travaux ;
- la nécessité de les effectuer prioritairement à ce stade du calendrier d'ensemble du chantier ;
- la disponibilité immédiate du terrassier (avant fin juillet) et, sous les réserves indiquées, d'Igor ;
- le risque, si l'on ne se lance pas très rapidement, de retarder d'une année entière la disponibilité d'un chauffage, question à avoir pourtant réglée avant toute livraison de pièce habitable.
En fait, à ce stade de mes réflexions et malgré tous les inconvénients de ce choix, je penche pour un lancement très rapide des terrassements dans la cour.
Je sens que ça va encore couiner dans mon entourage (certes éloigné à beaucoup d'égards) et qu'une fois de plus, j'aurai beaucoup de mal à être compris.
Mais "such is life", "voilà mon sort à moi, malheureux prisonnier !"
Parmi les arguments contre :
- le désir (permanent) de ne pas ouvrir un nouveau front tant que les choses ne sont pas terminées sur d'autres ;
- le souhait que la cour ne soit pas transformée à son tour en pétaudière avant le séjour des enfants et petits-enfants que Carole m'a confirmé hier pour le début août ;
- l'idée, simple et de bon sens, qu'il vaudrait mieux connaître les préconisations du bureau d'études avant d'ouvrir des tranchées qu'on n'est pas sûrs de pouvoir refermer dans des délais raisonnables ;
- la grande incertitude sur la disponibilité de maçons pour effectuer leur part de travaux dans la cour ; à ce sujet, je ne peux m'en remettre indéfiniment à Igor, même si celui-ci est prêt à me dépanner amicalement quelques jours encore ; le fait est que son relais n'est toujours pas trouvé malgré plusieurs tentatives ;
- accessoirement (car on en a l'habitude), le risque sur la durée totale de cette tranche du chantier.
Parmi les arguments pour :
- le fait que l'été est la bonne saison pour procéder à de tels travaux ;
- la nécessité de les effectuer prioritairement à ce stade du calendrier d'ensemble du chantier ;
- la disponibilité immédiate du terrassier (avant fin juillet) et, sous les réserves indiquées, d'Igor ;
- le risque, si l'on ne se lance pas très rapidement, de retarder d'une année entière la disponibilité d'un chauffage, question à avoir pourtant réglée avant toute livraison de pièce habitable.
En fait, à ce stade de mes réflexions et malgré tous les inconvénients de ce choix, je penche pour un lancement très rapide des terrassements dans la cour.
Je sens que ça va encore couiner dans mon entourage (certes éloigné à beaucoup d'égards) et qu'une fois de plus, j'aurai beaucoup de mal à être compris.
Mais "such is life", "voilà mon sort à moi, malheureux prisonnier !"
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Anecdotes
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Anecdotes
22 h 30, l'heure de mon retour au manoir favori, après une journée entière sur les routes de Normandie.
J'ai trouvé Guguss affalé dans sa bannette, hors d'état d'arquer après sa folle journée avec sa chérie Mara :
Dans l'après-midi, alors que je téléphonais à Igor pour lui demander son avis sur Johnny, il m'a appris que ce dernier préférait arrêter là sa contribution. Il devait m'appeler pour me l'annoncer mais ne l'a pas fait. A l'âge de 40 ans, ce garçon s'est réfugié chez sa Maman qui l'accompagne au boulot et l'en ramène dans sa voiture "customisée" (en "style Goldorak", vous imaginez le genre) car il n'a pas son permis, s'est montré incapable de conduire le tracteur et nullement désireux d'apprendre. La question de l'insertion de tels individus sur le marché du travail me paraît entière (pour dire les choses de façon aussi aimable que j'en suis capable).
Pour le reste, malgré ce boulet, le chantier a bien avancé sur ses 4 lignes de pavés où il ne reste plus que quelques finitions à apporter au "trottoir" Nord du bâtiment Nord : Score du jour : une centaine de pavés, si je ne me trompe pas dans mon décompte nocturne.
Pour s'en tenir (à Guguss près, et encore ça se discute) aux sujets relatifs à notre chantier favori :
- le géomètre m'a appris son passage demain ; ce n'est pas celui avec qui je conversais mais un employé, procédé que je trouve un tantinet cavalier ;
- après Yves LESCROART qui a tenté plusieurs fois de la joindre, j'ai laissé un message sur le répondeur de l'architecte du patrimoine recommandée par Arnaud PAQUIN ; apparemment, elle a dû migrer vers l'hémisphère Sud car tout, depuis sa visite d'il y a plus d'un mois, donne à penser qu'elle hiberne ;
- j'ai rencontré, quelque part dans le Grand Nord, le vendeur de tommettes vernissées :Quoi que m'en ait dit l'ami intermédiaire, je pense qu'elles ont plutôt deux siècles que quatre, vu le bâtiment dans deux chambres de l'étage duquel elles avaient été disposées sur un lit de sable (dixit le vendeur, homme de goût et de culture qui les a démontées pour leur substituer un "plancher flottant" qu'il m'a fièrement montré) ; et elles sont bien usées. Surtout, au niveau stratosphérique de prix où le vendeur a choisi (depuis hier) de planer, nous ne sommes pas près de faire affaire. Le jour où j'aurai trouvé le revêtement dont j'ai besoin pour la salle-à-manger du logis, il sera trop tard pour lui ; laissons-lui donc le temps d'en prendre conscience et d'atterrir gentiment ;
- je me suis également rendu chez le scieur de granits ; j'ai en main son devis pour la pierre de seuil entre la cour et l'arrière-cour ; là aussi, le prix demandé est très élevé et la question du transport de cette masse de 300 kg serait encore à traiter. J'ai rapporté un échantillon d'un granit qu'il propose ; nous regarderons demain, au soleil, ce que cela donne par comparaison avec les granits les plus proches :Si le test est trop défavorable, je me réserve, comme déjà dit, de réutiliser les anciennes pierres de l'âtre de la cheminée de la salle-à-manger. Le problème est qu'il faudrait les boucharder. A la main, en l'état de notre équipement. Donc ça freine une telle décision.
J'ai trouvé Guguss affalé dans sa bannette, hors d'état d'arquer après sa folle journée avec sa chérie Mara :
Dans l'après-midi, alors que je téléphonais à Igor pour lui demander son avis sur Johnny, il m'a appris que ce dernier préférait arrêter là sa contribution. Il devait m'appeler pour me l'annoncer mais ne l'a pas fait. A l'âge de 40 ans, ce garçon s'est réfugié chez sa Maman qui l'accompagne au boulot et l'en ramène dans sa voiture "customisée" (en "style Goldorak", vous imaginez le genre) car il n'a pas son permis, s'est montré incapable de conduire le tracteur et nullement désireux d'apprendre. La question de l'insertion de tels individus sur le marché du travail me paraît entière (pour dire les choses de façon aussi aimable que j'en suis capable).
Pour le reste, malgré ce boulet, le chantier a bien avancé sur ses 4 lignes de pavés où il ne reste plus que quelques finitions à apporter au "trottoir" Nord du bâtiment Nord : Score du jour : une centaine de pavés, si je ne me trompe pas dans mon décompte nocturne.
Pour s'en tenir (à Guguss près, et encore ça se discute) aux sujets relatifs à notre chantier favori :
- le géomètre m'a appris son passage demain ; ce n'est pas celui avec qui je conversais mais un employé, procédé que je trouve un tantinet cavalier ;
- après Yves LESCROART qui a tenté plusieurs fois de la joindre, j'ai laissé un message sur le répondeur de l'architecte du patrimoine recommandée par Arnaud PAQUIN ; apparemment, elle a dû migrer vers l'hémisphère Sud car tout, depuis sa visite d'il y a plus d'un mois, donne à penser qu'elle hiberne ;
- j'ai rencontré, quelque part dans le Grand Nord, le vendeur de tommettes vernissées :Quoi que m'en ait dit l'ami intermédiaire, je pense qu'elles ont plutôt deux siècles que quatre, vu le bâtiment dans deux chambres de l'étage duquel elles avaient été disposées sur un lit de sable (dixit le vendeur, homme de goût et de culture qui les a démontées pour leur substituer un "plancher flottant" qu'il m'a fièrement montré) ; et elles sont bien usées. Surtout, au niveau stratosphérique de prix où le vendeur a choisi (depuis hier) de planer, nous ne sommes pas près de faire affaire. Le jour où j'aurai trouvé le revêtement dont j'ai besoin pour la salle-à-manger du logis, il sera trop tard pour lui ; laissons-lui donc le temps d'en prendre conscience et d'atterrir gentiment ;
- je me suis également rendu chez le scieur de granits ; j'ai en main son devis pour la pierre de seuil entre la cour et l'arrière-cour ; là aussi, le prix demandé est très élevé et la question du transport de cette masse de 300 kg serait encore à traiter. J'ai rapporté un échantillon d'un granit qu'il propose ; nous regarderons demain, au soleil, ce que cela donne par comparaison avec les granits les plus proches :Si le test est trop défavorable, je me réserve, comme déjà dit, de réutiliser les anciennes pierres de l'âtre de la cheminée de la salle-à-manger. Le problème est qu'il faudrait les boucharder. A la main, en l'état de notre équipement. Donc ça freine une telle décision.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Juillet 2019
Vie du site - Aspects juridiques - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Jeudi 11 Juillet 2019
Vie du site - Aspects juridiques - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles - Florilèges
Pour la seconde fois de la semaine, j'ai visité hier un monument historique dont le propriétaire ne veut pas que des photos apparaissent sur la toile (ce en quoi il démontre qu'il n'y navigue pas souvent car, vérification faite, de telles photos y figurent déjà, au moins pour les extérieurs, mises en ligne par des gens qui n'ont rien à voir avec moi).
S'agissant de monuments dont le principal intérêt réside sans conteste dans ce que les juristes appellent des "immeubles par destination" (ici des escaliers ou des boiseries, là des pierres prises dans les maçonneries), je ne vois pas ce qu'ils peuvent redouter. Ce faisant, ils entravent la transmission de savoirs qui seraient très utiles afin que les nouvelles générations d'artisans soient documentées sur la maîtrise de leurs prédécesseurs. En sont-ils seulement conscients ? Donc, pour ma part, je vois avant tout - on n'en sera pas étonné - de l'obscurantisme - du moins sur de tels sujets - dans l'esprit de tels propriétaires. Ou, peut-être - sait-on jamais ? -, une forme de honte de n'avoir pas mis plus d'énergie à entretenir ou à restaurer leurs monuments ; mais là, ce n'est pas moi qui leur reprocherais de ne pas être aussi fous que moi, c'est-à-dire des sortes de Bernard PALISSY de la restauration de vieilles pierres.
Quoi qu'il en soit, j'enfreins la consigne - et promets, à toutes fins utiles, que ce sera le seul cas pour ce qui concerne ces deux monuments - à propos d'une porte intérieure que j'ai vue hier, recouverte d'un côté par des bandes de métal cloué :Très beau modèle, "dans son jus" et rare, selon moi.
Si quelqu'un réprouve cette transgression, exceptionnelle je le souligne, des consignes reçues, je serais très intéressé de lire pourquoi. Je propose à cette personne d'exprimer son point de vue sous forme, par exemple, de commentaire à ce message, afin que je nous puissions essayer de comprendre ses arguments dont je ne doute pas qu'ils seraient très instructifs.
S'agissant de monuments dont le principal intérêt réside sans conteste dans ce que les juristes appellent des "immeubles par destination" (ici des escaliers ou des boiseries, là des pierres prises dans les maçonneries), je ne vois pas ce qu'ils peuvent redouter. Ce faisant, ils entravent la transmission de savoirs qui seraient très utiles afin que les nouvelles générations d'artisans soient documentées sur la maîtrise de leurs prédécesseurs. En sont-ils seulement conscients ? Donc, pour ma part, je vois avant tout - on n'en sera pas étonné - de l'obscurantisme - du moins sur de tels sujets - dans l'esprit de tels propriétaires. Ou, peut-être - sait-on jamais ? -, une forme de honte de n'avoir pas mis plus d'énergie à entretenir ou à restaurer leurs monuments ; mais là, ce n'est pas moi qui leur reprocherais de ne pas être aussi fous que moi, c'est-à-dire des sortes de Bernard PALISSY de la restauration de vieilles pierres.
Quoi qu'il en soit, j'enfreins la consigne - et promets, à toutes fins utiles, que ce sera le seul cas pour ce qui concerne ces deux monuments - à propos d'une porte intérieure que j'ai vue hier, recouverte d'un côté par des bandes de métal cloué :Très beau modèle, "dans son jus" et rare, selon moi.
Si quelqu'un réprouve cette transgression, exceptionnelle je le souligne, des consignes reçues, je serais très intéressé de lire pourquoi. Je propose à cette personne d'exprimer son point de vue sous forme, par exemple, de commentaire à ce message, afin que je nous puissions essayer de comprendre ses arguments dont je ne doute pas qu'ils seraient très instructifs.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 13 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
rédigé le Samedi 13 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
Et moi qui pensais que la furia du nettoyage passait avec l'âge...
Hier, cela a recommencé avec ma "Twingo", jugée trop sale. Puis il a été question de changer de nouveau mes housses de couette et d'oreiller. Dans les deux cas, j'ai résisté.
A propos des tommettes vernissées que j'avais eu l'imprudence d'exposer en guise de repose-plat dans la cuisine (provisoire), ma chère et tendre a émis hier soir un avis clairement négatif au sujet de leur achat : elle pense qu'elles seront trop difficiles à entretenir, argument définitif à ses yeux.
J'ai tâché de faire valoir que, notre mode de vie étant ce qu'il est, on n'utiliserait que rarement la salle-à-manger restaurée. Ce fut vain.
(Une fois de plus, je vais être amené à passer outre son avis. Si du moins le vendeur atterrit, ce qui est une autre histoire.)
S'agissant de la cage d'escalier du logis, elle exprime le vœu d'en récurer les marches. Le fait est que ce ne serait pas du luxe. J'explique néanmoins qu'en l'état du chantier, ce serait une perte de temps et qu'il faudra, en tout état de cause, utiliser le kärcher juste avant que les murs soient enduits, ce qui n'est pas demain la veille, du moins tant que les menuiseries de fenêtres n'ont pas été restaurées.
Elle me demande alors de l'aider à nettoyer le salon ce week-end, afin qu'il soit utilisable lors du prochain séjour des enfants. Je rappelle que j'ai souligné, de longue date, l'impossibilité de maintenir le salon propre en cette phase du chantier. J'ai même demandé que les meubles en soient déménagés pour leur éviter la poussière mais que cela m'a toujours été refusé, ce qui est évidemment idiot.
Rien à faire cette année encore, elle n'en démord pas.
Je crois que je ne couperai pas à la perspective de travaux ménagers tout à l'heure, dès que le jour sera levé :Inutile que j'explique que les terrassements de la cour, la semaine prochaine, rendront vains tous ces efforts.
Au moins, lundi, elle sera rentrée à Paris et je pourrai souffler un peu. C'est quand même pénible de devoir se battre pied à pied sur de tels sujets.
Hier, cela a recommencé avec ma "Twingo", jugée trop sale. Puis il a été question de changer de nouveau mes housses de couette et d'oreiller. Dans les deux cas, j'ai résisté.
A propos des tommettes vernissées que j'avais eu l'imprudence d'exposer en guise de repose-plat dans la cuisine (provisoire), ma chère et tendre a émis hier soir un avis clairement négatif au sujet de leur achat : elle pense qu'elles seront trop difficiles à entretenir, argument définitif à ses yeux.
J'ai tâché de faire valoir que, notre mode de vie étant ce qu'il est, on n'utiliserait que rarement la salle-à-manger restaurée. Ce fut vain.
(Une fois de plus, je vais être amené à passer outre son avis. Si du moins le vendeur atterrit, ce qui est une autre histoire.)
S'agissant de la cage d'escalier du logis, elle exprime le vœu d'en récurer les marches. Le fait est que ce ne serait pas du luxe. J'explique néanmoins qu'en l'état du chantier, ce serait une perte de temps et qu'il faudra, en tout état de cause, utiliser le kärcher juste avant que les murs soient enduits, ce qui n'est pas demain la veille, du moins tant que les menuiseries de fenêtres n'ont pas été restaurées.
Elle me demande alors de l'aider à nettoyer le salon ce week-end, afin qu'il soit utilisable lors du prochain séjour des enfants. Je rappelle que j'ai souligné, de longue date, l'impossibilité de maintenir le salon propre en cette phase du chantier. J'ai même demandé que les meubles en soient déménagés pour leur éviter la poussière mais que cela m'a toujours été refusé, ce qui est évidemment idiot.
Rien à faire cette année encore, elle n'en démord pas.
Je crois que je ne couperai pas à la perspective de travaux ménagers tout à l'heure, dès que le jour sera levé :Inutile que j'explique que les terrassements de la cour, la semaine prochaine, rendront vains tous ces efforts.
Au moins, lundi, elle sera rentrée à Paris et je pourrai souffler un peu. C'est quand même pénible de devoir se battre pied à pied sur de tels sujets.
Rue du chateau (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 14 Juillet 2019
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
rédigé le Dimanche 14 Juillet 2019
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges