Le deuxième sujet dans lequel je vais avoir la joie de me plonger, après cet exposé sur la fiscalité des forêts privées, concerne la taxe foncière des propriétés non bâties.
Il faut d'abord que je retrouve combien je dois lâcher chaque année à ce titre. Puis que je vérifie dans quels "groupes de nature de culture" sont classées mes parcelles, que je les détienne directement ou par l'intermédiaire d'une S.C.I. familiale. J'aurais certainement dû constituer un "groupement forestier" pour porter les parcelles boisées car cela m'aurait ensuite simplifié la vie. Mais le faire à ce stade m'exposerait à des frais de délimitation de parcelles ainsi qu'à des frais de cession dont je me passerai volontiers. Mes successeurs aviseront, je leur en laisserai le plaisir.
Si, comme il est quasiment certain, vu le bordel administratif ambiant, mes parcelles sont mal classées, il faudra que j'intervienne afin de recaler le dossier. De la sorte, je devrais payer moins de taxes foncières à l'avenir. Mais, pour ce qui concerne le passé, les carottes me semblent cuites, sauf pour les trois dernières années où les choses sont, peut-être, encore rattrapables.
Florilèges
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Florilèges - Florilège des messages d'ordre administratif - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie du site
rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
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Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
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rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
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Vérification faite, je ne reçois pas moins de cinq avis d'impôt chaque année au titre des taxes foncières sur les terres de la Chaslerie.
Aucun de ces avis n'explicite simplement de quelles parcelles il s'agit.
Je vais donc devoir demander à l'expéditeur, le "centre des finances publiques SIP-E Domfront", de me le préciser.
En espérant qu'ils seront capables de répondre, ce qui reste à voir.
P.S. (à 12 heures 30) : Voici ces cinq avis qui, après que je les ai regardés de près, me semblent suffire à identifier les parcelles en cause, ce qui devrait m'éviter d'avoir à poser la question aux gabelous de Domfront ; je les cite dans l'ordre d'acquisition des terres en question :
- le premier est relatif aux achats de 1991 ; une grande partie des terres correspondantes a été plantée de feuillus en 1999 :
- le deuxième porte en réalité sur les terres de Lonlay-l'Abbaye, qui ont toutes été plantées d'arbres (aulnes glutineux ou pins laricio) après que je les ai achetées en 1991 ou 1999 :
- j'imagine que le troisième est relatif à la ferme achetée en 1993, avec 1,33 ha de terres :
- le quatrième est relatif à un autre achat, par moi seul, sans doute celui de 2007, sur le territoire actuel de Domfront-en-Poiraie mais son montant est peanuts, donc je peux me passer de me casser la tête à son sujet :
-enfin le dernier est plus transparent puisque la S.C.I. en question a acheté des terres en 2007 puis en 2014, toutes ces terres ayant ensuite été plantées de feuillus ou de résineux :
A la lecture de ces paperasses, je me dit qu'il pourrait être utile que tous les paiements correspondants soit débités sur mon principal compte bancaire ; mais ceci est un détail et on n'en mourra pas.
Au total, la taxe foncière afférente aux terres plantées d'arbres serait inférieure à un total annuel de 119 + 1 076 + epsilon + 31 + 3 + epsilon + 108, soit environ 1 337 euros dont j'aurais dû être exonéré si les choses avaient été bien faites au moment des plantations.
Il ne me paraît pas trop tard pour essayer de redresser la barre autant que faire se peut. Mais l'enjeu est moindre qu'en matière de T.V.A., donc je vais donner la priorité au règlement de ce dernier problème.
Aucun de ces avis n'explicite simplement de quelles parcelles il s'agit.
Je vais donc devoir demander à l'expéditeur, le "centre des finances publiques SIP-E Domfront", de me le préciser.
En espérant qu'ils seront capables de répondre, ce qui reste à voir.
P.S. (à 12 heures 30) : Voici ces cinq avis qui, après que je les ai regardés de près, me semblent suffire à identifier les parcelles en cause, ce qui devrait m'éviter d'avoir à poser la question aux gabelous de Domfront ; je les cite dans l'ordre d'acquisition des terres en question :
- le premier est relatif aux achats de 1991 ; une grande partie des terres correspondantes a été plantée de feuillus en 1999 :
- le deuxième porte en réalité sur les terres de Lonlay-l'Abbaye, qui ont toutes été plantées d'arbres (aulnes glutineux ou pins laricio) après que je les ai achetées en 1991 ou 1999 :
- j'imagine que le troisième est relatif à la ferme achetée en 1993, avec 1,33 ha de terres :
- le quatrième est relatif à un autre achat, par moi seul, sans doute celui de 2007, sur le territoire actuel de Domfront-en-Poiraie mais son montant est peanuts, donc je peux me passer de me casser la tête à son sujet :
-enfin le dernier est plus transparent puisque la S.C.I. en question a acheté des terres en 2007 puis en 2014, toutes ces terres ayant ensuite été plantées de feuillus ou de résineux :
A la lecture de ces paperasses, je me dit qu'il pourrait être utile que tous les paiements correspondants soit débités sur mon principal compte bancaire ; mais ceci est un détail et on n'en mourra pas.
Au total, la taxe foncière afférente aux terres plantées d'arbres serait inférieure à un total annuel de 119 + 1 076 + epsilon + 31 + 3 + epsilon + 108, soit environ 1 337 euros dont j'aurais dû être exonéré si les choses avaient été bien faites au moment des plantations.
Il ne me paraît pas trop tard pour essayer de redresser la barre autant que faire se peut. Mais l'enjeu est moindre qu'en matière de T.V.A., donc je vais donner la priorité au règlement de ce dernier problème.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Florilèges - Florilège des messages d'ordre administratif - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie du site
rédigé le Dimanche 3 Juillet 2022
Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Florilèges - Florilège des messages d'ordre administratif - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie du site
A propos des taxes foncières sur les propriétés non bâties, j'en arrive à l'examen du classement de mes parcelles selon la nature des cultures.
En la matière, le document pertinent est la matrice cadastrale que je m'étais procurée fin 2017 et que j'avais alors essayé de comprendre une première fois, avec l'aide d'un agent du cadastre encore basé à Domfront ; comme il n'y a pas eu d'achat ni de vente significatifs de terres depuis lors, tout me donne à penser que ce document est à jour.
En voici les feuilles, dans le même ordre que les avis d'impôt que je viens de mettre en ligne :
Il me reste à interpréter ce bazar et à vérifier dans quelle mesure il colle à la réalité.
Toutefois, considérant que j'ai assez bossé pour un dimanche, je renvoie cette corvée à plus tard.
En la matière, le document pertinent est la matrice cadastrale que je m'étais procurée fin 2017 et que j'avais alors essayé de comprendre une première fois, avec l'aide d'un agent du cadastre encore basé à Domfront ; comme il n'y a pas eu d'achat ni de vente significatifs de terres depuis lors, tout me donne à penser que ce document est à jour.
En voici les feuilles, dans le même ordre que les avis d'impôt que je viens de mettre en ligne :
Il me reste à interpréter ce bazar et à vérifier dans quelle mesure il colle à la réalité.
Toutefois, considérant que j'ai assez bossé pour un dimanche, je renvoie cette corvée à plus tard.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 6 Juillet 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Bâtiment Nord - Florilège des messages d'ordre administratif - Florilèges
rédigé le Mercredi 6 Juillet 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Bâtiment Nord - Florilège des messages d'ordre administratif - Florilèges
Difficile journée aujourd'hui.
Elle a commencé par des échanges téléphoniques, de courriels et de S.M.S. avec Arnaud PAQUIN et son assistant pour vérifier les devis reçus en vue de la restauration des menuiseries extérieures du logis. Lorsque tout ceci sera d'équerre, je devrai saisir la Région afin de solliciter de sa part une première subvention pour travaux.
Pas mal si on considère que je cherche à monter le dossier de demande d'une telle subvention depuis sensiblement plus d'un an, avec une réunion importante le 12 juillet dernier, c'est-à-dire il y a quasiment un an. Et, si elle m'est accordée, cette subvention mettra encore un certain temps à être mise en place effectivement...
Et il reste encore à définir en quoi pourrait consister la "tranche A à substituer aux tranches 1 et 2 précédentes", comme l'on sait. Donc encore beaucoup de paperasses et de discussions, celles-ci avec la D.R.A.C., avant que la première fenêtre restaurée puisse enfin être posée.
Et, pendant ce temps, les cours des matières premières n'arrêtent pas de monter alors qu'on se doute que les aides publiques pourraient pâtir de la conjoncture.
J'avais ensuite rendez-vous avec un terrassier (le nouvel employé de Philippe JARRY - plus exactement de sa fille - et successeur de Jérôme) grâce à qui j'ai pu vérifier que l'eau pluviale, tombant sur les "trottoirs" de la cour, s'évacue bel et bien et ne stagne pas quelque part sous les graviers et la bâche installés dernièrement dans la cour à la demande de Carole. La vérification, effectuée grâce un niveau à laser, a été concluante et positive, ce qui m'ôte un souci. Lorsqu'il avait mis en place lesdits "trottoirs", il y aura bientôt trois ans (comme je le dis parfois, "nous sommes dans le temps long"...), Igor avait donc bien calculé leur pente :
Puis, dans le courant de l'après-midi, j'ai reçu la visite de l'électricien recommandé par le propriétaire d'un manoir voisin.
Cet électricien m'a fait très bonne impression puisqu'il m'est apparu méthodique et rationnel dans sa recherche de l'amont de l'installation électrique de l'arrière-cuisine. Il a tout de suite diagnostiqué la cause des courts-circuits que provoque de longue date Carole quand elle met simultanément en marche deux appareils ménagers comme le lave-linge et le sèche-linge. J'ai retenu que l'intensité électrique qui dessert l'installation est insuffisante et qu'il faudrait une électricité triphasée (ou quelque chose de ce genre). Personne ne me l'avait dit jusqu'alors.
L'électricien a considéré que la solution du problème pouvait se trouver au tableau installé dans l'embrasure d'une ancienne porte de communication entre l'entrée du logis et la salle-à-manger :Mais c'est là que l'affaire se complique beaucoup avec les "planchers provisoires" que j'ai fait installer, il y a moins de deux mois, dans la salle-à-manger et la cuisine. L'électricien a préconisé l'utilisation d'une scie-cloche afin de faire des trous dans ce plancher pour amener le câble d'alimentation dans l'arrière-cuisine en passant par la meurtrière Nord-Ouest de la tour Nord-Ouest :
Quand j'ai expliqué ceci à Igor, il a tout de suite réagi en me disant que ce serait très compliqué à cause des lambourdes qui se trouvent désormais sous le "plancher provisoire" de la salle-à-manger :
Sur ce point, Igor a évidemment raison, ce qui pourrait me conduire à reconsidérer le calendrier de la mise en place de la solution aux problèmes des courts-circuits déclenchés par Carole. Le moins onéreux serait d'attendre que nous ayons reçu toutes les autorisations administratives relatives au passage des tuyaux d'aquathermie dans la cour pour lancer, simultanément, l'installation du chauffage par le sol dans la cuisine, l'arrière-cuisine et la moitié Nord du logis, d'une part, et la mise aux normes de l'installation électrique d'autre part. Commode... Dans l'immédiat, je me sens contraint de mettre la question en délibéré, ce qui est susceptible de m'amener à en rabattre très sensiblement dans mes ambitions récentes pour l'arrière-cuisine et, par voie de conséquence, de me conduire à relancer les travaux dans la cave.
Le préalable à ces derniers est l'intervention d'un charpentier. Or Franck LIEGEAS m'a dit hier ne pouvoir intervenir sur la cave de la Chaslerie avant septembre prochain. Donc pas facile de coordonner tout cela.
Carole m'encourage à lever le pied dans mes travaux car elle voit bien que tout cela me met sous une pression qui me pèse beaucoup et elle me demande désormais à quoi bon...
A quoi bon en effet ? C'est une question que je me pose de plus en plus souvent en raison de l'absence d'un relais familial. Continuer à travailler et à dépenser sans relâche dans le seul intérêt du monument a-t-il un sens pour moi, à mon âge et dans ma situation ? Vaste problème - du moins à mon échelle - sur lequel je bute depuis quelque temps déjà.
Arrivé sur ces entrefaites, le plombier m'a regardé d'un air qui m'a semblé quelque peu goguenard.
Certes il serait prêt à adapter l'installation de plomberie de l'arrière-cuisine pour en dissimuler aux regards un maximum de tuyaux, par exemple en les rapprochant du plafond en béton avant la pose d'un faux-plafond. Et tout ceci moins d'un mois après sa précédente intervention dans cette pièce. Mais il faudrait carotter des passages pour ses tuyaux dans une certaine maçonnerie.
Et, encore une fois, à quoi bon à mon âge, dans ma situation, alors que tout ceci serait également en attente de travaux plus lourds ?
Ces choix ne sont pas faciles pour moi qui n'ai jamais aimé faire les choses à moitié et sans ce que j'appelle la "qualité FOURCADE".
Là aussi, Carole me conseille d'en rabattre dans mes ambitions...
Heureusement pour moi, en fin de journée, une longue conversation téléphonique avec Eric de CATHEU m'a éclairé sur les points qui m'étaient apparus encore obscurs en matière de fiscalité des forêts privées.
Grâce à ses conseils avisés, je vais pouvoir, dans l'immédiat, concentrer mon attention sur les quelques questions à régler, qui vont me demander un travail administratif précis.
Ça au moins, je sais encore le faire !
Elle a commencé par des échanges téléphoniques, de courriels et de S.M.S. avec Arnaud PAQUIN et son assistant pour vérifier les devis reçus en vue de la restauration des menuiseries extérieures du logis. Lorsque tout ceci sera d'équerre, je devrai saisir la Région afin de solliciter de sa part une première subvention pour travaux.
Pas mal si on considère que je cherche à monter le dossier de demande d'une telle subvention depuis sensiblement plus d'un an, avec une réunion importante le 12 juillet dernier, c'est-à-dire il y a quasiment un an. Et, si elle m'est accordée, cette subvention mettra encore un certain temps à être mise en place effectivement...
Et il reste encore à définir en quoi pourrait consister la "tranche A à substituer aux tranches 1 et 2 précédentes", comme l'on sait. Donc encore beaucoup de paperasses et de discussions, celles-ci avec la D.R.A.C., avant que la première fenêtre restaurée puisse enfin être posée.
Et, pendant ce temps, les cours des matières premières n'arrêtent pas de monter alors qu'on se doute que les aides publiques pourraient pâtir de la conjoncture.
J'avais ensuite rendez-vous avec un terrassier (le nouvel employé de Philippe JARRY - plus exactement de sa fille - et successeur de Jérôme) grâce à qui j'ai pu vérifier que l'eau pluviale, tombant sur les "trottoirs" de la cour, s'évacue bel et bien et ne stagne pas quelque part sous les graviers et la bâche installés dernièrement dans la cour à la demande de Carole. La vérification, effectuée grâce un niveau à laser, a été concluante et positive, ce qui m'ôte un souci. Lorsqu'il avait mis en place lesdits "trottoirs", il y aura bientôt trois ans (comme je le dis parfois, "nous sommes dans le temps long"...), Igor avait donc bien calculé leur pente :
Puis, dans le courant de l'après-midi, j'ai reçu la visite de l'électricien recommandé par le propriétaire d'un manoir voisin.
Cet électricien m'a fait très bonne impression puisqu'il m'est apparu méthodique et rationnel dans sa recherche de l'amont de l'installation électrique de l'arrière-cuisine. Il a tout de suite diagnostiqué la cause des courts-circuits que provoque de longue date Carole quand elle met simultanément en marche deux appareils ménagers comme le lave-linge et le sèche-linge. J'ai retenu que l'intensité électrique qui dessert l'installation est insuffisante et qu'il faudrait une électricité triphasée (ou quelque chose de ce genre). Personne ne me l'avait dit jusqu'alors.
L'électricien a considéré que la solution du problème pouvait se trouver au tableau installé dans l'embrasure d'une ancienne porte de communication entre l'entrée du logis et la salle-à-manger :Mais c'est là que l'affaire se complique beaucoup avec les "planchers provisoires" que j'ai fait installer, il y a moins de deux mois, dans la salle-à-manger et la cuisine. L'électricien a préconisé l'utilisation d'une scie-cloche afin de faire des trous dans ce plancher pour amener le câble d'alimentation dans l'arrière-cuisine en passant par la meurtrière Nord-Ouest de la tour Nord-Ouest :
Quand j'ai expliqué ceci à Igor, il a tout de suite réagi en me disant que ce serait très compliqué à cause des lambourdes qui se trouvent désormais sous le "plancher provisoire" de la salle-à-manger :
Sur ce point, Igor a évidemment raison, ce qui pourrait me conduire à reconsidérer le calendrier de la mise en place de la solution aux problèmes des courts-circuits déclenchés par Carole. Le moins onéreux serait d'attendre que nous ayons reçu toutes les autorisations administratives relatives au passage des tuyaux d'aquathermie dans la cour pour lancer, simultanément, l'installation du chauffage par le sol dans la cuisine, l'arrière-cuisine et la moitié Nord du logis, d'une part, et la mise aux normes de l'installation électrique d'autre part. Commode... Dans l'immédiat, je me sens contraint de mettre la question en délibéré, ce qui est susceptible de m'amener à en rabattre très sensiblement dans mes ambitions récentes pour l'arrière-cuisine et, par voie de conséquence, de me conduire à relancer les travaux dans la cave.
Le préalable à ces derniers est l'intervention d'un charpentier. Or Franck LIEGEAS m'a dit hier ne pouvoir intervenir sur la cave de la Chaslerie avant septembre prochain. Donc pas facile de coordonner tout cela.
Carole m'encourage à lever le pied dans mes travaux car elle voit bien que tout cela me met sous une pression qui me pèse beaucoup et elle me demande désormais à quoi bon...
A quoi bon en effet ? C'est une question que je me pose de plus en plus souvent en raison de l'absence d'un relais familial. Continuer à travailler et à dépenser sans relâche dans le seul intérêt du monument a-t-il un sens pour moi, à mon âge et dans ma situation ? Vaste problème - du moins à mon échelle - sur lequel je bute depuis quelque temps déjà.
Arrivé sur ces entrefaites, le plombier m'a regardé d'un air qui m'a semblé quelque peu goguenard.
Certes il serait prêt à adapter l'installation de plomberie de l'arrière-cuisine pour en dissimuler aux regards un maximum de tuyaux, par exemple en les rapprochant du plafond en béton avant la pose d'un faux-plafond. Et tout ceci moins d'un mois après sa précédente intervention dans cette pièce. Mais il faudrait carotter des passages pour ses tuyaux dans une certaine maçonnerie.
Et, encore une fois, à quoi bon à mon âge, dans ma situation, alors que tout ceci serait également en attente de travaux plus lourds ?
Ces choix ne sont pas faciles pour moi qui n'ai jamais aimé faire les choses à moitié et sans ce que j'appelle la "qualité FOURCADE".
Là aussi, Carole me conseille d'en rabattre dans mes ambitions...
Heureusement pour moi, en fin de journée, une longue conversation téléphonique avec Eric de CATHEU m'a éclairé sur les points qui m'étaient apparus encore obscurs en matière de fiscalité des forêts privées.
Grâce à ses conseils avisés, je vais pouvoir, dans l'immédiat, concentrer mon attention sur les quelques questions à régler, qui vont me demander un travail administratif précis.
Ça au moins, je sais encore le faire !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 17 Aout 2022
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Logis - Bâtiment Nord - Florilège d'idées pour la suite des travaux - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Florilèges
rédigé le Mercredi 17 Aout 2022
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Logis - Bâtiment Nord - Florilège d'idées pour la suite des travaux - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Florilèges
Régis FOUILLEUL me rappelle que le tuyau bleu qui passe au plafond de la cuisine et derrière une trappe murale de mon dressing sert à alimenter en eau le cabinet de toilettes qui se trouve sous l'escalier du logis.
Je voulais le supprimer, le moment n'est donc pas encore venu.
Je voulais le supprimer, le moment n'est donc pas encore venu.
Notre Belle France, son patrimoine au fil des thèmes (via "Facebook")
rédigé le Vendredi 19 Aout 2022
Florilèges - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
rédigé le Vendredi 19 Aout 2022
Florilèges - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
Portes
Ussel (Corrèze - 19)
Maison ducale des Ventadour, demeure Renaissance construite fin XVIe.
Les Ventadour étaient une famille importante du Limousin, depuis le Moyen Age.
"La vicomté de Ventadour s'est formée seulement vers 1040, par un partage de la vicomté de Comborn, au profit d'Ebles Ier, fils d'Archambaud II (ou III) de Comborn. La nouvelle vicomté de Ventadour correspondait à la moitié orientale de la vicomté de Comborn.
Bernard II (1329-1389) fut créé 1er comte de Ventadour en 1350.
Ventadour fut érigé en duché-pairie en 1589 au profit de Gilbert III de Lévis (1547-1591), gouverneur du Limousin." (Wikipédia)
N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Ussel (Corrèze - 19)
Maison ducale des Ventadour, demeure Renaissance construite fin XVIe.
Les Ventadour étaient une famille importante du Limousin, depuis le Moyen Age.
"La vicomté de Ventadour s'est formée seulement vers 1040, par un partage de la vicomté de Comborn, au profit d'Ebles Ier, fils d'Archambaud II (ou III) de Comborn. La nouvelle vicomté de Ventadour correspondait à la moitié orientale de la vicomté de Comborn.
Bernard II (1329-1389) fut créé 1er comte de Ventadour en 1350.
Ventadour fut érigé en duché-pairie en 1589 au profit de Gilbert III de Lévis (1547-1591), gouverneur du Limousin." (Wikipédia)
N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 25 Aout 2022
Plomberie-chauffage - Ferronnerie - Menuiserie - Bâtiment Nord - Vie du site - Florilèges - Florilège de difficultés à surmonter
rédigé le Jeudi 25 Aout 2022
Plomberie-chauffage - Ferronnerie - Menuiserie - Bâtiment Nord - Vie du site - Florilèges - Florilège de difficultés à surmonter
Discussion au sommet dans l'arrière-cuisine pour déterminer où faire passer le conduit d'évacuation de la hotte aspirante à installer dans la cuisine :Igor fait observer à juste titre que la sablière du bâtiment Nord empêcherait de coller ce conduit au plafond. Compte tenu des usages prévus par Carole pour les rangements hauts de part et d'autre du mur en parpaings, il est décidé que ce conduit ("if any") restera dans la cuisine.
Pour le reste, Igor finit de nettoyer la place avant le retour de Sébastien : Nous nous mettons d'accord sur les zones à enduire de chaux ; c'est un peu compliqué dans le secteur du fenestrou puisque cela suppose d'en savoir plus sur :
- l'encombrement de sa nouvelle menuiserie, métallique si on en confie la fabrication à Alexandre GURY,
- la place à laisser à la "Miroiterie flérienne", si elle doit poser des miroirs,
- la hauteur et le matériau du nouvel appui du fenestrou. La hauteur sera choisie de manière à ne pas gêner l'usage du futur lave-bottes intérieur prévu à cet endroit. Le matériau sera le même que celui du plan de travail, et non des tomettes comme j'en prévois habituellement quand un semblable problème se pose.
Pour le reste, Igor finit de nettoyer la place avant le retour de Sébastien : Nous nous mettons d'accord sur les zones à enduire de chaux ; c'est un peu compliqué dans le secteur du fenestrou puisque cela suppose d'en savoir plus sur :
- l'encombrement de sa nouvelle menuiserie, métallique si on en confie la fabrication à Alexandre GURY,
- la place à laisser à la "Miroiterie flérienne", si elle doit poser des miroirs,
- la hauteur et le matériau du nouvel appui du fenestrou. La hauteur sera choisie de manière à ne pas gêner l'usage du futur lave-bottes intérieur prévu à cet endroit. Le matériau sera le même que celui du plan de travail, et non des tomettes comme j'en prévois habituellement quand un semblable problème se pose.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 8 Octobre 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Menuiserie - Logis - Florilèges - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
rédigé le Samedi 8 Octobre 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Menuiserie - Logis - Florilèges - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
Au château de Chambray (Eure) où nous participions hier à une session du "Fogefor",...... j'ai remarqué ce parquet...... qui ne paraît pas trop difficile à copier et qui, selon moi, aurait sa place au premier étage du manoir favori, par exemple dans la "salle dévastée".
Je demanderai son avis à Arnaud PAQUIN.
Je demanderai son avis à Arnaud PAQUIN.
PORTES anciennes - HEURTOIRS et enseignes (via "Facebook")
rédigé le Mardi 11 Octobre 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Florilèges - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Vie du site
rédigé le Mardi 11 Octobre 2022
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Florilèges - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Vie du site
l'europe, terre de châteaux et autres édifices médiévaux. (via "Facebook")
rédigé le Vendredi 4 Novembre 2022
Florilèges - Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Vie du site
rédigé le Vendredi 4 Novembre 2022
Florilèges - Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Vie du site
Le Château de Saint-Germain du Salembre en Périgord Blanc.
N.D.L.R. : Cette couverture me rappelle quelque chose...... et j'aime beaucoup tous ces balustres disséminés un peu partout sur les façades :
Pas de doute, je me sentirais très bien à cet endroit...
N.D.L.R. : Cette couverture me rappelle quelque chose...... et j'aime beaucoup tous ces balustres disséminés un peu partout sur les façades :
Pas de doute, je me sentirais très bien à cet endroit...
Tomaso Vialardi Di Sandigliano (via "Facebook")
rédigé le Vendredi 11 Novembre 2022
Florilèges - Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
rédigé le Vendredi 11 Novembre 2022
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Michel POUSSIER
rédigé le Vendredi 9 Décembre 2022
Livre d'or - Vie des associations - Les Amis de la Chaslerie - La SVAADE - La SVAADE (travaux) - Animation, fêtes, visites - Vie du site - Florilèges - Florilège de travaux spectaculaires - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Vendredi 9 Décembre 2022
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Bonjour Mr Fourcade,
Photos à restaurer dans un second temps.
Cordialement,
N.D.L.R. : Cher Monsieur,
Merci pour ces témoignages précieux pour nous et que nous ne connaissions pas.
Toutes photos de la Chaslerie, anciennes ou récentes, nous intéressent.
Depuis 1975, date de la première de ces photos, ou 1997, date de la seconde, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts.
A dire vrai, je ne me souvenais pas de ce par quoi nous étions passés. C'est assurément très impressionnant.
Bien cordialement,
PPF
N.D.L.R. 2 (à 18 heures) : La photo de 1997 montre où nous en étions alors de notre chantier commencé en 1991 :
- les lierres, ronces et orties des abords avaient disparu, de même que diverses dépendances en colombage, hélas irrécupérables,
- le bâtiment Nord avait reçu une nouvelle couverture, de même que la chapelle dont le clocher avait dû être redressé (avant que la tempête de 1999 ne lui porte un nouveau coup, dont il s'est également remis) ;
- le fournil du manoir avait été restauré extérieurement .
Surtout, on se rend compte de tout ce qui a été accompli depuis cette époque en matière de restaurations extérieures, notamment :
- sur la charretterie que n'enlaidit plus le poteau électrique qu'on y avait trouvé,
- sur les murs et murets aux alentours,
- sur les murs et les couvertures des bâtiments sur cour
et l'on pourrait allonger cette liste sans difficulté, par exemple à propos des dépendances qui n'apparaissent pas sur cette photo aérienne.
Pour quelques premières comparaisons, l'on pourra se reporter au petit film de 2014 que l'on trouvera en "Introduction" au site favori.
Photos à restaurer dans un second temps.
Cordialement,
N.D.L.R. : Cher Monsieur,
Merci pour ces témoignages précieux pour nous et que nous ne connaissions pas.
Toutes photos de la Chaslerie, anciennes ou récentes, nous intéressent.
Depuis 1975, date de la première de ces photos, ou 1997, date de la seconde, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts.
A dire vrai, je ne me souvenais pas de ce par quoi nous étions passés. C'est assurément très impressionnant.
Bien cordialement,
PPF
N.D.L.R. 2 (à 18 heures) : La photo de 1997 montre où nous en étions alors de notre chantier commencé en 1991 :
- les lierres, ronces et orties des abords avaient disparu, de même que diverses dépendances en colombage, hélas irrécupérables,
- le bâtiment Nord avait reçu une nouvelle couverture, de même que la chapelle dont le clocher avait dû être redressé (avant que la tempête de 1999 ne lui porte un nouveau coup, dont il s'est également remis) ;
- le fournil du manoir avait été restauré extérieurement .
Surtout, on se rend compte de tout ce qui a été accompli depuis cette époque en matière de restaurations extérieures, notamment :
- sur la charretterie que n'enlaidit plus le poteau électrique qu'on y avait trouvé,
- sur les murs et murets aux alentours,
- sur les murs et les couvertures des bâtiments sur cour
et l'on pourrait allonger cette liste sans difficulté, par exemple à propos des dépendances qui n'apparaissent pas sur cette photo aérienne.
Pour quelques premières comparaisons, l'on pourra se reporter au petit film de 2014 que l'on trouvera en "Introduction" au site favori.
Harold WISIGOTH (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 8 Janvier 2023
Vie du site - Florilèges - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
rédigé le Dimanche 8 Janvier 2023
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Pierre COEUCHE
rédigé le Dimanche 19 Février 2023
Livre d'or - Florilèges - Florilège de sols - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
rédigé le Dimanche 19 Février 2023
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Je vous adresse comme convenu les tomettes extraites des fossés chez nous. Après reproduction par les Ets. Fauvel dans la Manche nous venons de les poser dans la grande salle du premier :
Bien amicalement
Pierre Coeuche
N.D.L.R. : Merci beaucoup ! J'ai hâte de voir cette réalisation à la tour aux Anglais !
Bien amicalement,
PPF
Bien amicalement
Pierre Coeuche
N.D.L.R. : Merci beaucoup ! J'ai hâte de voir cette réalisation à la tour aux Anglais !
Bien amicalement,
PPF
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 15 Mars 2023
Florilèges - Florilège d'idées pour la suite des travaux - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
rédigé le Mercredi 15 Mars 2023
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Quelques images du musée de Normandie à Caen que nous avons parcouru à grandes enjambées dimanche dernier :