Speedy Gonzales

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 8 Avril 2024
Désultoirement vôtre ! - Nature (hors géologie) - Speedy Gonzales - Anecdotes
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Aujourd'hui, aller-retour à Paris pour un examen par le professeur MEJEAN. Ce ne devrait pas être très agréable pour moi.

Je laisse Francis s'occuper de Speedy Gonzales qui a besoin d'être sorti assez souvent. Hier, le temps du concert, il a, pour la seconde fois depuis son arrivée au manoir favori, fait des cochoncetés dans l'entrée.

P.S. (à 20 heures 20) : Dans mon enfance, une charade me faisait beaucoup rire. Elle s'énonçait ainsi : "Mon premier est un combustible ; mon deuxième est un combustible ; mon troisième est un combustible ; mon quatrième est un combustible. Et mon tout est ce que gémit David en un grand jour de sa vie religieuse."

Je ne sais pas pourquoi je pense ce soir à ces histoires bizarres de houille et de mazout.

Quoi qu'il en soit, me voici de retour au manoir favori, quelque peu endolori mais entier, ce qui pourrait ne pas durer. Rendez-vous dans trois mois, de nouveau avec le professeur MEJEAN, pour savoir si l'on pourra toujours prétendre que "tout est bon dans l'cochon !".

P.S. 2 (à 20 heures 40) : Il faisait nuit noire ce matin à l'heure où je devais partir prendre le train pour Paris. Echaudé par l'expérience d'hier pendant le concert, j'ai néanmoins voulu entraîner Speedy Gonzales dans l'une de ces promenades hygiéniques qui le réjouissent. Comme il trottine dans l'herbe douce quand je marche sur le gravier de l'allée, je ne l'entendais pas plus que je ne le voyais.

Bref, au moment de rebrousser chemin, un grand silence a répondu à mes appels : Waterloo, morne pleine, je me suis résolu à rentrer au manoir sans lui, en laissant derrière moi toutes lumières allumées et toutes portes ouvertes.

Toujours rien, nobody, plus de Speedy Gonzales !

Je suis alors monté dans mon carrosse, pleins phares, et parti à sa recherche.

Et, à 1500 mètres environ du manoir, dans le faisceau lumineux, deux yeux brillants m'observaient du côté de la maison de la mère de Maxime, c'est-à-dire là où Speedy Gonzales avait arrêté sa course le premier jour. Comme s'il m'y attendait.

Donc plus de peur que de mal cette fois-ci encore. J'avais en effet commencé à le croire perdu.

Et, après toutes ces aventures trépidantes, j'ai bien entendu failli rater le train...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 22 Avril 2024
Désultoirement vôtre ! - Speedy Gonzales - Anecdotes
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Embêtant, Speedy Gonzales fugue et va sur la route.

Or on ne peut le garder dans le "bâtiment Nord" car il salit partout.

Dès qu'il réapparaîtra, je vais devoir l'attacher dans la cour.

P.S. (à 17 heures) : Et voici ce qui arrive quand on fait trop l'imbécile :

22 avril 2024.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 24 Avril 2024
Désultoirement vôtre ! - Speedy Gonzales
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"Cambérabéro" a signé un papier me permettant de faire enregistrer Speedy Gonzales comme m'appartenant :

24 avril 2024.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 25 Avril 2024
Désultoirement vôtre ! - Speedy Gonzales - Anecdotes
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Juste avant de recevoir cette mise en demeure, Speedy Gonzales et moi, nous nous promenions et étions de bonne humeur :


C'était bien la poste...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 26 Avril 2024
Désultoirement vôtre ! - Speedy Gonzales - Anecdotes
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Speedy Gonzales n'a peur de rien. Alors que je l'accompagnais le long de l'allée principale, il a aperçu, à une centaine de mètres de nous, un chevreuil qui la traversait. Ce jeune loïde d'un nouveau genre s'est alors mis à sprinter vers sa cible qu'il n'a toutefois pas rattrapée.

Il y a quelques jours, il avait de même voulu courser un écureuil mais avait dû s'arrêter au pied de l'arbre que l'autre, encore plus "speedy" que lui, avait escaladé.

Ce jeune chien serait parfait s'il ne pissait pas aussi fréquemment dans l'entrée du "bâtiment Nord", comme encore cette après-midi...