J-1 : travaux en début d'après-midi :

La grande scène est impressionnante :

Les ornières ont été creusées un peu plus profondément...

... mais une benne a fait son apparition pour recevoir les détritus :

Ce ne sera pas du luxe !

J-1 : suite des préparatifs de l'après-midi :

Il y en aura pour tout les calibres. Et en plus, c'est écologique :

La future buvette :

Le "coin chill" :

Du côté des futures loges d'artistes :

Le coup de main de Christophe VINCENT :

La future régie sono :

J-1 au crépuscule :

Les dirigeants d'UPSET offraient ce soir un pot aux élus locaux et aux voisins les plus proches de notre manoir favori, à la suite d'une présentation de leurs installations :

A la suite de ce cocktail bien sympathique, les techniciens ont fait trembler le sol en branchant la sono du festival. Je puis vous assurer que ça va déménager un max !

J-1 : voici deux bonnes heures qu'il fait nuit sur notre manoir favori mais les préparatifs continuent :

J-1 (après 22 h 30) :

L'état-major souffle un peu...

... tandis que les Gérard lient plus ample connaissance :

Jour J (vers 5 heures du matin), les loges d'artiste sont dument approvisionnées...

... tandis que les éclairages sont en phase de réglage :

Voici d'ailleurs la régie sons et lumières en pleine tabagie :

Notre manoir favori resplendit :

Bon, il me reste la journée pour essayer de comprendre comment prendre des photos de nuit avec l'"Olympus".

J à 6 h 30, relève de quart :

Branle-bas de combat !

Machines en avant toute !

Le pacha est à la passerelle :

Mes respects du matin, commandant !

Quant à moi, je regagne ma bannette...

J, préparatifs du début de matinée (ici, une vue de ma douche) :

J à 10 h 30, photos de groupe, les Gérard et les organisateurs :

J à 14 heures : j'ai le choix ; ou bien je continue à charger des photos sur le site ; ou bien je me mêle aux festivaliers pour prendre de nouvelles photos.

Je choisis la seconde branche de l'alternative.

Si vous voulez en apprendre davantage dans de meilleurs délais, venez sur place, rejoignez-nous !

J, derniers préparatifs :

Les premiers festivaliers arrivent :

Ultimes réglages de la régie son :

Le matériel requis par les artistes de la scène principale :

Le matériel de la régie son :

Le premier DJ inscrit au programme effectue ses derniers essais en scène :

Le matériel du premier DJ au programme :

Quelques réconforts dans les loges d'artiste, situées dans la cour du manoir :

La protection civile veille :

Les premiers festivaliers se détendent avant de passer le dernier contrôle à l'entrée :

Les plates-bandes de Carole sont protégées :

Un DJ sur la scène secondaire :

Un message qui va droit au cœur :

Le poste de secours dans la charretterie :

L'installation des premiers campeurs dans le "champ de MAUDUIT" :

Un des lampadaires implantés dans l'allée historique :

La vue qui s'offre aux festivaliers dans la descente à partir du parking :

Un premier poste de contrôle pour les festivaliers, en haut de l'allée historique :

Une première fouille en haut de l'allée historique :

Festivaliers entre le parking et la première fouille :

La sortie du parking (plutôt chouette comme décor...) :

Contrôle à l'entrée du parking :

Que le spectacle commence !

La délégation de La Haute-Chapelle est arrivée parmi les premiers :

Les premiers DJ reprennent des forces dans la cour du manoir. Au centre, Antoine CHAMBE (qui m'a immédiatement déclaré qu'il voulait m'acheter notre manoir favori...) et PACOM :

Carole fait de menus achats...

Vous reconnaissez la scène secondaire :

De grands enfants :

La protection civile au taquet...

... représentée ici par trois présidents, celui d'Athis, celui de Passais et celui de Tinchebray :

Une artiste, Marina TRENCH (ai-je le droit de dire que c'est, à tous égards, ma préférée ?) juste avant de monter en scène :

Une autre artiste - pour moi une jeune camarade du "cours FLORENT" - chante - juste pour moi - l'hymne breton ; je réplique en entonnant l'hymne du Sénégal :

Plus sérieuse, Carole en discussion avec le président de la "Lutte contre le cancer" de l'Orne :

La nuit est tombée. Les loges d'artiste vues de l'escalier de mon bureau :

Doté du badge me permettant de circuler partout, je monte sur scène...

... ce qui nous vaut ce reportage de première main :

Retour du côté des loges d'artiste...

... puis retour sur scène :

Visite de Jérôme NURY, député de l'Orne :

Aïe, un rayon de projecteur dans l’œil !

Maxime, mon jeune voisin, n'est pas le dernier à apprécier cette fête :

Roger GRIPPON (au centre), maire-adjoint de Domfront-en-Poiraie, délégué à La Haute-Chapelle :

Une vue dont je ne me lasse pas, les loges d'artiste vues de mon bureau (lorsque je remonte vider la mémoire de mon appareil photo) :

Minuit, la tête d'affiche, Anetha, attend en scène le changement de platines :

Ça y est, Anetha est aux commandes :

TREMBLEZ ET VIBREZ, poutres, vitres et couvertures de notre manoir favori !

Au Q.G., l'état-major est toujours sur la brèche :

Côté cour, Antoine CHAMBE (à droite) :

A droite, Jusaï :

Côté cour, Anetha, après son show :

Gaëtan (étudiant à l'école de kiné d'Alençon), toujours sur le pont :

Vers 3 heures 30 du matin, j'effectue une ronde du côté du camping :

Après 5 heures du matin :

5 h 15 du matin, Jusaï (qui m'a beaucoup parlé d'architecture, et plus particulièrement de la forme des toits à Bagnoles-de-l'Orne et dans les Pyrénées qu'il connaît bien, étant lui-même Bordelais) me salue, je tombe de sommeil.

Pour cette première édition du "festival Alphapodis", notre manoir favori courait deux risques principaux :

- un risque d'exécution si les organisateurs ne se montraient pas à la hauteur de la tâche. De ce point de vue, le bilan est pleinement satisfaisant. Les artistes et le public étaient ravis de fouler le sol (et les pelouses) de notre manoir favori, tous leurs retours sont excellents et louangeurs. Les autorités avaient placé ce festival sous une surveillance très sérieuse et elles aussi me paraissent enchantées de la tenue et du contrôle des réjouissances ;

- un risque météo, que je n'avais évoqué nulle part sur notre site favori. Et pourtant, jusqu'au dernier moment, les prévisions météo donnaient à attendre un festival très pluvieux. Et là, miracle (comme souvent en Normandie), nous sommes passés quasiment entre les gouttes. Certes, depuis deux mois, il avait beaucoup plu et le sol était transformé en éponge à beaucoup d'endroits, ce qui nécessitera quelques réparations et soins, plus importants qu'escompté, aux alentours immédiats de notre manoir favori.

Au final, plus de 750 festivaliers différents (en comptant les Gérard et les agents de sécurité, les pompiers et la protection civile) auront franchi les sas de contrôle à l'entrée du festival, ce qui est un résultat très encourageant.

Toute la journée, les organisateurs et plusieurs Gérard se sont activés sur le site pour démonter les installations. Les voici donc ce soir sans toit autre que leurs petites guitounes sur la terrasse. Comme tout ce démontage s'est passé dans un excellent état d'esprit (je ne dis pas climat car il a beaucoup bruiné aujourd'hui), je leur donne ce soir accès à ce qui sert de cuisine à notre manoir favori ainsi qu'au cabinet de toilettes du rez-de-chaussée du bâtiment Nord ; dans ce dernier lieu stratégique, ils pourront expérimenter mon oua-oua japonais de compétition, ce qui les changera agréablement, j'imagine, des gogues écolos dont ils avaient fleuri les abords.

P.S. : Pour la petite histoire, j'ai rendu ce matin les clés de la chambre que j'avais réservée à l'"hôtel de France" de Domfront. Je n'ai pas mis les pieds dans cette chambre mais ai dormi du sommeil du juste dans ma chambrette monacalo-monastique, trop kaputt pour être si peu que ce soit incommodé par la zim-boum-boum ambiante. Carole avait dû s'éclipser dès hier soir (après achats et mondanités, comme l'on sait) car elle devait garder aujourd'hui nos petits-enfants à Paris.

P.S. 2 (à 21 heures) : S.M.S. de Carole, reçu à l'instant : "Lu ton dernier message. Il faut que tu rappelles que c'était en soutien de la lutte contre le cancer.... Des jeunes généreux, ouverts, dynamiques !"

Dès hier matin, après la fête :

Jimmy, toujours fidèle au poste :

Nos intermittents du spectacle préposés à la sono aiment tellement les 35 heures qu'ils les feraient 2 fois en 3 jours d'affilée. Bravo et merci à eux !

Telle Sisyphe roulant son rocher :

Les piliers des organisateurs (que les autres me pardonnent !) : de vrais champions !

Vers 15 h 30 (au sortir de ma sieste, pour être précis) :

Les derniers Gérard nous quittent :

En fin d'après-midi, cette cour me semble tout d'un coup bien abandonnée :

Après 20 heures, un "Manitou" me paraît encore évoluer en haut de l'allée historique :

Le dernier carré de fidèles accède à la cuisine de notre manoir favori :

Gadoue et glissades, on connaît ça par ici :

Un indice ?

Oui, c'est cela, ces jeunes gens...

... sont allés récupérer au gîte communal de La Haute-Chapelle :

Un grand merci aux services techniques de Domfront-en-Poiraie qui ont prêté main forte !

Le père de Gaëtan est venu aider, au volant de son tracteur :

La vie à la campagne, c'est aussi savoir vider les fosses à purin :

Merci aux deux entreprises qui ont prêté leurs "Manitou", TTA, terrassier à Joué-du-Bois, et DEGRENNE, charpentier à Lonlay-l'Abbaye :

Après tant d'efforts, un arrêt pique-nique était le bienvenu :

Jeu des sept erreurs : trouvez ici le Gérard qui continue aujourd'hui à aider les organisateurs :

Je fais l'hypothèse que nous arriverons assez facilement à boucher les ornières des accotements des allées ou des pelouses de notre manoir favori, d'autant que n'écoutant que son bon cœur, Maxime est venu, dès sa sortie du travail, manier la mini-pelleteuse :

Il faudra sans doute ajouter de la bonne terre de ci de là. En revanche, je suis plus inquiet pour les allées, qui étaient nickel et entretenues depuis une dernière intervention significative au printemps 2016 mais dont le gravier disparaît désormais sous la terre déposée par les engins...

... parfois très lourds et qui ont défoncé la chaussée à divers endroits.

Puisqu'il reste encore à ces jeunes nombre de matériels et détritus à enlever, nous sommes convenus avec Jimmy de reporter à demain soir l'état des lieux de sortie.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 3 octobre 2017 01:23
À : UPSET ALPHAPODIS
Objet : Urgent - Signalé - Tout-venant sur les allées

Cher Jimmy,

Vous m'avez dit hier soir que vous aviez commandé du tout-venant pour restaurer les allées endommagées ou maculées de boue du fait, principalement, des passages d'engins utilisés à l'occasion du festival.

Pour info, je vous signale que la qualité du tout-venant utilisé lors de la dernière restauration est, d'après la facture ci-jointe du fournisseur "Point Vert" à Domfront, du "MEL.BET.0/10". Ceci indique notamment les dimensions des particules. Il en avait donc été utilisé 16 m3.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (à 8 heures) : Surprenants jeunes gens, j'apprends ce matin qu'ils avaient déjà passé commande, hier, du gravier du bon type. L'entreprise TTA de Joué-du-Bois doit le livrer (TTA qui a prêté un "Manitou" pour la fête, de même que l'entreprise DEGRENNE, charpentier à Lonlay-l'Abbaye. Merci à eux !).

P.S. (du 8 octobre 2017) : En réalité, j'ai dispensé Jimmy de l'état des lieux de sortie prévu au contrat et je lui ai immédiatement rendu, sans discuter, l'intégralité de son dépôt de garantie. Ce sera ma contribution finale à cette manifestation, contribution justifiée par la parfaite correction de mes interlocuteurs d'UPSET et aussi par la qualité de la cause que ce premier "festival Alphapodis" a servie.

Hier en soirée, les travaux de remise en état ont continué jusqu'à la nuit tombée :