Abords, Avenue, terrasse

A noter que j'ai pu, à l'occasion de la visite de chantier d'hier, expliquer à M. MAFFRE la problématique de la restauration de l'Avenue et du circuit des douves, telle que je souhaiterais les engager sans trop tarder.

En pratique, ceci signifie que j'aurais besoin de ;
- déposer un nouveau permis de construire pour l'allée, prenant en compte la possibilité de lui restituer enfin, après 23 ans d'efforts, son emprise d'origine ;
- disposer d'une étude préalable relative au circuit des douves, de manière à permettre à l'administration de programmer les subventions indispensables pour mener à bien ce qui constituerait, dans l'intérêt évident du monument, le couronnement idéal d'une carrière de restaurateur de vieilles pierres.

Photo par Bill Perlmutter.

N.D.L.R. : Magnifique pavage.

A noter que M. MAFFRE, hier, m'a déclaré qu'il trouvait que le pavage en "opus incertum" que j'avais fait réaliser dans l'avant-cour était très moche.

20 juin 2014, le pavage de l'avant-cour.

Hélas, je crains qu'il ait raison. J'aurais dû, m'a-t-il dit, poser les pierres verticalement, sur la tranche, comme cela se faisait traditionnellement.

On le saura pour l'avenir.

Par ailleurs, M. MAFFRE est très négatif à propos de la couleur que j'ai choisie pour les joints entre les tomettes du bâtiment Nord :

20 juin 2014, le sol de ma chambre mortuaire.

Là, je le suis d'autant moins qu'au sol de mon bureau, les joints, clairs à l'origine, comme il convient selon M. MAFFRE, sont très difficiles à garder propres avec toute la boue et la poussière de chantier de la cour :

20 juin 2014, le sol de mon bureau.

Dans mon bureau, le choix du revêtement du sol a été fait par le fils et/ou la belle-fille du Tonton que l'on sait. Je n'ai jamais critiqué ce choix, ce qui témoigne de mon impartialité. D'ailleurs, qui en doutait ?

P.S. : On est prié de ne pas se moquer des trous de mes chaussettes...
La jeune classe concernée m'a laissé un mémo pour me rappeler tout ce que, selon eux, je dois faire avant le Jour J :

- couper les tiges de fer situées entre le fournil du manoir et le mur Ouest de la douve Nord ; c'est une demande de M. LALAOUNIS, le traiteur, pour que son camion puisse accéder à la tente du Pournouët ;
- faire installer un point d'eau extérieur au fournil du manoir et acheter 200 mètres de tube en caoutchouc, toujours pour M. LALAOUNIS ;
- faire renforcer la puissance électrique pour cette soirée ;
- acheter des lampes solaires pour baliser le chemin des invités vers le parking ; il paraît que la nuit sera sans lune ;
- faire installer un plancher "provisoire" (on sait ce qu'il faut en penser) dans l'ex-cuisine du bâtiment Nord ; faire en sorte que ce plancher ne gêne pas le plombier qui aura besoin, un jour ou l'autre, de brancher le chauffage et une arrivée d'eau dans ledit bâtiment ;
- enlever les ferrailles diverses stockées derrière la ferme ;
- nettoyer les écuries ;
- nettoyer mon ex-chambre, au 1er étage du logis ;
- convenir d'un rendez-vous avec Sylvie LEMARIE pour qu'elle vienne cirer divers meubles, y compris les bancs de la chapelle ;
- changer les graviers devant le manoir ; en profiter pour rendre mieux carrossable l'allée actuelle ;
- acheter du charbon de bois pour le barbecue de J+1 ;
- aller rendre visite à François MOREAU pour vérifier si son orgue entre dans ma Kangoo.

Bien sûr, cette liste ne demande qu'à être complétée.

Je viens d'appeler M. TIERCELIN pour lui demander où en est le dossier de subvention des travaux sur parties inscrites du "programme 2014". "Il est dans les tuyaux", me dit-il, "il n'y a rien d'anormal".

J'en ai profité pour lui signaler que le fiston souhaiterait pouvoir engager avant la fin de 2014 la restauration de la charpente et de la couverture du colombier. "Y aura-t-il moyen de subventionner ces travaux sur vos enveloppes 2014 ?" lui ai-je demandé. "Cela va être très chaud" m'a-t-il répondu.

Au passage, il m'a laissé entendre que les enveloppes de la D.R.A.C. pour 2015 seraient sensiblement réduites. Or je souhaiterais, l'an prochain et pour ma part, restaurer la salle-à-manger du logis et l'Avenue du manoir.

J'ai donc signalé à M. MAFFRE l'urgence de la préparation des contrats, plans, devis nécessaires pour qu'aucun de nous ne loupe le coche avant qu'il ne finisse par se volatiliser.

Notre paisible Bernard coupe au "John Deere" l'herbe de l'Avenue :

1er juillet 2014.

Comment ? Vous ne l'apercevez pas tout là-bas ? Regardez mieux :

1er juillet 2014.

Quant à Jo, il est allé se perdre, au volant du "Valtra", du côté des cadrans celtiques :

1er juillet 2014.

Lui non plus, vous ne le voyez pas ? Et comme ceci ?

1er juillet 2014.

En tout cas, sur le chemin de retour de ma promenade, je me dis que l'aile de la belle-mère a belle allure en attendant la visite, ce week-end, de la belle-mère du jeune homme concerné...

1er juillet 2014.

Tout cela ne fait pas vraiment pitié, je trouve.

Grâce aux capacités d'archivage de notre site favori, j'ai pu transmettre hier à M. MAFFRE quelques liens utiles pour l'aider à préparer une nouvelle demande de permis de construire. Il s'agit cette fois de nous permettre de restaurer l'Avenue tout en maintenant l'emprise actuelle de la chaussée ; ces travaux pourraient se dérouler en 2015, je l'espère. Ces liens sont les suivants :

- Cadastre : message 189 et message 16584 ;
- Inventaire révolutionnaire : message 1741 ;
- Divers du même genre : message 1750, message 1755 et message 869 ;
- Sur les travaux déjà entrepris : message 191, message 919, message 997, message 1041 (resté sans suite), message 16610 (idem) et message 16633 (à suivre...).

Comme on s'en doute, Carole ne veut pas entendre parler de la restauration de l'Avenue avant que je n'aie avancé dans les aménagements intérieurs du logis. Mais moi, je sais que le temps presse si je veux pouvoir un jour apercevoir l'Avenue plantée de nouveaux arbres d'une certaine hauteur.

La Renaissance en jardins

Le Château de Blois présente, jusqu’au 2 novembre, une exposition consacrée aux jardins de châteaux à la Renaissance. Elle fait le point sur l’héritage médiéval et l’influence italienne jusqu’à la mise en place du jardin dit « à la française ».

Informations pratiques sur "Jardins de châteaux de la Renaissance".

Pour voir le diaporama, cliquez ici...

D'après David Vinckboons, Jardin d'Amour, huile sur toile, 113,4 x 188 cm, Orléans, musée des Beaux-Arts (©Orléans, Musée des beaux-arts, cliché François Lauginie).

Une exposition de civilisation

Le Château de Blois propose, chaque été, une exposition de civilisation en lien avec la vie de la cour à la Renaissance. Cette année, c’est aux jardins que s’attèle l’équipe du château. Un sujet difficile puisqu’il ne reste aucun jardin de cette époque et que très peu d’iconographie en fait état.

Henri d'Albret dans un jardin, 1526, « Initiatoire instruction en la religion chrestienne pour les enffans », Paris (©Bibliothèque de l'Arsenal).

Les jardins de Blois

Très naturellement, l’exposition débute sur les jardins du château de Blois. Créés au tout début de la Renaissance par Louis XII et Anne de Bretagne, ceux-ci sont encore en partie isolés du château. On y accédait par une galerie couverte posée sur un pont qui enjambait les fossés défensifs.

Jacques Androuet du Cerceau, Blois, élévation du bastiment et jardins du côté de l'entrée, eau-forte, 25,2 x 42,8 cm, Orléans, musée des Beaux-Arts (©Orléans, musée des Beaux-Arts, cliché François Lauginie).

La Renaissance, une période de transition

Au jardin comme au château, la Renaissance est une période de transition qui fait passer le jardin du jardin médiéval, essentiellement médicinal, au jardin classique à la française très prisé au XVIIe siècle. L’influence italienne y est là aussi prépondérante.

Louis de Caullery, Fête dans un palais à Venise, huile sur bois, 79,9 x 103 cm, Quimper, musée des Beaux-Arts (©Musée des beaux-arts de Quimper).

Le jardin métaphore

Puisque le jardin à la Renaissance est peu documenté, il faut regarder du côté de la peinture d’histoire pour se faire une idée de son agencement. Les représentations de Suzanne et les Vieillards, du Songe de Polyphile ou du Noli me Tangere permettent de relever certaines caractéristiques communes comme la présence récurrente d’éléments en pierre (barrières), de fontaines et d’architectures végétales.

École flamande, Suzanne et les Vieillards, huile sur bois, 76,5 x 107,4 cm, Rennes, musée des Beaux-Arts (©MBA, Rennes, Dist. rmn-Grand Palais/Louis Deschamps).

N.D.L.R. : Pour le jour où nous commencerons à réfléchir à la restauration du "Pournouët"...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 10 Juillet 2014
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse
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Ce jour aura été marqué par une découverte archéologique importante, du moins à l'échelle du chantier.

Voici la dernière photo du seuil de la porte piétonnière, tel qu'il était ce matin, à la reprise du travail :

10 juillet 2014.

Vous reconnaissez le dallage dû au Tonton que l'on sait, à l'évidence résidu d'une entreprise de pompes funèbres (le dallage, pas le Tonton, du moins à ma connaissance) et scié mécaniquement sur une épaisseur dont vous vous doutez qu'elle est minimale.

Eh bien vous avez raison. Voici, au centre de la photo suivante et une fois déposé, le dallage dû au "grand connaisseur des choses du passé" et, derrière, celui que je projetais de faire poser à sa place. Comme on le voit, il n'y a pas photo en termes ni d'épaisseur des dalles, ni de couleur du granit, ni de qualité de la découpe. C'est tout simplement le jour et la nuit :

10 juillet 2014.

Mais, alors que nous avions imaginé, avant d'enlever ces feuilles de papier à cigarette, que, comme dans l'entrée du logis, nous trouverions au-dessous un très médiocre mortier, le démontage nous a réservé une sacrée surprise :

10 juillet 2014.

10 juillet 2014.

Comme on le voit sur les deux photos précédentes, nous avons retrouvé, sous le papier à cigarette en question, le dallage d'origine, composé de deux blocs de granit et de plusieurs dalles de grès schisteux. Je dis que ces pierres sont d'origine car elles étaient, les unes et les autres, engagées sous les pilastres de la porte.

Mais il y avait un problème : le niveau de ce dallage d'origine se trouvait, selon les endroits, 6,5 à 11 centimètres sous les niveaux du sol actuels, dans l'avant-cour et dans la cour.

Autrement dit, rendre à ces pierres leur statut originel aurait obligé à décaisser une bonne partie de la cour, sans parler de l'avant-cour, de 6 bons centimètres au moins.

Je n'y étais prêt ni financièrement, ni administrativement, ni d'aucune façon.

Bien entendu, je tenais, par courriel et en temps réel, M. MAFFRE puis M. COOS au courant de nos découvertes.

J'étais partisan soit de découper, pour le relever, le dallage d'origine, soit, de préférence, de le supprimer pour le remplacer par mes belles et bonnes dalles épaisses.

Je dois dire que je me suis heurté à l'avis négatif de Sébastien DUVAL et au veto de M. MAFFRE, dont voici le texte du courriel de 15 h 49 :

(début de citation)

M. Fourcade,

En tant qu'architecte du patrimoine, je fais partie de la chaîne des intervenants qui ont un rôle de conservation de nos édifices, et notamment des dispositions originelles, surtout quand elles deviennent rares sur un édifice très remanié.
Je peux comprendre qu'il vous soit compliqué de remettre en cause tous les niveaux de sol existant (bien que 6 à 11 cm ne représentent pas grand chose).
Mais vous comprendrez qu'il ne m'est pas possible de donner mon accord sur une solution de destruction d'un élément intéressant à plus d'un titre, tout à fait conservable.

Je vous confirme après discussion avec M. Coos, que les dalles "neuves" peuvent être amincies à environ 6 cm d'épaisseur et posées au coulis de chaux sur les dalles anciennes, sans problèmes de pérennité.
M. Coos m'indique que si nous donnons notre accord aujourd'hui, les dalles peuvent être immédiatement recoupées et reposées très rapidement.
Il ne s'agit en rien d'un bricolage mais d'un bon compromis pour répondre aux diverses contraintes.

J'espère que vous pourrez adhérer à cette solution.

Crdt..

(fin de citation)

Après ce courriel, je me suis encore débattu. Nous avons sondé le seuil de la porte charretière et nous avons trouvé, là également, des preuves de la subsistance, sous le bitume , du dallage d'origine.

Je vous fais grâce des détails. Je me suis incliné.

Nous allons donc tailler les dalles que je projetais de substituer aux horreurs en question pour en détacher les 6 à 10 cm supérieurs que nous poserons à la chaux sur le dallage d'origine.

Ainsi, au cas où l'un de mes successeurs voudrait tenter de retrouver dans la cour le revêtement d'origine, la restauration dont j'aurai été le maître d'ouvrage ne le gênera nullement.

Si des visiteurs du site veulent davantage de détails, je pourrai mettre en ligne d'autres photos car j'en ai prises beaucoup.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 11 Juillet 2014
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Logis
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Sébastien DUVAL a terminé la tranche actuelle des travaux dans l'entrée du logis en bouchant, sur mes plans rectifiés, l'interstice entre les deux moitiés du seuil :

10 juillet 2014.

Il a commencé à restaurer l'auge (qu'il appelle buron) aux 4 endroits prévus. Le voici ce matin devant ce chantier...

10 juillet 2014, vue vers l'Ouest.

... et voici où il en était rendu hier en fin de journée :

10 juillet 2014, vue vers l'Est.

En coupant l'herbe de l'allée qui mène vers la maison de Gérard PHILIPPE (l'autre, le nôtre), j'ai constaté que de nombreux hêtres avaient leurs feuilles envahies de trucs bizarres :

14 juillet 2014.

14 juillet 2014.

14 juillet 2014.

Grâce à Google, j'ai pu établir qu'il s'agit de galles en citron des hêtres, autrement dit d'œufs du moucheron Mikiola fagi, provoquant une cécidomye qu'il faudra traiter sans tarder.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 15 Juillet 2014
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Logis
0
Dans l'entrée du logis, la projection de sable était censée, entre autres, patiner les marches. Le traitement ne s'est pas révélé très concluant. Au moins, vu les précautions prises...

15 juillet 2014.

... peu de poussière aura pénétré dans les pièces récurées ce week-end.

En revanche, au milieu de la cour, le travail avance bien sur l'auge :

14 juillet 2014.

14 juillet 2014.

14 juillet 2014.

15 juillet 2014.

15 juillet 2014.

A peine arrivée de Paris, Carole a dû y repartir : elle avait oublié son ordi qu'elle est donc allée rechercher. Cette anecdote illustre que la fatigue nous gagne, à 8 jours du Jour J.

Elle a trouvé qu'en 3 jours, le chantier avait bien avancé :
- pose du plancher de la nursery qui permet aussi d'imaginer ce que pourraient être les proportions de la future cuisine ;
- fin de l'intervention de Sébastien DUVAL qui a laissé un chantier propre après avoir restauré le seuil de la porte piétonnière et l'auge de la cour ;
- renouvellement du gravier devant le manoir et dans le bout de la descente à partir de la D22.

Ce week-end, si la météo le permet, nous tâcherons de peindre la porte d'entrée du bâtiment Nord. Mardi prochain, M. BRESSON devrait finir d'installer les boiseries du petit salon et poser la porte restaurée du logis sur la terrasse. Avant-hier à Paris, j'ai pris livraison au B.H.V. des interrupteurs et prises électriques qui nous manquaient pour ce petit salon. Hier soir, en revenant de la séance de travail chez notre jeune geek, je suis passé au Sap chez Roland FORNARI pour récupérer les ferrures restaurées de cette porte.

Carole et moi sommes convenus qu'après le mariage, le chantier serait mis au repos, tout comme nous si possible, jusqu'à la fin septembre.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 18 Juillet 2014
Journal du chantier - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse
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j'ai négligé,depuis quelques jours, de mettre en ligne des photos de notre chantier favori. Je vais tâcher de me rattraper.

Voici Jonathan, en train de renouveler le gravier de l'avant-cour. Plus précisément, il rétablit ici quelques alignements avant de déposer le gravier livré par Philippe JARRY :

17 juillet 2014.

Ce travail a été effectué à la demande expresse, malgré mes réserves, de la jeune classe concernée. J'espère qu'ils en seront satisfaits.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 18 Juillet 2014
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse
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Je mets au défi quiconque de détecter les interventions de Sébastien DUVAL sur l'auge de la cour :

18 juillet 2014.

18 juillet 2014.

Voici également le nouveau seuil de la porte piétonnière, tel que j'en ai décidé la pose avant le Jour J :

18 juillet 2014.

Tout ceci me semble impeccable et j'en félicite l'entreprise BODIN. Son intervention témoigne à la fois d'une parfaite maîtrise des matériaux et d'une grande sensibilité aux couleurs, aux textures, aux patines. Une nouvelle fois, un très grand bravo !

Ann CONTADINE
rédigé le Mercredi 30 Juillet 2014
Livre d'or - Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Bonjour Monsieur Fourcade,

En visite sur le site de la Chaslerie on ne peut que s’émerveiller à la découverte des nouvelles photos mises en ligne.

Le manoir est resplendissant, et lorsque l’Avenue sera remise en état, l’harmonie sera parfaite !

Petit clin d’œil aux entreprises de ma région, on ne peut que louer le travail remarquable exécuté.



Permettez-moi d’adresser tous mes vœux de bonheur aux jeunes mariés.

Quelques fleurs de la maison...

... pour les dames !

Bien cordialement,

N.D.L.R. : Merci pour ce message. On ne vous oublie pas et nous tâcherons de venir, Carole et moi, rendre la visite un de ces jours si c'est possible pour vous.

Vous pouvez dire à votre mari que, ainsi qu'il m'en avait prévenu, mes aulnes glutineux sont en train de dépérir à toute allure. Je n'arrive pas à en avertir Thierry BOURRE, qui les avait plantés il y a 15 ans ; il doit être en vacances.

Bien cordialement,