Quand le loïde a suffisamment fait le zouave dans le colombier, j'ai toujours la possibilité de le parquer dans l'auge au milieu de la cour...Avez-vous vu comment il nous tire la langue, ce petit effronté :... mais j'ai rapidement pitié de lui, ce qui ne l'empêche pas de faire subir les derniers outrages à, cette fois-ci, une brosse métallique.
Usant, le bonhomme ! Et, en plus, il s'y épuise :