Poursuivons (après le message du 11 mars dernier) notre lecture de "Découverte des bois de la Normandie armoricaine" par Charles-Erick LABADILLE. Après un rappel des grandes étapes géologiques de la Suisse Normande, l'auteur survole le peuplement de ce secteur : Je trouve que, dans ce passage, l'auteur se montre trop optimiste quant à la capacité des hommes à conserver aux paysages leurs beautés bocagères. Il est vrai que, lorsqu'il rédigeait son ouvrage, il y a 14 ans, les remembrements et la course effrenée du monde agricole aux subventions européennes n'avaient pas encore détruit ce cadre traditionnel que nous aimions tant. Hélas, depuis cette époque, la dégradation des paysages n'a eu de cesse.