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Arnaud PAQUIN m'a téléphoné ce matin et nous avons parlé assez longuement des grandes lignes des conditions de son intervention ; il est prévu une rencontre à son cabinet, à Avranches, le 16 mai prochain, pour fixer notre accord.

J'ai profité de cet échange pour rappeler à cet architecte du patrimoine mes vues sur l'aménagement du colombier, notamment mon souhait de continuer, dans les étages, à virer le cloisonnement débile des années 1950. J'avais déjà exposé ces vœux lors de notre rencontre ici le 10 avril dernier mais je ne me rappelais plus la réponse à mon idée de virer également le plafond de la chambre du 2ème étage (celle aux murs de laquelle se trouvent les trous de colombes) et le plancher des combles, de manière à ce que cette chambre ait une vue directe sur la très belle charpente de ladite tour. Arnaud PAQUIN, après s'être assuré que je ne toucherais pas à la poutraison ancienne du plafond actuel du 2ème étage, m'a donné son accord. Je lui alors parlé de mon idée d'occulter les lucarnes du colombier en substituant aux fenêtres vitrées du type des années 1950, des volets de bois percés de trous pour les colombes. Cet architecte a tout de suite accepté cette suggestion pour les trois lucarnes en question et je lui en suis très reconnaissant car son attitude me donne une grande confiance dans nos chances de développer une relation de travail de qualité. Il est clair en effet qu'il serait stupide que la chambre du 2ème étage du colombier, supposée débarrassée de son plafond moche en frisette de sapin et dotée d'une vue directe sur la charpente, soit éclairée, en plus des 4 fenêtres actuelles, moches extérieurement mais bien pratiques intérieurement, par 3 lucarnes vitrées.

Sur la base de cette conversation, j'ai fait le nécessaire pour rendre les travaux correspondants difficilement réversibles. Car à l'âge de 66 ans et dans les circonstances de l'espèce, je n'ai plus la moindre tolérance pour certaines attitudes qui s'apparentent à des tics. J'ai en effet toutes raisons de me méfier des réactions de proches, toujours prompts à récriminer quand je les informe de mes projets de travaux - à récriminer et à prétendre s'y opposer, alors même que c'est moi qui paie tout - mais qui, une fois mes "forfaits" accomplis, sont toujours parmi les tout premiers à trouver que j'avais eu raison (ce qui peut être interprété, au moins par un optimiste, comme la preuve d'une intelligence et d'une bonne foi rassurantes). Or, nous sommes en pleine période des ponts de mai et je ne serais pas étonné que, telles des hirondelles, certains visiteurs émigrés loin de nos pluies à la saison froide ne finissent par repasser une tête dans le secteur, après plusieurs mois de silence radio supposés, j'imagine, favoriser ma convergence avec leurs derniers caprices.

J'entends qu'ils ne soient pas déçus du voyage.

Donc, pour le 2ème étage du colombier (comme pour le 1er il y a quelques semaines), il n'y aura pas matière à débat, c'est-à-dire à interminables retards du chantier : Christian, assisté par Igor, a, dès cette après-midi, commencé à dégager toutes les (...) des prédécesseurs des années 1950. Voici ce que cela donne :

- le cabinet de toilettes riquiqui du 2ème étage a giclé, de même que le couloir mesquin vers les combles (j'ai donné à Christian l'escalier qui, tel qu'il avait été placé ici, condamnait à se raboter le cuir chevelu contre un arêtier quiconque n'avait pas été dissuadé de l'escalade finale par la ribambelle d'escaliers crétins précédents) :

5 mai 2018.

- la si élégante et bienvenue frisette du plafond...

5 mai 2018.

5 mai 2018.

5 mai 2018.

5 mai 2018.

... a commencé à prendre la direction qu'elle mérite : au feu !
- le plancher d'étroites lattes de chêne des combles...

5 mai 2018.

... a commencé à être démonté en vue d'un réemploi éventuel :

5 mai 2018.

5 mai 2018.

5 mai 2018.

5 mai 2018.

- enfin, on ne ressent plus cette impression d'étouffement qui m'oppressait sous cette frisette (...) et on commence à apercevoir enfin la charpente de là où il faut :

5 mai 2018.

5 mai 2018.

5 mai 2018.

Quelques remarques complémentaires :
- les solives sont en chêne récent (travaux des années 1950) mais réutilisables ; elles seront donc stockées au 1er étage de la charretterie dès que le plancher de ce comble aura été restauré (travaux en cours par Christian) ;
- Christian est d'avis que le "Skytech" métallisé et ouaté tel qu'on l'aperçoit entre les chevrons est un bon isolant thermique ; ceci me rassure alors que je conservais des doutes ;
- les lattes du plancher des combles actuels du colombier pourraient, d'après Christian, être réutilisées de manière à renforcer l'isolation thermique en question et à dissimuler ce revêtement brillant tout en n'occultant pas la vue sur les chevrons. Je lui ai demandé de préparer un échantillon de sa proposition, de manière à permettre à Arnaud PAQUIN, lors de sa prochaine première visite de chantier, de se prononcer sur sa pertinence. Je pense que cette suggestion pourrait lui plaire ; elle aurait en outre l'avantage de permettre à Christian de travailler à l'abri les jours de mauvais temps, ce qui serait appréciable pour tout le monde ;
- j'imagine sans peine que l'électricien ROBVEILLE saurait éclairer cette charpente avec art, de manière à en faire rayonner la manorialitude évidente ; je lui en parlerai dès notre prochain contact.

Avec sa double hauteur de plafond, son surplomb par une magnifique charpente bien éclairée, ses trous de colombes sur les murs à pierres apparentes, ses 4 fenêtres aux 4 azimuts ou presque avec, chaque fois, de superbes vues aux alentours, ses lucarnes évocatrices d'un passé colombophile et seigneurial, un lit à baldaquin ou se calfeutrer si l'on est frileux, cette chambre du 2ème étage du colombier devrait avoir un look d'enfer.

Je suis sûr que tout le monde, grands et petits, voudra s'y établir. Il restera juste à régler la question de la salle-de-bains et des w.-c. ; pour cela, je pense faire quelque chose sous le comble des écuries, à une altitude à déterminer selon ce qui sera décidé pour l'escalier "mis en facteur commun". En attendant, des w.-c. et une baignoire dans l'actuelle cuisine-provisoire-qui-dure feraient, à mon avis, fort bien l'affaire.
Il règne, entre Christian et Igor, une parfaite ambiance de travail.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

Dommage qu'Igor ne soit pas plus souvent disponible, on ferait de grandes choses.

D'ores et déjà, l'idée de faire disparaître le plafond de la chambre du 2ème étage du colombier se révèle avoir été brillante (n'ayons pas peur de le dire). Les premiers résultats sont en effet des plus convaincants.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

Je laisse néanmoins du grain à moudre au "débat familial" ("if any"). Je veux dire par là que j'ai délibérément stoppé le démontage de ce plancher de comble sur environ un quart de sa surface, du côté Nord dudit colombier. De la sorte, il serait loisible de conserver là une mezzanine susceptible d'accueillir, par exemple, un bureau, tout en bénéficiant de la lumière du jour à travers la lucarne Nord-Est qui serait alors vitrée.

7 mai 2018.

7 mai 2018.

De même, de cette mezzanine, on pourrait valoriser la vue, à travers les chevrons du brisis Nord du colombier, vers la charpente des écuries.

7 mai 2018.


Bien entendu, il conviendrait de remplacer l'escalier moche et incommode actuel par une structure métallique arachnéenne que prolongerait une rampe pour la mezzanine.

Si l'on ajoutait un éclairage de la qualité ROBVEILLE dans la poutraison et si l'on faisait en sorte que toutes les pierres de cette chambre soient apparentes, on disposerait là d'un haut-lieu de notre manoir favori, à tous les sens du terme !

Cela "vaudrait le détour" assurément !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Abords, Avenue, terrasse - Aile "de la belle-mère"
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 5 septembre 2018 09:31
À : julien@robveille.fr
Objet : Manoir de la Chaslerie - Domfront-en-Poiraie (61)

Monsieur,

J'attends toujours votre devis pour l'électrification des extérieurs de mon manoir alors que vous êtes venu ici le 19 avril dernier.

Que se passe-t-il ?

Par ailleurs, j'aimerais que vous électrifiiez l'intérieur du colombier (la charpente).

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (à 20 h) : M. ROBVEILLE vient de me répondre. Hélas son devis pour l'éclairage extérieur dépasse mes moyens immédiats, compte tenu de mes autres priorités. Mais ce n'est, je l'espère, que partie remise. Je maintiens cependant ma demande de devis pour la charpente du colombier, qui devrait être davantage dans ces moyens.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 7 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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J'ai rappelé M. ROBVEILLE afin qu'il vienne préparer un devis pour l'éclairage de la charpente du colombier.

Quant au calendrier de réalisation de ces travaux, je souhaiterais que les câbles soient installés suffisamment tôt pour que, dans la foulée, (...) puisse poser les lattes de parquet destinées à dissimuler l'isolation thermique d'aspect métallique tout en mettant en valeur les chevrons.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 20 Octobre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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Après de nombreuses tentatives, j'ai fini par joindre avant-hier M. ROBVEILLE pour lui demander de préparer un devis en vue de l'électrification, dans des délais rapides, des combles du colombier, de manière à en mettre en valeur la charpente.

Il m'a répondu qu'il a des "petits problèmes de santé" qui l'obligent à "restreindre la cadence et par conséquent (son) périmètre d'action".

Je lui ai donc souhaité un prompt rétablissement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 29 Novembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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Hier, sur la route de Villers, j'ai fait étape à Bretteville-sur-Odon chez M. ROBVEILLE, l'électricien à qui je souhaiterais, dans un premier temps, confier l'éclairage de la charpente du colombier. Je n'ai pas réussi à le convaincre de se déplacer à notre manoir favori, il a d'autres priorités ces temps-ci, comme il me le laisse entendre et comme je le comprends.

J'essayerai de nouveau dans quelques mois, en espérant que son horizon se soit alors dégagé.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 15 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis - Bâtiment Nord - Aile "de la belle-mère"
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Je reçois cette après-midi, pour la première fois, l'architecte à qui je souhaiterais confier, pour l'essentiel, la maîtrise d’œuvre des travaux intérieurs de notre manoir favori. Elle m'a été chaudement recommandée par diverses personnes bien au fait des problèmes posés par la restauration de monuments historiques appartenant à des particuliers et dont l'avis compte beaucoup pour moi.

Il convient qu'à son intention, je précise mes priorités.

En l'état du dossier, je mets en premier la restauration du colombier puisque, selon une exigence au moins tacite de Carole (qui exclut de ne pas disposer à tout moment d'un minimum de cuisine), nous aurons besoin d'une cuisine fonctionnelle (au rez-de-chaussée de ce bâtiment) lorsque nous nous lancerons enfin dans l'aménagement de la cuisine principale du manoir (actuelle cuisine provisoire), implantée dans le bâtiment Nord.

Le reste des travaux à mener dans le colombier découle de ce choix :
- il faut s'atteler enfin aux dégâts des eaux récurrents depuis une quinzaine de mois et résoudre proprement ce problème largement documenté ;
- au rez-de-chaussée du colombier, il faut mettre en place, d'abord, les circuits des fluides divers, opérationnels en entrée comme en sortie : tubes d'aquathermie, eau, électricité, téléphone et wifi ;
- au même rez-de-chaussée, aménager la chaufferie de l'aile Ouest (servant, dans un premier temps, au seul colombier), plus une salle-de-bains avec baignoire (mon rêve) et, pour le reste, cette cuisine ;
- au premier étage, la priorité est d'en réviser le plafond : réexaminer les poutres, y compris leur orientation, compléter le solivage ; assurer l'isolation thermique du sol et du plafond grâce à des matériaux performants et d'épaisseur appropriée (minimale pour le plafond, en raison des fenêtres du second étage) ; dessiner les boiseries, à usage principal de bibliothèque, y compris la cheminée qui devrait être opérationnelle, au moins (en raison de la poussière, peu compatible avec les bouquins) grâce à un insert ;
- au deuxième étage, arriver à faire venir l'excellent M. ROBVEILLE, électricien à Caen, pour installer un bel éclairage de la poutraison (à défaut, lui trouver un remplaçant aussi compétent).

Bien entendu, l'aménagement intérieur du colombier suppose que la question des menuiseries extérieures correspondantes soit enfin résolue. A cet effet, commencer par prendre l'attache de la D.R.A.C. qui vient de nous donner un délai de 4 ans pour les lucarnes, problème qui était sur la table depuis 4 autres années déjà et sur lequel aucun des deux derniers architectes du patrimoine intervenus à la Chaslerie n'a daigné donner la moindre réponse opérationnelle utile, en dépit des multiples relances dont ils ont fait l'objet.

Au-delà du colombier, la priorité serait de résoudre la question posée par les poutres pourries du plafond de la moitié Nord du premier étage du logis. Je souhaiterais que le dossier soit enfin traité ; ce problème n'avait pas été aperçu (carrément) par le dernier A.C.M.H. intervenu à la Chaslerie (il avait pourtant la maîtrise d’œuvre de la restauration de la charpente et de la couverture de ce logis...) et il n'a jamais été le moins du monde abordé, malgré mes multiples demandes, y compris écrites, par chacun des trois architectes du patrimoine intervenus à sa suite au cours de la bonne douzaine d'années qui a suivi. Parallèlement au règlement de ce problème de poutres pourries, je souhaiterais que soit enfin traitée proprement la question des fluides pour les ailes Est (logis) et Nord du manoir. L'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis pourra être traité ensuite, y compris le choix de la cheminée au premier étage (cheminée Renaissance en granit de la Julinière, actuellement démontée, ou bien cheminée en boiseries).

P.S. : Relisant ce message sur écran, je me dis que j'aurais pu parler d'autres sujets - ceux-ci plus ponctuels - qui, au moins à mes yeux, présentent un certain caractère d'urgence :
- la porte entre l'arrière-cuisine du bâtiment Nord et l'arrière-cour ;
- le sol de la salle-à-manger du logis : il est de mon intérêt qu'Igor puisse se charger d'un maximum de tâches, une fois, à mon avis, que l'entreprise BODIN aura restauré l'âtre ;
- le sol de la "pièce dévastée" au premier étage du logis : je souhaiterais pouvoir réutiliser rapidement ce volume comme garde-meubles ; cela pose la question de son sol, actuellement fragile et inégal. Certes, je pourrais utiliser comme garde-meubles l'ancien "salon de l'aile de la belle-mère" ; il faudrait pour cela qu'il soit hors d'eau (problème de la porosité du mur Ouest) ;
- le cabinet de toilettes du petit salon, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 18 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Abords, Avenue, terrasse
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 18 juillet 2019 06:30
À : philippe ROCHAS
Cc : (...)@culture.gouv.fr; C. F. ; T. F.
Cci : Yves Lescroart
Objet : Projet MORIN - Problématique de l'hinterland - Chaslerie et autres

Monsieur le conservateur régional,

Ayant appris du maire de Domfront-en-Poiraie que vous êtes venu hier vous enquérir des projets rendus possibles localement par la manne promise par le président de Région, je me permets de vous signaler quelques idées, marginales au regard de l'ensemble, du moins en termes de coût, et qui me sembleraient pouvoir être incluses utilement dans cette perspective.

Certes, la tendance première est de réserver la manne à la citadelle "stricto sensu" ainsi qu'aux professionnels locaux de la restauration (alimentaire). Mais j'ai fait valoir, à l'occasion, que, en dépit du caractère restrictif, semble-t-il, du label des "petites cités de caractère" qui paraît jouer un rôle dans le dossier, il ne serait pas raisonnable d'oublier, dans cet effort de promotion d'un "tourisme médiéval", ce que j'appelle l'hinterland. En effet, il ne saurait faire de doute que ce dernier le mériterait tout autant que la citadelle, pour des raisons tant historiques que touristiques, architecturales ou patrimoniales.

Je m'explique : l'idée de mettre en place et de promouvoir des illuminations sur les principaux sites touristiques du patrimoine local me paraitrait, pour un faible coût pour les collectivités concernées, susceptible d'avoir un effet attractif et entraînant très fort (ainsi que le montrent, par exemple, les illuminations de Noël dans plusieurs communes de notre bocage). Il existe un électricien qui installe un tel équipement avec beaucoup de savoir-faire et de sensibilité : M. ROBVEILLE, de Caen. J'ai vu ses réalisations au château du Repas : c'est féérique ! Je l'ai interrogé sur le budget pour le cas de la Chaslerie : l'investissement serait de l'ordre de 25 000 €, soit "peanuts" à l'aune du projet MORIN, mais énorme à celle de propriétaires privés qui supportent déjà de très lourdes charges au titre de leur monument. (Il est possible que des électriciens locaux souhaitent, le moment venu, être mis en concurrence avec un tel artiste.)

Bien entendu, pour qu'une telle suggestion puisse prospérer facilement, il serait souhaitable que la Chaslerie ne soit pas le seul site concerné dudit hinterland de Domfront-en-Poiraie. Je penserais que la Saucerie et, dans une certaine mesure, la Guyardière pourraient être incluses dans le dispositif. La Saucerie étant à vendre, son futur propriétaire sera probablement animé d'un dynamisme approprié.

Je n'ai pas manqué de faire part de ces idées à l'excellent Bernard SOUL. Hier encore, il m'a redit qu'elles seraient prises en compte.

Je suis sûr que les services de l'Etat sauront aider, en tant que de besoin et grâce à vous et à vos collègues, à une juste appréciation des réalités patrimoniales et des potentiels locaux de manière à favoriser la mise en œuvre réelle d'une telle suggestion.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
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J'ai réussi à reprendre contact avec M. ROBVEILLE, un excellent électricien basé à Caen et dont j'ai admiré le travail et la qualité des résultats au château du Repas. Je souhaite le charger d'installer un système d'illuminations dans la cour de notre manoir favori. On profiterait de la présence du terrassier pour creuser ou poser les réservations nécessaires à des projecteurs qui ne dépasseraient pas du niveau du sol.

Donc j'ai besoin de savoir, en l'état de la technique et compte tenu des dimensions de la cour et de la hauteur des façades, à quelle distance des murs prévoir ces réservations et avec quel espacement entre deux projecteurs voisins.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 31 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Logis - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII - Aile "de la belle-mère"
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Julien ROBVEILLE m'indique que, pour l'installation de projecteurs dans la cour de notre manoir favori, il y a lieu de prévoir une distance du mur de 1,30 mètre et un espacement latéral de 5 mètres environ, en veillant à adapter l'intervalle entre les appareils de manière à minimiser les reflets dans des vitres. En revanche, en l'état du matériel disponible, la hauteur des bâtiments illuminés n'est pas une variable critique car il suffit d'orienter convenablement les rayons lumineux.

Je le remercie pour ces informations. Mon intention est de le charger du travail le moment venu. Dans l'immédiat, nous allons enfouir un tube de réservation pour les fils électriques nécessaires.

P.S. (à 14 heures) : Voici le plan que vient de me communiquer Julien ROBVEILLE.
Ce que je préfère dans un chantier, c'est travailler avec des professionnels compétents et réactifs. Avec Philippe JARRY, Julien ROBVEILLE et Julien ANDRE, j'ai le sentiment ce soir de disposer d'une équipe pleinement opérationnelle.

Regardez où nous en étions rendus en cette fin de journée :

1er août 2019.

1er août 2019.

Comme vous le voyez, le nécessaire pour l'alimentation des futurs projecteurs dans la cour est déjà en train d'être mis en place !
Après prise en compte des suggestions formulées par M. LESCROART hier soir et réflexion, cette nuit, sur ce que sont mes intentions et possibilités, j'ai amendé et complété mon projet de lettre à l'architecte du patrimoine mandatée.

Voici la version de mon texte que je compte lui expédier dès l'ouverture de la poste tout à l'heure :

(Début de citation)

Madame,

M. Yves LESCROART me signale ce matin que vous souhaitez que je vous renvoie signés les documents que vous m’aviez adressés début septembre par lettre recommandée.

Ces documents comportent, semble-t-il, un certain nombre d’oublis que M. LESCROART m’a signalés ; ces pièces devront donc y être jointes :
Sur le CCG :
- Annexe financière mentionnée en P. 3 (case cochée à cet effet)
Sur le CCP :
- Programme précis de l’opération (y compris la question dite des « poutres pourries » du 1er étage Nord du logis)
- Calendrier prévisionnel global (à recaler en fonction des conclusions de notre réunion du 14 novembre)
- votre attestation d’assurance
.

Ces documents contiennent par ailleurs un certain nombre de novations par rapport à notre accord contractuel tel qu’il avait été acté par mon courriel du 1er août dernier. Nous avons étudié ces novations qui, toutes sauf celle relative à mon activité internet, recueillent mon accord.

Considérant, pour cette dernière, que la demande sous-jacente correspondante serait injustifiable en l’état du droit encadrant la liberté d’expression dans notre pays, j’ai estimé qu’il était inutile que la question figure dans deux paragraphes du CCG (le G7 et le G9 nouveaux) et, plus précisément, biffé la disposition excessive de l’article G 9.3. du CCG. Pour autant, et comme convenu dès notre première rencontre, je continuerai à ne pas citer votre nom sur internet tant que vous ne m’en aurez pas donné l’autorisation.

Je vous ai déjà adressé ce matin le chèque correspondant à votre facture n°1 reçue hier.

Comme je le lui ai déjà exprimé, je suis reconnaissant à votre collègue M. Arnaud PAQUIN de m’avoir mis en relation avec vous car je pense que nous pourrons faire un excellent travail.

Au-delà du champ défini dans le contrat ainsi modifié, je pense que, si vous en aviez convenance et comme j’en ai laissé la demande par de récents messages sur votre répondeur, vous pourriez intervenir également entre le bureau d’études et moi. Le bureau d’études est chargé, principalement, de déterminer si une chaufferie unique pourrait suffire à la Chaslerie (étant entendu qu’on devrait pouvoir s’y chauffer par aquathermie et, le plus souvent, par le sol) et de dessiner tous les circuits utiles aux artisans concernés (eau, électricité, chauffage, wifi, courants faibles, etc).

Comme je l’ai indiqué lors de notre première réunion de chantier, jeudi dernier, j’ai toutefois été informé que le bureau d’études qui m’avait été recommandé par une architecte de qualité entend mettre fin à la mission que je lui ai confiée en juin dernier et dont, semble-t-il, il ne pouvait respecter le calendrier qu’il avait pourtant lui-même fixé. Ce dossier serait donc vraisemblablement à reprendre à la base. Nous pourrions en reparler si vous le voulez bien.

J’ajoute que, sous réserve des conditions financières, je serais prêt à vous confier la maitrise d’œuvre de l’ensemble des installations techniques, et - pourquoi pas ? - de l’ensemble de la restauration des parties inscrites que je pense et espère pouvoir mener à bien avant de passer, si possible, le relais de la maîtrise d’ouvrage à mon aîné, d’ici environ 5 ans.

Mon espoir serait ainsi de pouvoir personnellement mener à bien le programme de travaux de restauration suivant que je me suis assigné, avec les particularités suivantes :
- Dans le logis :
o Cage d’escalier : pose de radiateurs puis enduits sur les murs, avant l’expiration de la subvention accordée par la D.R.A.C. ;
o Salle-à-manger : modification de la poutraison du plafond par densification des solives, changement des poutres et pose de corbeaux qui pourraient être inspirés de ceux du manoir du Bas au Teilleul ; peinture de la nouvelle poutraison ;
o Chambre Nord : boiseries sur les murs ;
o 1er étage de la tour Nord-Est : salle de bains avec baignoire ;
o Rez-de-chaussée de la tour Nord-Est : l’usage qui pourra être donné à cette pièce n’est pas défini à ce jour ; le plafond pourra être abaissé ; pose de corbeaux ; le sol devra continuer à témoigner de l’ancienne forme des fondations.
- Dans l’aile Ouest :
o Toutes les menuiseries extérieures qui, selon l’ "esquisse" du 19 juillet 2018 de M. PAQUIN, devront être restaurées ;
o Au rez-de-chaussée du colombier : installation de la chaufferie (que j’espère unique), d’un w.-c., d’une salle-de-bains avec baignoire ; réservation d’une cuisine pour l’ensemble de l’aile ;
o Au 1er étage du colombier : modification éventuelle de la poutraison du plafond (je m’interroge sur l’état des poutres et la densité des solives) ; boiseries Louis XVI sur les murs (y compris la cheminée) de cette pièce destinée à être mon bureau-bibliothèque ;
o Au 2ème étage du colombier : achèvement, si c’est encore nécessaire, du programme de travaux en cours ; prévoir une illumination possible de la poutraison (M. ROBVEILLE, électricien à Caen, réalisant des merveilles en la matière) ;
o La mise en place d’un escalier n’entre pas dans mes intentions ; je me déclare néanmoins très satisfait de l’ "esquisse" de M. PAQUIN à ce sujet ; je considère que l'escalier ainsi recommandé serait approprié pour servir de colonne vertébrale à la restauration de toute l'aile.
- Dans le bâtiment Nord :
o Installation d’un cabinet de toilettes au rez-de-chaussée ; la douche sera implantée au plus près de la fenêtre ; attention : il y a déjà un chauffage par le sol dans cette pièce ;
o Installation d’une cuisine et d’une arrière-cuisine au rez-de-chaussée.
- Dans la chapelle : installation d’un radiateur et d’un système de ventilation destinés à stopper la dégradation des peintures murales malgré leur restauration récente ;
- Dans la cave : mise en place d’une isolation thermique de la couverture ; le chauffage devra pouvoir être installé à partir de la chaufferie centrale du manoir ;
- Dans la cour : finition de l’aménagement, y compris par l’installation d’un système d’illuminations par M. ROBVEILLE.


Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.

(Fin de citation)

Si jamais j’arrive au bout de ce programme, je pourrai peut-être me dire que mon passage sur Terre n'aura pas été complètement inutile.
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J'ai reçu ce matin la visite de Julien ROBVEILLE à qui je compte confier l'installation de l'éclairage au 2ème étage du colombier. Ces travaux pourraient commencer rapidement.

Je l'ai également interrogé sur l'éclairage de la charretterie. Là, il faudra que l'installation parte du compteur qui se trouve au rez-de-chaussée du colombier. Donc, pour ne pas multiplier les terrassements, on attendra le creusement des fossés nécessaires à l'aquathermie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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A la lumière de la fin de journée, les différences de couleur entre le chêne et le châtaignier sont imperceptibles :

2 janvier 2020.

La question se pose néanmoins de savoir s'il en ira de même une fois que Julien ROBVEILLE (dont j'attends le devis) aura installé ses éclairages.

Pour éviter les hiatus, on veillera à réserver le chêne (dont il nous reste peu) aux angles de la charpente, destinés à être les moins visibles.

Dans l'immédiat, Igor fait disparaître des poutres les dernières traces de l'horrible revêtement des années 1950 (des toiles cimentées et peinturlurées qui ont sauté dès le début de la restauration de la charpente du colombier, ce devait être en 2015) :

2 janvier 2020.

2 janvier 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 8 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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Julien ROBVEILLE m'a fait parvenir son devis pour les éclairages de la charpente du colombier. Je l'ai également interrogé sur le coût de radiateurs électriques d'appoint dans les embrasures des 4 fenêtres car mon aîné, peu confiant dans les performances d'un chauffage par le sol (ainsi que dans l'isolation aux petits oignons qu'Igor lui mitonne), craint d'avoir froid là-haut.

Nous parlons du phasage de l'intervention de cet artisan compte tenu, notamment, du mal que j'éprouve à mobiliser des gens compétents pour déterminer quoi faire des solives et poutres du plafond de mon futur bureau-bibliothèque. Ainsi que, accessoirement, du montant de ladite intervention.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 15 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Les lattes du terrasson Sud ce matin, à la reprise du chantier :

15 janvier 2020.


Par ailleurs, je viens d'accepter le devis de Julien ROBVEILLE pour l'éclairage de cette charpente.

En revanche, j'ai reporté la décision sur l'installation de radiateurs électriques d'appoint dans les embrasures des fenêtres de ce que j'appellerai dorénavant la "chambre des tourtereaux". En effet, j'ai besoin de connaître enfin les préconisations du bureau d'études, censé reprendre aujourd'hui l'exécution de ses contrats. Et je souhaiterais que l'architecte du patrimoine me conseille sur le traitement à réserver aux poutres et solives qui soutiennent le sol de cette pièce (autrement dit du plafond de mon futur bureau-bibliothèque, à l'étage en-dessous).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 22 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
0
A propos de l'éclairage de la poutraison du colombier :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 22 janvier 2020 19:41
À : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Objet : RE: démarrage

Très bien pour ce lundi.

Mais je serai absent le mardi et le jeudi de cette même semaine. Et très pris le vendredi.

(Cette semaine sera exceptionnellement chargée pour moi).

Donc à vous de voir si cela est compatible avec votre façon de procéder.

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De : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Envoyé : mercredi 22 janvier 2020 19:19
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : démarrage

Bonsoir Mr Fourcade,
Je reçois les spots pour faire les essais en milieu de semaine prochaine.
Nous pourrions démarrer le lundi 3 février.
Est-ce que cela vous convient ?

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 30 Janvier 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
0
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 30 janvier 2020 06:09
À : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Objet : RE: démarrage

Cher Monsieur,

J'ai un imprévu : mon employé s'est blessé, est en arrêt de travail et ne sera pas de retour avant le début mars.

Or j'avais prévu qu'il profite des quelques jours de répit que vous lui accordiez, ce qui lui permettait de terminer son travail de menuiserie sous les combles du colombier. Là, le travail est interrompu (il reste environ deux terrassons sur quatre à traiter), les poutres et les chevrons sont poussiéreux à la suite de son intervention, ainsi que les lattes de parquet posées entre les chevrons.

Ne serait-il pas préférable de repousser votre intervention afin de lui permettre de terminer la sienne en vous laissant place nette ? Si oui, cela signifierait que votre intervention serait retardée de six semaines.

Merci de me dire si vous pouvez vous adapter à cette nouvelle situation ou si vous vous en tenez au planning précédent.

Bien cordialement,

PPF

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De : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Envoyé : lundi 27 janvier 2020 08:41
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: démarrage

Bonjour Mr Fourcade,
Je pense qu'il serait plus judicieux que vous soyez présent pendant notre première intervention (2-3 jours).
Peut-on décaler d'une semaine et prévoir le 10-11-12 février ?
Bien cordialement
Julien Robveille

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Le mer. 22 janv. 2020 à 19:41, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Très bien pour ce lundi.

Mais je serai absent le mardi et le jeudi de cette même semaine. Et très pris le vendredi.

(Cette semaine sera exceptionnellement chargée pour moi).

Donc à vous de voir si cela est compatible avec votre façon de procéder.

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De : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Envoyé : mercredi 22 janvier 2020 19:19
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : démarrage

Bonsoir Mr Fourcade,

Je reçois les spots pour faire les essais en milieu de semaine prochaine.
Nous pourrions démarrer le lundi 3 fevrier.
Est-ce que cela vous convient ?

Cordialement.

Julien Robveille

S.A.R.L. ROBVEILLE ELECTRICITE
Tel : 02-31-73-63-70
Fax : 02-31-73-86-50
Portable : 06-89-14-55-79
www.robelec.com

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Février 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 5 février 2020 17:07
À : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Objet : RE: démarrage

Cher Monsieur,

Je réponds à votre S.M.S. d'avant-hier.

Comme demandé, je vous envoie un état des lieux :

- les brisis ont été entièrement parquetés,
- 2 des 4 terrassons aussi ; au moment de son accident, Igor travaillait sur le terrasson Est dont il avait parqueté environ 40 % de la surface.


Bien cordialement,

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 30 janvier 2020 06:09
À : Julien Robveille <jrobveille@gmail.com>
Objet : RE: démarrage

Cher Monsieur,

J'ai un imprévu : mon employé s'est blessé, est en arrêt de travail et ne sera pas de retour avant le début mars.

Or j'avais prévu qu'il profite des quelques jours de répit que vous lui accordiez, ce qui lui permettait de terminer son travail de menuiserie sous les combles du colombier. Là, le travail est interrompu (il reste environ deux terrassons sur quatre à traiter), les poutres et les chevrons sont poussiéreux à la suite de son intervention, ainsi que les lattes de parquet posées entre les chevrons.

Ne serait-il pas préférable de repousser votre intervention afin de lui permettre de terminer la sienne en vous laissant place nette ? Si oui, cela signifie que votre intervention serait retardée de six semaines.

Merci de me dire si vous pouvez vous adapter à cette nouvelle situation ou si vous vous en tenez au planning précédent.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (du 6 février à 9 h 30) : Julien ROBVEILLE vient de m'informer que, compte tenu de l'avancement du travail d'Igor, il souhaite commencer son intervention le 24 février. Je lui ai donné mon accord.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 2 Mars 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Electricité - Aile "de la belle-mère"
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Assisté d'un compagnon et d'un apprentis, Julien ROBVEILLE a commencé ce matin à électrifier le deuxième étage du colombier :

2 mars 2020.

2 mars 2020.

Il y aura six spots, d'un premier modèle, orientés vers le bas...

2 mars 2020.

... et quatre autres, d'un modèle plus important, vers le haut :

2 mars 2020.

Il est prévu deux jours de chantier dans l'immédiat, plus une nouvelle intervention quand Igor aura fini son travail entre les chevrons :

2 mars 2020.