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Mots-clés : pintade

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Hier, en fin de journée, alors que l'équipe de Roland BOUSSIN, qui ne reviendra pas aujourd'hui, rangeait le chantier avant de partir, je suis remonté dans les échafaudages du colombier où Franck LIEGEAS m'a fait part de ses constats et appréciations sur l'état de la charpente. Comme il employait un vocabulaire technique trop pointu pour moi, je lui ai rapidement passé mon appareil photos afin qu'il photographie ce qui lui paraissait important.

12 mai 2015.

Il a été entendu que, sur la base de mes photos et des siennes, il rédigerait ses appréciations. Dès que son rapport me parviendra, je le mettrai en ligne sur notre site favori.

En attendant, voici la plupart de ces photos, dans l'ordre où elles ont été prises et avec mes propres commentaires. Comme on le verra, avec moi tout n'est pas toujours d'une technicité parfaite. En plus, je ne suis même pas capable de savoir si certaines photos que je vais présenter ne devraient pas être tournées afin que le haut des pièces de bois photographiées figure bien en haut de la photo. C'est vous dire.

Quoi qu'il en soit, s'il est une chose dont je suis sûr, c'est que la journée d'hier a été marquée par le retour sur notre chantier de Régis, compagnon-charpentier de Roland BOUSSIN que j'appelle régulièrement "le chéri de ces dames" puisqu'il mérite, d'après ce que l'on me rapporte (je n'ai pas eu l'opportunité de le vérifier à ce jour, bien que je le connaisse depuis de nombreuses années mais je suis sans doute beaucoup trop sage pour cela) le sobriquet de "marteau-piqueur de l'amour". Le voici d'ailleurs au travail avant...

12 mai 2015.

... puis après qu'il ne réalise qu'une fois de plus, il va être immortalisé par notre site favori pour la plus grande joie de ses groupies rameutées pour la circonstance :

12 mai 2015.

Dans le même registre technique, je note, tant que j'en suis capable, que, d'après Franck, les petits œufs bleus aperçus à côté de l'angle Sud-Ouest de la sablière, sont des œufs de merle, de même que le nid repéré avant-hier. Les plumes vues à proximité pour rendre ce nid douillet sont de poule, de pigeon ramier (la grande) ou de pintade (celle avec des points blancs) et non de geai. Quant à ma "souris rousse", ce serait en fait un mulot dont les fouines sont friandes. Enfin, le petit crâne détecté hier...

12 mai 2015.

... serait également de merle. Merci Franck !

Revenons-en à nos moutons ! Sous les trois lucarnes, la sablière est largement pourrie. On le savait déjà pour la lucarne Sud mais c'est vrai également pour les deux autres bien que dans une moindre mesure, qu'il s'agisse de la lucarne Sud-Est...

12 mai 2015.

... ou de la Nord-Est :

12 mai 2015.

A ce stade, je me contente, pour l'essentiel, de mettre les photos en vrac :

- haut de la lucarne Nord-Est enlevé ; remarquez les encoches sur une pièce de bois rapportée il y a longtemps ; ces encoches étaient creusées pour permettre de clouer des clous trop courts ; la grande pièce de bois horizontale a donc été bricolée il y a longtemps ; en fait, deux pièces de bois ont été juxtaposées tout autour du bâtiment, lorsque (hypothèse suite à ce premier indice) la toiture a été mansardée (mi-XVIIIème vraisemblablement, lorsque le charpentier Jean MIDY est intervenu sur les écuries en y laissant sa marque, comme sur la cave) :

12 mai 2015.

Photo prise près de l'endroit précédent :

12 mai 2015.

Le même angle Nord-Est , ce qu'on y voit n'est vraiment pas frais :

12 mai 2015.

Angle Sud-Est vu de l'Est ; même système d'encoches :

12 mai 2015.

Idem au Sud-Sud-Ouest :

12 mai 2015.

Idem à l'Ouest-Sud-Ouest :

12 mai 2015.

Angle Nord-Ouest :

12 mai 2015.

Pièce de bois de réemploi attaquée par la mérule et pourrie, censée soutenir le poinçon Ouest :

12 mai 2015.

Hauts de poinçons pourris (là, je ne sais plus comment la première photo suivante doit se regarder) :

12 mai 2015.

12 mai 2015.

12 mai 2015.

Arbalétrier Sud-Est (j'ai un doute) pourri vu de dessus :

12 mai 2015.

Vu intérieure prouvant, dixit Franck, que le haut de la charpente n'est pas d'origine ; il est d'avis et expliquera dans son rapport que la charpente d'origine n'était pas mansardée mais droite avec un point de convergence unique des arbalétriers :

12 mai 2015.

Poinçon pourri vu du dessous (si je ne me trompe pas) :

12 mai 2015.

Bas du poinçon Est, pourri sur toute sa hauteur :

12 mai 2015.

Autre preuve de la mansardisation tardive (mi-XVIIIème) d'une charpente initialement droite :

12 mai 2015.

L'attaque de mérule vue sous un autre angle :

12 mai 2015.

L'autre "soutien-poinçon" (je ne connais pas le nom) en bois de réemploi sous-dimensionné, preuve d'un bricolage tardif (vers 1850 ?) :

12 mai 2015.

Pièce de bois particulièrement mal en point, sur le versant Ouest :

12 mai 2015.

Même secteur :

12 mai 2015.

Jet d'eau en altitude, autre preuve que la charpente était encore droite à l'époque de la construction de la cheminée (début XVIIIème d'après moi, lorsque le bas du colombier a été rendu habitable ; cf la disparition des boulins sur les deux étages bas et les linteaux des ouvertures de ces niveaux) :

12 mai 2015.

Encore merci pour ces premiers éléments de diagnostic, Franck ! Ici, pour terminer ce message, un arbalétrier H.S., à l'angle Sud-Est si je ne me trompe pas :

12 mai 2015.

Dans le numéro de "Ouest-France" du jour, il est question d'un de mes anciens élèves à l'E.N.A. (si mes souvenirs sont bons, je lui enseignais les "Problèmes budgétaires et fiscaux" alors que je venais juste de recevoir mon diplôme, ce qui ne manquait pas d'un certain culot de ma part ; et d'une certaine audace de la part du directeur des études qui m'avait propulsé là) :

D'après l'article, il serait reproché à ce haut fonctionnaire en position d'activité d'avoir oublié son devoir de réserve en s'exprimant, à propos d'un projet de loi actuellement débattu au Sénat, dans les termes suivants : "Le projet de loi bioéthique porte une rupture anthropologique majeure" et "A titre personnel, je ne suis pas sûr que cette loi favorise les repères auxquels aspirent nos concitoyens".

Je fais l'hypothèse que les propos ainsi rapportés sont exacts et expriment convenablement ce que ce préfet de région a dit en public.

Moi qui me considère libre d'exprimer, dans le cadre fixé par la loi, et en vertu d'une liberté fondamentale, telle que garantie par la Constitution, toute opinion sur quelque sujet que ce soit, je voudrais dire ce que je pense de cette affaire où un important élu local a souhaité que ce haut fonctionnaire soit démis de ses responsabilités.

La première phrase reprochée, si elle ne me paraît pas nécessairement tournée de façon optimale, c'est-à-dire compréhensible par tout un chacun, me semble exacte, donc inattaquable, s'il s'agit des questions éthiques tournant autour de l'autorisation de la P.M.A. ou de la G.P.A. En effet, dès lors que les progrès de la science rendent possibles des situations que la nature n'avait pas générées spontanément jusqu'alors, il y a bien, à mon sens, possibilité d'une évolution forte et rapide des mentalités. La question, particulièrement délicate, serait de savoir si autoriser des travaux pratiques autour de telles nouvelles compétences est souhaitable ou non. Voire, plus profondément, d'évaluer si de nouvelles réglementations seraient applicables, si tant est que l'on sache quelles règles édicter.

Sensible aux thèses défendues en la matière par divers bons auteurs, dont mon ancienne "amie Facebook" Marie-Anne FRISON-ROCHE, j'ai longtemps été persuadé que permettre aux lois du marché, "a fortiori" du marché noir, d'étendre leur emprise aux mécanismes de la procréation ne pouvait aboutir qu'à des catastrophes, en termes d'éthique personnelle comme de civilisation.

Mais la lecture récente de la partie écrite par Laurent ALEXANDRE du "livre à quatre mains" sur l'intelligence artificielle a ébranlé ces convictions. L'application que fait cet auteur de l'extrapolation dans le temps de la loi de MOORE sur la croissance de la puissance de calcul des ordinateurs, plus le constat que le monde chinois ne s'embarrasse pas des mêmes interdits moraux que les Européens font, à eux deux, que l'on doive, semble-t-il, admettre qu'en tout état de cause, il devient nécessaire de s'accoutumer à de tels "glissements de l'espèce humaine" (j'appelle cela ainsi, faute de meilleure expression qui me vienne sous la plume) parce qu'ils sont d'ores et déjà engagés avec force et efficacité par d'autres.

La seconde phrase reprochée me paraît tout autant admissible en ce qu'elle exprime une opinion personnelle, clairement déclarée comme telle.

Mais le reproche fait à ce haut fonctionnaire ne porte pas, me semble-t-il, sur la justesse de ses propos mais sur le fait qu'il les a exprimés de façon publique, dans une circonstance officielle où c'est bien en qualité de préfet de région qu'il a parlé.

A mes yeux, c'est là et uniquement là que peut être fondé un reproche justifiable : avoir fait état en public d'une opinion personnelle sur un sujet délicat faisant débat.

Pour autant, le comportement en question justifierait-il une sanction grave ?

En ces temps où les pintades volent bas, il est imaginable qu'en haut lieu, on veuille faire un exemple. Ne serait-ce que pour montrer qu'un principe général est appliqué dont on puisse rapidement, et dans un tout autre contexte, se prévaloir.

Je suppose que la suite des événements pourrait nous l'apprendre assez vite, bien que je pense que les plus hautes autorités de l'Etat ont su faire preuve d'une extrême patience quand elles l'estimaient nécessaire dans d'autres circonstances où garder son sang-froid était essentiel.

Mais que cela ne nous empêche pas de réfléchir, aussi bien et sincèrement que nous le pouvons, au fond du débat, c'est-à-dire aux perspectives que nous ouvre et aux dangers pour l'espèce humaine que peut recéler le transhumanisme. Sans parler des risques de débordement et d'assujettissement irréversible d'Homo Sapiens par des robots.

P.S. : (Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 23 janvier 2020 19:12
À : Dominique Lemaire
Objet : Pour avis

Cher Domino,

J'aimerais bien qu'en ta qualité de brillant archicube, tu donnes ton avis sur mes élucubrations : https://www.chaslerie.fr/blog/message/47868

Amitiés,

PPF

(Fin de citation)
«A-t-on le droit de critiquer le choix d’Aya Nakamura sans être taxé de raciste? »

N.D.L.R. : Je partage pleinement les points de vue exprimés dans cet article.

J'avoue avoir été un peu gêné lorsque Jean DUJARDIN avait pédalé dans je ne sais plus quel stade en tenue franchouillarde.

Qu'Amélie OUDEA-CASTERA, la nouvelle pintade (après Ségolène ROYAL) ait cru devoir défendre cette chanteuse en fredonnant "Djadja" donne une nouvelle idée de la courtisanerie dans laquelle se complaît le Jupiter-de-mes-deux.

Lisons en effet les paroles de "Djadja" :

Aya Nakamura, oh yeah

Hello papi, mais qué pasa? (Mais qué pasa?)
J'entends des bails atroces sur moi
À c'qu'il paraît, j'te cours après? (Oh yeah, yeah, yeah)
Mais ça va pas? mais t'es taré, oh ouais
Mais comment ça, le monde est tit-pe? (Eh)
Tu croyais quoi, qu'on s'verrait plus jamais?
J'pourrais t'afficher mais c'est pas mon délire
D'après les rumeurs, tu m'as eue dans ton lit

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja

J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Tu penses à moi, j'pense à faire de l'argent
J'suis pas ta daronne, j'te ferai pas la morale
Tu parles sur moi, y a R
Crache encore, y a R
Tu voulais m'avoir, tu savais pas comment faire
Tu jouais un rôle, tu finiras aux enfers
"T'façon, Nakamura, je l'ai couchée"
Le jour où on se croise, faut pas tchouffer
Tu jouais le grand frère pour me salir
Tu cherches des problèmes sans faire exprès
Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses

Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses
Putain, mais tu déconnes
C'est pas comme ça qu'on fait les choses

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça

Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça
Oh, Djadja
Y a pas moyen, Djadja
J'suis pas ta catin, Djadja, genre, en catchana baby, tu dead ça

Oh, Djadja, j'suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, yeah
Oh, Djadja, j'suis pas ta catin, Djadja, non
Y a pas moyen, Djadja, ouais, en catchana baby, tu dead ça, d'après toi

En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby
En catchana, baby tu dead ça, en catchana, baby

Oh, Djadja
Oh, Djadja
Oh, Djadja


Source : LyricFind
Paroliers : Alois Zandry / Aya Danioko / Guy Zire / Yohan Batantou
Paroles de Djadja © Universal Music Publishing Group, Warner Chappell Music France

A mes yeux, ni plus ni moins que du très bas de gamme.

Une question : comment pourrait-on descendre encore plus bas ?