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Mots-clés : Vaidière

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M. François Lamer m'a donc transmis un document de 7 pages dactylographiées, que je vais commenter ici, dans la mesure où il apporte des informations précises, certaines inédites pour moi, à propos de l'histoire de la Chaslerie.

Ce document s'intitule "Notes généalogiques sur la famille Lévêque et plusieurs familles qui lui sont alliées, écrites d'après de vieux livres et papiers de famille de 1854 à 1893 par Charles Lévêque". Il y est précisé que le document original avait été recopié en 1854 par le frère de Charles Lévêque puis recopié par une descendante de celui-ci mais qu'il a disparu lors des bombardements de 1944.

Je ne suis pas en mesure de valider la qualité de ce document. Je me contenterai donc de digressions à l'occasion de l'évocation des informations que j'y ai relevées.

1 - La première impression que je retire de ce document, c'est la confirmation de l'étonnante stabilité, à travers les siècles, du tissu social de ce coin du bocage normand.

Selon le document, le premier membre de la famille Lévêque dont on ait conservé la trace est Jehan Le Vesque, décédé en 1568, soit 30 ans avant l'édification du bâtiment principal de la Chaslerie, tel que nous le connaissons aujourd'hui.

Or, nombre des autres noms de familles cités dans le document me sont familiers car ce sont, aujourd'hui encore, les noms de voisins de la Chaslerie.

A travers le document, on perçoit également, outre la profondeur de l'enracinement local, l'opiniâtre permanence ou la patiente progression sociale de plusieurs de ces familles. Ainsi, le premier Ruault cité est un notaire actif dans le secteur en 1590 et logé à la Vaidière, sur le territoire de la commune voisine de Saint-Mars d'Egrenne ; or, j'ai rencontré dernièrement un Ruault du Plessis Vaidière, étudiant en notariat à Rennes. De même, la branche de la famille Roulleaux apparentée aux Lévêque descend notoirement d'un révolutionnaire actif, représentant du Directoire à Domfront, ainsi d'ailleurs que de Beaumarchais ; cette branche a produit depuis deux siècles, sous le nom de Roulleaux-Dugage, nombre de préfets et de parlementaires défenseurs des bouilleurs de cru ; elle a même rejoint la noblesse pontificale, avec le titre de baron, à ma connaissance durant la première moitié du XXème siècle.

Dans un tel contexte, je mesure à quel point le méridional que je suis, sans attaches familiales locales, peut apparaître différent ("horsain, comme ils disent). Je serais d'ailleurs curieux de savoir si la greffe prendra à un stade de ma descendance, parmi les futurs propriétaires de la Chaslerie (on voit là que je me considère volontiers comme le premier - par l'ancienneté - représentant de la troisième famille propriétaire de la Chaslerie, après les Ledin et les Lévêque).

2 - Il est signalé que l'ancienne orthographe du nom de la famille Lévêque, soit Le Vesque, se retrouve dans la dénomination encore en vigueur au XIXème siècle de "Baillée aux Vesques" pour désigner la terre de la Baillée, à Saint-Mars-d'Egrenne (Orne), appartenant encore à la famille Lévêque du temps de l'auteur du document.

Je me suis rendu il y a huit jours aux lieux-dits évoqués dans ce document, à savoir la Baillée Auvêque (orthographe contemporaine sur mon plan de l'I.G.N.), la Source et la Jarrière, trois "villages" limitrophes sis sur le territoire de Saint-Mars d'Egrenne.

On peut imaginer que le paysage en était riant tant qu'il demeurait bocager. Aujourd'hui, là comme ailleurs, hélas, l'électrification des campagnes et l'agriculture intensive ont altéré le site. Ce dernier est par ailleurs plaisant puisqu'il fait face à la commune de Torchamp, de l'autre côté de la vallée, encaissée à cet endroit, de la Varenne . L'Egrenne conflue légèrement en amont des lieux-dits en question.

Certains membres de la famille aiment, semble-t-il, rappeler l'ancienne orthographe de leur nom.

Ainsi, un témoin direct m'a raconté qu'Henri Lévêque (le père de mon vendeur), qui est enterré dans la chapelle de la Chaslerie, se présentait toujours comme "Henri Lévêque, grand L, petit e, grand V".

De même, il ne m'a pas échappé que le panneau qui signale l'arrivée à la Baillée Auvêque porte actuellement le nom de "Baillée aux Vesques" mais que ce panneau n'est pas du modèle de type D.D.E. des panneaux des "villages" voisins.

3 - Me promenant à proximité des bâtisses en question, je me suis rendu compte de leur médiocre état d'entretien, mais aussi de l'ancienneté de certains bâtiments qui ne sont pas en parpaings.

En fait, le bâtiment le plus intéressant, de qualité manoriale, est le logis de la Jarrière, dont une porte et une fenêtre sont ornées d'un linteau en accolade, et une fenêtre d'une grille fleurdelisée (je m'étonne d'ailleurs que ce logis ne soit pas cité dans l'ouvrage de Bernard Desgrippes, "Châteaux et manoirs du Domfrontais"). J'ai soigneusement observé les granits qui ont servi à la construction de la Jarrière, sans doute au début du XVIème siècle compte tenu de ces accolades.

Car, il y a une quinzaine d'années, lors d'une "Journée du patrimoine", un visiteur m'avait signalé, et je l'avais noté, que l'imposante cheminée qui orne la salle à manger du bâtiment principal de la Chaslerie provenait de la "Jarrière à Torchamp". Il s'agit à l'évidence, vu la couleur du granit, de la Jarrière à Saint-Mars d'Egrenne. Je suppose que cette transplantation est postérieure à l'incendie de 1884 évoqué sur ce site internet. Sans doute a-t-elle été organisée par Henri Lévêque, lors de ses travaux des années 1950 ou 1960.

4 - Le document transmis par M. Lamer donne la réponse à la question qu'il avait posée ici.

Une note en bas de page (la note 11) indique en effet qu'Eugène Constant Léveque Lepail "se fit inhumer dans la chapelle de la Challe ? propriété qui appartenait à sa femme par sa famille Roulleaux la Vente (appartient encore à une branche Levêque, cousins)".

Il s'agit à l'évidence de la chapelle de la Chaslerie où reposent, comme en témoignent ici des photos de la "Photothèque", Eugène Constant Lévêque et son épouse Sophie Adélaïde Roulleaux.

Or, jusqu'à cette indication, j'ignorais l'identité des propriétaires de la Chaslerie après sa vente, comme Bien National, en 1794, à "Roland Gaupuceau et Goupil". Il serait sans doute intéressant, dans le prolongement de cette information, d'expliciter le lien, s'il existe, entre l'un ou l'autre de ces personnages et la famille Roulleaux-Dugage.

5 - Le même document signale qu'une fille d'Eugène Constant Lévêque et de Sophie AdélaÎde Roulleaux, prénommée Eugénie Marie et née en 1821, épousa en 1842 "Louis André Goupil dont les parents riches propriétaires habitaient la commune de Tessé la Madeleine".

Grâce au document transmis par M. Lamer, je comprends que c'est cette Eugénie-Marie Goupil qui a été la marraine, alors âgée de 70 ans, de la cloche de la chapelle de la Chaslerie, ainsi que l'atteste l'inscription sur cuivre que nous avons retrouvée lors de la restauration de la couverture de la chapelle (il y a cependant un doute sur la date, donc sur l'âge de la marraine, car la photo sur laquelle on l'a lue est très floue ; voir "Photothèque" ; il faudrait remonter dans le clocher pour en avoir le coeur net). J'en déduis que c'est peut-être son père qui avait été à l'origine des décors peints au XIXème siècle autour des deux fenêtres de la chapelle. Ainsi, comme moi, ce prédécesseur aurait veillé de son vivant à restaurer la chapelle où il comptait être enterré le plus tard possible. Et l'on sait que, comme son épouse, il est mort à un âge tout à fait respectable.

Quant à la famille alliée Goupil, l'important château néo-Renaissance de Tessé-la-Madeleine, qui sert aujourd'hui d'hôtel de ville à Bagnoles-de-l'Orne, a été construit ainsi que le relate un numéro spécial de "l'Illustration" daté de 1927.

Je cite le passage : "En 1850 fut aussi édifié le château de Tessé-la-Madeleine ou de la Roche-Bagnoles par M. Goupil. Grande bâtisse, sans vrai style, mais admirablement situé, qui abrita longtemps une des plus grandes fortunes de France (...)".

Comment ce M. Goupil avait-il bâti cette fortune ? Quels étaient ses liens avec l'acheteur de la Chaslerie, Bien National de 1794 ? Ce serait sans doute intéressant de l'apprendre.

Quoi qu'il en soit, une nouvelle fois, ce site internet vient de montrer son utilité pour faire remonter à la surface des informations pertinentes sur la Chaslerie et son histoire.

Bien des points demeurent obscurs mais je ne doute pas qu'avec l'aide des visiteurs du site, nous aurons encore de belles occasions de progresser ensemble dans cette recherche et cette connaissance.

A cet égard, je précise qu'au delà de ces considérations partielles, et peut-être partiales, sur les familles qui ont, de longue date, connu la Chaslerie, la priorité pour moi est sans conteste de me procurer des vues de la Chaslerie avant l'incendie de 1884. En effet, depuis que j'en ai fait l'acquisition, je rêve d'en relever les lucarnes qui, selon moi, surmontaient les fenêtres du premier étage du bâtiment principal. Compte tenu de la similitude des constructions, je pense à ce stade de mes informations que ces lucarnes devaient ressembler à celles du manoir de Chaponnais à Domfront, détruit lors des combats de la Libération mais dont il reste des cartes postales anciennes. Ce devaient donc être des lucarnes d'un modèle assez simple.
J'ai trouvé aux archives départementales de l'Orne, dans le fonds "Durand de Saint-Front", un cahier de 96 pages bizarrement annoté.

En voici d'abord la couverture puis la première page du texte :

Couverture du cahier du "fonds Durand de Saint-Front".

Page 1 du cahier du "fonds Durand de Saint-Front".

Il s'agirait donc d'un inventaire préparé pour un LEDIN en 1760 des archives de sa famille. Mais il y a été ajouté que cet inventaire est passé entre les mains de CAILLEBOTTE qui y a porté des annotations. Cet ajout au crayon est donc postérieur à CAILLEBOTTE mais je n'en sais à ce stade pas plus sur le scripteur.

De CAILLEBOTTE, je sais que ce Domfrontais vivait dans la première moitié du XIXème siècle ; c'était peut-être un droguiste. Or j'ai également trouvé, aux archives de l'Orne et dans ce même "fonds Durand de Saint-Front", une note rédigée par "Me Ch. du PLESSIS" (sans doute un homme de loi de la famille du PLESSIS VAIDIERE dont j'ai rencontré des descendants chez leur cousine Marie-Françoise LAURENSOU) qui comporte des indications précieuses : le cahier en question contiendrait, en page 84, une note de ce CAILLEBOTTE indiquant que "plus de 200 titres de la famille LEDIN sont tombés entre ses mains, par suite d'une vente faite par l'administration en 1825" :

Note de Me Ch. du PLESSIS, trouvée dans le "fonds Durand de Saint-Front".

J'observe que cette note porte, dans son coin supérieur gauche, une mention manuscrite "Ledin", inscrite au crayon, de la même écriture que la mention au crayon sur le cahier de 96 pages (voir en particulier la façon de former la lettre "d").

Il est donc tentant d'imaginer que cette mention au crayon a été portée par Jean DURAND de SAINT-FRONT lui-même, ou l'un des éventuels collaborateurs de son entreprise de dispersion de manuscrits à l'œuvre de Paris au milieu du XXème siècle.

Or, si l'on se rapporte à la lettre de Jean DURAND de SAINT-FRONT à Henri LEVÊQUE mise en ligne par mon précédent message, il est clair que le premier est l'auteur des annotations au crayon sur le cahier de 96 pages (voir en particulier ses "d").

Voici qui est intéressant. Nous pouvons désormais faire le partage, dans le cahier de 96 pages en question, entre les annotations de CAILLEBOTTE et celles du commerçant en vieux papiers.

Ceci devrait nous permettre d'évaluer, en première analyse, la crédibilité à accorder à ceux qui, notamment depuis la dispersion révolutionnaire du chartrier de la Chaslerie, se sont piqués de porter des jugements prétendument définitifs sur l'ancienneté de la noblesse des LEDIN.

Je ne suis pas informé que cet effort critique ait eu lieu à ce jour. J'aurais plutôt l'impression que des érudits auto-proclamés ont fait faire boule de neige à des appréciations d'autant plus négatives que le temps passait depuis l'extinction de la lignée des LEDIN, de ce fait hors d'état de se défendre, ce qui était bien commode pour tous les esprits malveillants.

Voici qui me motiverait assez pour reprendre le flambeau !
Cher Monsieur,

Nous nous sommes rencontrés chez nos amis Laurensou. C'était avec un grand plaisir.

Vous m'avez fait visiter il y a quelques années votre magnifique manoir. Ce fut passionnant.

J'ai retrouvé dans mes archives une lettre de Gabriel Hubert où il indique que les Ledin de la Chalerie avaient été seigneurs de Landelle (petit fief situé à Clécy dans le Calvados ayant appartenu aux de Croisilles). J'ai scanné cette lettre, comment vous l'envoyer ? Par votre adresse mail ? Malheureusement, l'année de cette lettre n'est pas indiquée (ce 20 avril simplement).

Etes-vous toujours intéressé par mon ouvrage sur les Ruault de la Vaidière en Saint Mars ? Une nouvelle édition va sortir, revue, complétée et corrigée. Vous avez dû voir la première édition chez les Laurensou.

J'espère vous revoir prochainement.

Bien cordialement.
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@ Alain du PLESSIS VAIDIERE :

Cher Monsieur,

Je me souviens très bien de cet excellent déjeuner chez votre cousine et en présence de votre fils, étudiant en notariat conformément, ai-je retenu, à une très longue tradition familiale.

Bien sûr, je suis toujours intéressé par l'ouvrage sur votre généalogie.

Quant aux CROISILLES, il y eut en effet une alliance avec les LEDIN, précisément entre Pierre V LEDIN (1666-1715) et Catherine Thérèse de CROISILLES, morte en 1722 ; Pierre LEDIN était l'arrière-petit-fils de René LEDIN qui construisit (ou, selon moi, reconstruisit) le logis de la Chaslerie ; il était "seigneur de la Chaslerie et de la Haute Chapelle, seigneur et patron haut-justicier des paroisses de Clécy, la Villette, Saint-Lambert, Saint-Rémy, baron de la Landelle, capitaine au régiment de la Reine-Infanterie et lieutenant des maréchaux de France". A noter que, dans le granit du linteau de la cheminée de mon bureau (c'est-à-dire au 1er étage de la tour Louis XIII) est gravé l'écu de l'alliance entre les LEDIN et les CROISILLES (reproduit sous l'onglet "Visite" de ce site internet).

Pour l'envoi de la lettre, vous pouvez la scanner et me transmettre le résultat à mon adresse de courriel (penadomf "at" msn.com). Je m'occuperai ensuite de la mise en ligne sur ce site.

A bientôt, j'espère, quand vous serez de retour par ici.

Cordialement.

Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE
rédigé le Mardi 28 Février 2012
Généalogie et sagas familiales - Annonces - Ailleurs - Désultoirement vôtre !
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Cher Monsieur,

Si vous êtes toujours intéressé, je tiens à votre disposition un exemplaire de mon travail sur les Ruault de la Vaidière en Saint Mars (en noir et blanc car la couleur est trop chère) au prix de 60 €, frais d'envoi inclus, ou 55 € sans frais d'envoi. Je dois me rendre prochainement dans l'Orne.

Si vous connaissez autour de vous des personnes aussi intéressées, je peux leur fournir un exemplaire.

Dans l'attente de vos nouvelles.

Bien cordialement.

N.D.L.R. : D'accord pour un exemplaire. Dites-moi quand vous passez par ici. Cordialement. PPF

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 15 Mars 2012
Généalogie et sagas familiales - Annonces - A la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
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On sait que les recherches généalogiques de Marie-Françoise LAURENSOU l'ont amenée à conclure qu'elle et moi étions cousins. Or son cousin Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE, en me remettant l'"Essai historique et généalogique" de 406 pages qu'il vient d'écrire sur sa famille m'a, à son tour, appelé son cousin.

J'ai donc rapidement parcouru son ouvrage pour avoir un aperçu de l'extension de ma parentèle nouvellement révélée.

Eh bien, vous ne le croirez pas, je serais donc cousin des... LEDIN (!) ainsi que des... LEVÊQUE (!!!), les deux familles qui ont possédé la Chaslerie avant moi, et au moins depuis 1598 ! Je compte bien vous raconter comment, lorsque j'aurai pris le temps d'étudier les tenants et les aboutissants de cette connexion pour le moins inattendue, en tous les cas pour moi.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 16 Mars 2012
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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Ces généalogistes sont acharnés ! On l'a vu hier avec les 406 pages qu'a rédigées Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE sur ses ancêtres. J'en ai un nouvel exemple aujourd'hui, avec ce courriel que Dominique CHADAL vient d'adresser à Marie-Françoise LAURENSOU, à propos de leurs recherches désormais conjointes sur les FOURCADE, courriel dont Dominique m'a communiqué la copie :

(début de citation)

Bonjour Marie-Françoise,

A la suite de notre conversation téléphonique de la semaine dernière, je me suis replongée dans les registres paroissiaux de Montaut (Pyrénées Atlantiques). Voici le résultat de mes investigations.

Je repars du couple Jean Caperet, cultivateur (1779-1820) et Jeanne Arramonde (1778-1843). Nous savons que Jeanne Arramonde a pour parents Jean Arramonde et Jeanne Sauqué, mariés à Montaut le 26 février 1759. Malheureusement, l'acte de mariage reste muet sur les parents des époux et il nous faut faire preuve de perspicacité pour remonter à la génération précédente.

Vous avez attiré mon attention sur divers actes de baptême d'enfants issus d'un couple Guillaume Sauqué et Marie Paillassa. Il s'agit bien, à mon avis, des parents de Jeanne Sauqué, voici pourquoi : Jeanne Sauqué, épouse de Jean Arramonde, est décédée le 11 décembre 1791 à Montaut (vue 1791/1801). Elle est enterrée en présence de son mari et, détail intéressant, de son frère aîné Bernard Sauqué.

Or le couple Sauqué-Paillassa a eu au moins huit enfants entre 1724 et 1742, à Montaut :
- Jean, baptisé le 8 février 1724 (vue 502/1801),
- Marie, baptisée le 2 mai 1725 (vue 505/1801),
- Bernard Sauqué, baptisé le 20 avril 1728 (vue 516/1801),
- Jean, baptisé le 24 mars 1730 (vue 521/1801),
- Jeanne Sauqué, baptisée le 19 mai 1733 (vue 532/1801),
- Thérèse, baptisée le 29 août 1736 (vue 542/1801),
- Marie, baptisée le 7 septembre 1739 (vue 568/1801),
- Marie, baptisée le 25 octobre 1742 (vue 611/1801).

Bien entendu, le patronyme connaît des variantes (Seuqué, CeuquéÂ…) , mais il s'agit toujours du même couple.

J'ai également trouvé, en cherchant sur Geneanet que Guillaume Sauqué (appelé Sanqué sur ce site) est né à Montaut le 17 mars 1689 (vue 203/1801), fils de Jean Sauquer et de Jeanne Sarralher, et qu'il est décédé le 20 janvier 1745 (vue 633/1801).

Ce Guillaume Sauqué s'est d'abord marié avec Anne Matardone le 29 avril 1709 à Montaut (vue 461/1801). Dans le même acte, Bernard Matardone épouse une certaine Jeanne Sauquer. La première épouse de Guillaume Sauqué est portée en terre le 21 mai 1722 (vue 498/1801) et il se remarie vraisemblablement entre 1722 et 1724, date de la naissance d'un premier enfant avec Marie Paillassa. Pas de trace du mariage dans les registres de Montaut.

Comme il est dit que Marie Paillassa est originaire de Coarraze, à quelques kilomètres de Montaut (mais à cette époque, le système métrique n'était pas encore en vigueur), j'ai cherché de ce côté-là. Hélas, pas de registres paroissiaux avant 1737 !

Au passage, il est amusant de constater qu'il y a bien un lieu-dit appelé "Sauqué" à Montaut, ortographié Seuquet sur les cartes de Cassini.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Cordialement,

(fin de citation)

Accessoirement, je ne sais pas à quoi correspondent les fractions entre parenthèses après les noms.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 18 Mars 2012
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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J'ai consacré une partie de la nuit à étudier l'ouvrage que m'a vendu Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE, résultat d'un travail à l'évidence considérable. Compte tenu de l'ancienneté de cette famille, de la multiplicité de ses connexions domfrontaises et du soin mis à en conserver ou à en retrouver la trace, cette compilation est d'autant plus utile pour moi que l'ouvrage comporte de nombreuses illustrations (armes des familles en question, photos récentes des manoirs qu'elles ont possédés, plans permettant de retrouver ces lieux "in situ").

Bien entendu, quel que soit le soin mis à rassembler et à classer toutes ces informations, je suis, pour l'essentiel, incapable d'attester leur justesse. S'agissant des LEDIN, je vois cependant que l'auteur a repris, sans aucun commentaire critique, certains des commérages orientés qui ont fleuri par ici depuis l'achat de la Chaslerie comme bien national par une famille à l'évidence bien placée auprès des érudits locaux auto-proclamés. J'ai eu l'occasion de démonter, pièces en main, les affabulations ainsi colportées ; j'ai mis en ligne, sur ce site, le résultat de mes investigations ; je renvoie les personnes intéressées aux premières pages, notamment, de cet onglet.

A titre anecdotique mais peut-être révélateur, je regrette que la deuxième illustration de l'ouvrage (après les armes de la famille de l'auteur) soit présentée, en page 11, comme l'"écusson des anciennes armes de la ville de Domfront peinte sur la principale vitre de la chapelle du château en 1382" sans qu'y soit visible ni que le texte n'indique que l'écu apposé sur la tour de la ville est ni plus ni moins que l'écu des LEDIN. La généalogie des LEDIN est évoquée en pages 104 à 106 principalement, mais aussi à d'autres endroits et d'une façon dont la cohérence devrait pouvoir être facilement améliorée.

S'agissant des LEVÊQUE, ils sont toujours dénommés LEVESQUE dans l'ouvrage où leur généalogie est traitée notamment de la page 50 à la page 54. Je note qu'en 1420, un "Thomas LEVESQUE est cité parmi les meilleurs hommes assurant sous les ordres de MONTGOMERY, la défense du château de Domfront pour le compte des Anglais" ; or c'est un LEDIN qui, 152 ans plus tard, reprit Domfront au camp protestant et captura le MONTGOMERY régicide d'Henri II, roi de France. La connexion entre les LEVÊQUE et le dénommé GOUPIL est clairement explicitée et l'on entrevoit comment une fortune acquise dans des conditions qui restent opaques à mes yeux a pu contribuer longtemps à l'entretien du manoir de la Chaslerie.

Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE, que j'en remercie, vient de me faire parvenir une photocopie de la couverture et des pages 143 à 149 du numéro 450 de "La revue du Touring Club de France" daté de mai 1932. J'en extrais les documents suivants :

- une description de la Chaslerie qui nous apprend que la toiture de la tour Louis XIII s'était effondrée "au cours de l'été 1931" (on pourra se reporter à l'onglet "Travaux" pour avoir une idée du résultat) ; on lira avec intérêt le rendu de l'ambiance de l'époque ; on notera l'expression de "litre" dans la chapelle :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue inédite de la Chaslerie, en 1932 donc, laissant apercevoir, derrière la mare qui se trouvait dans l'avant-cour, le Pournouët alors planté de poiriers ; au bord de la mare, à la bordure droite de la photo, on aperçoit un angle d'un édicule en colombage, aujourd'hui disparu, qui abritait là, m'a-t-on dit, une forge (pour plus de détails, voir la "Photothèque" du site) :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue du manoir de Chaponnais, à l'évidence contemporain de la Chaslerie mais détruit lors des bombardements américains de la gare de Domfront à la Libération, qui nous montre ce que pouvaient être la forme et le volume d'anciennes lucarnes du logis de la Chaslerie :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue de l'ancien pigeonnier de Chaponnais, disparu lors des mêmes bombardements :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

Au verso du document, une date, le 17 mars 1883 (soit un an avant l'incendie qui ravagea le logis de la Chaslerie), et la signature d'un LEVÊQUE :

L'inscription au verso du plan de 1883.

Qui était ce LEVÊQUE ? Si j'interprète ce que je vois, je note que cette signature largement lévogyre est dominée par le souci de ne pas rater l'accent circonflexe, et j'y devine un signe de hauteur dont le signataire devait escompter qu'il soit respecté par autrui comme il lui paraissait justifié. D'après la date, cet ayant-droit de GOUPIL pourrait bien être Charles, "né le 14 juillet 1823, avocat, juge et Président du Tribunal Civil de Vire, (qui) épousa le 26 avril 1864, à Tinchebray, Emilie CHANCEREL", selon l'ouvrage consacré aux RUAULT du PLESSIS VAIDIERE et à leurs alliances.

Le document est un plan aquarellé, très bien conservé, de la Chaslerie et de ses terres environnantes à l'époque. Je viens de le retrouver dans un recoin des boiseries de mon bureau, au premier étage de la tour Louis XIII. Il avait été laissé à l'intention de son successeur, moi en l'occurence, par Brigitte LEVÊQUE lorsque j'ai acheté la Chaslerie, il y a 21 ans.

En haut du plan, un croquis retient mon attention. Il est simplifié puisqu'aucun angle de la cour n'est droit en réalité mais il indique l'affectation des volumes du rez-de-chaussée à l'époque :

Le plan du rez-de-chaussée des bâtiments sur cour en 1883.

Ainsi, le bâtiment Nord abritait alors, exclusivement, une cave et des caveaux. Dans le logis, la salle à manger actuelle était alors la cuisine, tandis que le salon actuel était divisé en deux, avec une salle à manger et une chambre desservis par un couloir qui permettait d'accéder à une bibliothèque, pièce aujourd'hui inhospitalière. De l'autre côté de la cour, dans la tour Louis XIII, la pièce dont je retire actuellement les bûches était alors une seconde cuisine. Ce qu'on appelle aujourd'hui l'écurie avait bien cette fonction mais était alors divisé en deux, avec deux portes sur cour donc. Dans l'"aile de la belle-mère" actuelle, il y avait déjà les deux pièces que nous connaissons mais celle qui sert aujourd'hui de cuisine précaire était alors une cave et celle qui la jouxte (où j'ai déposé mon rameur) était une remise.

Le voisinage immédiat du manoir en 1883.

Dans le voisinage immédiat du manoir, je note particulièrement que le "Pournouët", à l'Est du manoir et entre les douves, était alors qualifié de jardin ; le circuit de l'eau était plus complet qu'aujourd'hui puisque, à la sortie des douves, l'eau se répartissait en deux bras partant d'un endroit différent de l'actuel, dont l'un des deux, aujourd'hui disparu, courait à travers les terres et parallèlement au Baudouët. Je note qu'il y avait bien alors un mur au fond de la douve Nord, celui qui est actuellement en cours de restauration et que j'appelle le "mur Ouest de la douve Nord" ; enfin, je retiens qu'il y avait bien un pont, clairement représenté sur ce plan, pour franchir le ruisseau alimentant les douves, pont dont je voudrais rétablir l'usage si j'arrive jamais à trouver les financements pour restaurer le mur d'escarpe des douves.

Par ailleurs, ce plan lève un mystère pour moi puisque j'avais lu, notamment dans le manuscrit de Louis GRAVELLE (pour les références, voir sous l'onglet "Bibliographie") qu'il y avait, au Tertre Linot une source alimentant l'abreuvoir situé au milieu de la cour du manoir mais je ne comprenais pas de quoi il s'agissait. Voici donc la réponse :

Le mystère résolu de la source du Tertre Linot.

Cette source existe toujours et explique que le jeune Maxime LEBOUTEILLER ait "coulé" le Valtra à cet endroit l'an dernier, en contrebas de l'ancienne carrière qui se trouve au bout de l'"allée principale", alors qualifiée d'Avenue. A la fin du 19ème siècle, cette source alimentait donc un petit ruisseau qui contournait le "petit bois" actuel et longeait les terres de la Thierrière avant de se jeter dans le canal d'arrivée d'eau dans les douves. Pas de trace en revanche, au moins à cette époque, d'une desserte directe de l'abreuvoir le long de l'"allée principale".
J'ai reçu le 28, de Floriane GRIPPON, le courriel suivant :

(début de citation) :

Monsieur Fourcade, bonjour,

Nous sommes actuellement en train de travailler sur l’étude préalable concernant les interventions sur les menuiseries extérieures.

A ce titre, afin d’illustrer plus précisément nos propos, je souhaiterai savoir si vous auriez dans vos archives des cartes postales anciennes et / ou photographies (plus ou moins récentes) des manoirs implantés dans le Domfrontais, contemporains de La Chaslerie (notamment des manoirs de Loraille, la Bouëtte et du château de La Servière).

Cordialement,

Floriane Grippon
Diplômée d'Etat en Architecture - HMONP

B.MAP Sarl d’Architecture
La Brosse - 7, rue des Forges – 27320 Droisy
Tel : 02 32 30 57 97 – Port : 06 08 49 19 85

(fin de citation)

J'ai trouvé en ligne les cartes postales anciennes suivantes de Loraille à Saint-Roch-sur-Egrenne...

Loraille.

... et de la Servière à Céaucé :

La Servière.

J'ai également scanné quelques pages de l'ouvrage de Bernard DESGRIPPES, "Châteaux et manoirs du Domfrontais", édité par "Le Pays Bas-Normand", dont celles-ci sur Loraille...

Loraille.

Loraille.

... et sur La Bouëtte à Saint-Roch sur-Egrenne...

La Bouëtte.

La Bouëtte.

... sur la Servière à Céaucé...

La Servière.

... mais aussi sur d'autres manoirs qui, à première vue, me paraissent intéressants pour l'étude en question, comme Chaponnais à Domfront (qui donne vraisemblablement une idée de ce qu'ont pu être les lucarnes du logis de la Chaslerie avant l'incendie de 1884)...

Chaponnais.

Chaponnais.

... du Bois-Frican...

Le Bois-Frican.

Le Bois-Frican.

... du Bois-Vezin...

Le Bois-Vezin.

Le Bois-Vezin.

... de la Grande Pierre (appartenant actuellement, à ma connaissance, à notre ami François POUGHEOL, architecte du patrimoine)...

La Grande Pierre.

La Grande Pierre.

... et de la Boufferie à Céaucé...

La Boufferie.

La Boufferie.

... du logis des Bordeaux à Lonlay-l'Abbaye...

Le logis des Bordeaux.

Le logis des Bordeaux.

... la Martinière...

La Matinière.

La Matinière.

et Rançon (autre exemple de lucarne) à Rouellé...

Rançon.

Rançon.

... les pavillons d'entrée de la Bérardière (notamment l'ancien)...

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

... et la Maigrère à Saint-Bômer-les-Forges...

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

... Boudé à Saint-Gilles-des-Marais...

Boudé.

Boudé.

Boudé.

... la Goulvendière à Mantilly...

La Goulvendière.

La Goulvendière.

... la Guérinière...

La Guérinière.

La Guérinière.

... et la Vente à Passais-la-Conception...

La Vente.

... la Bonnelière...

La Bonnelière.

La Bonnelière.

La Bonnelière.

... la Vaidière...

La Vaidière.

... et la Véronnière à Saint-Mars-d'Egrenne :

La Vaironnière.

Le tirage-papier de ces photos n'étant pas très clair, Bernard DESGRIPPES passera demain en début d'après-midi à la Chaslerie pour me prêter ses originaux afin que je scanne ceux qui seront utiles à Floriane GRIPON. Bien entendu, si des membres du fan-club ont d'autres photos, qu'ils n'hésitent pas à nous les prêter afin qu'on les mette également en ligne.

Pour conclure, une observation : dans un rayon de 20 km autour de Domfront, Bernard DESGRIPPES a recensé une centaine de manoirs. Or une proportion infime de ceux-ci est protégée au titre de la législation sur les monuments historiques. Je m'en suis aperçu très récemment, alors que j'étudiais si cette richesse patrimoniale pourrait être invoquée dans le cadre d'un probable futur recours contentieux contre l'implantation d'éoliennes. Renseignement pris, il semble que les propriétaires de tous ces monuments répugnent à passer sous les fourches caudines de l'administration. Je n'imaginais pas que la phobie administrative atteignait un tel niveau. Dommage pour la pérennité de ces monuments à mon avis.
Pour préparer mon étude sur les linteaux des fenêtres du 1er étage des manoirs du Domfrontais, il m'a semblé que le plus simple était de suivre l'ordre de présentation de ces bâtiments dans l'ouvrage de Bernard DESGRIPPES, "Châteaux et manoirs du Domfrontais", édité par "Le Pays Bas-Normand". Je me suis attaché à aller prendre des photos de tous ceux qui, à première vue en feuilletant cet ouvrage, me paraissaient présenter un quelconque intérêt pour ce sujet.

N.B. : J'ai pu commettre des erreurs dans mes commentaires sous les photos suivantes. Le cas échéant, prière de me les signaler pour correction.

Le Bois-Frican à Céaucé :

Le Bois-Frican.

Le Bois-Frican.

Le Bois Frican.

(linteaux de bois)

Le Bois Frican.

Le Bois-Vezin à Céaucé :

Le Bois-Vezin.

Le Bois-Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

(linteau de pierre)

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

(linteau de pierre)

Le Bois Vezin.

(linteau de pierre)

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

(linteau de pierre)

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

(linteau de pierre)

Le Bois Vezin.

Le Bois Vezin.

(linteaux de bois sous la sablière)

Le Bois Vezin.

La Boufferie à Céaucé :

La Boufferie.

La Boufferie.

La Boufferie.

La Boufferie.

La Boufferie.

(linteau de pierre)

La Boufferie.

(linteau de bois)

La Boufferie.

La Boufferie.

La Boufferie.

Les Brosses à Céaucé (actuellement en vente) :

Les Brosses.

Les Brosses.

Les Brosses.

Les Brosses.

(mince linteau de bois)

Les Brosses.

Les Brosses.

(linteaux de pierre)

Les Brosses.

Les Brosses.

(minces linteaux de bois)

La Grande Pierre à Céaucé (appartenant actuellement, à ma connaissance, à notre ami François POUGHEOL, architecte du patrimoine) :

La Grande Pierre.

La Grande Pierre.

La Grande Pierre.

La Grande Pierre.

(linteaux de pierre)

La Grande Pierre.

(linteau de bois)

La Jaenière à Céaucé :

La Jaenière.

La Jaenière.

(linteaux de bois)

La Servière à Céaucé :

La Servière.

La Servière.

La Servière.

La Servière.

(le fameux fronton, analogue à celui de la Chaslerie ; celui-ci surmonte une ancienne porte transformée en fenêtre)

La Servière.

La Servière.

La Servière.

(linteau de pierre)

La Servière.

(sablière de bois en linteau)

La Servière.

(sablière de bois en linteau)

La Servière.

(linteau de pierre)

La Teillaie à Céaucé :

La Teillaie.

La Teillaie.

La Teillaie.

La Teillaie.

(linteau de bois)

La Teillaie.

La Teillaie.

(sablière de bois en linteau)

La Teillaie.

(sablière de bois en linteau)

La Teillaie.

La Teillaie.

La Foucherie à La Haute-Chapelle :

La Foucherie.

La Foucherie.

La Foucherie.

(sablière de bois en linteau)

Le logis des Bordeaux à Lonlay-l'Abbaye :

Le logis des Bordeaux.

(linteaux de pierre)

Le logis des Bordeaux.

La Martinière à Rouellé :

La Martinière.

La Martinière.

La Martinière.

(linteau de bois sur ouverture modifiée)

La Martinière.

(linteau de pierre)

La Métairie à Rouellé :

La Métaierie.

La Métairie.

La Métairie.

La Métairie.

La Métairie.

La Métairie.

La Métairie.

Rançon à Rouellé :

Rançon.

Rançon.

Rançon.

(linteaux de pierre)

Rançon.

(linteaux de pierre)

Rançon.

Rançon.

(sablière de bois en linteau)

La Bérardière à Saint-Bômer-les-Forges :

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

(sablière de bois en linteau)

La Bérardière.

(sablière de bois en linteau)

La Bérardière.

(sablière de bois en linteau)

La Bérardière.

(linteau de pierre)

La Bérardière.

La Bérardière.

(sablière de bois en linteau)

La Bérardière.

(linteau de pierre)

La Bérardière.

(linteau de pierre)

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

La Bérardière.

(linteau de bois)

La Maigrère à Saint-Bômer-les-Forges :

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

(linteaux de pierre ou de bois)

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

La Maigrère.

(linteaux de pierre)

La Nocherie à Saint-Bômer-les-Forges :

La Nocherie.

La Nocherie.

La Nocherie.

La Nocherie.

(linteau de pierre)

La Nocherie.

(sablière de bois en linteau)

Boudé à Saint-Gilles-des-Marais :

Boudé.

Boudé.

(linteaux de pierre)

Boudé.

Le Creux à Beaulandais :

Le Creux.

12 septembre 2015,Le Creux.

12 septembre 2015,Le Creux.

(sablière de bois en linteau sur ce manoir très remanié)

12 septembre 2015,Le Creux.

(sablière de bois en linteau)

Dompierre à Mantilly :

Dompierre.

Dompierre.

Dompierre.

Dompierre.

(étroit linteau de bois)

Dompierre.

(étroit linteau de bois)

Dompierre.

La Frénouze à Mantilly :

La Frénouze.

La Frénouze.

(linteaux de pierre)

La Frénouze.

La Goulvendière à Mantilly :

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

La Goulvendière.

(linteau de pierre)

La Goulvendière.

La Guérinière à Passais-le-Conception :

La Guérinière.

La Guérinière.

La Guérinière.

La Guérinière.

(très beau linteau de pierre)

La Guérinière.

La Guérinière.

La Guérinière.

(très beau linteau de pierre)

La Guérinière.

La Guillaumée à Passais-la-Conception :

La Guillaumée.

La Vente à Passais-la-Conception :

La Vente.

La Vente.

La Vente.

La Vente.

(linteaux de pierre)

La Drodaie à Passais-la-Conception :

La Drodaie.

La Drodaie.

La Drodaie.

La Drodaie.

(linteau de pierre)

La Poulardière à Passais-la-Conception :

La Poulardière.

La Poulardière.

La Poulardière.

(linteaux de bois sous sablière)

La Bonnelière à Saint-Mars-d'Egrenne :

La Bonnelière.

La Bonnelière.

La Bonnelière.

La Bonnelière.

La Bonnelière.

(étroits linteaux de bois sous sablière)

La Bonnelière.

La Jostière à Saint-Mars-d'Egrenne :

La Jostière.

La Jostière.

La Jostière.

La Jostière.

(étroit linteau de bois sous sablière)

La Vaidière à Saint-Mars-d'Egrenne :

La Vaidière.

La Vaidière.

(gros linteaux de bois sur ce bâtiment très remanié ; mais on doute, malgré le panneau, qu'il s'agisse de la Vaidière))

La Vaidière.

La Véronnière à Saint-Mars-d'Egrenne :

La Véronnière.

La Bouëtte à Saint-Roch-sur-Egrenne :

La Bouëtte.

La Bouëtte.

La Bouëtte.

La Bouëtte.

La Bouëtte.

(fronton analogue à celui de la Chaslerie)

La Bouëtte.

(linteau de bois)

Loraille à Saint-Roch-sur-Egrenne :

Loraille.

Loraille.

Loraille.

Loraille.

(linteaux de bois)

Loraille.

Loraille.

(fronton analogue à celui de la Chaslerie, hélas dissimulé par des palmiers)

Loraille.

(minces linteaux de bois sous sablière)
Afin d'aider, le cas échéant, Eric YVARD dans ses recherches et puisque, depuis deux semaines, les messages de notre site favori ne sont plus accessibles aux visiteurs dès lors que ces messages ont plus d'un an, je vais me livrer, pour la troisième fois en quelques jours, au travail de bénédictin consistant à me plonger dans les archives de la tour de contrôle. Cette fois-ci, je vais parcourir les messages de l'onglet "Désultoirement vôtre/Archive, histoire, documentation" : il y en a 1 450...

... mais je sais que ceux qui seront utiles ici se trouvent parmi les plus anciens.

A - Sur l'architecture de la Chaslerie :
- les anciennes terres de la Chaslerie avant la Révolution : 21 novembre 2010 ;
- les inventaires révolutionnaires : 27 novembre 2010 et 28 novembre 2010 ;
- l'ancien étang : 21 décembre 2010 ;
- le plan cadastral de 1824 : 26 novembre 2010 et 16 avril 2012 ;
- un plan de 1883 : 14 avril 2012 ;
- les anciens plans cadastraux : 30 octobre 2010 et 16 avril 2012 ;
- les anciennes lucarnes du logis : 12 août 2009 et du même jour et encore du même jour ;
- un cadran solaire de 1813 : 3 octobre 2010 et 4 octobre 2010 et 31 juillet 2012 ;
- l'état des lieux en 1852 : 13 août 2009 ;
- l'incendie de 1884 : 17 août 2009 ;
- de vieux titres de propriété : 2 avril 2011 et 3 avril 2011 ;
- le torchis : 13 novembre 2010 ;
- d'anciennes dépendances et l'ancienne mare : 2 janvier 2011 et du même jour et 3 janvier 2011 et 4 janvier 2011 et du même jour et du 5 janvier 2011 ;
- la taque de la salle-à-manger du logis : 2 décembre 2010 et 19 septembre 2011 et 13 décembre 2014 et 10 novembre 2017 ;
- un conduit de cheminée sur le bâtiment Nord : 31 mai 2016.

B - Sur les anciens occupants de la Chaslerie et leur parentèle :
- les LEDIN : 2 décembre 2010 et 3 décembre 2010 et du même jour et 4 décembre 2010 et 5 décembre 2010 et 6 décembre 2010 et du même jour et 8 décembre 2010 et 9 décembre 2017 ;
- Jacques LEDIN : 20 décembre 2010 ;
- Pierre-François LEDIN : 20 décembre 2010 ;
- un ancien procès de 1667 entre un LEDIN et le prieur de l'abbaye de Lonlay : 28 novembre 2010 ;
- une chicaya du XVIIIème siècle : 19 septembre 2011 ;
- sur Jacques de LESDAIN, collabo : 28 décembre 2010 ;
- les COUPPEL : 20 décembre 2010 et 5 avril 2015 ;
- le fonds DURAND de SAINT-FRONT aux archives de l'Orne : 30 novembre 2010 ;
- sur CAILLEBOTTE, érudit local auto-proclamé : 5 décembre 2010 et du même jour et 16 février 2014 ;
- sur Franck MAUGER : 16 janvier 2011 ;
- la famille du PLESSIS VAIDIERE : 6 décembre 2010 et 9 juin 2011 et du même jour et du 29 mars 2012 ;
- Anne d'ORGLANDES : 1er septembre 2009 et 2 septembre 2009 et 25 février 2018 ;
- Anne Marie CAGNOU : 27 octobre 2009 ;
- Marie-Anne de LEYDIN en 1701 (avec mention du chapelain) : 18 octobre 2009 ;
- une archive de 1723 de la famille de VALLAMBRAS : 29 novembre 2010 ;
- sur GOUPIL, acheteur de Biens Nationaux : 8 décembre 2010 et 3 avril 2011 ;
- la famille LEVÊQUE : 4 avril 2010 et 14 décembre 2010 et 2 avril 2011 et 3 avril 2011 et 17 mai 2011 et 25 mars 2015 et 28 mars 2015 et 30 juillet 2017 ;
- les GOUPIL de Tessé-la-Madeleine : 5 décembre 2010 et 25 mars 2015 et 25 mars 2015 et 26 mars 2015 ;
- les ROULLEAUX : 25 mars 2015 ;
- Henri LEVÊQUE : 6 décembre 2010 et 8 décembre 2010 et 9 décembre 2010 et du même jour et 10 décembre 2010 et 11 décembre 2010 et 12 décembre 2010 et du même jour et 13 décembre 2010 et 14 décembre 2010 et 4 février 2014 et 20 avril 2015 ;
- sur Henri LEVÊQUE, homonyme et fermier : 13 décembre 2010 et 14 décembre 2010 ;
- François LEVÊQUE : 14 décembre 2010 et 15 décembre 2010.