Il s'agit de la photo la plus ancienne de la cave dont on dispose. Elle a été prise de la ferme et vers le Sud-Est. On aperçoit la cave à l'arrière-plan, avec le poulailler qui la flanquait à l'Ouest. On note également la présence d'un bâtiment blanc (peut-être une ancienne grange).
La cave, telle qu'on l'a découverte lors des terrassements de l'été 1991. Elle était précédemment dissimulée par des arbustes et des ronces. Photo prise de la toiture de la tour Louis XIII et vers le Sud-Ouest.
Le projet de restauration de la cave a été lancé dès l'achat du manoir. A l'époque, il était envisagé que la cave devienne la maison du gardien de la Chaslerie.
Le plan-masse prévoyait l'implantation d'un potager au Sud de la cave. Vingt-cinq ans plus tard, cette idée n'est pas abandonnée mais n'a pas encore été mise en œuvre.
La façade Sud. Les lucarnes n'y existaient pas à l'origine. Il était prévu de percer une petite ouverture et d'en relever une autre. Ce programme a été tenu.
La façade Nord de la cave. Il était prévu qu'à part les lucarnes, elle ne change pas. Ce programme a été tenu.
La façade Est. Seul existait à l'origine le fenestrou du haut. On l'a dédoublé. Au niveau du rez-de-chaussée, on a percé deux fenestrous au lieu d'un seul prévu en 1991.
Le plan prévu pour l'aménagement du rez-de-chaussée. Vingt-cinq ans plus tard, on a prévu principalement de changer l'emplacement du w.-c.
Le plan prévu pour l'aménagement de l'étage. Vingt-cinq ans plus tard, des modifications marginales sont envisagées, la principale étant de transformer le grenier initialement prévu en bibliothèque et salle de vidéo-projection.
La principale modification prévue ici par rapport au projet de 1991 est de laisser la charpente (notamment ses croix de Saint André) visible au maximum..
L'entreprise BOUSSIN a démonté l'ancienne couverture et conforte l'ancienne charpente.
Traces de l'ancien poulailler sur le pignon Ouest. On voit que les maçonneries de la cave avaient besoin de reprises.
Les sablières ont été restaurées, les reprises de maçonnerie effectuées et l'on pose les lucarnes.
Il a fallu remplacer un bon tiers des chevrons.
Côté Nord.
Côté Sud.
Un compagnon de Roland BOUSSIN.
Détail d'une lucarne.
Vue vers le Sud-Ouest.
Aperçu de l'intérieur de la cave.
Vue vers l'Est-Nord-Est. Une ligne électrique bien envahissante.
La voisine et le notaire n'ayant pas tenu parole dans le cadre du remembrement, il a fallu combler un fossé et araser un talus prévus pour un échange avorté.
Le plancher vermoulu du grenier de la cave vient d'être éliminé. Au rez-de-chaussée, le percement de nouvelles ouvertures dans les murs extérieurs vient de commencer.
Trois petites ouvertures sont en train d'être percées par le maçon.
La porte Sud qu'il serait temps de changer (tout comme les deux portes Nord, d'ailleurs).
Les trois entraits retroussés par Roland BOUSSIN. Photo prise vers l'Est.
La ferme conservée.
Reprise à la résine sur une poutre.
L'ouverture de gauche est ancienne. Celle de droite a été créée pour éclairer un futur cabinet de toilettes. La dalle de béton du sol du rez-de-chaussée va être coulée.
La fenêtre d'une future cuisine (?) en train d'être relevée.
Il faudra un jour songer à réparer cette pièce de bois brûlée sur le linteau de la cheminée...
On a pensé aux réservations pour les fluides !
Autres réservations pour les fluides.
Les planchettes de châtaignier entre les solives en cours de pose par l'entreprise BOUSSIN.
On en mangerait...
Vue vers l'Ouest.
Les planchettes de châtaignier vues par en-dessous.
Les fondations de l'appentis qui va être bâti à la place de l'ancien poulailler accolé au pignon Ouest de la cave. Cet appentis aura vocation à abriter la future chaudière de la cave, ainsi que les appareils électro-ménagers bruyants ou encombrants.
Les soubassements de l'appentis.
Les colombages de l'appentis.
Les bardeaux de châtaignier de l'appentis.
La couverture de l'appentis.
Le chantier tel qu'abandonné par le maçon (à l'arrière-plan, il n'a pas construit les soubassements sous les colombages de l'annexe livrés par Roland BOUSSIN et maintenus en équilibre précaire).
Le pied du pignon Est, tel qu'abandonné par le maçon défaillant.
Un drainage à parfaire ?
Pour mémoire, la tempête de 1999 (voir le diaporama particulier).
Jointoiement.
Claude MARTIN en train de jointoyer.
Cicatrice d'une ancienne construction accolée au pignon Est.
La façade Sud.
La façade Nord.
La dédicace à Pierre de LEDIN sur la sablière Nord.
La nouvelle porte Sud en cours de décapage.
L'entreprise DUBOURG en train de lasurer les colombes.
Début des travaux de drainage en amont de l'appentis.
Début des travaux de drainage le long de la façade Sud.
Au pied de la façade Sud.
Au pied de la façade Nord.
Confluence.
Les nouveaux drains sont opérationnels.
L'entreprise DUVEAU dote l'appentis de trois châssis fixes.
Pose du torchis sur l'appentis.
L'intérieur de l'appentis après la pose du torchis.
La pose du torchis à l'intérieur de la cave. Cloison de séparation entre le séjour et la cuisine. Photo prise de l'intérieur du futur séjour.
La cloison de séparation entre le séjour et la cuisine.
Réservations pour les fluides à l'étage.
Gobetis avant enduit sur les murs intérieus.
La pose de l'enduit à la chaux.
L'enduit à la chaux en cours de pose.
L'enduit à la chaux posé (ici, contre le pignon Est).
L'étage avant la pose de la dalle de béton allégé.
La première des deux couches d'isolant phonique en laine de roche.
Les deux couches d'isolant phonique posées.
Le plancher de l'étage prêt à recevoir le béton allégé.