De 1950 à 1980 Au début des années 1950, la Chaslerie perdit son usage agricole et redevint une résidence secondaire. La mare disparut. Les menuiseries des portes et fenêtres furent changées. Hélas, de nombreuses ouvertures furent percées au colombier. A l'arrière-plan, il y avait des arbres importants. L'auge de la cour était fleurie. Au début des années 1950, le porche n'avait pas retrouvé ses battants de portail. La couverture de la chapelle était très fatiguée ; dans sa niche extérieure avait été déposée la croix de granit qui ornait le gâble jusqu'au 18ème siècle. Au milieu des années 1950, la troupe folklorique domfrontaise vint poser à la Chaslerie. La peinture des nouvelles menuiseries était encore fraîche. A l'arrière-plan, un grand chêne. Un coyautage venait d'être ajouté à la couverture sommairement remaniée ; le fût du clocher, bien que restauré, n'avait pas retrouvé ses abat-son ; la fenêtre était dotée de vitraux et d'une grille. On aperçoit ici les 5 nouvelles fenêtres qui furent percées, dans les années 1950, sur la seule façade Ouest du colombier ainsi que la citerne à fuel qui trônait au pied de ce colombier. Magnifique rosier grimpant à gauche de la photo. Toujours pas de menuiseries au porche. Au Sud de l'avait-cour, l'ancien pressoir avait disparu. Dans les années 1970, 4 fenêtres carrées (!!!) ont été percées sur la façade Sud du bâtiment Nord (et plusieurs autres sur sa façade Nord)... Le sol était revêtu de granit vert scié à la tronçonneuse ; aux murs, enduit garanti en ciment et d'une qualité d'exécution mémorable... L'ardoise au fond à gauche venait d'être gravée au nom de Mme Henri LEVEQUE.