Vie du site

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 17 Mai 2022
La SVAADE - La SVAADE (animations et visites) - Vie du site - Entretien du site - Vie des associations
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Mme SOUL, de MicroMatic Domfront, a su faire en sorte que les vidéos soient visibles via mon ordi sur le site favori. Pour ceci, elle a mis de côté le navigateur "Firefox" et l'a remplacé par "Chrome".

Maintenant, c'est mon scanner qui ne répond plus. Est-ce le passage à "Windows 11" qui l'aurait déconnecté ?

P.S. (à 20 h 30) : J'ai réussi à faire marcher le scanner après avoir redémarré l'ordi.

Voici l'article du "Ouest-France" de ce matin que je voulais mettre en ligne :

17 mai 2022.

Effectivement, ce chanteur paraît ne pouvoir se passer de matériel de sono, même en petit comité.

Dommage qu'il semble avoir imaginé qu'on en trouve plus facilement à louer à Domfront qu'à Paris...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Mai 2022
Vie du site - Entretien du site
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Panne d'ordi hier après-midi. Voici ce qui s'affichait :

23 mai 2022.


Puis :

23 mai 2022.


Le problème paraissait lié au navigateur "Firefox". En revanche, quand je basculais sur "Chrome", aucun problème. Si ce n'est que, comme je ne tiens pas le registre de mes mots de ^passe, il était impossible de me connecter à la tour de contrôle du site favori, donc d'y intervenir.

Angoisse ! "Cambérabéro", appelé à la rescousse, m'a donné quelques conseils utiles. Mais l'ordi restait toujours bloqué.

Ce matin, dès l'ouverture, je me suis rendu chez "MicroMatic" à Domfront où l'excellente Mme SOUL m'a immédiatement dépanné :

24 mai 2022.


Il suffisait de taper simultanément sur l'icône "Windoxs" et sur "D".

Un collégien, en vacances chez ses grands-parents (LEVANNIER ?) à Domfront, sans doute pris de pitié pour moi, m'a montré comment retrouver les mots de passe. Un grand merci à lui aussi !
A propos du pavement retrouvé lors des fouilles au château de Domfront en mars 2022 :

Le pavement est vraiment magnifique. Aura-t-on un compte-rendu des interprétations de l’archéologue ? Que peut-on déduire des anciennes structures de surface ?


N.D.L.R. : Et de quand date-t-il ?

En effet, il n'est pas sans me rappeler celui trouvé dans une partie de la cour du manoir favori.
Le manoir de la Guyonnière est une demeure à caractère défensif du xviie siècle inscrite aux Monuments historiques, situé sur la commune de Tinchebray-Bocage dans le département de l'Orne en en limite du département de la Manche.
Le manoir de la Guyonnière est un haut lieu de la chouannerie normande.
Entre 1793 et le Consulat, le bocage, contrairement au reste de la Normandie qui reste calme, est le théâtre d'une guérilla sporadique, difficile à réprimer et toujours impitoyable qui s'identifie aux autres résistances au régime révolutionnaire, de la Vendée, de l'Anjou, du Maine et de la Bretagne.
Elle reçoit l'appui et la complicité d'une large partie des populations rurales.
Quant au danger politique qu'elle présentait, il fallut en finir avec l'assassinat de son chef Louis de Frotté.
À Saint-Jean-des-Bois, Michelot Moulin (Michel Moulin), fils d'un taillandier aisé est à l'origine de la chouannerie normande.
Réquisitionné pour rejoindre les forces républicaines, par ruse il obtient des armes, déserte et entre dans la clandestinité avec ses compagnons, formant les premières bandes de réfractaires, organisant des compagnies, creusant des souterrains, désarmant les patriotes de Landisacq, Chanu et Saint-Cornier-des-Landes.
Quand Louis de Frotté est obligé d'abandonner le château de Flers, il établit son quartier général dans la forêt de Saint-Jean-des-Bois au manoir de la Guyonnière en lisière de la forêt.
Michelot Moulin y trouve refuge pendant plusieurs mois lorsqu'il est blessé
Le manoir est inscrit au titre des monuments historiques en 1979
C'est une demeure en granite carrée et trapue, à caractère défensif.
Des bouches à feu sont encore visibles dans les contre-marches de l'escalier.
À l'intérieur, un escalier droit en granite taillé avec un mur d'échiffre occupe le centre de la maison.
De part et d'autre se répartissent à chaque niveau de grandes pièces.
Toutes les menuiseries des portes sont d'époque :


N.D.L.R. : J'irai revoir ces portes, ces sablières et ces lucarnes...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Juin 2022
Vie du site - Entretien du site
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Plus de 24 heures auront été nécessaires à "Orange" pour que les deux vidéos suivantes finissent par m'arriver, la deuxième très incomplètement :

Quant à la troisième que m'a communiquée hier Olivier LEPICK, je peux l'imaginer errant toujours dans les couloirs de la toile.

P.S. (du 3 juin 2022 à 5 heures) : Il semble que ces vidéos soient perdues. Merci "Orange", toujours aussi efficace pour me faire payer son abonnement très cher et totalement incapable de fournir en contrepartie un service minimum !
[COULISSE] 🕵️‍♀️
🔸 Le sol de l’oratoire de la chambre des évêques n’est pas oublié 😁
👍 Afin de rendre sa splendeur à la pièce, une professionnelle vient de « déposer » certains carreaux de faïence pour les nettoyer et les restaurer. De riches décors, en date du XVIIe siècle, qui méritent d’être remis en valeur‼️
📷 Sur la première photo vous pouvez voir les armoiries de la famille Le Veneur puis sur la seconde, leurs initiales.
💐 On peut aussi découvrir quelques carreaux fleuris qui ne sont pas sans rappeler les boiseries de la chambre Louis XI et de l’oratoire.
#restauration #chateaudecarrouges #planderelance #chantier #leCMN

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 27 Juin 2022
Vie du site - Statistiques de fréquentation
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Ici aussi, l'audimat a explosé, les deux phénomènes paraissant liés :


P.S. (à 10 heures) : A cette heure, l'audimat reste en fièvre. D'où je déduis que notre fan-club a de nouveaux membres à qui je souhaite la bienvenue.

Vous verrez, tous les messages de ce site ne sont pas œcuméniques (il m'arrive parfois de ne pas dédaigner choquer quelques âmes sensibles) mais, dans l'ensemble, on peut trouver là matière à quelques vagabondages via la toile.

Et, surtout, n'hésitez pas à commenter les messages qui vous paraîtraient le mériter !
Autant je m'estime à l'aise avec la fiscalité des monuments historiques (grâce, en particulier, au soutien et aux conseils de la "Demeure Historique"), autant je suis ignare en ce qui concerne la fiscalité de la forêt privée.

Il y a sept ans, dans le cadre du "Fogefor", j'avais assisté, sur ce dernier sujet, à un exposé qui m'était passé largement au-dessus de la tête. Il est vrai que j'étais alors très perturbé puisque je venais d'apprendre l'existence d'un projet éolien aux abords du manoir favori.

Désormais, ayant gagné, comme l'on sait, mon recours devant le Conseil d'Etat, je suis temporairement plus serein. Donc nous nous sommes inscrits, Carole et moi, à une nouvelle session du "Fogefor" dont la matinée de la séance d'hier était largement consacrée à la fiscalité des forêts privés.

Voici la principale documentation qui nous fut remise hier, préparée et commentée par Eric de CATHEU. Comme on peut le constater, la matière est pour le moins compacte. Hier, j'ai tout suivi de cet exposé car, pour une fois, mon esprit ne s'est pas mis à voleter de la façon désultoire qui le caractérise en général.

En complément de ces pages, je me propose de noter (dans des messages qui suivront) les points qui me semblent importants et, en particulier, ceux qui appelleraient une action de ma part :

La première leçon que je retiens en matière de fiscalité des boisements est qu'il paraîtrait judicieux que j'adopte très rapidement, du moins pour mes activités sylvicoles, le régime dit d'assujettissement volontaire à la T.V.A.

Ceci me permettrait en effet :
- de faire passer de 42 à 50 % de la dépense T.T.C. mon taux de subventionnement lorsque, comme j'ai commencé à en passer la commande, je ferai empierrer les allées nécessaires à mon activité sylvicole (dont l'allée principale) ;
- de récupérer la T.V.A. sur les achats qui concourent à l'activité (en particulier les achats de gasoil ou les frais d'entretien des tracteurs).

Si je comprends bien, l'inconvénient principal de ce régime serait de m'obliger à faire payer de la T.V.A. aux particuliers qui m'achèteraient du bois, ce qui ne devrait arriver que marginalement et être concentré sur mes premières années de production.

Également si je comprends bien, je pourrais récupérer, au titre du "DEFI travaux" et dans la limite de 10 000 €/an pendant cinq ans (ce qui serait largement suffisant pour moi), 18 % de mes dépenses T.T.C. d'empierrement d'allées ou d'amélioration des peuplements (dégagements, éclaircies, élagage, balivage, autrement dit des salaires de Francis et Didier que me facture mensuellement leur employeur, à savoir l'APIJOMM). Bref, ceci serait susceptible de porter le taux de subvention effectif de l'empierrement d'allées (pour ne parler que de celui-ci) de 50 à 68 % de la dépense T.T.C. correspondante.

Autrement dit, grâce à cet exposé dans le cadre du "FOGEFOR", je devrais pouvoir récupérer, au seul titre de mes dépenses d'empierrement, 26 % (8 + 18) de la dépense T.T.C. correspondante.

Pour arriver à ce résultat, je devrais, si je ne me trompe, m'empresser de faire modifier mon numéro de SIRET en indiquant désormais l'activité principale de "sylviculteur" sous le code APE 020A, sans cocher d'organisme d'assurance maladie mais en précisant à côté de la case idoine du formulaire "ad-hoc" que je remplis la condition "travail - de 150 heures".

Tout ceci est d'une simplicité biblique, comme d'hab, et je vais maintenant rechercher la paperasse obtenue de l'INSEE voici à peine un mois puis demander à la chambre d'agriculture compétente de procéder à la mise en musique des rectifications utiles.

P.S. (du 4 juillet 2022 à 8 heures) : A la réflexion, mon assujettissement à la T.V.A. serait encore plus avantageux pour moi que je ne l'ai d'abord pensé.

En effet, pour 100 € H.T. d'empierrement d'allées, je pensais pouvoir compter sur 50 € de subventions européennes, de sorte que la charge nette pour moi, après subvention européenne, était de 120 - 50 = 70 €, ce qui, en fait, ramenait à 42 % le taux de subvention par rapport au coût T.T.C.

L'exposé d'Eric de CATHEU m'a montré qu'en m'assujettissant à la T.V.A. et en procédant à d'autres adaptations, je récupérerais, toujours pour 100 € H.T. de travaux et en plus des 50 € de subvention européenne, non seulement les 20 € de T.V.A. mais également 18 % de 120 €, soit 21,60 € au titre du "DEFI Travaux". Bref, ces 120 € de travaux me reviendraient en fait à 120 - 20 - 50 - 21,60 = 28,40 €, soit 23,7 % de la dépense T.T.C.

23,7 au lieu de 58, ça fait une sacrée différence !
A la Chaslerie, le budget d'empierrement d'allées est de l'ordre de 100 000 € T.T.C.
Donc voici un exposé qui devrait me permettre d'économiser de l'ordre de 35 000 €.
Merci beaucoup, M. de CATHEU !

Rien qu'à ce titre, je n'ai donc pas perdu mon temps en m'inscrivant une seconde fois à une session du FOGEFOR. Comme, par ailleurs, toutes les séances du stage sont passionnantes, je ne saurais trop recommander à tous ceux qui s'intéressent à la forêt, à quelque titre que ce soit, de s'inscrire à une prochaine session du FOGEFOR !
Le deuxième sujet dans lequel je vais avoir la joie de me plonger, après cet exposé sur la fiscalité des forêts privées, concerne la taxe foncière des propriétés non bâties.

Il faut d'abord que je retrouve combien je dois lâcher chaque année à ce titre. Puis que je vérifie dans quels "groupes de nature de culture" sont classées mes parcelles, que je les détienne directement ou par l'intermédiaire d'une S.C.I. familiale. J'aurais certainement dû constituer un "groupement forestier" pour porter les parcelles boisées car cela m'aurait ensuite simplifié la vie. Mais le faire à ce stade m'exposerait à des frais de délimitation de parcelles ainsi qu'à des frais de cession dont je me passerai volontiers. Mes successeurs aviseront, je leur en laisserai le plaisir.

Si, comme il est quasiment certain, vu le bordel administratif ambiant, mes parcelles sont mal classées, il faudra que j'intervienne afin de recaler le dossier. De la sorte, je devrais payer moins de taxes foncières à l'avenir. Mais, pour ce qui concerne le passé, les carottes me semblent cuites, sauf pour les trois dernières années où les choses sont, peut-être, encore rattrapables.
Vérification faite, je ne reçois pas moins de cinq avis d'impôt chaque année au titre des taxes foncières sur les terres de la Chaslerie.

Aucun de ces avis n'explicite simplement de quelles parcelles il s'agit.

Je vais donc devoir demander à l'expéditeur, le "centre des finances publiques SIP-E Domfront", de me le préciser.

En espérant qu'ils seront capables de répondre, ce qui reste à voir.

P.S. (à 12 heures 30) : Voici ces cinq avis qui, après que je les ai regardés de près, me semblent suffire à identifier les parcelles en cause, ce qui devrait m'éviter d'avoir à poser la question aux gabelous de Domfront ; je les cite dans l'ordre d'acquisition des terres en question :

- le premier est relatif aux achats de 1991 ; une grande partie des terres correspondantes a été plantée de feuillus en 1999 :


- le deuxième porte en réalité sur les terres de Lonlay-l'Abbaye, qui ont toutes été plantées d'arbres (aulnes glutineux ou pins laricio) après que je les ai achetées en 1991 ou 1999 :


- j'imagine que le troisième est relatif à la ferme achetée en 1993, avec 1,33 ha de terres :


- le quatrième est relatif à un autre achat, par moi seul, sans doute celui de 2007, sur le territoire actuel de Domfront-en-Poiraie mais son montant est peanuts, donc je peux me passer de me casser la tête à son sujet :


-enfin le dernier est plus transparent puisque la S.C.I. en question a acheté des terres en 2007 puis en 2014, toutes ces terres ayant ensuite été plantées de feuillus ou de résineux :


A la lecture de ces paperasses, je me dit qu'il pourrait être utile que tous les paiements correspondants soit débités sur mon principal compte bancaire ; mais ceci est un détail et on n'en mourra pas.

Au total, la taxe foncière afférente aux terres plantées d'arbres serait inférieure à un total annuel de 119 + 1 076 + epsilon + 31 + 3 + epsilon + 108, soit environ 1 337 euros dont j'aurais dû être exonéré si les choses avaient été bien faites au moment des plantations.

Il ne me paraît pas trop tard pour essayer de redresser la barre autant que faire se peut. Mais l'enjeu est moindre qu'en matière de T.V.A., donc je vais donner la priorité au règlement de ce dernier problème.
A propos des taxes foncières sur les propriétés non bâties, j'en arrive à l'examen du classement de mes parcelles selon la nature des cultures.

En la matière, le document pertinent est la matrice cadastrale que je m'étais procurée fin 2017 et que j'avais alors essayé de comprendre une première fois, avec l'aide d'un agent du cadastre encore basé à Domfront ; comme il n'y a pas eu d'achat ni de vente significatifs de terres depuis lors, tout me donne à penser que ce document est à jour.

En voici les feuilles, dans le même ordre que les avis d'impôt que je viens de mettre en ligne :


Il me reste à interpréter ce bazar et à vérifier dans quelle mesure il colle à la réalité.

Toutefois, considérant que j'ai assez bossé pour un dimanche, je renvoie cette corvée à plus tard.
Difficile journée aujourd'hui.

Elle a commencé par des échanges téléphoniques, de courriels et de S.M.S. avec Arnaud PAQUIN et son assistant pour vérifier les devis reçus en vue de la restauration des menuiseries extérieures du logis. Lorsque tout ceci sera d'équerre, je devrai saisir la Région afin de solliciter de sa part une première subvention pour travaux.
Pas mal si on considère que je cherche à monter le dossier de demande d'une telle subvention depuis sensiblement plus d'un an, avec une réunion importante le 12 juillet dernier, c'est-à-dire il y a quasiment un an. Et, si elle m'est accordée, cette subvention mettra encore un certain temps à être mise en place effectivement...
Et il reste encore à définir en quoi pourrait consister la "tranche A à substituer aux tranches 1 et 2 précédentes", comme l'on sait. Donc encore beaucoup de paperasses et de discussions, celles-ci avec la D.R.A.C., avant que la première fenêtre restaurée puisse enfin être posée.
Et, pendant ce temps, les cours des matières premières n'arrêtent pas de monter alors qu'on se doute que les aides publiques pourraient pâtir de la conjoncture.

J'avais ensuite rendez-vous avec un terrassier (le nouvel employé de Philippe JARRY - plus exactement de sa fille - et successeur de Jérôme) grâce à qui j'ai pu vérifier que l'eau pluviale, tombant sur les "trottoirs" de la cour, s'évacue bel et bien et ne stagne pas quelque part sous les graviers et la bâche installés dernièrement dans la cour à la demande de Carole. La vérification, effectuée grâce un niveau à laser, a été concluante et positive, ce qui m'ôte un souci. Lorsqu'il avait mis en place lesdits "trottoirs", il y aura bientôt trois ans (comme je le dis parfois, "nous sommes dans le temps long"...), Igor avait donc bien calculé leur pente :

6 juillet 2022.

6 juillet 2022.


Puis, dans le courant de l'après-midi, j'ai reçu la visite de l'électricien recommandé par le propriétaire d'un manoir voisin.

Cet électricien m'a fait très bonne impression puisqu'il m'est apparu méthodique et rationnel dans sa recherche de l'amont de l'installation électrique de l'arrière-cuisine. Il a tout de suite diagnostiqué la cause des courts-circuits que provoque de longue date Carole quand elle met simultanément en marche deux appareils ménagers comme le lave-linge et le sèche-linge. J'ai retenu que l'intensité électrique qui dessert l'installation est insuffisante et qu'il faudrait une électricité triphasée (ou quelque chose de ce genre). Personne ne me l'avait dit jusqu'alors.

L'électricien a considéré que la solution du problème pouvait se trouver au tableau installé dans l'embrasure d'une ancienne porte de communication entre l'entrée du logis et la salle-à-manger :

6 juillet 2022.

Mais c'est là que l'affaire se complique beaucoup avec les "planchers provisoires" que j'ai fait installer, il y a moins de deux mois, dans la salle-à-manger et la cuisine. L'électricien a préconisé l'utilisation d'une scie-cloche afin de faire des trous dans ce plancher pour amener le câble d'alimentation dans l'arrière-cuisine en passant par la meurtrière Nord-Ouest de la tour Nord-Ouest :

6 juillet 2022.

6 juillet 2022.


Quand j'ai expliqué ceci à Igor, il a tout de suite réagi en me disant que ce serait très compliqué à cause des lambourdes qui se trouvent désormais sous le "plancher provisoire" de la salle-à-manger :

10 mai 2022.


Sur ce point, Igor a évidemment raison, ce qui pourrait me conduire à reconsidérer le calendrier de la mise en place de la solution aux problèmes des courts-circuits déclenchés par Carole. Le moins onéreux serait d'attendre que nous ayons reçu toutes les autorisations administratives relatives au passage des tuyaux d'aquathermie dans la cour pour lancer, simultanément, l'installation du chauffage par le sol dans la cuisine, l'arrière-cuisine et la moitié Nord du logis, d'une part, et la mise aux normes de l'installation électrique d'autre part. Commode... Dans l'immédiat, je me sens contraint de mettre la question en délibéré, ce qui est susceptible de m'amener à en rabattre très sensiblement dans mes ambitions récentes pour l'arrière-cuisine et, par voie de conséquence, de me conduire à relancer les travaux dans la cave.
Le préalable à ces derniers est l'intervention d'un charpentier. Or Franck LIEGEAS m'a dit hier ne pouvoir intervenir sur la cave de la Chaslerie avant septembre prochain. Donc pas facile de coordonner tout cela.
Carole m'encourage à lever le pied dans mes travaux car elle voit bien que tout cela me met sous une pression qui me pèse beaucoup et elle me demande désormais à quoi bon...
A quoi bon en effet ? C'est une question que je me pose de plus en plus souvent en raison de l'absence d'un relais familial. Continuer à travailler et à dépenser sans relâche dans le seul intérêt du monument a-t-il un sens pour moi, à mon âge et dans ma situation ? Vaste problème - du moins à mon échelle - sur lequel je bute depuis quelque temps déjà.

Arrivé sur ces entrefaites, le plombier m'a regardé d'un air qui m'a semblé quelque peu goguenard.
Certes il serait prêt à adapter l'installation de plomberie de l'arrière-cuisine pour en dissimuler aux regards un maximum de tuyaux, par exemple en les rapprochant du plafond en béton avant la pose d'un faux-plafond. Et tout ceci moins d'un mois après sa précédente intervention dans cette pièce. Mais il faudrait carotter des passages pour ses tuyaux dans une certaine maçonnerie.
Et, encore une fois, à quoi bon à mon âge, dans ma situation, alors que tout ceci serait également en attente de travaux plus lourds ?
Ces choix ne sont pas faciles pour moi qui n'ai jamais aimé faire les choses à moitié et sans ce que j'appelle la "qualité FOURCADE".
Là aussi, Carole me conseille d'en rabattre dans mes ambitions...

Heureusement pour moi, en fin de journée, une longue conversation téléphonique avec Eric de CATHEU m'a éclairé sur les points qui m'étaient apparus encore obscurs en matière de fiscalité des forêts privées.
Grâce à ses conseils avisés, je vais pouvoir, dans l'immédiat, concentrer mon attention sur les quelques questions à régler, qui vont me demander un travail administratif précis.
Ça au moins, je sais encore le faire !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Juillet 2022
Vie du site - Entretien du site
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 13 juillet 2022 12:28
À : "Cambérabéro"
bjet : RE: Re:

Oui. Mais ça ne présage donc rien de bon...

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De : "Cambérabéro"
Envoyé : mercredi 13 juillet 2022 12:27
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re:

Il faut voir le bon coté de choses : tout va bien

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Pierre-Paul Fourcade a écrit le 13/07/2022 à 12:26 :

> Plus de panne quand je suis arrivé chez MicroMatic. Je n'y comprends rien...

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> De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 13 juillet 2022 08:35
À : "Cambérabéro"
Objet : RE: Re:
>
> Ça paraît logique. Je vais donc passer chez MicoMatic ce matin...

_______________________________________________________________________________________________>

De : "Cambérabéro"
Envoyé : mercredi 13 juillet 2022 08:32
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re:
>
> Bonjour,
> Quand plusieurs services indépendants sont HS en même temps, c'est généralement que ça dépend d'autre chose (connexion, ou ordi lui-même)
>
_______________________________________________________________________________________________
>
> Pierre-Paul Fourcade a écrit le 13/07/2022 à 03:39 :
>> Bonjour Lilian !
>> Impossible sur mon ordinateur d'ouvrir certains liens de messages du site favori.
>> Et impossible également d'y accéder à ma messagerie, je suis obligé d'utiliser mon téléphone portable...
>>
>> Envoyé de mon Galaxy A32 5G Orange
>> Obtenir Outlook pour Android

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 26 Juillet 2022
Vie du site - Entretien du site
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Vers 5 heures du matin, panne d'internet. Une rapide enquête dans la cuisine me montre que cela résulte d'un dérangement du téléphone fixe. Je sors, avec Guguss sur les talons, m'éloigne de 200 mètres du manoir favori pour que mon portable puisse de nouveau capter ; il m'indique même que je serais en zone 4G, alors que, depuis un an, nous n'avions plus droit ici qu'à du 3G. J'ai ainsi pu téléphoner au 3900 où un robot s'est excusé pour la panne, m'a annoncé l'envoi d'un S.M.S. devant me permettre de suivre la réparation qui devait être terminée "le 27 en fin de matinée", donc dans une trentaine d'heures, et promis en compensation de la gêne une augmentation de 200 je ne sais quoi de je ne sais quelle mémoire.

Vers 7 heures, je n'ai reçu aucun S.M.S., je ne sais pas en quoi consistait cette compensation, mais je constate que ma liaison internet fonctionne de nouveau.

C'était ma contribution du jour à la chronique "Orange, boîte de merde".

P.S. (à 10 heures 30) : Deux S.M.S. d'"Orange" viennent de m'arriver et confirment en tous points le propos du robot. "Orange" me promet en effet 200 Go de crédit gratuit sur ma ligne mobile, plus des zakouskis pour mes "proches". Je n'y comprends rien mais salue l'effort.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Aout 2022
Vie du site - Statistiques de fréquentation - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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Sans doute en raison d'une mise à jour intempestive de je ne sais quoi, "Google Analytics" est de nouveau en drapeau, ce qui m'empêche de savoir combien de membres du fan-club sont connectés au site favori au moment où j'écris. Généralement, ça finit par revenir tout seul, sans d'ailleurs que je sache davantage pourquoi.

P.S. (à 10 heures) : Le truc est revenu, mystère et boule de gomme, mais tant mieux !
Régis FOUILLEUL me rappelle que le tuyau bleu qui passe au plafond de la cuisine et derrière une trappe murale de mon dressing sert à alimenter en eau le cabinet de toilettes qui se trouve sous l'escalier du logis.

Je voulais le supprimer, le moment n'est donc pas encore venu.
Notre Belle France, son patrimoine au fil des thèmes (via "Facebook")
rédigé le Vendredi 19 Aout 2022
Florilèges - Florilège de portes - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
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Portes
Ussel (Corrèze - 19)
Maison ducale des Ventadour, demeure Renaissance construite fin XVIe.
Les Ventadour étaient une famille importante du Limousin, depuis le Moyen Age.
"La vicomté de Ventadour s'est formée seulement vers 1040, par un partage de la vicomté de Comborn, au profit d'Ebles Ier, fils d'Archambaud II (ou III) de Comborn. La nouvelle vicomté de Ventadour correspondait à la moitié orientale de la vicomté de Comborn.
Bernard II (1329-1389) fut créé 1er comte de Ventadour en 1350.
Ventadour fut érigé en duché-pairie en 1589 au profit de Gilbert III de Lévis (1547-1591), gouverneur du Limousin." (Wikipédia)


N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.