Vie du site

Puisque je sais désormais que je vais être relayé par mon aîné, la réflexion sur les pilastres peut se poursuivre activement :

20 février 2022.

20 février 2022.

Ce matin, j'ai pris, à la sortie d'Arçonnay vers Le Mans, les mesures du modèle de Maleffre (4,88 m de hauteur et 1,50 m de largeur, avec un passage de 4,25 m entre les chasse-roues). Donc une belle bête, assurément !

Relevé sommaire d'un pilastre de Maleffre par PPF.


En haut d'une allée de 534 m de long, je trouve que ça ne manquerait pas de manorialitude, if you see what I mean !

P.S. (du 23 février 2022 à 2 h 30) : Je m'aperçois que mon croquis est faux. En particulier, la partie centrale des pilastres (de la hauteur 72 jusqu'à la hauteur 303, pour reprendre les cotes du croquis) devrait être sensiblement plus large (ici elle ne mesure que 130 cm alors qu'elle devrait être de 150). En revanche, du sol jusqu'à la cote 58, la largeur est correcte (de l'ordre de 160 cm, voire deux ou trois centimètres de plus).

Je corrigerai sur mes prochains dessins.
Je suis repassé hier à Arçonnay afin d'essayer de mieux comprendre la structure des pilastres de Maleffre, notamment l'épaisseur des pierres utilisées et leurs dimensions maximales ainsi, accessoirement, que la composition du chapiteau. Il est apparu ainsi que, pour leur partie la plus imposante, chacun des pilastres est composé de dix épaisseurs de pierre (dix "tranches de saucisson" superposées, numérotées de 1 à 10 en partant du sol). J'ai appelé :
- "A" le côté Ouest du pilastre de gauche (en entrant) qui est celui qu'un conducteur voit de près le premier,
- "B" le côté Nord du pilastre de gauche,
- "C" le côté Est du pilastre de gauche
- et "D" le côté Sud du pilastre de gauche, celui qui comporte la feuillure pour une grille disparue ;
de même, pour le pilastre de droite :
- "E" le côté Ouest,
- "F", le côté Nord (celui de la feuillure),
- "G", le côté Est
- et "H", le côté Sud.

Pour toutes ces faces sauf la "B" (car inaccessible facilement), j'ai pris des photos que je présente ici de bas en haut ; comme on le voit, je n'ai pu m'élever jusqu'aux parties hautes (dont les moulures auront à être documentées ultérieurement) :

- face "A" :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.



- face "C" :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.



- face "D" :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.



- face "E" :

21 février 2022.

21 février 2022.



- face "F" :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.



- face "G" :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.



- et face "H" :

21 février 2022.

21 février 2022.



(A suivre)
Le calepinage des pilastres de Maleffre ne pose pas de problème particulier si nous devions les copier. Voici par exemple celui des neuf premières "tranches de saucisson" de la face Ouest du pilastre Nord (celui qui se trouve à gauche quand on entre dans ladite propriété) :

J'observe sur les pierres d'angle d'une autre face que le parement a au moins 12 cm d'épaisseur mais souvent davantage (jusqu'à 73 cm dans des cas exceptionnels).

Les difficultés d'une copie seront, outre la boule sommitale (sphère aplatie sur pédoncule), les moulures, puisque ces pilastres ont à l'évidence plus de trois siècles et que "le sucre a fondu" sous l'effet des intempéries.

Néanmoins, voici quelques photos, aussi utiles que possible, de détails :

- les chasses-roues :



- les moulures basses :



- les moulures hautes :



- la boule sommitale :

Voici la fin de mon reportage sur les pilastres de Maleffre :

- le calepinage de la face Ouest du pilastre Nord :


- le détail des mesures que j'ai prises :


- un plan de la première "tranche de saucisson" du pilastre Nord sans le chasse-roues :


- un plan de la deuxième "tranche de saucisson" du pilastre Nord :


- des vues d'ensemble :


- des détails des chasse-roues :


- les moulures basses :


- les moulures hautes :


- les boules sommitales :


Prochaine étape : savoir combien il m'en coûterait de faire réaliser des copies en granit aussi semblable que possible à celui du manoir favori.

Puis, sachant que chaque pilastre pèse environ 30 tonnes sur une surface de 2 m2, estimer quel type de fondations il faudrait prévoir sur les terres de la Chaslerie pour résister à leur pression.

Si des membres du fan-club ont des idées à ces sujets, je suis preneur.
Un autre modèle de pilastres que je trouve intéressants avec son rythme 2+3+3+2. Datés de 1699 à Alençon (à N.-D. de Lorette) :

21 février 2022.

21 février 2022.

21 février 2022.

Les boules sommitales y ont un plan proche du carré, au lieu d'être des sphères aplaties comme à Maleffre :

21 février 2022.

21 février 2022.

Le rythme des moulures est assez comparable à celui de Maleffre, ce qui, j'imagine, permet de dater les pilastres de Maleffre en l'absence, à ma connaissance, d'autres données.
Au courrier ce matin, des informations fort intéressantes qui complètent le peu dont je pouvais avoir connaissance sur le dernier seigneur de la Chaslerie avant la Révolution, à savoir Louis-Marie de VASSY :



Un grand merci à Nicole PICHON pour cet envoi qui me donne une idée des décors intérieurs auxquels était habitué ce prédécesseur...

... et de ce plafond d'un type que je rêverais de copier un jour au manoir favori :

Fondation Mérimée (via "Facebook")
rédigé le Lundi 4 Avril 2022
Florilèges - Florilège de plafonds - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Vie du site
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Cap sur le château de Fiches (Ariège) ☀
🏰 Situé dans le lieu-dit éponyme, en Ariège, le château de Fiches renferme des trésors d’une grande fragilité. En effet, ses plafonds sont richement ornés d’un magnifique bestiaire du début du XVIIème siècle, où s’animent lions, éléphants, singes et autres animaux exotiques au sein d’une nature chatoyante. La grande beauté de ces plafonds leur a valu d’être inscrits au titre des monuments historiques en 2005.
🏆 En 2011, notre fondation a apporté un soutien de 8 000 € aux propriétaires pour la restauration de peintures murales et de plafonds peints présents à l'intérieur du château.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Avril 2022
Vie du site - Entretien du site
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Je viens de transférer vers les pages "Privé" du site favori un certain nombre de messages récents qui, d'après "La SVAADE" (selon sa doctrine de 2021), n'avaient pas leur place dans ses pages publiques.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Avril 2022
Vie du site - Entretien du site
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Je viens d'être informé qu'un certain Jacques DEG(...) souhaite accéder à des pages "Privé" du site favori. Je ne le connais pas et il n'a pas laissé d'adresse de courriel pour que je lui réponde à propos de cette démarche inédite.

Puis-je lui demander de m'envoyer un message à penadomf@msn.com afin qu'il se présente et m'indique ce qui, dans lesdites pages "Privé", est susceptible de l'intéresser ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 12 Avril 2022
Vie du site - Entretien du site
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Le site favori a été en panne ce matin, de 9 heures à 13 heures passées. Désolé pour cette interruption, indépendante de notre volonté.
On dirait que nous jouons un peu de malchance pour notre premier concert de 2022. Après des retards dans la préparation des affiches, donc dans leur diffusion, du fait de débats oiseux mais bien conclus, la billetterie connaît en effet quelques difficultés pratiques car tout le sympathique personnel de l'office de tourisme de Domfront, qui nous avait si bien aidés l'an dernier, se trouve en arrêt-maladie dans l'immédiat.
On leur souhaite un prompt rétablissement (avec une pensée particulièrement chaleureuse pour Anne-Laure) !

Il est cependant toujours possible se signaler son intérêt pour le concert de samedi prochain à 18 heures (le trio de cordes avec David PETRLIK) en écrivant à la.svaade@gmail.com où l'on vous répondra dans les meilleurs délais.

Nous essayons également de monter en parallèle une billetterie qui serait confiée à "HelloAsso". Pas sûr toutefois qu'on y arrive rapidement. Donc le procédé le plus sûr est encore de nous écrire à l'adresse indiquée.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Avril 2022
Vie du site - Entretien du site
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Grâce à Louison ROUSSEL, je sais désormais rassembler en un fichier pdf un ensemble de photos scannées. Merci à elle !

(Il suffit de passer par le site ilovepdf.)

P.S. (du 29 avril à 2 heures) : Pas si simple. Dès mon premier essai en solo, je me suis heurté à un os.

P.S. 2 (à 7 heures) : Je crois que j'ai réussi à me débrouiller avec ce site.
Ce message est consacré aux plans cadastraux que j'ai retrouvés.

1 - Les deux plans les plus anciens ont été copiés par Nicolas GAUTIER, alors A.B.F. de l'Orne. Les originaux sont conservés aux Archives de l'Orne.

Le plus ancien est concomitant de la vente de la Chaslerie comme Bien National :

Le Pournouët (parcelle entre les douves) avait alors été divisé en deux lots. On remarque sur ce plan qu'au Nord de l'allée principale (donc près du manoir), il y a deux petites parcelles, sans doute résidus d'anciennes constructions ; la douve Sud se prolonge à l'Ouest de ladite allée ; le canal entre le bief amont et la douve Sud est en eaux, de même qu'une sortie Nord-Est de la douve Est vers le Baudouët (ruisseau qu'on appelle aussi Choiseul).

Le deuxième plus ancien est consécutif à la création d'une dérivation de l'ancienne voie reliant Domfront et Lonlay-l'Abbaye :

Le tracé de la petite allée (actuellement vers la D 22) avait alors pu être simplifié ; on note également le tarissement de la partie Ouest de la douve Sud, ainsi que de la sortie directe de la douve Est vers le Beaudouët et la modification du tracé du canal amont d'alimentation des douves en eau. Les autres points les plus notables sont que le fournil du manoir fait son apparition dans l'arrière-cour et un bâtiment qu'on sait avoir été à usage de forge dans l'avant-cour.

2 - Le troisième document par ordre d'ancienneté décroissante est le plan cadastral en vigueur en 1991, quand Carole et moi avons acheté la Chaslerie :

Il positionne diverses dépendances en colombages, que je n'ai jamais vues (comme, sur la parcelle 19, une grange qui se trouvait devant la ferme ou une autre à l'angle Sud de cette parcelle) ou que je n'ai pu conserver, tant elles étaient au bout du rouleau comme le bûcher qui se trouvait dans l'arrière-cour (parcelle 15), ou la grange de la parcelle 17, ou encore le poulailler de la parcelle 19. Quant au fournil de la cave, au Nord-Ouest de la parcelle 12, il était rendu invisible par des ronces, de sorte qu'il a fait les frais des terrassements de l'été 1991.

3 - Le document suivant m'avait été remis par l'agent immobilier en charge de la vente de la Chaslerie en 1991. Comme je ne suis pas équipé pour en mettre en ligne une meilleure version, on comprendra que les quatre morceaux ci-après sont relatifs, respectivement, au quart Nord-Ouest de la propriété, au quart Nord-Est, au quart Sud-Ouest et au quart Sud-Est :

On voit sur cette carte, dont j'avais colorié en vert les parcelles vendues, que celles-ci faisaient bloc et qu'il n'y avait alors que 2,4 ha de bois (de bois et de taillis pour être plus précis).

4 - Avec la brutalité imbécile qui caractérise ces actes administratifs, le remembrement en cours en 1991 a effacé la quasi-totalité de ces limites de parcelles qui résultaient de siècles d'histoire. Voici la partie centrale du plan d'après remembrement, tel qu'il était envisagé de le décider au moment de l'achat de 1991 :

On voit sur ce plan, par comparaison avec le précédent, que diverses dépendances avaient disparu, avant que je ne m'attaque à mon tour à un appentis de la cave à ancien usage de poulailler et à la grange à l'Ouest du bâtiment Ouest.

Retenons également qu'au terme dudit remembrement, la limite de la nouvelle parcelle ZT 5 (celle portant le manoir), là où elle est la plus proche de la Cave et de la charretterie (alors réduite à un moignon), allait être repoussée quelque peu vers le Sud, d'une façon favorable aux habitants du manoir.

Il n'en demeure pas moins qu'à mes yeux l'effacement de toutes les parcelles anciennes était un beau gâchis de sorte que, au fil des années suivantes, j'en ai fait redessiner de nouvelles pour coller à mes usages ou projets.

5 - Le plan suivant, tamponné par la SAFER, indique les trois parcelles, vers le bourg de La Haute Chapelle, que j'ai acquises les 26 et 27 février 2007 :

Depuis cette époque, la parcelle située entre les deux rouges de droite est entrée dans mon patrimoine. Il n'en est pas de même pour celles comprises entre les deux rouges de gauche ; toutefois, en raison de l'existence d'un P.S.G. ("plan simple de gestion") couvrant les plantations de la Chaslerie, le propriétaire de cette dernière bénéficierait d'un droit de préemption au cas où les parcelles ainsi prises en sandwich seraient mises en vente. De ce fait, les terres de la Chaslerie seraient continues entre le manoir et le croisement de routes voisin de la parcelle rouge de droite ci-dessus.

6 - En 2008, j'ai fait modifier les limites des deux parcelles portant, l'une, la Cave et l'autre, la Ferme. Selon mon projet de l'époque, je les destinais respectivement à mon aîné et à mon cadet. J'ai alors entendu donner à l'allée secondaire (descendant de la D22) une affectation partagée avec le propriétaire du manoir :

Le plan ci-dessus, bien que postérieur au P.-V. du remembrement, comporte une erreur puisqu'il ne répercute pas l'extension vers le Sud de la parcelle portant la Cave (nouveau signe de la dégradation du travail de l'administration de l'enregistrement qui fut longtemps, notamment depuis COLBERT, un fleuron du ministère des finances...

... mais qui semble tombée bien bas, ainsi que je m'en rends compte à partir de trop nombreux indices).

Il n'est pas besoin que je remue le couteau dans ma plaie en rappelant que jamais mes fils ne se sont inscrits résolument, du moins pour ce qui concerne la Chaslerie - pour le reste, ce n'est pas ici le lieu d'en débattre -, dans les voies que je leur recommandais de suivre. S'agissant de la Cave, l'aîné a certes donné un temps l'impression de vouloir bouger mais, au moins à ce sujet et de mon point de vue, il n'en est jamais rien sorti de tangible.

7 - A partir de 2012, dans un nouvel essai pour intéresser mon aîné à l'hypothèse d'un relais de sa part, j'ai fait délimiter une parcelle portant les écuries et le colombier :

La tentative a également fait long feu, bien qu'au passage et par exception, cet encore jeune homme ait participé au financement d'une partie des travaux de restauration de charpente et de couverture correspondants.

8 - En 2014, année du mariage de mon aîné, circonstance qui a introduit un nouvel acteur dans le débat, j'ai eu l'opportunité d'acquérir les "Nouvelles Terres". A vrai dire, il était trop tard. Je venais en effet de restaurer la charretterie, ce qui, pour la suite, empêchait de redonner à l'allée principale la largeur que j'avais souhaitée au moment du remembrement. Mais le monde agricole est tellement dur à la détente quand il s'agit de négocier des acquisitions foncières que je n'ai pas voulu rater le coche, de sorte que l'occasion a fait le larron :

(C'est moi qui ai écrit A, B et C à trois angles du nouveau découpage.)

La restauration de l'allée, toujours envisagée à ce jour, se ferait donc en la centrant entre l'ancien talus à droite en montant et le nouveau talus, déplacé à ma demande de quelques mètres il y a quelques années.

Au passage, je note que les si brillants fonctionnaires de l'enregistrement ne s'étaient toujours pas avisés en 2014 de tirer, au Sud de la Cave, tous les enseignements du remembrement ne datant alors que d'une vingtaine d'années. Je suppose qu'en 2022, donc avec trente ans de retard sur l'événement, ils n'ont toujours pas davantage mis à jour leurs registres. Il faudra que j'aille pointer ce bazar un jour prochain, à Argentan désormais, d'après ce que j'ai compris.

9 - En 2017, il y eut une troisième tentative de ma part pour intéresser mon aîné au devenir de la Chaslerie. J'avais en effet fini par obtenir de lui l'indication qu'il entendait, en accord avec son épouse, donner la priorité à la restauration du logis sur celle de l'aile Ouest. Basta, ni une, ni deux, j'ai donc fait intervenir une nouvelle fois le géomètre (toujours à mes frais évidemment) :

Mais, dès la fin de cette année 2017 ou au tout début de 2018, mon aîné m'a une nouvelle fois fait comprendre que la Chaslerie et lui, ça faisait encore deux.

Indécrottable optimiste comme je tends parfois à l'être sur certains sujets, j'avais même imaginé qu'en successeur digne de ce nom, il puisse un jour s'intéresser à la restauration du mur d'escarpe des douves et à celle du bief amont. D'où des délimitations de parcelles nouvelles à ce propos.
Une fois encore, chante, fauvette !

Voilà ! C'est tout pour les plans cadastraux que j'ai retrouvés (pour être exhaustif, il faudrait aussi rappeler ceux figurant sur les actes notariaux déjà mis en ligne). Comme déjà indiqué, il faudra les compléter par une énumération des parcelles que ma famille détient actuellement.

Quant à moi, la rédaction de ce message-ci m'a rappelé qu'à trois reprises au moins, j'avais déjà, avant 2018, essayé de me faire relayer par mon aîné.

Donc si l'on compte :
- la quatrième, qui s'est traduite par ma note du 28 mars dernier à ma belle-fille et par la réponse que j'ai reçue dimanche dernier
- et la cinquième qui donnera lieu, très rapidement, à une dernière note à ce sujet à l'intention de mon aîné...
... on pourra considérer que j'aurai fait le maximum pour susciter un mouvement perceptible et favorable de sa part.

Et si, comme je ne puis hélas que le supposer à ce stade, cette cinquième tentative se révèle un nouveau flop, je n'aurais plus aucun remord à aboutir à ce que jamais mes petits-enfants n'aient la joie d'installer leurs propres meubles au manoir favori.

Enfin, au cas où, par extraordinaire, je serais encore présent sur cette Terre, j'entendrais que mes petits-enfants ne s'avisent jamais de me reprocher la vente envisagée car je les réorienterais immédiatement vers leurs parents que je considérerais, sans l'ombre d'un doute, comme les principaux responsables d'un tel gâchis patrimonial et humain !

P.S. (du 2 mai 2022 à 7 h 30) : Je m'aperçois que, du fait de mon achat des "Nouvelles Terres" en 2014, le mauvais travail de l'administration de l'enregistrement consécutivement au dernier remembrement n'a plus d'effet négatif pour le propriétaire de la Chaslerie.

Je n'en pense pas moins sur le délitement manifeste de cette administration dont l'incurie fait que l'on me réclame chaque année depuis 1999 des paiements pour taxes foncières dont je devrais avoir été exonéré en raison de la transformation de terres agricoles en bois alors plantés. Un minimum de coordination avec leurs collègues de la D.D.A. aurait dû suffire à ce que leurs registres soient à jour puisque la D.D.A., autre service de l'Etat, avait subventionné cette transformation. Bien que cela m'enquiquine au plus haut point, je devrais donc reprendre contact avec ces interlocuteurs obligés pour qu'ils tirent enfin toutes conséquences de l'état incontestable du dossier.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 10 Mai 2022
Vie du site - Entretien du site
1
Je m'aperçois ce matin que :
- les dernières vidéos mises en ligne, audibles mais pas visibles sur mon ordi, le sont néanmoins sur mon téléphone portable ;
- certaines vidéos anciennes sont désormais sans images sur mon ordi ;
- lorsque je réduis de moitié les dimensions d'une vidéo dans la tour de contrôle, ceci ne change rien sur mon ordi : images toujours invisibles.

Le problème semble donc cantonné à mon ordi, et en particulier à ma messagerie, du moins lorsque je m'y envoie ces vidéos à partir de mon téléphone ; en revanche, lorsque je télécharge ces vidéos sur mon ordi, elles redeviennent visibles. Donc le problème semble lié plus précisément au "site sur mon ordi" et à ma messagerie.

Je n'y comprends plus rien.
Courriel envoyé ce matin par Hugues HOURDIN à un certain nombre de correspondants. Il semble qu'il y ait eu des problèmes de réception :

(Début de citation)

Chers amis,

La SVAADE poursuit son programme de manifestations de printemps.

Ainsi, samedi prochain 21 mai à 19 heures, nous recevrons au manoir de la Chaslerie, à Domfront-en-Poiraie (Orne), ARBON (déjà intervenu l'an dernier) et Marie-Christine BARRAULT. Ils présenteront devant nous un spectacle autour de LA FONTAINE et BRASSENS dont le dépliant joint vous donnera un aperçu.

Compte tenu de la qualité de ces artistes, nous serions heureux de vous compter parmi les spectateurs. Le prix de la place est de 16 € et les réservations sont à effectuer auprès de l'office de tourisme de Domfront ( info@ot-domfront.com ).

Bien à vous,

Hugues HOURDIN, président de La SVAADE

(Fin de citation)

P.S. (à 19 heures) : Les problèmes de réception pourraient ne concerner que moi. Il se confirme que j'ai de sérieux problèmes avec mon ordi, vraisemblablement depuis une mise à jour intempestive de je ne sais quoi.