La "tour de contrôle" m'apprend que "L'intégrale" du site, tous messages confondus, les publics comme les privés, vient d'atteindre la page 1 000 !

Ceci signifie que le site favori comporte à cette heure entre 19 980 et 20 000 messages. 19 983 exactement, en comptant celui-ci. Qui l'eût dit lors du lancement du site par un premier message daté du 27 juin 2009, à 21 h 27 mn 59 s exactement, envoyé par le père du premier "geek en charge" (premier par la chronologie, je le précise) ?

20 000 messages donc en douze ans... une moyenne de 1 667 messages par an ou de près de 5 messages par jour... Je laisse chacun apprécier l'utilité d'une telle œuvre, je sais sur ce sujet les points de vue divers. Quant à moi, j'espère que les visiteurs du site prennent suffisamment d'intérêt à la lecture de nombre de ces messages pour devenir membres du fan-club favori ! S'agissant, comme pour la restauration du manoir, d'un processus de longue haleine, tous encouragements sont bien sûr appréciés.

A bientôt pour de nouvelles aventures !

[Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 14 juin 2021 18:38
À : "Cambérabéro"
Objet : RE: Performance site

Cela ne fait aucun doute et me paraît remarquable. Grand merci !

Et je n'ai pas encore repéré quelle fonctionnalité en aurait pâti.

Je signale cependant que, depuis un certain temps, l'horodatage en vigueur dans la tour débloque de deux heures, qu'on ne distingue plus entre l'heure de "création" et l'heure de "publication" et qu'on ne peut plus modifier telle heure, c'est-à-dire la date apparaissant en clair sur le site.

Bien cordialement,

PPF

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De : "Cambérabéro"
Envoyé : lundi 14 juin 2021 18:36
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Performance site

Bonjour Pierre-Paul,

Avec quelques jours de recul, avez-vous observé et apprécié l'accélération x10 de l'affichage des pages "derniers messages" et "l'intégrale" ? (uniquement sur le site public, pas dans la tour de contrôle).

(Fin de citation)

20 mai 2017

Bernard Bistes vient de nous quitter... Participer à faire connaître ton œuvre, modeste hommage, le seul que je peux te rendre Bernard. J'ai eu besoin de tes conseils, toi le très occupé tu es venu, je t'en remercie encore. Tu nous fais mal ! À Dieu Bernard l'emporté mais tellement attachant ! Il y aurait beaucoup à dire, las... qui t'a connu ne pourra t'oublier !

Château de Mauriac - Senouillac (81) Voici un exemple de restauration réussie par un homme seul ou presque. Escapade vers le château de Mauriac, ou comment la Renaissance a adouci l'origine templière... outre la beauté des lieux vous pourrez admirer l'oeuvre d'une vie, l'intérieur a été entièrement décoré et meublé par l'artiste peintre Bernard Bistes, maître des lieux, visite que l'on n'oublie pas, incontournable en Albigeois :

N.D.L.R. : Impressionnant mais il y a comme qui dirait un problème de dosage. Beaucoup de savoir-faire sans doute, mais aussi une irrépressible volonté de le faire savoir. Au manoir favori, on devrait arriver à rester plus sobres, donc éviter la kitschitude. Qui en douterait d'ailleurs ?

Aller-retour ce matin à la "Fnac" de Caen, pour m'y entendre dire, en contradiction totale avec le discours de fin mai, que mon appareil photo "Lumix" marche très bien. Je remise donc la daube d'"Olympus" et je teste, cette après-midi, pendant les répétitions :

Ça a l'air de coller... Tant mieux.

MARIE STUART : UNE MAUVAISE DÉCAPITATION :
En octobre 1586, Marie Stuart est jugée coupable d'avoir voulu assassiner sa cousine : la Reine d'Angleterre, Elizabeth 1re. Sa mise à mort par décapitation a lieu le 8 février 1587 au château de Fotheringhay, devant trois cents personnes sur la demande de Marie d'avoir une exécution publique. Marie Stuart s'attendait à être décapitée par un glaive, or le jour de son exécution, grande stupeur, il s'agit d'une hache de bucheron à peine aiguisée. Le moment fatidique arrive et le bourreau abat sa hache à trois reprises, car les deux premiers coups ne parviennent pas à achever Marie. Le premier coup réalisé par le bourreau ne fait qu'une grande blessure. Dans la salle tout le monde est terrifié, a t'elle pu ressentir ce premier coup? Le deuxième coup lui ne parvient toujours pas à décapiter l'ancienne reine. C'est seulement au bout du troisième coup que le bourreau y parvient. Une exécution barbare qui suscite horreur pour cette reine dont le destin reste et restera tragique :

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.

Première PRUSA de la SVAADE assemblée, réglée, calibrée, en cours d'impression du manoir :[img:500],27 juin 2021.[/img]
N.D.L.R. : Impossible de charger de nouvelles photos sur le site favori. Panne signalée à "Cambérabéro".

N.D.L.R. 2 (à 15 heures 30) : Il semble que la panne ne concerne que mon ordi. Et, dans mon ordi, que le site favori et sa tour de contrôle. Et, là-dedans, que les photos et les vidéos, pas les laïus.

"Cambérabéro" est en train de se pencher sur le problème, à partir de captures de mon écran que je lui ai transmises à sa demande (après avoir appuyé sur le bouton "F12").

N.D.L.R. 3 (à 16 heures 40) : "Cambérabéro" est super-fort, il a réussi à comprendre d'où venait la panne (un bloqueur de publicités, va-t-en savoir pourquoi), puis à déboguer l'affaire. Voici donc la photo attendue de l'imprimante "PRUSA" en action :

N.D.L.R. 4 (à 16 heures 45) : Via "WhatsApp", Jean THUAUDET me montre que la première impression est ratée ; il y aurait un problème de réglage à revoir. Voici le premier essai, qui a donc dû être interrompu...

... mais qui nous montre les alvéoles fabriquées à l'intérieur de la maquette pour la consolider à moindre poids.

Pour Jean aussi, l'après-midi va être studieuse.

[Les endroits insolites du château] 🕵️‍♀️
L’oratoire de la chambre des évêques : un concentré de boiseries merveilleuses 🤩
👉 Cette petite pièce, conçue pour être un lieu consacré à la prière, est recouverte de boiseries. Le rouge et le doré dominent, des murs au plafond en passant par la porte elle même❗️
L’oratoire fait également partie du projet de restauration :

N.D.L.R. : Très réussi !

L’HÔPITAL SAINT LOUIS

Installé au cœur de la Capitale depuis le début du XVII ème siècle.
Il a été très longtemps une dépendance de L’hôpital Dieu seule maison de santé de Paris pendant près de 10 siècles.
Ces bâtiments sont classés ou inscrits aux monuments historiques.

Les “ empestés “ aux origines de l’Hôpital Saint Louis .

C’est en 1606 que l’idée de construire un hospice est introduite pour les médecins et administrateurs de l’Hotel Dieu .
Quelques années plus tôt, le retour de la peste avait été à l’origine de presque 68000 décès à Paris.
Le Roi Henri IV prenait alors conscience qu’il ne pouvait dans un contexte d’épidémies répétitives s’occuper de tous les malades et endiguer la propagation de la peste (à l’époque toutes maladies épidémiques étaient considérées comme telles) dans un hôpital situé au beau milieu des habitations
Comment gérer,isoler, et traiter ces malades les “empestés “ comme on les appelait alors qui sont bien souvent extrêmement contagieux ?
En créant un lieu dédié et les accueillir en dehors de la ville mais suffisamment proche pour que les médecins puissent y accéder plus facilement.
Une vaste maison est construite entre la Porte du Temple et les hauteurs de Belleville.
Le lieu est nommé en l’honneur du Roi Louis IX, lui-même mort d’une maladie épidémique à Tunis en 1270.
L’établissement, dédié à n’être ouvert que pendant les périodes de grandes épidémies, ressemble à une grande forteresse pourvue d’une enceinte de protection et d’une vaste place centrale carrée.
En 1773, l’incendie de l’hôtel Dieu conduit l’ouverture permanente de Saint Louis, mais ce n’est qu’en 1801 qu’il obtiendra son indépendance et deviendra un établissement à part entière, doté de ses propres médecins.
Il conservera son architecture initiale jusqu’à la création du nouvel Hôpital dans les années 1980.
Quatre siècles plus tard nous pouvons donc toujours découvrir les bâtiments (presque) tels qu’ils existaient sous Henri IV.

CHAPELLE DE L'HÔPITAL SAINT LOUIS

Le 13 Juillet 1607 le Roi Henry IV posa la première pierre marquant le début des travaux de l’hôpital le Gros œuvre de La Chapelle fut achevée à la fin de l’année 1608 :

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.

Ma sœur y arrive à l'âge de la retraite ces jours-ci. Mon beau-frère y travaillera encore pendant trois ans.

Mauriac (15)
Portail de l'école Notre-Dame, rue Guillaume Duprat.
Fondé en 1652, l'ancien couvent a traversé les siècles, rencontré maints déboires, mais se dresse fièrement encore aujourd’hui.
Niché dans la partie la plus ancienne de la cité, proche du lycée Marmontel, fondé par les pères Jésuites en 1564. Plus tard, à la moitié du XVIIIème siècle, viendra se rajouter l'hôtel d'Orcet, actuellement sous-préfecture.
Extérieurement, le bâtiment se veut d'une parfaite sobriété. Ses murs gris et austères ne présentent aucune originalité si ce n'est son portail clouté surmonté d'un écusson toujours visible, daté de 1678.

N.D.L.R. : A prendre en compte quand le dossier de la porte principale du logis sera rouvert..

• Portail à 2000 clous de la cour d’honneur du château de Virieu (Isère).
• 11ème siècle : édification du château par Wilfrid de Virieu. Le château passe à la famille de Clermont en 1220.
• 1573 : Antoine de Clermont vend le château et ses terres à Artus Prunier de Saint André, premier Président au Parlement de Grenoble en 1603 et Lieutenant Général du Dauphiné. Il amorce la première révolution architecturale et il perce la grande muraille du chemin de ronde d'un large portail hérissé de deux mille clous pointés en avant, toujours visibles.
• 1874 : le dernier descendant des Prunier de Saint André revend le château à Alphonse de Virieu, le faisant rentrer dans sa famille d'origine. Le château reste inhabité pendant 50 ans.
• 1924-1928 que François-Henri de Virieu restaure le château avec l'architecte Sainte-Marie-Perrin. La marquise de Virieu, veuve à seulement 47 ans se consacre corps et âme au château et recrée fidèlement les jardins à la française conçus plusieurs siècles auparavant. L'aîné de ses héritiers, le journaliste François-Henri de Virieu, créateur de l'Heure de Vérité dans les années 80, aujourd'hui disparu, a transmis le flambeau à ses enfants, qui épaulés par les oncles, s'efforce de poursuivre l'oeuvre de la marquise. Le château est actuellement habité par les descendants.

N.D.L.R. : Porte contemporaine de la Chaslerie.

Je n'en demande pas autant pour le manoir favori.
Même si ça me plairait beaucoup...

Une porte dans le village de Montivernage dans le Doubs (vallée du Cusancin) :

N.D.L.R. : Intéressante.

Porte du XVIIème siècle à Cahors :

N.D.L.R. : Belle mais ces genres de clous me paraitraient "too much" ici.

Retenons que la structure du battant de cette porte pourrait utilement, à mon sens, guider la restauration des portes de la tour Louis XIII.

Bon début de semaine depuis le château de Fiches (Ariège) 😍
🏰 Situé dans le lieu-dit éponyme, en Ariège, le château de Fiches renferme des trésors d’une grande fragilité. En effet, ses plafonds sont richement ornés d’un magnifique bestiaire du début du XVIIème siècle, où s’animent lions, éléphants, singes et autres animaux exotiques au sein d’une nature chatoyante. La grande beauté de ces plafonds leur a valu d’être inscrits au titre des monuments historiques en 2005.
🏆 En 2011, notre Fondation a apporté son soutien (8 000 €) à l’association « Sauvegarde et Découverte du Patrimoine du château de Fiches » pour la restauration des peintures murales et des plafonds peints :

Bonjour Pierre-Paul,

Merci encore pour votre très amical accueil à la Chaslerie.

Concernant les maquettes, quelques idées :

- pour un modèle non-peint, les couleurs "métal" sont plus attractives, mais pour peindre, les grises ou blanches sont plus pratiques.

- graver discrètement dans en coin, en dessous, au début de l'impression 3D, un numéro de version, pour s'y retrouver dans les différents tests. Habitude d'informaticien sans doute, mais c'est pratique.

- dans la même genre, écrire dessous, en 3d, de quoi il s'agit. Au minimum "Manoir de la Chaslerie (Orne). Échelle 1/xxx".

- pour une maquette destinée à être peinte, il pourrait être intéressant de tester d'imprimer séparément le fond (la "dalle du sol") et les élévations, pour pouvoir remplir les alvéoles avec du sable par exemple, puis coller la plaque au fond, pour donner à l'ensemble une densité plus proche de celle de la pierre que du plastique creux. Cela augmenterait peut-être encore l'aspect qualitatif de l'objet (et donc son prix, mais à moindre coût).


Je n'ai pas abordé hier le sujet technique du site, cela nous aurait emmené dans une très longue réunion d'analyse du projet. Votre idée d'utiliser des mots-dièses (hashtag en anglais, mot-clic en québécois) est une bonne solution pour retrouver un contenu.
En revanche je pense que l'organisation en "blogs" distincts deviendrait obsolète, et devrait être supprimée. Elle fait double emploi avec les hashtags, et apporte surtout de la confusion à tous les niveaux.
De plus, le rôle des blogs est inadapté. Par exemple, vous attachez les messages concernant l'architecte à un grand nombre de blogs (tous les bâtiments, tous les corps de métier, ...). Transposé en hashtags, on obtiendrait beaucoup de "bruit" dans les recherches. La moindre recherche, précise, retournerait un résultat trop large, trop flou, pour être exploitable.

Je pense qu'un bon système serait le suivant :

- supprimer la notion de blog

- mettre en hashtags les mots directement concernés, et uniquement ceux-là. Exemple : #architecte. Et si l'article concerne la mission de l'architecte sur un bâtiment précis et/ou un métier précis : #architecte #logis #plomberie.

- les hashtags sont cliquables et renvoient vers la liste des articles liés à ce hashtag. Cela revient à recréer dynamiquement ce qui correspond aujourd'hui à un blog. Mais ici tout hashtag peut devenir un "blog".

- on peut taper dans la recherche un ou plusieurs hashtags pour obtenir les articles liés. Plusieurs hashtags signifie un opérateur "ET" implicite. "#architecte #charpente" renvoie le contenu lié aux deux mots (pas "architecte OU charpente"). Ce comportement pourrait être amélioré pour accepter des opérateurs logiques (ET, OU, SAUF) mais cela me semble peu utile. A voir. Ne pas oublier que vous êtes probablement l'utilisateur quasi-exclusif de ces fonctions sophistiquées.

- si la valeur recherchée contient un mot sans #, la recherche se fait en full-text, comme actuellement. Si la recherche mixe les deux types de mots, le programme recherche dans les deux modes. Exemple : " #architecte charpente" renvoie les articles liés à #architecte et contenant le mot "charpente" sans chercher #charpente. A noter que la performance de la recherche par hashtag est maximale (résultat immédiat), mais la recherche full-text peut être plus lente. Quoique avec seulement 50.000 articles, ça reste un volume faible, permettant une bonne performance.

- on peut conserver sur le site des raccourcis. Dans le menu, la ligne "Charpente" déclencherait une recherche sur #charpente, simulant ainsi le fonctionnement actuel des blogs. A discuter, voir si c'est utile, pratique et pertinent.

- au niveau du back-office ("tour de contrôle") : on peut avoir un outil de gestion des hashtags. Par exemple pour en visualiser la liste, fusionner deux hashtags, ajouter ou supprimer un hashtag en lot sur une sélection d'articles, etc. Il faut que vous puissiez contrôler l'indexation, mais en gardant un outil simple, et sans se lancer dans une programmation interminable.

- la reprise de l'existant. La conversion des liens actuels articles-blogs est facilement réalisable en liens articles-hashtags. Il y aurait beaucoup de bruit (voir plus haut), mais il aurait des méthodes à définir pour nettoyer, sans avoir à réindexer manuellement les 50.000 articles.

- en profiter pour réviser le fonctionnement interne de la diffusion publique/privée, qui actuellement me semble un peu acrobatique, ce qui est souvent mauvais signe dans le domaine de la sécurité.


Vaste programme. Nécessaire cependant pour aller dans le sens de la simplification du site et de son code sous-jacent, et donc de sa maintenabilité à moyen terme. (je me garde de parler de long terme, en informatique c'est une chimère).
Toutes ces orientations restent bien-sûr sur la table, tout est négociable. Ce ne sont à l'heure actuelle que des pistes, basées sur ma propre expérience.

Amicalement,
L.

N.D.L.R. : Extrêmement clair et extrêmement intéressant, comme toujours avec vous.

Un informaticien non autiste, c'est si rare dans ce monde de brutes !

Merci pour le caractère très constructif de vos remarques. Je souscris à tout, même l'abandon du découpage en blogs, c'est vous dire à quel point votre message est convaincant.

Maintenant, comme dit l'autre, y a plus qu'à faire ! Et je ne doute pas de votre capacité à éclairer toutes les étapes et à résoudre tous les problèmes que nous ne manquerons pas de rencontrer lors de cette migration.

Amicalement,

PPF

Immersion au cœur du Moyen-Age garantie au château de Picquigny 🏰🤩🏰 (Val de Somme, à 25 mn d’Amiens). Découvrez ses vestiges pittoresques et imposants érigés depuis des siècles sur les hauteurs de la Vallée de la Somme.
En arrivant à la porte de la barbacane, qui fut jadis un pont levis, vous serez impressionné par la haute façade du corps de logis 💜 :

N.D.L.R. : A rapprocher du portail de Montflaux...

L'été en pente douce :

Jean THUAUDET m'interrogeait hier sur la signification du "taux de rebond", information qui apparaît sur les statistiques de fréquentation du site favori, telles que je les mets en ligne chaque semaine à partir de mon accès à "Google Analytics".

Voici l'explication que j'ai trouvée via "Google". Elle me paraît très claire.

On nous dit qu'un taux de rebond supérieur à 50 % n'est pas un signe de santé du site concerné.

Dans le cas du site favori, je suis d'avis que cette remarque n'est guère applicable. Il me paraît clair que son lectorat est largement constitué de membres du "fan club", habitués à ne consulter que les vingt "derniers messages" où ils trouvent un suc apte à embellir leur existence.

Du moins je l'espère. Pour eux comme pour moi.

Effondrement estival :