Vie du site

Bonjour PPF.
Visite du château d'Oiron ce week-end avec Marceau. J'ai pensé à vous devant les portes :

Oiron.

Oiron.

Ce modèle se trouve dans quasiment toutes les pièces.
Bon réveillon à vous. Salutations.
PM

N.D.L.R. : Merci. Tous mes vœux pour vous aussi et pour le jeune Marceau.
Quel était le quotidien des enfants royaux au XVIè et au début du XVIIè siècle, avant que le culte monarchique poussé à son paroxysme ne sépare dès l’enfance le prince des autres mortels ? Des années passées essentiellement à l’air pur du Val-de-Loire, loin des parents mais auprès de serviteurs dévoués et rigoureusement sélectionnés !

Le choix de la nourrice est essentiel. Les femmes de la haute noblesse, et à fortiori les reines, n’allaitent jamais leur progéniture. Le célèbre Ambroise Paré, chirurgien des rois Henri II, François II, Charles IX et Henri III, énumère les qualités qu’il juge indispensables à celle qui va remplir cette fonction. Il faut qu’elle ait « enfanté deux ou trois enfants » et qu’elle soit « sans aucun soupçon de lèpre ou de vérole ». C’est mieux… Son âge doit être compris entre 25 et 35 ans. Il faut en outre qu’elle soit « bien carrée de poitrine […], ni trop grasse ni trop maigre, sa chair non molasse, mais ferme » car elle est alors considérée plus robuste et plus apte à veiller au bien-être de l’enfant. Détail important : les rousses sont prohibées ! Le mieux en terme de carnation ? Une « brunette, parce que le lait est meilleur que celui d’une blanche », cette-dernière étant de tempérament moins « chaleureux ». La nourrice doit en outre manifester des qualités morales : être joyeuse, chaste, sobre (on ne veut pas d’une poivrote !), riante et surtout… dynamique. Les paresseuses prennent la porte.

Marie de Médicis et son fils le dauphin Louis, futur Louis XIII, âgé de 3 ans – Peinture par Charles Martin en 1603 – Musee des Beaux-Arts de Blois


N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Le manoir de Verdigné se situe sur la commune d'Avesnes en Saosnois, il a été construit vers 1570 :

N.D.L.R. : Trouvé par hasard sur "Facebook". Contemporain de la Chaslerie. Et, en plus, pas loin d'ici (il faudra que j'y passe une tête). Etonnant, non ?

Et en plus, je dois être à 14 heures à Saint-Georges-du-Bois (c'est-à-dire dans le secteur, près du Mans) pour récupérer les 28 solives récemment achetées sur "leboncoin.fr". Bien envie d'y passer une tête dès aujourd'hui...

L'application "Waze" de mon téléphone portable m'indique que ce manoir se trouve à 111 km de notre manoir favori et qu'il me faudra 1 h 37 pour m'y rendre...
Manoir de Favry
C'est un manoir du XVIe siècle, il relevait du comté de Laval, situé à Favry, 53 340 Préaux entre Le Mans et Laval , Chambres d'hôtes et magnifiques jardins :

N.D.L.R. : Superbe ! Et si "cosy" ! Y arriverai-je un jour ? Ou mes successeurs, plus vraisemblablement ?

A l'évidence contemporain de la Chaslerie. Encore un manoir à visiter à l'occasion.
Châteaux, Manoirs et Gentilhommières (via "Facebook")
rédigé le Samedi 11 Janvier 2020
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles - Florilèges
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BORIE PETIT à Champcevinel, 24 Dordogne, Nouvelle Aquitaine .
À l’origine une borie est une bouverie ou maison des bœufs, un domaine agricole où le métayer laboure avec des bœufs.
Ouvert à la visite en été :

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.

Borie Petit.


N.D.L.R. : En partie contemporain de la Chaslerie.
La date de l'assemblée générale de notre petite copropriété parisienne approche à grands pas et, depuis plus d'un mois, je n'ai plus rien fichu pour préparer cette fête, tant la perspective de reconstituer puis de contrôler une comptabilité largement en déshérence depuis une bonne douzaine d'années me casse les pieds.

Pour me (re)donner du cœur à l'ouvrage et disposer ensuite d'une base de données où le moteur de recherche de notre site favori n'aurait pas de mal à retrouver ses petits, je crée, dans les pages "Privé" de ce site un sous-onglet que j'appelle "15 JJ" (par voie de conséquence, le sous-dossier "Lieux" devient "Autres lieux"). Pour accéder à "15 JJ", il faudra disposer d'un mot de passe spécifique (ne permettant pas d'accéder aux autres pages "Privé") que je communiquerai aux seules personnes concernées en l'état du dossier, à savoir Carole, nos deux fils et notre voisin.

Ce sous-onglet pourra contenir des messages datés antérieurement à sa création, ceci pour permettre au moteur de recherche de fonctionner dans les meilleures conditions.
[Légende] Énée et la Sibylle. Énée, mené par la Sibylle, découvre le monde des morts. Il y rencontrera son père Anchise qui lui montrera ses futurs descendants, dont Auguste appelé à mettre en place un empire puissant et en paix.
Huile sur cuivre de Jan Brueghel l’Ancien (1568-1625), 1598.

© Johnny Van Haeften Ltd, London/Bridgeman Images.


N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Jacques ATTALI (via "Facebook")
rédigé le Mardi 28 Janvier 2020
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
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Pause, s’il vous plaît !

Les mots ont toujours tué. Soit par le mal que l’insulte et la diffamation peuvent faire. Soit par l’incitation à la violence physique qu’ils peuvent entraîner.
Des gens insultés, harcelés, au travail ou dans leur vie privée, ont mis fin à leurs jours. Des gens dont on promène la tête au bout d’une pique, dont on encourage à l’usage de la force pour leur faire quitter un pouvoir démocratiquement conquis, ne sont pas loin d’être dans la même situation : le harcèlement politique n’est jamais bon pour la démocratie.

On en est là aujourd’hui, dans beaucoup de pays.

En Grande Bretagne, en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne, et dans tant d’autres pays, la violence des mots atteint des proportions folles. Les propos hallucinants du président des Etats-Unis et de ses soutiens allument bien des mèches. A l’autre extrême, certains extrémistes écologistes en arrivent à demander qu’on en finisse avec l’espèce humaine, parce qu’elle a depuis toujours eu le projet de soumettre la nature. Dans un tout autre contexte, le discours de haine des fondamentalistes a précédé leur passage à l’acte ; contre les femmes, contre les infidèles, contre leurs propres coreligionnaires, contre ceux qui mettent en avant les principes de la laïcité.

Les réseaux sociaux ajoutent à cette libération de la parole. La haine y est partout. Les menaces de mort, en général anonymes, s’y multiplient. Comme si ces gens-là prenaient prétexte de ne pas être entendus, dans le cadre des institutions, pour crier de plus en plus fort. Cela ne s’arrêtera pas au champ de la politique. Ce langage deviendra celui de la conversation quotidienne, et la menace n’y sera plus, ne sera plus virtuelle. C’est là où « la banalité du mal », concept philosophique imaginé en 1963 par Hannah Arendt à propos de Adolf Eichmann, prend un tout nouveau sens.

Ce retour de la violence verbale, prélude à celui de la violence physique, est particulièrement inquiétant en France, pays qui n’a jamais accepté l’idée de se réformer, et qui n’avance que par des révolutions. Au point que ce sont des révolutions, ou des coups d’Etat, qui ont enfanté, d’une façon ou d’une autre, nos cinq républiques.

Les comportements de l’ancienne direction de France Telecom, qui a poussé au suicide bien des employés de la firme, rejoignent les discours hallucinants des dirigeants de la France Insoumise, qui en appellent à la violation des lois, à la violence physique contre le président de la République et les élus de son parti. Et plus encore, ces dirigeants politiques, appuyés par quelques syndicalistes et quelques associations, soutenus par quelques médias suicidaires, en sont même à organiser des retraites aux flambeaux : n’importe qui avec un peu de culture y voit un rappel des grandes parades fascistes et nazies. Et même s’ils prétendent que cela renvoie aux premiers 14 juillet, ce rappel de la révolution française met surtout l’accent sur l’horreur de la Terreur, symbolisée par les abjectes silhouettes de la tête d’Emmanuel Macron placée au bout d’une pique.

Tout cela ne sert que Marine Le Pen, dont pourtant tout, en principe, sépare l’extrême gauche. Oui, Jean-Luc Mélenchon, qui fut un grand ministre et qui reste un homme cultivé, est en train de devenir le marchepied de l’extrême droite. Ce ne serait pas le premier, dans la gauche française, à avoir fait ce chemin. Sans doute le fait-il, au moins inconsciemment, pour faire battre celui qui le dérange surtout parce qu’il a réussi à conquérir démocratiquement en six mois un pouvoir dont lui, Mélenchon, rêve depuis quarante ans.

Je dis cela sans viser particulièrement un élu. Ni pour défendre un président particulier de la République. Ni pour soutenir des réformes dont je n’approuve pas toutes les modalités. Ce sont les institutions qui sont en cause. Ce sont elles qu’il faut défendre. Et en particulier la liberté d’opinion, la liberté de la presse, la liberté syndicale, qui seront les premières victimes de ce que ces fossoyeurs croient défendre.

Il faut y mettre fin au plus tôt.

D’abord en appliquant avec rigueur les lois de la république, qui condamnent ce genre de comportements, même si leurs auteurs sont des représentants du peuple, ou des syndicalistes : Plus on a de responsabilités publiques, plus on doit donner l’exemple.

Ensuite en dénonçant, discréditant ceux qui tiennent de tels propos, même s’ils ne sont pas illégaux. Ils doivent comprendre qu’insulter, crier, n’est pas un argument, et ne convainc personne. Ils doivent comprendre que, par leurs fonctions même, leur rôle est d’être les intermédiaires des inquiétudes et des colères des peuples, et non de les exacerber.

La République est notre bien commun ; et avec elle, la tolérance, la laïcité, et bien d’autres trésors. Soyons en fier. Ne les bafouons pas. En faisant des mots les alliés, et non les ennemis, de la liberté.

j@attali.com

N.D.L.R. : D'accord.

Défendre la liberté d'opinion, la liberté d'expression : vaste programme !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 30 Janvier 2020
Vie du site - Statistiques de fréquentation
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Je viens de parcourir les 320 derniers messages mis en ligne sur ce site en m'attachant plus particulièrement à ceux qui ont été "individualisés" le plus grand nombre de fois. Cela me paraît riche d'enseignements. Il faudra que j'élargisse le champ de cet examen et que j'en rende compte quand j'en aurai le temps.

En quelques mots, il y a eu comme une poussée de fièvre à propos des messages relatifs au vieux pavement de la cour.

Pour autant, je ne suis pas équipé pour déterminer facilement quand un tel échauffement aurait eu lieu. Il aurait fallu que je contrôle le compteur des "individualisations" plus souvent.

C'est pourtant à partir de telles données que je peux sentir venir suffisamment tôt de quel côté des difficultés pourraient apparaître. Mais l'on voudra bien admettre que ce type de vérifications est très fastidieux. Et je ne suis pas flic.
Comme je l'ai déjà dit de nombreuses fois, ce site a pour moi le très gros avantage de me permettre de retrouver très facilement la moindre information très pointue qui y aurait été mise en ligne. Ceci tient à la présence de deux moteurs de recherche, l'un sur le site-même, l'autre dans la "tour de contrôle".

Ainsi, je viens d'entrer "taux de subvention" dans le moteur de recherche de la "tour de contrôle" et, grâce à cet outil très performant, j'ai immédiatement retrouvé le texte d'un courriel d'il y a trois ans environ où j'expliquais à la tutelle les réalités de ma comptabilité et les ratios que j'en tirais. J'avais immédiatement cantonné ce texte à la partie "Privé" du site, plus précisément sous l'onglet "Privé/Finances etc" ; donc, en procédant comme moi, vous ne le retrouveriez pas et tomberiez sur une impasse (sauf à disposer du mot de passe nécessaire, ce qui n'est le cas que de trois personnes à ce jour, à savoir Guillaume GENDRAUD, ès-qualité de "geek en charge", ma belle-fille et moi).

Or, selon l'ami dont j'ai fait état hier, il ne serait pas inutile que je me tienne prêt à répondre à ce sujet à l'exaspération, si j'ai bien compris (mais je n'en suis pas sûr), de prochains interlocuteurs qui trouveraient que je me plains trop en la matière alors que, selon eux, je serais bien loti.

En réalité, il semble que ces interlocuteurs et moi, lorsque nous évoquons ledit ratio, nous ne mettions pas les mêmes choses au numérateur et au dénominateur, ce qui n'est certes pas la meilleure façon de parvenir à un diagnostic commun. Et, bien naturellement, ma façon de voir aboutit à minorer ledit ratio quand je trouve que la leur a l'effet inverse. Il faut donc que j'explicite mon mode de calcul et, pour commencer, que j'actualise mes chiffres, au moins en les complétant sur la période la plus récente (ce qui amènera, d'ailleurs, à distinguer entre subventions programmées et subventions reçues). Je compte m'y employer, avec toute la sérénité nécessaire, avant leur prochaine visite, de manière à favoriser le caractère constructif de nos échanges, ce qui est évidemment mon seul but à leur sujet.
HAUTEFORT, Périgord Noir, 24 Dordogne, Nouvelle Aquitaine. à 40 km de Périgueux, créé sur une période allant de la fin du 16e siècle à la fin du 17ème siècle sur les bases d’une ancienne forteresse médiévale. c’est l’un des rares édifices classiques de la Dordogne. Actuellement propriété d’une fondation, ouvert à la visite de mars à novembre.


N.D.L.R. : Pour partie contemporain de la Chaslerie.

Quand je vois les difficultés sans fin auxquelles je ne cesse de me heurter pour restaurer notre manoir favori et le drainage permanent et massif que cela entraîne sur mes finances de retraité de la fonction publique, je ne peux que me demander qui peut aujourd'hui en France entretenir un truc pareil.

N.D.L.R. 2 : J'ai la réponse...

Et dire que j'ai assez bien connu un gendre... et qu'un autre est le fils d'un ancien collègue...
J'ai passé de nouveau une partie de l'après-midi au manoir de Cléray, à Belfonds, donc non loin de la cathédrale de Sées. En excellente compagnie, ma foi.

En partant, j'ai pris une photo de la porte de la salle où nous étions réunis :

19 février 2020.

Un beau modèle, Louis XIII d'après moi, donc de nature à nous inspirer lorsque nous en serons à restaurer des boiseries murales de notre manoir favori.
Il s'agit là d'un château français, édifié au cœur du plus grand parc clos privé d’Europe (704 hectares entourés par 10,6kms de murs).

Le château de Montjeu a été construit au début du XVIIème siècle (1606-1622).

C’est Pierre Jeannin (président du Parlement de Dijon et conseiller d’Henri IV) qui entreprend sa construction.

Beaucoup sont à l’époque surpris que « le Président » choisisse un tel lieu, complètement désert, pour bâtir un château. Il répondra cette phrase : « Je serai toujours assez loin de mes ennemis et mes amis sauront bien me trouver »

En 1734, Voltaire se rend au château pour assister au mariage du maréchal de Richelieu.

Au cours du XIXème siècle, il appartiendra aux Talleyrand par le biais d’un mariage.

En 1939, un industriel du bois, Roger Louis Démon, achète la propriété et entame un grand chantier de restauration qui lui vaudra son inscription aux titres des Monuments Historiques, après la guerre.

A la fin des 1980, c’est le milliardaire Franco-britannique Sir Jimmy Glodsmith qui l’acquiert. Il démarre une très grosse campagne de restauration, notamment avec la reconstruction des jardins et bassins, tombés en ruines. Le résultat est assez spectaculaire.
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A NOTER: le château de Montjeu (Saône-et-Loire / Bourgogne) est une propriété privée, qui n'est - malheureusement - pas visitable.


N.D.L.R. : Magnifique et presque contemporain de la Chaslerie.
Visite, cette après-midi, du château d'Ecouen, sous la conduite de Thierry CREPIN-LEBLOND, conservateur général du patrimoine et directeur du musée national de la Renaissance :

27 février 2020.

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Un pavage qui doit dater du XIXè siècle :

27 février 2020.

Petit rappel historique :

27 février 2020.

Une porte intéressante :

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Des plafonds hélas décapés au XIXè siècle :

27 février 2020.

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Notre hôte :

27 février 2020.

Un morceau d'épi de faîtage :

27 février 2020.

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Un pavage dont on ne sait s'il a correspondu à la vérité :

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Des idées pour notre manoir favori :

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Des descentes de gouttières d'époque :

27 février 2020.

Traversée de la cour pour se rendre dans les appartements royaux :

27 février 2020.

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Cuir de Cordoue (pour décorer les murs l'été, à la place des tapisseries) :

27 février 2020.

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On affichait une belle santé en ce temps-là :

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Cette visite avait été organisée par "Patrimoine-Environnement", association dont je ne suis pas membre mais qui m'envoie régulièrement des courriels.
🐦🌷 Aujourd'hui nous vous ouvrons la porte de la chambre de Claire-Clémence, princesse de Polignac, fille unique de la dernière propriétaire, la marquise de Maillé !
Vous pouvez aussi voir sa salle de bain, très moderne, et son "dressing" où nous pouvons encore l’imaginer en train de s’apprêter. 💄👛


N.D.L.R. : Il paraît que le tissu de la chambre est du modèle "Touraine" de la "maison Pierre Frey". Ce décor est certes raffiné mais trop froid pour mon goût.