Vie du site

ÉCOLE DE FONTAINEBLEAU (Fin du XVIe siècle)
Portrait présumé de Gabrielle d'Estrées et de sa sÂœur la duchesse de Villars
Vers 1594
H. : 0,96 m. ; L. : 1,25 m.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie. Et ça me fait penser qu'il est grand temps que j'aille prendre ma douche...
Michelangelo Merisi da Caravaggio (Milan, 29 September 1571 – 18 July 1610) was an Italian painter active in Rome, Naples, Malta, and Sicily between 1592 and 1610. His paintings, which combine a realistic observation of the human state, both physical and emotional, with a dramatic use of lighting, had a formative influence on Baroque painting.
Caravaggio's innovation was a radical naturalism that combined close physical observation with a dramatic, even theatrical, use of chiaroscuro which came to be known as tenebrism (the shift from light to dark with little intermediate value).

Sette Opere di Misericordia (Pio Monte della Misericordia, Naples) :

Sette Opere di Misericordia - Michelangelo Merisi da Caravaggio<br />
(Pio Monte della Misericordia, Naples).

Il Martirio di S.Ursula :

Il Martirio di S.Ursula - Michelangelo Merisi da Caravaggio.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
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Rencontré ce matin à Domfront mon conscrit, le dynamique Jean-Paul BOISGONTIER, qui m'annonce une visite de ses randonneurs à la mi-mai, avec pique-nique à notre manoir favori.

Il m'a vu sortir de chez l'horloger en tenant la photo de mes petits Chinois. Il l'avait déjà repérée sur notre site favori. C'est donc un membre actif de la fine équipe du fan-club !
Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, " Scene della vita di San Matteo", 1599-1602 - Cappella Contarelli, San Luigi dei Francesi, Roma -

Grazie all'intercessione del Cardinal Del Monte, nell'estate del 1599 Caravaggio ottenne il suo primo incarico pubblico: una commissione che avrebbe inaugurato un periodo totalmente nuovo della sua carriera. Le fasi preliminari della decorazione erano iniziate nel 1565, quando un prelato della Corte Pontificia, Mathieu Cointrel (italianizzato in Contarelli) acquistò l'ultima cappella a sinistra della navata della chiesa romana. Sin dall'inizio il programma iconografico prevedeva le scene della vita di San Matteo, commissionate di volta in volta a diversi pittori. Cointrel diede l'incarico a Girolamo Muziano, che però per ragioni ancora sconosciute rinunciò all'incarico per eseguire un ciclo analogo in Santa Maria in Aracoeli. Di conseguenza, l'esecutore testamentario di Mathieu Cointrel affidò la pala d'altare ad uno scultore fiammingo, Jacob Cornelisz Cobaert, e la volta e le pareti laterali al Cavalier d'Arpino. Anche questa volta, il progetto si arenò, il Cavalier d'Arpino eseguì solamente gli affreschi della volta e Cobaert ritardò ancora la consegna della scultura. Viste le diverse sventure, la decisione sulla decorazione cadde nelle mani della Fabbrica di San Pietro, la cui Congregazione aveva il compito di trovare il nuovo artista che avrebbe portato a termine il lavoro. Uno dei componenti della Congregazione era il Cardinal Del Monte, alla cui influenza si deve probabilmente l'incarico affidato a Caravaggio. Il Merisi inizialmente doveva eseguire solamente le due tele laterali, ma alla consegna della scultura di Cobaert (che evidentemente non soddisfò le aspettative della Congregazione, dal momento che lo rifiutarono) fu incaricato di eseguire anche la pala d'altare. I lavori di Caravaggio, iniziati nel 1599, si protrassero fino al 1602.

Anche qui mi sono dilungato molto, ma essendo forse l'opera più conosciuta e importante di Caravaggio ho preferito raccontare un minimo la storia. Nei prossimi giorni, pubblicherò le singole opere presenti nella cappella (anche la prima versione del San Matteo e l'Angelo). Continuate a seguirci! (Luca)

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Maisons paysannes de l'Orne
rédigé le Mardi 17 Février 2015
Liens divers - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Annonces - Dans l'Orne - Vie du site
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N.D.L.R. : Je compte bien venir (au moins à l'A.G. mais le programme pour la suite est tentant).

Voici les liens fournis :
www.maisons-paysannes.org
http://basse-normandie.maisons-paysannes.org/dpt/orne/animations-2014/
http://www.maisons-paysannes.org/restaurer-et-construire/fiches-conseils/
http://www.arpe-bn.com/files/batiancien_septembre2013.pdf
Bernard et Christine AUGEREAU VACHER
rédigé le Vendredi 20 Février 2015
Livre d'or - Vie du site - Statistiques de fréquentation
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Le club des grands-parents s'honore de l'arrivée de Garance. Nous félicitons bien sûr Thibaud et Anne-Violette mais aussi nos deux "collègues" en espérant que nous trouverons de nombreuses occasions de garder nos héritiers ensemble (3 1/2 pour nous à ce jour).
Bien affectueusement.

N.D.L.R. : Il faut reconnaître que l'un des importants avantages de tels événements est de permettre, par le simple constat de la plus ou moins grande célérité des réactions, un étalonnage de l'assiduité des membres du fan-club (du moins ceux qui ont fait leur "coming out").

Famille AUGEREAU, il y a encore des progrès à faire, semble-t-il, en ce domaine que je suis de près.

On vous embrasse quand même. Bien affectueusement.

Notre site favori semble devenu un incontournable "must" des grands de ce monde !

Hier soir, vers 20 h 30, alors que je roulais vers Paris afin d'y retrouver la plus gentille, la plus mignonne, la plus jolie petite-fille de la Terre, le téléphone a sonné.

Le temps de me garer (mais oui, mais oui, car il ne me reste plus que 4 points au permis...), je décroche et voici, au moins en substance (je n'ai jamais été bon pour les verbatims), le début du dialogue :
PPF : Allo ?
Le correspondant : Bonsoir Pierre-Paul, ici Jean de LAMBERTYE.
PPF : Ah bonsoir, je crois bien que je sais pourquoi vous m'appelez.
JL : Oui, je voudrais vous dire que je compte sur vous pour vous présenter au concours de la "Demeure Historique". Je lis régulièrement votre blog que j'apprécie beaucoup etc...

Là, il faut que je vous avoue que lorsque n'importe qui me prend ainsi par les sentiments, mon esprit part vite se poser sur un petit nuage rose dont il met longtemps à redescendre. A plus forte raison lorsque mon interlocuteur est le président d'une association que j'apprécie beaucoup (lui comme l'association). Et lorsqu'un tel personnage a la bonté d'ajouter qu'il a gardé un très bon souvenir de nos contacts professionnels il y a 22 ans déjà (si je compte bien), alors, là, je me retrouve carrément en orbite géostationnaire, loin, très loin, là-haut dans le ciel.

Bref, tout ceci pour vous dire que me voici bel et bien piégé, je vais devoir me présenter à ce concours. J'ai eu beau affirmer que je ne pensais pas la Chaslerie digne de figurer au palmarès, il n'y a rien eu à faire et Jean de LAMBERTYE m'a répondu du tac au tac que ce n'était pas son problème mais celui d'un jury indépendant qu'il avait bien veillé à mettre en place.

Quelle misère, il va encore me falloir préparer un dossier ! Certes, je me verrais bien attribuer une sorte de "César d'honneur" pour l'ensemble de mon œuvre, je veux dire la restauration de notre manoir favori et (et = y compris, je souligne) l'animation d'un blog unique en son genre sur les sujets y afférents. J'estimerais même légitime qu'un prix national me soit attribué pour notre seul site favori. Et, d'ailleurs, je comprendrais tout à fait qu'un tel prix me soit interdit en raison de ma liberté de ton bien connue qu'un jury sérieux et digne de ce nom ne saurait évidemment cautionner, même si nous sommes quelques-uns à nous en délecter parfois.

Mais un prix pour récompenser "10 ans de restauration", c'est loin d'être gagné. D'abord, parce que j'ai dépixellisé trop de photos, pour pouvoir les mettre en ligne ici sans surcharger outrageusement la bécane. La matière première me manque donc pour impressionner le jury comme il conviendrait, puisque, si j'ai bien compris, ses débats se tiennent après projection des images soumises à son appréciation.

Donc je lance un appel. Avis aux amateurs ! On va essayer, cette fois-ci, de ne pas reproduire l'impair du concours des V.M.F. de l'an dernier. On va, sans tarder, tâcher de repixelliser ces fichues photos qui ont, sans nul doute, affaibli le précédent dossier.

Qui sortira du bois pour m'aider à rattraper cette mayonnaise ?

P.S. : Il me semblait que j'avais déjà écrit que notre manoir favori ne me paraissait pas digne de recevoir ce prix de la D.H. Mais, j'ai eu beau passer en revue les 12 dernières pages de "L'intégrale", je ne retrouve pas où. C'est peut-être dans un commentaire (accessible en cliquant sur une des icônes représentant une chaîne). Ou bien dans les pages "Privé". Je ne sais pas non plus comment je pourrais actionner dans ce cas le "moteur de recherche". Mais j'ai la flemme, cette fois-ci, de passer plus de temps à me casser la tête.

P.S. 2 : Eurêka, j'ai fini par trouver ! Il fallait d'abord lancer la recherche "Demeure Historique" puis se rappeler que mon observation figurait dans un commentaire. Donc pas encore trop gâteux, le Bon-Papa...
La journée d'hier, avec les V.M.F. de la Manche, a commencé par une visite de l'exposition "Beauté divine !"

Couverture du catalogue - Saint Joseph père nourricier du Christ - Quatrième quart du XIXème siècle - Eglise paroissiale Saint-Martin de Villers-sur-Mer (Calvados) - Page 384 du catalogue.

26 février 2017.

26 février 2017.

Notre petit groupe d'une trentaine de personnes a bénéficié des commentaires très clairs et érudits de Mme Brigitte GALBRUN, conservatrice des objets mobiliers de la Manche :

26 février 2017.

A mon habitude, j'ai souhaité prendre des photos des tableaux qui m'intéressaient particulièrement ou de leurs détails qui me rappelaient un cher "avatar"...

26 février 2017.

... un décor de la chapelle de notre manoir favori (comme le rideau théâtral suivant)...

26 février 2017.

... quand il ne s'agissait pas du portrait d'un commanditaire presque contemporain de la Chaslerie :

26 février 2017.

Mais, très vite, une gardienne barbue m'a stoppé dans mon élan. Je me bornerai donc à faire part de quelques réflexions personnelles, après avoir scanné quelques photos du catalogue de l'exposition, superbement prises par Patrick MERRET, photographe à la direction de l'inventaire général du patrimoine culturel de la région Basse-Normandie.

Je note tout d'abord qu'à la suite de la contestation des Protestants, l'Eglise a, lors du concile de Trente, réformé l'iconographie des édifices religieux. Par voie de conséquences, les jubés et les tableaux issus de la tradition médiévale des mystères ont disparu. Triste destin de trop d'œuvres d'art, comme nous l'a encore rappelé brutalement la presse hier soir...

L'exposition est structurée autour de thèmes didactiques bien choisis. Ceux-ci ne ressortent pas bien du catalogue où il est dommage que ne figure pas une carte de la provenance des toiles exposées (on devra donc se contenter ici de ma mauvaise photo ci-dessus).

S'agissant de l'Orne, les églises dont ont été provisoirement retirés les tableaux exposés sont notamment celle, voisine, des Yveteaux (Eglise paroissiale Saint-Taurin - Annonciation (1669) par Marc-Antoine RESTOUT - Huile sur toile - h:208 ; la : 132 ; page 391 du catalogue)...

Les Yveteaux, tableau de Restout.

... et celle, remarquable (elle fait l'objet d'une notice dans le catalogue), de notre charpentier-couvreur favori, à savoir Saint-Nicolas-de-Sommaire :

Ensemble de la nef depuis le chœur - Eglise Saint-Pierre - Saint-Nicolas-de-Sommaire(Orne). Page 64 du catalogue.

Ensemble du maître-autel (1657) - Eglise Saint-Pierre - Saint-Nicolas-de-Sommaire(Orne). Page 67 du catalogue.

De l'Orne, je remarque également, provenant de Héloup, une Adoration des bergers presque contemporaine de la Chaslerie (fin XVIè début XVIIè - huile sur toile - h : 110 ; la : 80 - Page 266 du catalogue)...

Adoration des bergers - Héloup (Orne).

... de Longny-au-Perche (commune où se trouve un excellent traiteur, M. LALAOUNIS, tout le monde m'en fait des compliments après le mariage que vous savez), dans l'église paroissiale Saint-Martin, une Adoration des bergers (1629 ; huile sur toile - h : 225 ; la : 150 ; page 280 du catalogue)...

Longny-au-Perche (Orne).

... de Neauphle-sur-Dive, une Donation du Rosaire, datée de 1627 (huile sur toile - h : 178 ; la : 149 ; page 312 du catalogue)...

Neauphle-sur-Dive (Orne) - Eglisse paroissiale Saint-Martin - Donation du Rosaire - 1627.

... de Suré, une Cène, datant de 1629, par André Païs (huile sur bois - h : 129 ; la : 230 - Page 366 du catalogue), portant une inscription à gauche et le donataire à droite ; j'apprends que Judas se reconnaît traditionnellement, non seulement à sa bourse, mais aussi au tissu rayé de son costume :

Suré (Orne) - Eglise paroissiale Saint-Martin - Cène par André Païs.

Détail de la Cène de Suré.

D'ailleurs que de l'Orne, on pouvait s' intéresser à des tableaux presque contemporains de la Chaslerie, comme à Barfleur (Manche), une Visitation datant de la fin XVIè début XVIIè (huile sur toile - h : 190,5 ; la : 129,5 - Page 174 du catalogue), dont le cadre d'origine est particulièrement réussi, avec son décor de fleurs, de poires et de petites baies, en parfaite harmonie avec les couleurs du tableau...

Barfleur (Manche) - Eglise paroissiale Saint-Nicolas.

... à Orbec (Calvados), une Conversion de saint Augustin (deuxième quart du XVIIè - huile sur toile - h : 222 ; la : 149 - Page 316 du catalogue) qui m'a attiré grâce à sa représentation d'un jardin dont on pourrait s'inspirer le jour où nous restaurerons le Pournouët...

Orbec (Calvados - Eglise paroissiale Notre-Dame.

... enfin à Valognes (Manche), une immense Adoration des bergers, datée de 1641, signée de Laurent de LA HYRE (huile sur toile - h : 413 ; la : 291 - Page 376 du catalogue) :

Valogne (Manche) - Abbaye des bénédictines, Notre-Dame-de-Protection.

Mes découvertes ont débordé du cadre de l'Orne ou de l'époque de notre manoir favori. Je suis en effet tombé en arrêt devant trois tableaux représentant l'Assomption, exposés les uns à côté des autres :

- l'un, provenant de l'église paroissiale Notre-Dame d'Orbec (Calvados), daté de 1644, dû à Georges Rüge (huile sur toile - h : 242 ; la : 149 - Page 314 du catalogue) :

Orbec (Calvados).

- un deuxième, provenant de l'église paroissiale d'Irai (Orne), daté de 1688, est signé par Julien Marc, sieur de la Boulangerie (huile sur toile - h : 163 ; la : 153 - page 268 du catalogue) :

Irai (Orne).

- un troisième, provenant de l'église paroissiale Notre-Dame de La Rochelle-Normande (Manche), portant l'inscription "PETI... 1719 ?" (huile sur toile - h : 209 ; la : 159 - Page 331 du catalogue) :

Irai (Orne).

Notre conférencière nous a expliqué que ces trois tableaux sont des adaptations d'une Assomption, peinte par Pierre-Paul RUBENS vers 1618-1619 pour l'église Notre-Dame de la Chapelle à Bruxelles...

L'Assomption, par RUBENS.

... qui a fait l'objet de plusieurs versions gravées (d'où le retournement de l'image), notamment par le flamand Paul PONTIUS (1603-1658).

L'Assomption - Gravure de Pontius.

Mon regard a d'abord été attiré par le mollet gauche du personnage de gauche, puis par la posture du personnage de droite et je me suis dit que j'avais déjà vu ça quelque part.

Me revint alors en mémoire une croûte que j'ai achetée (en compagnie d'un ami qui se reconnaîtra puisqu'il fait désormais partie de notre fan-club favori), en 2004, au dépôt-vente de Tanis (près de Pontorson), que j'ai fait restaurer par Agnès ARCHIMBAUD, de Villedieu-les-Poëles, dont j'étais alors un client assidu, puis encadrer par un excellent artisan du Pré-Saint-Gervais, Pierre LAVERGNE.

Ce tableau, le voici :

27 février 2015.

Etonnant, non ?

Bon, comme vous le voyez, le moment était venu, après tant de découvertes, de faire un break. Donc direction "Le bouchon du Vaugueux"...

26 février 2015.

... avant de repartir pour de nouvelles aventures !

P.S. : Bien entendu, ma recommandation est que vous ne vous contentiez pas de ce message mais que vous alliez visiter cette exposition. Elle a été remarquablement préparée, fait honneur à toute la Basse-Normandie, nous rappelle la profondeur et l'authenticité des racines chrétiennes de notre pays et vaut donc incontestablement le détour.
Quand la réglementation est absurde, il est toujours heureux que les fonctionnaires chargés de l'appliquer soient des personnes dotées d'une grande courtoisie et de beaucoup de bon sens. Tel est le cas, dans la configuration actuelle, avec l'ensemble de mes interlocuteurs au S.T.A.P. d'Alençon et à la D.R.A.C. de Caen.

Après ma diatribe d'hier matin contre des formulaires invraisemblables et les lenteurs qui en résultent, je tiens donc à saluer chacune de ces personnes et à rendre hommage à leur dévouement que j'ai toujours admiré.

On se doute que, si les mêmes pouvoirs étaient confiés à des imbéciles - ou, ce qui serait pire certainement, à des individus mesquins et attachés, par déviance personnelle, à une application sans recul de textes inutilement paperassiers - la vie pourrait rapidement devenir un enfer.

L'avantage d'un site internet comme celui-ci est de pouvoir signaler quand la paperasserie dépasse des limites de bon sens (si tant est que le bon sens soit recevable en la matière).

Je suis particulièrement attaché à ce rôle de notre site favori (et des deux autres dont je suis également le "webmaster"), je crois qu'on l'a bien compris.

"Arissou arissat, castagne lusente !"
Jacob Van Hulsdonck (Flemish,1582 - 1647)
Still Life, 1615
Oil on Oak Panel
(A STILL LIFE WITH ARTICHOKES, RADISHES, ASPARAGUS, PLUMS, CHERRIES AND PEACHES IN A BASKET, TOGETHER WITH A HAM AND PIG'S TROTTERS ON PEWTER PLATES, A HERRING, A TONGUE AND SOME BUTTER ON BLUE-AND-WHITE DISHES, MULBERRIES IN A BLUE-AND-WHITE BOWL, A KNIFE, BREAD, CHERRIES, GRAPES AND A LEMON WITH A BROKEN BERKEMEYER GLASS, ALL ON A TABLE PARTLY DRAPED BY A WHITE CLOTH)
Private Collection.

Still life. 1615.
Rijksmuseum Twenthe,Enschede,

A modest breakfast with bread, cheese, fish and beer. This small painting tells us something about eating habits in the 17th century.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Content III supporterait-il le poids d'un homme ?

Et n'y aurait-il pas lieu de modifier l'attache des pattes avant sur la balançoire ?

Voici une réponse :

Un parent de Content III.

Ci-dessus, Max ERNST à Paris en 1938.

P.S. : Je n'arrive pas à télécharger cette photo. Pas assez de pixels, semble-t-il. Je demande à notre "geek" de regarder ça.

P.S. 2 : En surfant sur la toile, j'ai trouvé ceux-ci. Et aussi ceux-là. Les uns et les autres sont cependant moins beaux que ne le sera Content III. Du moins je l'espère.

P.S. 3 : Encore trouvé ceci qui donne des infos sur les crins, une question que l'on se posait également. Notons que ce site, très riche en liens divers (notamment vers des antiquaires spécialisés) met en garde contre l'écrasement des petits ripatons par les bascules.

P.S. 4 du 15 mars 2015 : photo mise en ligne.

1621
Anthony van Dyck (Flemish, 1599–1641)
Family Portrait
(detail)
Hermitage Museum

Антонис ван Дейк(1599-1641)
Семейный портрет. 1621
Холст, масло.
113,5х93,5. Инв. 534.
Из собр. Лалив де Жюли, Париж, до 1774
Эрмитаж

N.D.L.R. : Presque contemporain de la Chaslerie.
Featured Artwork of the Day: Siren | ca. 1571–90 | Italian
Dimensions: Overall (confirmed): H. 32 1/8 x W. 44 3/4 x D. 13 3/8 in., 130lb. (81.6 x 113.7 x 34 cm, 58.9676kg)

The siren, crowned and holding her two tails, was a heraldic device of the Colonna, a powerful Roman family. In all likelihood, this siren is the bronze named in a 1644 Barberini inventory, a Colonna princess having married into that family. It was no doubt intended for placement at a considerable height outdoors, where the extraordinary tumble of hair would be seen to full advantage.

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Quelques objets et phénomènes insolites à l'époque de la Renaissance

Les meilleurs des esprits, sur la fin du XVème et durant tout le XVIème, s’appliquent à rédiger des recueils de prodiges qu’ils ornent de toutes les fioritures que leur inspirent les recettes d’une poétique subtile. Le plus ingénieux des grands rhétoriqueur, Jean Molinet, s’amuse à compiler une collection de faits étranges…

Elsheimer de Benedetto Castiglione Genovese, dit le Grecchetto © dr

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.