Je rappelle que l'Assemblée Générale annuelle de l'association se tiendra le dimanche 6 septembre 2009 à partir de 15 heures au manoir. Elle sera suivie d'un vin d'honneur.
L'ordre du jour sera le suivant :
- examen des derniers travaux de restauration du manoir et présentation des travaux envisagés pour l'année à venir ;
- lancement du site internet www.chaslerie.fr,
- questions administratives habituelles.
Vie des associations
Marie-Annick de SAINT MELOIR
rédigé le Jeudi 3 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
rédigé le Jeudi 3 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
Marie-Annick de SAINT MELOIR
rédigé le Mardi 8 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
rédigé le Mardi 8 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
Voici le texte du communiqué de presse remis, à la suite de l'A.G., au "Publicateur Libre", l'hebdomadaire domfrontais.
(début de la citation)
L" « Association pour la restauration, la défense et l"'animation du manoir de la Chaslerie » vient de fêter ses 18 ans. Elle a en effet été fondée quelques mois après l'"achat de ce manoir par M. et Mme Pierre-Paul FOURCADE, en 1991.
Son Assemblée Générale s"'est réunie dimanche 6 septembre au manoir, sous la présidence de Mme Marie-Annick de SAINT MELOIR.
A cette occasion, les propriétaires ont montré les travaux effectués depuis les dernières Journées du Patrimoine. Ils ont notamment présenté les maquettes de la statue de Sainte Anne, en cours de réalisation à La Ferté Macé par M. Pascal POIRIER, meilleur ouvrier de France, à partir d"'un bloc de granit d'"une tonne. M. FOURCADE a expliqué le programme de travaux pour l'"année à venir et émis le vÂœœu que le Conseil général de l'"Orne puisse prendre sa juste part à leur financement. Les travaux sur monuments historiques sont en effet une composante utile d"'une politique de « développement durable » et l"'on ne doit pas sous-estimer leur impact économique, en particulier sur l"'emploi dans le bâtiment et le tourisme. Faute d'"une telle intervention départementale, des subventions décidées par l"'Etat risqueraient d"'être perdues, ce qui serait bien dommage.
M. FOURCADE a indiqué que le programme de travaux déjà réalisés à la Chaslerie dépassait ce qu"'il avait cru, au départ, il y a 18 ans, être capable de mener à bien tout au long de sa vie. Tout ce qui arrivera désormais est, pour lui, du « bonus ». Il veille dorénavant à organiser le relais par ses fils. Ainsi, ceux-ci devraient prochainement prendre en main la restauration de la cave et de la ferme.
Tout en notant le caractère très spectaculaire des réalisations passées, les participants à l"'A.G. ont encouragé M. FOURCADE à ne pas oublier les travaux intérieurs. Ceci n"'a pu que réjouir Mme FOURCADE qui est clairement du même avis. Les travaux intérieurs sont cependant conditionnés par le choix d'"un mode de chauffage approprié, peut-être à partir de copeaux de bois, un choix délicat sur lequel une documentation claire et objective serait souhaitée.
M. FOURCADE a expliqué comment et pourquoi il avait fabriqué, durant l"été, un site internet consacré à la Chaslerie (www.chaslerie.fr). Etudiant en 1ère année d"'informatique de Caen (car il n"y a pas d"'âge pour apprendreÂ…), il a pu s"appuyer sur l'"expertise technique d"'un de ses camarades d"'études, Thomas TALBOT, beaucoup plus doué que lui. Il avait d"'abord souhaité rédiger un texte qui aurait pu s"'intituler « la Chaslerie racontée à mes fils ». Mais il s"'est rapidement enthousiasmé pour ce projet en recensant tous les documents et photos à sa disposition, étant entendu que les plus vieilles représentations de la Chaslerie dont il avait connaissance n"'avaient pas plus d"'un siècle. Grâce au « Livre d"Or » du site, il a déjà pu se faire communiquer la reproduction d"'un dessin datant de 1852, et cela, selon lui, suffirait à justifier l'"utilité du site. La recherche d'"images anciennes est en effet un point de passage obligé, ou presque, pour une restauration convenable du manoir.
Enfin, M. FOURCADE a estimé que le site internet, à sa connaissance l"'un des plus détaillés de France qui soient consacrés à un monument historique privé, pourra permettre aux visiteurs les plus curieux, de se documenter avant de venir sur place, de manière à mieux profiter de leur venue. A noter que la Chaslerie fera l"'objet de visites commentées par les propriétaires à l"'occasion des prochaines Journées du Patrimoine, le dimanche 20 septembre 2009 dans l"'après-midi, à partir de 14 heures.
Mme FOURCADE a ajouté que le site internet lui permettait aussi, avec son époux, de rendre hommage au travail et à l"'engagement des employés et des artisans qui continuent d'"intervenir à la Chaslerie, ce qui lui semble pleinement justifié.
Enfin, pour clore les débats qui ont été suivis d"'un sympathique vin d"honneur, Mme de SAINT MELOIR a lancé un appel aux initiatives locales pour organiser au manoir des manifestations culturelles ou animations de qualité.
(fin de la citation)
(début de la citation)
L" « Association pour la restauration, la défense et l"'animation du manoir de la Chaslerie » vient de fêter ses 18 ans. Elle a en effet été fondée quelques mois après l'"achat de ce manoir par M. et Mme Pierre-Paul FOURCADE, en 1991.
Son Assemblée Générale s"'est réunie dimanche 6 septembre au manoir, sous la présidence de Mme Marie-Annick de SAINT MELOIR.
A cette occasion, les propriétaires ont montré les travaux effectués depuis les dernières Journées du Patrimoine. Ils ont notamment présenté les maquettes de la statue de Sainte Anne, en cours de réalisation à La Ferté Macé par M. Pascal POIRIER, meilleur ouvrier de France, à partir d"'un bloc de granit d'"une tonne. M. FOURCADE a expliqué le programme de travaux pour l'"année à venir et émis le vÂœœu que le Conseil général de l'"Orne puisse prendre sa juste part à leur financement. Les travaux sur monuments historiques sont en effet une composante utile d"'une politique de « développement durable » et l"'on ne doit pas sous-estimer leur impact économique, en particulier sur l"'emploi dans le bâtiment et le tourisme. Faute d'"une telle intervention départementale, des subventions décidées par l"'Etat risqueraient d"'être perdues, ce qui serait bien dommage.
M. FOURCADE a indiqué que le programme de travaux déjà réalisés à la Chaslerie dépassait ce qu"'il avait cru, au départ, il y a 18 ans, être capable de mener à bien tout au long de sa vie. Tout ce qui arrivera désormais est, pour lui, du « bonus ». Il veille dorénavant à organiser le relais par ses fils. Ainsi, ceux-ci devraient prochainement prendre en main la restauration de la cave et de la ferme.
Tout en notant le caractère très spectaculaire des réalisations passées, les participants à l"'A.G. ont encouragé M. FOURCADE à ne pas oublier les travaux intérieurs. Ceci n"'a pu que réjouir Mme FOURCADE qui est clairement du même avis. Les travaux intérieurs sont cependant conditionnés par le choix d'"un mode de chauffage approprié, peut-être à partir de copeaux de bois, un choix délicat sur lequel une documentation claire et objective serait souhaitée.
M. FOURCADE a expliqué comment et pourquoi il avait fabriqué, durant l"été, un site internet consacré à la Chaslerie (www.chaslerie.fr). Etudiant en 1ère année d"'informatique de Caen (car il n"y a pas d"'âge pour apprendreÂ…), il a pu s"appuyer sur l'"expertise technique d"'un de ses camarades d"'études, Thomas TALBOT, beaucoup plus doué que lui. Il avait d"'abord souhaité rédiger un texte qui aurait pu s"'intituler « la Chaslerie racontée à mes fils ». Mais il s"'est rapidement enthousiasmé pour ce projet en recensant tous les documents et photos à sa disposition, étant entendu que les plus vieilles représentations de la Chaslerie dont il avait connaissance n"'avaient pas plus d"'un siècle. Grâce au « Livre d"Or » du site, il a déjà pu se faire communiquer la reproduction d"'un dessin datant de 1852, et cela, selon lui, suffirait à justifier l'"utilité du site. La recherche d'"images anciennes est en effet un point de passage obligé, ou presque, pour une restauration convenable du manoir.
Enfin, M. FOURCADE a estimé que le site internet, à sa connaissance l"'un des plus détaillés de France qui soient consacrés à un monument historique privé, pourra permettre aux visiteurs les plus curieux, de se documenter avant de venir sur place, de manière à mieux profiter de leur venue. A noter que la Chaslerie fera l"'objet de visites commentées par les propriétaires à l"'occasion des prochaines Journées du Patrimoine, le dimanche 20 septembre 2009 dans l"'après-midi, à partir de 14 heures.
Mme FOURCADE a ajouté que le site internet lui permettait aussi, avec son époux, de rendre hommage au travail et à l"'engagement des employés et des artisans qui continuent d'"intervenir à la Chaslerie, ce qui lui semble pleinement justifié.
Enfin, pour clore les débats qui ont été suivis d"'un sympathique vin d"honneur, Mme de SAINT MELOIR a lancé un appel aux initiatives locales pour organiser au manoir des manifestations culturelles ou animations de qualité.
(fin de la citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 8 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
rédigé le Mardi 8 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
A noter qu'une prochaine A.G.E. de l'association devrait se pencher sur ses statuts en vue, notamment, de les toiletter et d'étendre l'objet de l'association à la préservation des abords du manoir.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 10 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales - Entretien du site - Vie du site
rédigé le Jeudi 10 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales - Entretien du site - Vie du site
Merci au "Publicateur Libre" qui, dans son édition de ce jour, rend compte de notre dernière A.G. Je trouve d'ailleurs que l'article publié, tel qu'il a été retravaillé par la journaliste, est bien meilleur que le communiqué que nous avions préparé.
Cet article occulte néanmoins l'idée que Thomas TALBOT est un étudiant beaucoup plus doué que moi en informatique ;-)). En fait, nous devons nous retrouver, lui et moi, dès lundi prochain, pour la rentrée des étudiants en 2ème année de licence d'info. Au cours de cette année d'études, je tâcherai d'apprendre de nouvelles techniques, en vue notamment d'améliorer le site internet.
A cet effet, la boîte à idées est ouverte. Diverses suggestions ont d'ores et déjà été présentées (améliorer le "design" du site ; "mapper" le texte en fonction d'un plan du manoir ; juxtaposer, bâtiment par bâtiment, les photos avant et après restauration ; insérer un film ; rendre panoramiques certaines photos ; inclure un texte en Anglais). J'enregistre toutes ces suggestions et tâcherai de faire assez de progrès en info pour mettre en ligne une 2ème version d'ici un an...
A ce stade, j'observe deux phénomènes plutôt inattendus par moi :
- d'une part, le "Livre d'Or" a encore peu de succès ; il semble que les visiteurs du site répugnent à donner leur adresse mail, voire à rédiger un texte signé et destiné à être rendu public ; je ne vois pas ce qu'on peut faire pour lever ces réticences ;
- d'autre part, le nombre de visites virtuelles du site est élevé, de l'ordre de plusieurs dizaines de fois le nombre de visites réelles du manoir, dont les extérieurs sont pourtant ouverts au public gratuitement tout au long de l'année.
Cette dernière observation démontre, à mon sens, la force de frappe d'un site internet. Et aussi tout l'intérêt qu'il y aurait à ce que d'autres propriétaires de monuments historiques s'astreignent à la confection d'un tel site.
J'ai déjà commencé à essayer de persuader certains décideurs, dans l'administration ou dans des associations nationales, de l'utilité de ce canal. Mais il m'a semblé que les esprits n'étaient pas encore prêts à encourager cette évolution. Dommage, assurément !
Cet article occulte néanmoins l'idée que Thomas TALBOT est un étudiant beaucoup plus doué que moi en informatique ;-)). En fait, nous devons nous retrouver, lui et moi, dès lundi prochain, pour la rentrée des étudiants en 2ème année de licence d'info. Au cours de cette année d'études, je tâcherai d'apprendre de nouvelles techniques, en vue notamment d'améliorer le site internet.
A cet effet, la boîte à idées est ouverte. Diverses suggestions ont d'ores et déjà été présentées (améliorer le "design" du site ; "mapper" le texte en fonction d'un plan du manoir ; juxtaposer, bâtiment par bâtiment, les photos avant et après restauration ; insérer un film ; rendre panoramiques certaines photos ; inclure un texte en Anglais). J'enregistre toutes ces suggestions et tâcherai de faire assez de progrès en info pour mettre en ligne une 2ème version d'ici un an...
A ce stade, j'observe deux phénomènes plutôt inattendus par moi :
- d'une part, le "Livre d'Or" a encore peu de succès ; il semble que les visiteurs du site répugnent à donner leur adresse mail, voire à rédiger un texte signé et destiné à être rendu public ; je ne vois pas ce qu'on peut faire pour lever ces réticences ;
- d'autre part, le nombre de visites virtuelles du site est élevé, de l'ordre de plusieurs dizaines de fois le nombre de visites réelles du manoir, dont les extérieurs sont pourtant ouverts au public gratuitement tout au long de l'année.
Cette dernière observation démontre, à mon sens, la force de frappe d'un site internet. Et aussi tout l'intérêt qu'il y aurait à ce que d'autres propriétaires de monuments historiques s'astreignent à la confection d'un tel site.
J'ai déjà commencé à essayer de persuader certains décideurs, dans l'administration ou dans des associations nationales, de l'utilité de ce canal. Mais il m'a semblé que les esprits n'étaient pas encore prêts à encourager cette évolution. Dommage, assurément !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 20 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Dimanche 20 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
Grand succès aujourd'hui pour les Journées du Patrimoine. La Chaslerie était présentée par mon épouse, ma mère et moi, de 14 heures à 18 heures, à un public sensiblement plus nombreux que l'an dernier.
Combien étaient-ils ? Sans doute plus de 500, la plupart avant 17 heures (car je crois que débutait alors un concert à Lonlay-l'Abbaye, dans le cadre du Septembre musical de l'Orne). Venus de La Haute Chapelle, de Domfront et des communes voisines mais aussi de plus loin, du Perche, de Bretagne et même d'Angleterre. Souvent en groupes (dont des randonneurs à pied de Céaucé), généralement en famille, de tous les âges mais avec une forte représentation de seniors.
Quelques personnalités régionales comme M. Philippe SIGURET ou des élus dont le maire de La Haute Chapelle, Roger GRIPPON.
Tout le monde s'est déclaré enchanté. Beaucoup de compliments pour les travaux. Un couvreur (intervenu il y a plus de 30 ans sur la tour Louis XIII) a cependant émis, à juste titre, des réserves sur des travaux que je n'avais pas confiés à Roland BOUSSIN.
Il semble ainsi que, petit à petit, la Chaslerie (re)devienne l'une des vitrines préférées de nombre d'habitants de La Haute Chapelle et du Domfrontais.
C'est très encourageant. Donc merci aux visiteurs ! Et n'hésitez pas à revenir, sans attendre les prochaines Journées du patrimoine. Je rappelle qu'en effet, les visites extérieures sont libres et gratuites tout au long de l'année !
Combien étaient-ils ? Sans doute plus de 500, la plupart avant 17 heures (car je crois que débutait alors un concert à Lonlay-l'Abbaye, dans le cadre du Septembre musical de l'Orne). Venus de La Haute Chapelle, de Domfront et des communes voisines mais aussi de plus loin, du Perche, de Bretagne et même d'Angleterre. Souvent en groupes (dont des randonneurs à pied de Céaucé), généralement en famille, de tous les âges mais avec une forte représentation de seniors.
Quelques personnalités régionales comme M. Philippe SIGURET ou des élus dont le maire de La Haute Chapelle, Roger GRIPPON.
Tout le monde s'est déclaré enchanté. Beaucoup de compliments pour les travaux. Un couvreur (intervenu il y a plus de 30 ans sur la tour Louis XIII) a cependant émis, à juste titre, des réserves sur des travaux que je n'avais pas confiés à Roland BOUSSIN.
Il semble ainsi que, petit à petit, la Chaslerie (re)devienne l'une des vitrines préférées de nombre d'habitants de La Haute Chapelle et du Domfrontais.
C'est très encourageant. Donc merci aux visiteurs ! Et n'hésitez pas à revenir, sans attendre les prochaines Journées du patrimoine. Je rappelle qu'en effet, les visites extérieures sont libres et gratuites tout au long de l'année !
Marie-Annick de SAINT MELOIR
rédigé le Vendredi 25 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
rédigé le Vendredi 25 Septembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Assemblées générales
Une assemblée générale extraordinaire de l'association s'est tenue ce soir au manoir des Brosses, à Céaucé, en vue de modifier les statuts de l'association.
L'idée générale était (1) de raccourcir ces statuts (ils tiennent désormais en une page dactylographiée au lieu de trois), (2) de modifier la dénomination et le siège de l'association, (3) d'étendre l'objet à la défense du manoir ou de son site, avec possibilité, le cas échéant, d'ester en justice.
Ainsi modifiés, les statuts sont désormais les suivants :
"Article 1er : Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : « Association pour la restauration, la défense et l"'animation du manoir de la Chaslerie ».
Article 2 : Cette association a pour objet :
- d"'aider les propriétaires du manoir de la Chaslerie, sis à 61700 – La Haute Chapelle, dans leurs efforts pour restaurer et animer le manoir ; à cet effet, d"'aider à la constitution d"'un fonds de documentation sur le manoir et son site ou sur les techniques de restauration, ou de prendre toute initiative, en accord avec les propriétaires, pour obtenir des subventions en vue de la restauration, la présentation au public ou l'"animation du manoir ;
- plus généralement, de veiller et d'"aider à la conservation et à la sauvegarde du manoir, de ses dépendances et de leurs abords ; à cet effet, de prendre toute initiative, y compris, le cas échéant, d"'ester en justice.
Article 3 : Le siège de l'"association est fixé au manoir des Brosses, 61330 – Céaucé.
Article 4 : L"'association se compose de membres d'"honneur, de membres bienfaiteurs et de membres actifs.
Pour être membre de l'"association, il faut être agréé par le bureau.
Outre les cas de démission, de décès ou de radiation pour motif grave prononcée par le bureau après que l'"intéressé a été invité à présenter ses explications, la qualité de membre se perd, sauf pour les membres d'"honneur, par non-paiement d"'une cotisation annuelle votée.
Article 5 : Les ressources de l'"association comprennent des cotisations, des dons, des subventions, le produit de la vente d'"objets en rapport avec le manoir ou son site et, plus généralement, toute ressource en rapport avec l'"objet de l"'association.
Article 6 : L"'association est dirigée par un bureau, élu en assemblée générale, qui comprend au moins un membre, le président, et qui peut comprendre également un vice-président, un secrétaire, un trésorier. La durée du mandat est de dix ans ; en cas de vacance, les membres restants du bureau ou, à défaut, les propriétaires du manoir pourvoient à un remplacement provisoire jusqu'"à la fin du mandat.
Article 7 : L"'assemblée générale est convoquée et présidée par le président du bureau qui fixe l'"ordre du jour ; elle statue à la majorité simple des votants. La modification des statuts relève d"une assemblée générale extraordinaire statuant à la majorité des deux tiers. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante.
Article 8 : Les initiatives de l"'association ayant une incidence sur la jouissance du manoir ou de son site sont soumises, avant tout début d'"exécution, à l"'accord préalable exprès des propriétaires. Cet article ne peut être modifié sans l'accord exprès des propriétaires, y compris par assemblée générale extraordinaire."
L'idée générale était (1) de raccourcir ces statuts (ils tiennent désormais en une page dactylographiée au lieu de trois), (2) de modifier la dénomination et le siège de l'association, (3) d'étendre l'objet à la défense du manoir ou de son site, avec possibilité, le cas échéant, d'ester en justice.
Ainsi modifiés, les statuts sont désormais les suivants :
"Article 1er : Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : « Association pour la restauration, la défense et l"'animation du manoir de la Chaslerie ».
Article 2 : Cette association a pour objet :
- d"'aider les propriétaires du manoir de la Chaslerie, sis à 61700 – La Haute Chapelle, dans leurs efforts pour restaurer et animer le manoir ; à cet effet, d"'aider à la constitution d"'un fonds de documentation sur le manoir et son site ou sur les techniques de restauration, ou de prendre toute initiative, en accord avec les propriétaires, pour obtenir des subventions en vue de la restauration, la présentation au public ou l'"animation du manoir ;
- plus généralement, de veiller et d'"aider à la conservation et à la sauvegarde du manoir, de ses dépendances et de leurs abords ; à cet effet, de prendre toute initiative, y compris, le cas échéant, d"'ester en justice.
Article 3 : Le siège de l'"association est fixé au manoir des Brosses, 61330 – Céaucé.
Article 4 : L"'association se compose de membres d'"honneur, de membres bienfaiteurs et de membres actifs.
Pour être membre de l'"association, il faut être agréé par le bureau.
Outre les cas de démission, de décès ou de radiation pour motif grave prononcée par le bureau après que l'"intéressé a été invité à présenter ses explications, la qualité de membre se perd, sauf pour les membres d'"honneur, par non-paiement d"'une cotisation annuelle votée.
Article 5 : Les ressources de l'"association comprennent des cotisations, des dons, des subventions, le produit de la vente d'"objets en rapport avec le manoir ou son site et, plus généralement, toute ressource en rapport avec l'"objet de l"'association.
Article 6 : L"'association est dirigée par un bureau, élu en assemblée générale, qui comprend au moins un membre, le président, et qui peut comprendre également un vice-président, un secrétaire, un trésorier. La durée du mandat est de dix ans ; en cas de vacance, les membres restants du bureau ou, à défaut, les propriétaires du manoir pourvoient à un remplacement provisoire jusqu'"à la fin du mandat.
Article 7 : L"'assemblée générale est convoquée et présidée par le président du bureau qui fixe l'"ordre du jour ; elle statue à la majorité simple des votants. La modification des statuts relève d"une assemblée générale extraordinaire statuant à la majorité des deux tiers. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante.
Article 8 : Les initiatives de l"'association ayant une incidence sur la jouissance du manoir ou de son site sont soumises, avant tout début d'"exécution, à l"'accord préalable exprès des propriétaires. Cet article ne peut être modifié sans l'accord exprès des propriétaires, y compris par assemblée générale extraordinaire."
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Octobre 2009
Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes - Vie des associations
rédigé le Samedi 17 Octobre 2009
Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes - Vie des associations
Coup de gueule !
Il en va des statistiques de fréquentation des monuments historiques comme de celles des manifestations ouvrières : on constate des écarts, qui peuvent être énormes, entre les chiffrages des syndicats et ceux de la police. Le phénomène est bien connu et tournerait au gag si la lassitude ne l'emportait.
La "Demeure Historique" vient d'envoyer à ses adhérents un courriel pour leur demander les statistiques de fréquentation de leur monument par le public au cours des dernières années.
Cette demande ne peut que laisser dubitatifs tous ceux qui ne font pas systématiquement payer l'entrée. Car, sauf sur la fréquentation d'un éventuel site internet, on ne dispose pas d'un comptage indiscutable des personnes qui nous font l'honneur de s'intéresser à de telles propriétés.
Devrions-nous néanmoins nous inspirer de ce quidam qui reporte triomphalement, dans la presse locale, 6 000 visiteurs pour une manifestation d'un jour qu'il vient d'organiser dans ce que ledit article appelle, un peu pompeusement peut-il sembler, son "magnifique parc" ?
Je ne me suis pas déplacé là le week-end dernier car j'avais mieux à faire. Nous recevions en effet des cousins parents d'un double recordman du monde à la voile et on a beaucoup parlé des derniers exploits - réels eux - du jeune Florent Chastel.
J'ai néanmoins pu visionner hier, par simple coïncidence, les photos du club local de photographes amateurs qui a couvert l'édition 2009 de la fête en question. On y était à l'évidence très, très, mais alors très loin des 6 000 visiteurs reportés.
"Plus c'est gros, mieux ça passe", tel est donc le dicton mis en oeuvre par certains pour essayer de se tailler à bon compte (si l'on peut dire) quelque supplément de notoriété. Et l'on peut se demander pourquoi.
Quant à moi, j'ose déclarer que ce procédé me messied. Je veillerai tout simplement, dans mes réponses à la "Demeure Historique", à rester honnête.
Il en va des statistiques de fréquentation des monuments historiques comme de celles des manifestations ouvrières : on constate des écarts, qui peuvent être énormes, entre les chiffrages des syndicats et ceux de la police. Le phénomène est bien connu et tournerait au gag si la lassitude ne l'emportait.
La "Demeure Historique" vient d'envoyer à ses adhérents un courriel pour leur demander les statistiques de fréquentation de leur monument par le public au cours des dernières années.
Cette demande ne peut que laisser dubitatifs tous ceux qui ne font pas systématiquement payer l'entrée. Car, sauf sur la fréquentation d'un éventuel site internet, on ne dispose pas d'un comptage indiscutable des personnes qui nous font l'honneur de s'intéresser à de telles propriétés.
Devrions-nous néanmoins nous inspirer de ce quidam qui reporte triomphalement, dans la presse locale, 6 000 visiteurs pour une manifestation d'un jour qu'il vient d'organiser dans ce que ledit article appelle, un peu pompeusement peut-il sembler, son "magnifique parc" ?
Je ne me suis pas déplacé là le week-end dernier car j'avais mieux à faire. Nous recevions en effet des cousins parents d'un double recordman du monde à la voile et on a beaucoup parlé des derniers exploits - réels eux - du jeune Florent Chastel.
J'ai néanmoins pu visionner hier, par simple coïncidence, les photos du club local de photographes amateurs qui a couvert l'édition 2009 de la fête en question. On y était à l'évidence très, très, mais alors très loin des 6 000 visiteurs reportés.
"Plus c'est gros, mieux ça passe", tel est donc le dicton mis en oeuvre par certains pour essayer de se tailler à bon compte (si l'on peut dire) quelque supplément de notoriété. Et l'on peut se demander pourquoi.
Quant à moi, j'ose déclarer que ce procédé me messied. Je veillerai tout simplement, dans mes réponses à la "Demeure Historique", à rester honnête.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 18 Octobre 2009
Animation, fêtes, visites - Vie du site - Statistiques de fréquentation - Vie des associations
rédigé le Dimanche 18 Octobre 2009
Animation, fêtes, visites - Vie du site - Statistiques de fréquentation - Vie des associations
Le compteur de visites du site internet de la Chaslerie, qui était à 0 le 4 septembre dernier, a dépassé aujourd'hui le chiffre de 500. Ceci signifie qu'un demi-millier de visites virtuelles de la Chaslerie ont eu lieu en 6 semaines.
Ce score est d'autant plus remarquable que, dans l'esprit de ses concepteurs, ce site internet prétend élever le niveau des explications données au public à propos de ce monument historique. On n'y a pas joué la carte de la facilité.
Je constate que le flux est régulier dans le temps, et qu'en particulier, on ne peut relever de pointe significative parmi les "visites virtuelles" comme il y en a une très marquée, habituellement, parmi les "visites réelles" à l'occasion des Journées du Patrimoine.
Cette remarque me paraît significative et semble indiquer que, grâce à ce site, nous atteignons un public très souvent différent de celui qui vient sur place.
D'après les commentaires recueillis, et pas uniquement à travers le Livre d'Or, les visiteurs virtuels sont très satisfaits de ce site internet.
Ce score est d'autant plus remarquable que, dans l'esprit de ses concepteurs, ce site internet prétend élever le niveau des explications données au public à propos de ce monument historique. On n'y a pas joué la carte de la facilité.
Je constate que le flux est régulier dans le temps, et qu'en particulier, on ne peut relever de pointe significative parmi les "visites virtuelles" comme il y en a une très marquée, habituellement, parmi les "visites réelles" à l'occasion des Journées du Patrimoine.
Cette remarque me paraît significative et semble indiquer que, grâce à ce site, nous atteignons un public très souvent différent de celui qui vient sur place.
D'après les commentaires recueillis, et pas uniquement à travers le Livre d'Or, les visiteurs virtuels sont très satisfaits de ce site internet.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 1er Novembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Dimanche 1er Novembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
Je viens de voir un groupe de cyclotouristes, équipés de pied en cap, descendre la grande allée de la Chaslerie pour remonter vers la D22. Ils étaient concentrés sur leurs machines, ne m'ont pas vu et on n'a donc pas pu discuter.
J'aime bien que des gens du pays marquent ainsi, discrètement, leur attachement à la Chaslerie.
Je pense à mon voisin Jeannot, qui apprécie ses promenades digestives vers le manoir, mais qui, un peu craintif sans doute, détale dès qu'il m'aperçoit.
Ou bien à la soeur de Maxime (désolé, jeune fille, j'ai encore oublié ton prénom, je le copierai donc cent fois) qui se promène à cheval au milieu des plantations où elle peut croiser des chevreuils.
Ou encore à ces familles de La Haute Chapelle en promenade postprandiale du dimanche. J'ai installé des bancs à leur intention à trois coins du Pournouët. On peut même y faire la sieste, je le sais, je l'ai déjà faite là !
Ou à Madame Piet et à sa jeune amie du club de photos de Domfront, qui viennent capter ici, sur les pierres et les arbres, un peu des feux de l'automne, comme dimanche dernier.
Ou bien aux pêcheurs à la ligne qui remontent le Beaudouët en cuissardes, à la recherche des derniers salmonidés, ceux qui résistent aux pesticides.
Ou à Claude Martin, désormais retraité, accompagné du fidèle Blacky et qui vient à ma demande, comme hier, éradiquer des volatiles exagérément crotteurs comme ces pigeons qui ont proliféré dans les trous d'ope depuis qu'il les a restaurés.
Ma seule réserve quant aux visiteurs concerne - en sera-t-on surpris ? - les mordus d'engins pétaradants : ainsi, les quads, les 4x4 ou les motos sont fermement priés d'éloigner leurs décibels et de creuser leurs ornières plus loin !
Il faut pouvoir toujours entendre ici les oiseaux. Ou, à défaut, l'intarissable âne en rut d'un autre de mes voisins.
J'aime bien que des gens du pays marquent ainsi, discrètement, leur attachement à la Chaslerie.
Je pense à mon voisin Jeannot, qui apprécie ses promenades digestives vers le manoir, mais qui, un peu craintif sans doute, détale dès qu'il m'aperçoit.
Ou bien à la soeur de Maxime (désolé, jeune fille, j'ai encore oublié ton prénom, je le copierai donc cent fois) qui se promène à cheval au milieu des plantations où elle peut croiser des chevreuils.
Ou encore à ces familles de La Haute Chapelle en promenade postprandiale du dimanche. J'ai installé des bancs à leur intention à trois coins du Pournouët. On peut même y faire la sieste, je le sais, je l'ai déjà faite là !
Ou à Madame Piet et à sa jeune amie du club de photos de Domfront, qui viennent capter ici, sur les pierres et les arbres, un peu des feux de l'automne, comme dimanche dernier.
Ou bien aux pêcheurs à la ligne qui remontent le Beaudouët en cuissardes, à la recherche des derniers salmonidés, ceux qui résistent aux pesticides.
Ou à Claude Martin, désormais retraité, accompagné du fidèle Blacky et qui vient à ma demande, comme hier, éradiquer des volatiles exagérément crotteurs comme ces pigeons qui ont proliféré dans les trous d'ope depuis qu'il les a restaurés.
Ma seule réserve quant aux visiteurs concerne - en sera-t-on surpris ? - les mordus d'engins pétaradants : ainsi, les quads, les 4x4 ou les motos sont fermement priés d'éloigner leurs décibels et de creuser leurs ornières plus loin !
Il faut pouvoir toujours entendre ici les oiseaux. Ou, à défaut, l'intarissable âne en rut d'un autre de mes voisins.
Marie-Françoise LAURENSOU
rédigé le Dimanche 8 Novembre 2009
Administration - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
rédigé le Dimanche 8 Novembre 2009
Administration - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
La Haute-Chapelle fait les grands titres des journaux cette semaine ! On ne parle plus que de la déviation. J'espère qu'à la suite des vives protestations de certains "riverains", un nouveau tracé ne viendra pas s'infiltrer dans vos terres ! Protégeons l'intégrité de la Chaslerie ! Amitiés !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 15 Novembre 2009
Administration - Aile "de la belle-mère" - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
rédigé le Dimanche 15 Novembre 2009
Administration - Aile "de la belle-mère" - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
Tout fier qu'"on y parle de la Chaslerie !", Pascal MAIZERAY, mon maçon, vient de me communiquer le numéro de novembre 2009 du journal de circonscription de M. Yves DENIAUD, député de la 1ère circonscription de l'Orne. Domfront et La Haute Chapelle font partie de cette circonscription, donc Yves DENIAUD est "notre député".
C'est avec attention que nous avons pris connaissance, notamment, de l'article où Yves DENIAUD nous fait la courtoisie de citer, photo à l'appui, la Chaslerie et son site internet.
Ce que cet élu écrit, dans l'article qui nous est consacré, dépasse le cas de notre seul monument. Je cite quelques passages de son texte : il est "important d'encourager celles et ceux qui, sans relâche, participent à la préservation de notre propre culture. Bien entendu, le bénévolat est la première ressource de cette dynamique. (...) Il y a également une dimension économique qu'il ne faut pas négliger au moment où l'Etat mobilise ses forces sur un vaste plan de relance". Yves DENIAUD termine son article en soulignant que, grâce aux monuments historiques, "de nombreux corps de métier (...) trouvent là une activité économique, en plus de participer à la sauvegarde d'un patrimoine collectif."
Pascal et moi aurions pu signer ce texte, mais aussi tous les artisans qui concourent aux travaux de la Chaslerie.
Il est à espérer que la netteté et la qualité de ce diagnostic conduiront à de bonnes décisions de la part de la représentation nationale et, plus généralement, de l'ensemble des élus avec lesquels Yves DENIAUD est amené à coopérer "pour rendre la vie commode et les gens heureux" (comme, de mémoire, l'avait recommandé BOSSUET).
A cet égard, je voudrais évoquer ici - je le fais ainsi pour la première fois sur ce site -, la question de la politique du conseil général de l'Orne en matière d'aide à la restauration et à l'entretien des monuments historiques privés de son ressort.
A ma connaissance, aucune ligne de crédit n'est plus prévue depuis 1993, au niveau du conseil général de l'Orne, pour subventionner de tels travaux. L'Orne serait ainsi le seul département de Basse Normandie et, plus largement, de l'Ouest du pays (je pense ici aux régions limitrophes) à avoir opté si longtemps pour une telle abstinence, pour ne pas dire absence de politique.
Cette situation est évidemment préoccupante.
Ainsi, pour revenir au cas de la Chaslerie, l'Etat a d'ores et déjà promis, pour une certaine tranche nécessaire de travaux (sur la couverture des écuries, c'est-à-dire une petite partie du programme de travaux restant à effectuer) d'importantes subventions qui risquent fort de ne pouvoir être consommées, faute d'aide significative au financement des 60 % qui, à ce stade, restent à la charge des seuls propriétaires. La subvention réservée par l'Etat mais qui risque désormais d'être rapidement perdue s'élève à plus de 50 000 €€ ; la somme complémentaire à trouver avant la fin du premier trimestre 2010 est de plus de 75 000 €Â€ (cette dernière somme ne tient nullement compte de tous les autres travaux engagés par ailleurs ni des salaires et charges sociales des employés comme Pascal). Je souligne qu'à défaut de solution avant le printemps 2010, ces 50 000 €Â€ devront repartir à Paris et ne pourront nullement, la réglementation étant ce qu'elle est, être remobilisés ni dans l'Orne ni en Basse Normandie, ce qui serait particulièrement dommageable et, on peut le dire, absurde.
Il paraît indispensable que le conseil général de l'Orne modifie profondément sa politique en ce domaine, et aussi qu'il le fasse suffisamment tôt pour que les artisans ornais puissent ne pas perdre le bénéfice des crédits d'ores et déjà réservés par l'Etat.
En liaison avec la "Demeure Historique", j'ai eu, depuis le début de l'année, des échanges constructifs à ce sujet avec le président du conseil général de l'Orne et son directeur général des services. Je comprends que la question devrait être débattue dès le 30 novembre prochain par le conseil général et l'on nous laisse entendre que la réponse de principe pourrait y être favorable.
Pascal et moi formons le vœu qu'Yves DENIAUD relaye ces efforts de pédagogie et que, non seulement le département de l'Orne cesse de se démarquer négativement sur un tel sujet, mais le fasse assez vite pour ne pas risquer de perdre des fonds d'Etat promis, en fait, - et c'est bien là le point essentiel - aux artisans du département et de la circonscription.
C'est avec attention que nous avons pris connaissance, notamment, de l'article où Yves DENIAUD nous fait la courtoisie de citer, photo à l'appui, la Chaslerie et son site internet.
Ce que cet élu écrit, dans l'article qui nous est consacré, dépasse le cas de notre seul monument. Je cite quelques passages de son texte : il est "important d'encourager celles et ceux qui, sans relâche, participent à la préservation de notre propre culture. Bien entendu, le bénévolat est la première ressource de cette dynamique. (...) Il y a également une dimension économique qu'il ne faut pas négliger au moment où l'Etat mobilise ses forces sur un vaste plan de relance". Yves DENIAUD termine son article en soulignant que, grâce aux monuments historiques, "de nombreux corps de métier (...) trouvent là une activité économique, en plus de participer à la sauvegarde d'un patrimoine collectif."
Pascal et moi aurions pu signer ce texte, mais aussi tous les artisans qui concourent aux travaux de la Chaslerie.
Il est à espérer que la netteté et la qualité de ce diagnostic conduiront à de bonnes décisions de la part de la représentation nationale et, plus généralement, de l'ensemble des élus avec lesquels Yves DENIAUD est amené à coopérer "pour rendre la vie commode et les gens heureux" (comme, de mémoire, l'avait recommandé BOSSUET).
A cet égard, je voudrais évoquer ici - je le fais ainsi pour la première fois sur ce site -, la question de la politique du conseil général de l'Orne en matière d'aide à la restauration et à l'entretien des monuments historiques privés de son ressort.
A ma connaissance, aucune ligne de crédit n'est plus prévue depuis 1993, au niveau du conseil général de l'Orne, pour subventionner de tels travaux. L'Orne serait ainsi le seul département de Basse Normandie et, plus largement, de l'Ouest du pays (je pense ici aux régions limitrophes) à avoir opté si longtemps pour une telle abstinence, pour ne pas dire absence de politique.
Cette situation est évidemment préoccupante.
Ainsi, pour revenir au cas de la Chaslerie, l'Etat a d'ores et déjà promis, pour une certaine tranche nécessaire de travaux (sur la couverture des écuries, c'est-à-dire une petite partie du programme de travaux restant à effectuer) d'importantes subventions qui risquent fort de ne pouvoir être consommées, faute d'aide significative au financement des 60 % qui, à ce stade, restent à la charge des seuls propriétaires. La subvention réservée par l'Etat mais qui risque désormais d'être rapidement perdue s'élève à plus de 50 000 €€ ; la somme complémentaire à trouver avant la fin du premier trimestre 2010 est de plus de 75 000 €Â€ (cette dernière somme ne tient nullement compte de tous les autres travaux engagés par ailleurs ni des salaires et charges sociales des employés comme Pascal). Je souligne qu'à défaut de solution avant le printemps 2010, ces 50 000 €Â€ devront repartir à Paris et ne pourront nullement, la réglementation étant ce qu'elle est, être remobilisés ni dans l'Orne ni en Basse Normandie, ce qui serait particulièrement dommageable et, on peut le dire, absurde.
Il paraît indispensable que le conseil général de l'Orne modifie profondément sa politique en ce domaine, et aussi qu'il le fasse suffisamment tôt pour que les artisans ornais puissent ne pas perdre le bénéfice des crédits d'ores et déjà réservés par l'Etat.
En liaison avec la "Demeure Historique", j'ai eu, depuis le début de l'année, des échanges constructifs à ce sujet avec le président du conseil général de l'Orne et son directeur général des services. Je comprends que la question devrait être débattue dès le 30 novembre prochain par le conseil général et l'on nous laisse entendre que la réponse de principe pourrait y être favorable.
Pascal et moi formons le vœu qu'Yves DENIAUD relaye ces efforts de pédagogie et que, non seulement le département de l'Orne cesse de se démarquer négativement sur un tel sujet, mais le fasse assez vite pour ne pas risquer de perdre des fonds d'Etat promis, en fait, - et c'est bien là le point essentiel - aux artisans du département et de la circonscription.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Novembre 2009
Animation, fêtes, visites - Vie du site - Statistiques de fréquentation - Vie des associations
rédigé le Mardi 24 Novembre 2009
Animation, fêtes, visites - Vie du site - Statistiques de fréquentation - Vie des associations
Le site vient juste d'être consulté pour la millième fois depuis le 4 septembre dernier, date du calage à 0 de son compteur.
On avait vu que le premier demi-millier de visites avait pris six semaines, le second n'en a donc nécessité que cinq.
Ainsi, alors que j'aurais pensé que le rythme de visites se calmerait après la relative effervescence du lancement, il n'en a rien été, au contraire. Pourtant, à l'exception notable du journal de circonscription du député DENIAUD, le site n'a fait l'objet d'aucune nouvelle publicité.
On pourrait donc penser que le bouche à oreille a bien fonctionné. C'est là en effet une explication possible.
En l'absence de toute donnée précise, je pense cependant que plusieurs visiteurs virtuels sont revenus plusieurs fois, soit que la masse d'informations du site ait retenu leur attention sans qu'ils puissent en prendre connaissance en une seule connexion, soit qu'ils trouvent un intérêt suffisant dans les rubriques qu'avec d'autres visiteurs dont quelques habitués, je contribue à alimenter (il s'agit, outre le "livre d'or", du "journal du chantier" et de la "vie de l'association").
A signaler cependant, un sensible tassement de la fréquentation du site depuis une semaine environ. Sur ce dernier point, il est encore trop tôt pour épiloguer.
Enfin, je note que le ratio des visites virtuelles par rapport aux visites réelles demeure très fort, sans aucun doute sensiblement supérieur à dix. L'effet d'entraînement d'un mode de visite sur l'autre demeure cependant à déterminer : on ne sait encore lequel est la poule et lequel l'oeuf !
On avait vu que le premier demi-millier de visites avait pris six semaines, le second n'en a donc nécessité que cinq.
Ainsi, alors que j'aurais pensé que le rythme de visites se calmerait après la relative effervescence du lancement, il n'en a rien été, au contraire. Pourtant, à l'exception notable du journal de circonscription du député DENIAUD, le site n'a fait l'objet d'aucune nouvelle publicité.
On pourrait donc penser que le bouche à oreille a bien fonctionné. C'est là en effet une explication possible.
En l'absence de toute donnée précise, je pense cependant que plusieurs visiteurs virtuels sont revenus plusieurs fois, soit que la masse d'informations du site ait retenu leur attention sans qu'ils puissent en prendre connaissance en une seule connexion, soit qu'ils trouvent un intérêt suffisant dans les rubriques qu'avec d'autres visiteurs dont quelques habitués, je contribue à alimenter (il s'agit, outre le "livre d'or", du "journal du chantier" et de la "vie de l'association").
A signaler cependant, un sensible tassement de la fréquentation du site depuis une semaine environ. Sur ce dernier point, il est encore trop tôt pour épiloguer.
Enfin, je note que le ratio des visites virtuelles par rapport aux visites réelles demeure très fort, sans aucun doute sensiblement supérieur à dix. L'effet d'entraînement d'un mode de visite sur l'autre demeure cependant à déterminer : on ne sait encore lequel est la poule et lequel l'oeuf !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 1er Décembre 2009
Administration - Animation, fêtes, visites - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
rédigé le Mardi 1er Décembre 2009
Administration - Animation, fêtes, visites - Lobbying autre qu'environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Vie des associations
J'apprends à l'instant que le conseil général de l'Orne a décidé hier d'élargir au patrimoine classé ou inscrit au titre des monuments historiques la gamme de ses interventions en faveur du patrimoine. En pratique, cela signifie que la majorité des conseillers généraux reconnaît la contribution des monuments historiques ornais à la promotion du tourisme et à la défense d'un emploi artisanal local de qualité. Cette assemblée est donc désormais disposée à subventionner (dans la limite de 15 % et de 15 000 €€ par dossier) les travaux extérieurs sur les monuments historiques privés.
C'est là une excellente nouvelle, et il convient d'en remercier au premier chef M. Alain LAMBERT, ancien ministre du budget, sénateur et président du conseil général de l'Orne, ainsi que M. Christophe de BALORRE, vice-président du conseil général. Sans leur soutien actif et éclairé, cette réforme n'aurait évidemment pu être adoptée.
J'observe que le "rapport du président" qui recommandait cette réforme au conseil général a eu comme "objectif opérationnel" de "contribuer à l'appropriation des biens culturels". Et c'est bien là, en effet, toute la portée d'une telle réforme. Car il ne s'agit pas tant d'alléger la lourde charge financière des propriétaires privés de monuments historiques que de leur donner un coup de chapeau officiel bienvenu pour leur action fondamentalement bénévole. Le patrimoine dont il s'agit ici est en effet, au-delà de ses propriétaires privés immédiats, une part significative de la culture profonde du terroir, un bien commun.
C'est bien ainsi qu'on le comprend à la Chaslerie et, j'en suis persuadé, chez les autres dépositaires temporaires de ces utiles vestiges d'un grand passé. Soyons donc fiers de nos monuments historiques, rendons-les accessibles et compréhensibles à tous, et notamment aux plus jeunes. Car tel est bien l'enjeu !
C'est là une excellente nouvelle, et il convient d'en remercier au premier chef M. Alain LAMBERT, ancien ministre du budget, sénateur et président du conseil général de l'Orne, ainsi que M. Christophe de BALORRE, vice-président du conseil général. Sans leur soutien actif et éclairé, cette réforme n'aurait évidemment pu être adoptée.
J'observe que le "rapport du président" qui recommandait cette réforme au conseil général a eu comme "objectif opérationnel" de "contribuer à l'appropriation des biens culturels". Et c'est bien là, en effet, toute la portée d'une telle réforme. Car il ne s'agit pas tant d'alléger la lourde charge financière des propriétaires privés de monuments historiques que de leur donner un coup de chapeau officiel bienvenu pour leur action fondamentalement bénévole. Le patrimoine dont il s'agit ici est en effet, au-delà de ses propriétaires privés immédiats, une part significative de la culture profonde du terroir, un bien commun.
C'est bien ainsi qu'on le comprend à la Chaslerie et, j'en suis persuadé, chez les autres dépositaires temporaires de ces utiles vestiges d'un grand passé. Soyons donc fiers de nos monuments historiques, rendons-les accessibles et compréhensibles à tous, et notamment aux plus jeunes. Car tel est bien l'enjeu !
M.-T. ROBILLARD
rédigé le Mercredi 2 Décembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Mercredi 2 Décembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
Je fais partie de la commission des cyclo-découvertes de la Semaine Fédérale de Cyclotourisme qui doit se dérouler à Flers du 31 juillet au 7 août 2011.
En reconnaissant un circuit, aujourd'hui, nous sommes passés à La Chaslerie : le manoir nous a paru splendide.
Nous nous demandions s'il serait possible de venir voir l'extérieur, avec des groupes de cyclistes le jeudi 4 Août 2011. Peut-on emprunter l'allée qui descend vers le domaine ?
Je vous remercie beaucoup et vous prie de recevoir mes respectueuses salutations.
En reconnaissant un circuit, aujourd'hui, nous sommes passés à La Chaslerie : le manoir nous a paru splendide.
Nous nous demandions s'il serait possible de venir voir l'extérieur, avec des groupes de cyclistes le jeudi 4 Août 2011. Peut-on emprunter l'allée qui descend vers le domaine ?
Je vous remercie beaucoup et vous prie de recevoir mes respectueuses salutations.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 2 Décembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Mercredi 2 Décembre 2009
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
@ M.-T. ROBILLARD :
La réponse est évidemment affirmative aux deux questions que vous avez bien voulu me poser, d'ailleurs avec 20 mois d'avance, ce qui montre que les cyclo-touristes sont très prévoyants et organisés.
Soyez gentils de m'indiquer, quand se rapprochera l'échéance, combien vous pensez être et si vous serez tous ensemble ou répartis entre plusieurs groupes.
Et, puisque vous viendrez un 4 août, nous pourrions même fêter ensemble l'anniversaire de l'abolition des privilèges, qu'en diriez-vous ?
La réponse est évidemment affirmative aux deux questions que vous avez bien voulu me poser, d'ailleurs avec 20 mois d'avance, ce qui montre que les cyclo-touristes sont très prévoyants et organisés.
Soyez gentils de m'indiquer, quand se rapprochera l'échéance, combien vous pensez être et si vous serez tous ensemble ou répartis entre plusieurs groupes.
Et, puisque vous viendrez un 4 août, nous pourrions même fêter ensemble l'anniversaire de l'abolition des privilèges, qu'en diriez-vous ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Mai 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Lundi 3 Mai 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
Pour la deuxième année consécutive, le conseil général de l'Orne patronne "Pierres en lumières", une animation nocturne du patrimoine architectural ornais dont la première édition avait rencontré la faveur du public. Cette seconde édition aura lieu le 29 mai prochain.
Pour la deuxième année, Jacques LAURENSOU me recommande que la Chaslerie se joigne à cette opération.
Sur le principe, j'y suis favorable. C'est en outre une façon de remercier le conseil général de l'Orne d'avoir infléchi dernièrement sa politique en faveur des monuments historiques privés (comme raconté, le 1er décembre dernier, dans la rubrique "Sujets divers" de ce site).
J'ai donc prié Jacques LAURENSOU de bien vouloir, dans le cadre de notre association, étudier les modalités de notre participation future.
Dans l'immédiat, j'ai en effet deux préoccupations et un souhait :
- la sécurité des visiteurs ; à cet égard, la lourdeur des restaurations en cours (maçonnerie au fournil de la ferme, couverture à la charretterie) ne me semble pas rendre envisageable cette année d'isoler simplement et rapidement les échafaudages en place et les matériels et matériaux de chantier épars sur la propriété ;
- la qualité de l'éclairage ; même si ce n'est pas requis, il serait utile de disposer de projecteurs puissants, de qualité professionnelle et en nombre suffisant, ainsi que d'un éclairage convenable du parcours proposé (y compris le parking et des toilettes extérieures à prévoir) ;
- la mise en place d'une animation qui pourrait être musicale ; en ce domaine, tout reste à imaginer.
Pour la deuxième année, Jacques LAURENSOU me recommande que la Chaslerie se joigne à cette opération.
Sur le principe, j'y suis favorable. C'est en outre une façon de remercier le conseil général de l'Orne d'avoir infléchi dernièrement sa politique en faveur des monuments historiques privés (comme raconté, le 1er décembre dernier, dans la rubrique "Sujets divers" de ce site).
J'ai donc prié Jacques LAURENSOU de bien vouloir, dans le cadre de notre association, étudier les modalités de notre participation future.
Dans l'immédiat, j'ai en effet deux préoccupations et un souhait :
- la sécurité des visiteurs ; à cet égard, la lourdeur des restaurations en cours (maçonnerie au fournil de la ferme, couverture à la charretterie) ne me semble pas rendre envisageable cette année d'isoler simplement et rapidement les échafaudages en place et les matériels et matériaux de chantier épars sur la propriété ;
- la qualité de l'éclairage ; même si ce n'est pas requis, il serait utile de disposer de projecteurs puissants, de qualité professionnelle et en nombre suffisant, ainsi que d'un éclairage convenable du parcours proposé (y compris le parking et des toilettes extérieures à prévoir) ;
- la mise en place d'une animation qui pourrait être musicale ; en ce domaine, tout reste à imaginer.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 17 Juin 2010
Journal du chantier - Charpente-couverture - Sculpture - Chapelle - Animation, fêtes, visites - Vie des associations
rédigé le Jeudi 17 Juin 2010
Journal du chantier - Charpente-couverture - Sculpture - Chapelle - Animation, fêtes, visites - Vie des associations
"Habemus Annam !" La statue d'Anne est enfin installée. Tout s'est très bien passé. Nous avons fêté l'évènement avec Pascal POIRIER et tous ceux qui ont prêté main forte lors de la dernière étape, notamment Pascal MAIZERAY, Bernard CORBIERE, Roland BOUSSIN et son équipe, sans oublier Claude MARTIN.
Il reste donc à l'inaugurer. C'est prévu pour la prochaine fête de Sainte Anne, c'est-à-dire lundi 26 juillet prochain à partir de 11 heures du matin. Il y aura des trompes de chasse, des chants grégoriens et, peut-être, une cornemuse. La cérémonie sera suivie d'un pique-nique sur place, selon la formule du vide-paniers.
Tous ceux qui souhaitent en être sont invités de bon coeur ! Je leur demande seulement de me prévenir quelques jours avant, afin que je puisse adapter l'installation.
Il reste donc à l'inaugurer. C'est prévu pour la prochaine fête de Sainte Anne, c'est-à-dire lundi 26 juillet prochain à partir de 11 heures du matin. Il y aura des trompes de chasse, des chants grégoriens et, peut-être, une cornemuse. La cérémonie sera suivie d'un pique-nique sur place, selon la formule du vide-paniers.
Tous ceux qui souhaitent en être sont invités de bon coeur ! Je leur demande seulement de me prévenir quelques jours avant, afin que je puisse adapter l'installation.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 26 Juin 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
rédigé le Samedi 26 Juin 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
Marquez-le sur vos tablettes : le lundi 26 juillet prochain, jour de la Sainte Anne, il est prévu une petite cérémonie à la Chaslerie, à l'occasion de l'inauguration de la statue de Sainte Anne de la chapelle, en présence du sculpteur, Pascal POIRIER, qui expliquera son travail.
Au programme (qui commencera à 11 heures du matin), il y aura des trompes de chasse et des chants grégoriens, puis un pique-nique sur place, chacun apportant son manger.
En ce moment, j'essaye de faire venir un joueur de cornemuse (puisque Sainte Anne est la patronne de la Bretagne) et d'organiser, dans la foulée, une assemblée générale de notre association. Le principal point à l'ordre du jour de cette dernière pourrait être le lancement d'un concours de photographies, avec l'idée de permettre l'édition prochaine d'une carte postale représentant la Chaslerie, puisqu'il n'y en a plus eu depuis une cinquantaine d'années.
Les réflexions sur l'organisation de cette journée sont en cours. Je vais chercher à contacter l'animateur de "l'éclair de la haute chapelle" (le comité des fêtes de la commune) et celui du "trou normand" (le groupe folklorique domfrontais). Il va aussi falloir se préoccuper de louer un w.-c. mobile si cette idée de pique-nique prospère.
Quand les réflexions seront suffisamment avancées, il y aura lieu de susciter un article, sous forme d'avis à la population, dans le "Publicateur libre", notre hebdomadaire du bocage.
Bien entendu, les visiteurs du site sont invités à faire part de leurs suggestions, ici ou directement en me contactant.
Au programme (qui commencera à 11 heures du matin), il y aura des trompes de chasse et des chants grégoriens, puis un pique-nique sur place, chacun apportant son manger.
En ce moment, j'essaye de faire venir un joueur de cornemuse (puisque Sainte Anne est la patronne de la Bretagne) et d'organiser, dans la foulée, une assemblée générale de notre association. Le principal point à l'ordre du jour de cette dernière pourrait être le lancement d'un concours de photographies, avec l'idée de permettre l'édition prochaine d'une carte postale représentant la Chaslerie, puisqu'il n'y en a plus eu depuis une cinquantaine d'années.
Les réflexions sur l'organisation de cette journée sont en cours. Je vais chercher à contacter l'animateur de "l'éclair de la haute chapelle" (le comité des fêtes de la commune) et celui du "trou normand" (le groupe folklorique domfrontais). Il va aussi falloir se préoccuper de louer un w.-c. mobile si cette idée de pique-nique prospère.
Quand les réflexions seront suffisamment avancées, il y aura lieu de susciter un article, sous forme d'avis à la population, dans le "Publicateur libre", notre hebdomadaire du bocage.
Bien entendu, les visiteurs du site sont invités à faire part de leurs suggestions, ici ou directement en me contactant.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 27 Juin 2010
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Ferronnerie - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Charretterie - Cave - Animation, fêtes, visites - Météo - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
rédigé le Dimanche 27 Juin 2010
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Ferronnerie - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Charretterie - Cave - Animation, fêtes, visites - Météo - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
Je cherche toujours à donner un certain rythme aux travaux de la Chaslerie. C'est un bon moyen pour entretenir une saine émulation entre les artisans et mes employés.
Ainsi, dans la perspective de la venue de TF 1 dont on a été avisés (comme raconté dans la rubrique "Sujets divers") avec un très bref préavis, j'avais demandé à Pascal MAIZERAY de "mettre le paquet" pour avancer dans le dallage des plateformes en cours, et à l'équipe de Roland BOUSSIN de réviser les couvertures non encore restaurées et dont les ardoises se détachent lors des coups de vent. Ils ont fait le nécessaire. En particulier, Pascal est arrivé deux jours de suite sur le chantier aux premières lueurs de l'aube, pour profiter de la température encore fraîche. De son côté, Bernard a coupé l'herbe aux abords immédiats du manoir et aussi en bordure de la départementale. C'était nickel. Je les en remercie.
La prochaine grande étape que je leur ai signalée sera assurément le 26 juillet prochain, en vue de la fête qu'on commence à organiser (voir "Vie de l'association"). Il faudrait alors que l'équipe de Roland BOUSSIN ait achevé son intervention sur la charretterie et que le sol de cette dernière ait pu être restauré par Pascal. Ceci pose la question de la date de réalisation du drainage de la cave, puisque ce dernier débouchera dans le drainage à prévoir de la charretterie. J'ai le souci de ne pas défoncer la pelouse avant le pique-nique du 26 juillet.
L'étape suivante sera le dimanche des "journées du patrimoine" de 2010. J'ai demandé à Roland FORNARI d'avoir fabriqué et installé à cette date les grilles que je lui ai commandées pour la façade Est du manoir. Il est actuellement débordé et tarde à me soumettre ses plans pour la grille qui sera implantée sur le mur entre la chapelle et le manoir, au passage entre l'avant-cour et la terrasse. J'ai souhaité quelque chose de beau et qui mette en évidence l'écu des LEDIN. Il y réfléchit encore.
D'ores et déjà, je pense à planifier les travaux à venir sans omettre mes perspectives fiscales, sujet qui pourrait être mouvant dans le contexte d'austérité qui se développe actuellement. Pour les journées du patrimoine de 2011, j'aimerais avoir restauré (terrassements et plantations), l'allée principale de la Chaslerie. Je viens d'étudier les textes et je n'y ai vu nulle part l'obligation de déposer une demande de permis pour une restauration d'allée. J'interroge donc les experts de "la Demeure Historique" pour en avoir le coeur net. Il y aura peut-être lieu que je demande à Anne CHEVILLON, l'architecte des bâtiments de France, ce qui précisément lui a fait me recommander de me soumettre à cette formalité. Je vais devoir aussi collationner des devis pour ces travaux afin de monter un dossier de subvention, s'il reste encore des crédits dans les comptes de l'Etat.
Ainsi, dans la perspective de la venue de TF 1 dont on a été avisés (comme raconté dans la rubrique "Sujets divers") avec un très bref préavis, j'avais demandé à Pascal MAIZERAY de "mettre le paquet" pour avancer dans le dallage des plateformes en cours, et à l'équipe de Roland BOUSSIN de réviser les couvertures non encore restaurées et dont les ardoises se détachent lors des coups de vent. Ils ont fait le nécessaire. En particulier, Pascal est arrivé deux jours de suite sur le chantier aux premières lueurs de l'aube, pour profiter de la température encore fraîche. De son côté, Bernard a coupé l'herbe aux abords immédiats du manoir et aussi en bordure de la départementale. C'était nickel. Je les en remercie.
La prochaine grande étape que je leur ai signalée sera assurément le 26 juillet prochain, en vue de la fête qu'on commence à organiser (voir "Vie de l'association"). Il faudrait alors que l'équipe de Roland BOUSSIN ait achevé son intervention sur la charretterie et que le sol de cette dernière ait pu être restauré par Pascal. Ceci pose la question de la date de réalisation du drainage de la cave, puisque ce dernier débouchera dans le drainage à prévoir de la charretterie. J'ai le souci de ne pas défoncer la pelouse avant le pique-nique du 26 juillet.
L'étape suivante sera le dimanche des "journées du patrimoine" de 2010. J'ai demandé à Roland FORNARI d'avoir fabriqué et installé à cette date les grilles que je lui ai commandées pour la façade Est du manoir. Il est actuellement débordé et tarde à me soumettre ses plans pour la grille qui sera implantée sur le mur entre la chapelle et le manoir, au passage entre l'avant-cour et la terrasse. J'ai souhaité quelque chose de beau et qui mette en évidence l'écu des LEDIN. Il y réfléchit encore.
D'ores et déjà, je pense à planifier les travaux à venir sans omettre mes perspectives fiscales, sujet qui pourrait être mouvant dans le contexte d'austérité qui se développe actuellement. Pour les journées du patrimoine de 2011, j'aimerais avoir restauré (terrassements et plantations), l'allée principale de la Chaslerie. Je viens d'étudier les textes et je n'y ai vu nulle part l'obligation de déposer une demande de permis pour une restauration d'allée. J'interroge donc les experts de "la Demeure Historique" pour en avoir le coeur net. Il y aura peut-être lieu que je demande à Anne CHEVILLON, l'architecte des bâtiments de France, ce qui précisément lui a fait me recommander de me soumettre à cette formalité. Je vais devoir aussi collationner des devis pour ces travaux afin de monter un dossier de subvention, s'il reste encore des crédits dans les comptes de l'Etat.
Jean et moi-même serions heureux d'adhérer à votre Association.
D'autre part l'adresse mail de Madame Belot est : claudine.belot@wanadoo.fr. Elle élabore beaucoup de projets avec Mme Le Corps, la femme du taupier.
Merci de votre présence cet après-midi, et aussi pour les délicieux gâteaux.
Bien cordialement vôtre.
D'autre part l'adresse mail de Madame Belot est : claudine.belot@wanadoo.fr. Elle élabore beaucoup de projets avec Mme Le Corps, la femme du taupier.
Merci de votre présence cet après-midi, et aussi pour les délicieux gâteaux.
Bien cordialement vôtre.