Transmission du patrimoine

L'équipe de Roland BOUSSIN a enfin enclenché le turbo pour terminer le chantier des écuries.

Un compagnon met à l'abri les ardoises que nous avons d'ores et déjà dû acheter aux "Ardoisières d'Angers" pour pouvoir restaurer convenablement le colombier malgré la fermeture de leur exploitation :

5 juin 2014.

Régis rabote les sablières intérieures et parfait les blochets :

5 juin 2014.

Roland installe les chatières en poterie :

5 juin 2014.

Pour ces dernières, nous avons finalement décidé d'en grillager l'ouverture, afin d'empêcher oiseaux et guêpes d'y loger. Le grillage est très discret et ne se voit pas du sol :

5 juin 2014.

Il reste donc, pour l'essentiel, à placer les chatières de cuivre et à finir de nettoyer le chantier.

J'ai rappelé hier soir à M. COOS toute l'importance que j'attache à une qualité impeccable du travail de l'entreprise BODIN sur les marches vers la terrasse, tant en termes de couleur de la pierre que de finitions par Sébastien. Je n'exclus pas de demander que les pierres en soient changées s'il m'apparaît à mon retour un hiatus avec les dalles ou les marches de l'escalier voisines.

De son côté, M. MAFFRE est en train de programmer une réunion de chantier pour le milieu de la semaine prochaine. Il devrait profiter de sa venue pour reprendre les cotes de l'aile de la belle-mère car celles mesurées par une précédente architecte sont apparues fausses à de trop nombreux endroits significatifs. M. MAFFRE vient en effet d'être mandaté par un jeune marié (qui nous est cher) en vue de la restauration (qui ne devrait pas l'être beaucoup moins pour l'intéressé) de la charpente et de la couverture du colombier dès l'automne 2014.

Echange de S.M.S. entre mon aîné et moi aujourd'hui.

Moi (à 16 h 02) : Alors ? Raconte...
Lui (à 16 h 07) : Je viens d'arriver : remise d'un beau dossier avec photo des monuments primés (qualité diverse des lauréats), photo (petit format) de la Chaslerie sur les panneaux des orateurs, public âgé (mon voisin me dit que la moyenne d'âge des adhérents est de 54 ans).
Moi (à 16 h 37) : Petit format, misère et peau de banane !
Lui (à 16 h 49) : Il y a quand même quelques travaux extraordinaires sur d'autres monuments primés...
Moi (à 17 h 23) : On t'écoute...
Lui (à 17 h 24) : C'est long...
Moi (à 17 h 25) : As-tu salué Mme NEOUZE ?
Lui (à 17 h 25) : Yes ! Tu as un message à faire passer ?
Moi (à 17 h 27) : Tu salues de notre part. Tu peux remercier du prix...
Lui (à 17 h 28) : Plus que deux prix avant la Chaslerie...
Moi (à 17 h 30) : Tu peux saluer aussi les délégués de la Manche, de la Basse et de la Haute Normandie...
Moi (à 17 h 41) : Alors ?
Lui (à 17 h 49) : Remerciements : done !
Lui (à 17 h 50) : Réponse à la question : comment transmet-on ? Il semblerait que la folie soit héréditaire.
Moi (à 17 h 50) : Et TOUSSAINT ?
Lui (à 17 h 50) : Coup de pub pour ton site internet : done !
Moi (à 17 h 51) : Bravo !
Lui (à 17 h 52) TOUSSAINT très sympa : il a très bien présenté les travaux ("pas un endroit qui n'ait fait l'objet d'une restauration profonde"). Et un mot perso gentil à la fin me disant qu'il était très content de rencontrer le fils.
Moi (à 17 h 54) : Tu lui diras qu'on regrette d'être absents mais heureux que tu nous aies représentés.
Lui (à 18 h) : Tu as gagné une grosse plaque métallique indiquant que la restauration du bâtiment a été primée par les V.M.F.
Lui (à 18 h 20) : Et maintenant réquisitionné pour une photo de groupe... Ca ne s'arrêtera jamais !
Moi (à 18 h 21) : C'est la gloire, on dirait...
Moi (à 18 h 23) Ta mère te fait dire : sois aimable et poli (comme si c'était nécessaire à la qualité FOURCADE...).
Moi (à 18 h 24) : Kiss de nous deux et un grand merci !
Lui (à 18 h 26) : Gérald BILLET dit bonjour à Maman...

Notre échange s'est arrêté là. Carole et moi étions en transit entre le lac de Garde et le lac de Côme.
Hier, dès 7 h 30 du matin, Romain faisait sauter le dernier vestige du dallage du Tonton que l'on sait...

19 juin 2014.

... tandis que Sébastien commençait à patiner les nouvelles marches :

19 juin 2014.

A 9 heures, la réunion de chantier a commencé :

19 juin 2014, MM. COOS, MAFFRE et Sébastien.

Au premier étage, devant le linteau de la porte d'entrée dans la salle dévastée, Sébastien était partisan d'un changement de la pierre mais M. MAFFRE préfère que, malgré la fragilité évidente de son chanfrein, celle-ci soit restaurée :

19 juin 2014, un chanfrein très abîmé et qui tient par miracle.

M. MAFFRE s'est réjoui de la disparition de l'arc de briques au plafond du palier du 1er étage ainsi que de la qualité de la restauration des pierres cassées ou disparues :

19 juin 2014, M. COOS et la cicatrice de l'arc de briques.

Sur le linteau de la porte d'entrée dans mon ex-chambre, le support de fer qui maintenait les morceaux brisés a pu être retiré et nous en sommes aux travaux cosmétiques de finition :

19 juin 2014.

Au rez-de-chaussée du logis, pendant que la visite de chantier se poursuivait, des trous ont été percés dans la pierre de seuil :

19 juin 2014.

J'ai ensuite passé commande à l'entreprise BODIN de la restauration du seuil de la porte piétonnière de la cour...

19 juin 2014.

... ainsi que de l'auge en granit de la cour :

19 juin 2014.

19 juin 2014.

En revanche, j'ai reporté à septembre les travaux de plomberie ou de menuiserie dans le cabinet de toilettes sous l'escalier, ainsi que la pose de l'enduit sur les murs de l'escalier. Il faut en effet laisser à Carole le temps de récupérer l'usage du rez-de-chaussée du logis avant le mariage et pour ses vacances ; donc pas question de laisser la poussière du chantier rendre sa vie impossible pendant cette phase délicate à franchir.

Dans l'après-midi, M. MAFFRE, mandaté par notre jeune marié favori et aidé de son assistante, Florianne GRIPPON, a pris les mesures de l'aile Ouest ; ils sont ici au milieu des fleurs dont Carole n'a pu se retenir d'encombrer la cour, en cette période où, pourtant, la priorité devrait encore être laissée au chantier :

19 juin 2014.

En fin de journée, la pose des dalles était terminée mais Sébastien continuait à patiner les marches :

19 juin 2014.

J'ai reçu dès ce soir le compte rendu de la visite de chantier de M. MAFFRE relatif aux travaux confiés à M. BOUSSIN sur les écuries. En voici le texte :

M. MAFFRE m'ayant chargé d'assurer la transmission de ce compte rendu à ce charpentier-couvreur, voici le texte du courriel dont j'ai agrémenté cet envoi :

(début de citation)

Monsieur Boussin,

Veuillez trouver ci-joint les remarques de Monsieur Maffre à propos de la finition des travaux qui vous ont été confiés sur les écuries de la Chaslerie, travaux qui vous ont été réglés dès décembre et qui devaient être achevés pour mars, je vous le rappelle. J'ajoute que le bois de la signature de Jean MIDY fait tâche par rapport à la sablière dans laquelle il est encastré ; là aussi, il y a un problème à régler.

Enfin, suite à mes nombreux messages restés sans réponse utile à ce jour, je rappelle que je vous ai demandé de prévoir dans les meilleurs délais de remplacer les tuiles et ardoises tombées de divers bâtiments, y compris de la tour Louis XIII du fait d'un de vos employés.

Je regrette que, malgré mes demandes réitérées alors que votre Manitou est resté si longtemps garé dans ma cour, vous n'en ayez pas profité pour intervenir plus tôt. Je vous ai également demandé de longue date un démoussage de couvertures.

J'attends que le nécessaire soit fait suffisamment longtemps avant le mariage prévu, comme vous le savez, le 26/7, pour que, si besoin est de rouler sur l'herbe, celle-ci ait le temps de repousser, malgré le temps sec que nous connaissons actuellement.

C'est dire qu'une intervention sans délai supplémentaire m'obligerait.

Salutations distinguées,

PPF

(fin de citation)

Jonathan vient de finir de retirer de la cour toutes les dalles de granit excédentaires (à l'exception de celles qui serviront pour le seuil de la porte piétonnière de la cour). Elles étaient stockées là depuis le 17 février dernier :

26 juin 2014.

Dans la foulée, il fait également place nette dans les écuries :

26 juin 2014.

Je viens d'appeler M. TIERCELIN pour lui demander où en est le dossier de subvention des travaux sur parties inscrites du "programme 2014". "Il est dans les tuyaux", me dit-il, "il n'y a rien d'anormal".

J'en ai profité pour lui signaler que le fiston souhaiterait pouvoir engager avant la fin de 2014 la restauration de la charpente et de la couverture du colombier. "Y aura-t-il moyen de subventionner ces travaux sur vos enveloppes 2014 ?" lui ai-je demandé. "Cela va être très chaud" m'a-t-il répondu.

Au passage, il m'a laissé entendre que les enveloppes de la D.R.A.C. pour 2015 seraient sensiblement réduites. Or je souhaiterais, l'an prochain et pour ma part, restaurer la salle-à-manger du logis et l'Avenue du manoir.

J'ai donc signalé à M. MAFFRE l'urgence de la préparation des contrats, plans, devis nécessaires pour qu'aucun de nous ne loupe le coche avant qu'il ne finisse par se volatiliser.

Notre paisible Bernard coupe au "John Deere" l'herbe de l'Avenue :

1er juillet 2014.

Comment ? Vous ne l'apercevez pas tout là-bas ? Regardez mieux :

1er juillet 2014.

Quant à Jo, il est allé se perdre, au volant du "Valtra", du côté des cadrans celtiques :

1er juillet 2014.

Lui non plus, vous ne le voyez pas ? Et comme ceci ?

1er juillet 2014.

En tout cas, sur le chemin de retour de ma promenade, je me dis que l'aile de la belle-mère a belle allure en attendant la visite, ce week-end, de la belle-mère du jeune homme concerné...

1er juillet 2014.

Tout cela ne fait pas vraiment pitié, je trouve.

Où en sommes-nous de mes travaux d'Hercule ?

Voici le point à J - 18 :

- couper les tiges de fer situées entre le fournil du manoir et le mur Ouest de la douve Nord ; c'est une demande de M. LALAOUNIS, le traiteur, pour que son camion puisse accéder à la tente du Pournouët ; A FAIRE
- faire installer un point d'eau extérieur au fournil du manoir et acheter 200 mètres de tube en caoutchouc, toujours pour M. LALAOUNIS ; POINT D'EAU FAIT, TUBE : A FAIRE
- faire renforcer la puissance électrique pour cette soirée ; EST-CE INDISPENSABLE, DES LORS QU'IL Y AURA UNE GENERATRICE ?
- acheter des lampes solaires pour baliser le chemin des invités vers le parking ; il paraît que la nuit sera sans lune ; EN COURS - MODELE VALIDE
- faire installer un plancher "provisoire" (on sait ce qu'il faut en penser) dans l'ex-cuisine du bâtiment Nord ; faire en sorte que ce plancher ne gêne pas le plombier qui aura besoin, un jour ou l'autre, de brancher le chauffage et une arrivée d'eau dans ledit bâtiment ; EN COURS
- enlever les ferrailles diverses stockées derrière la ferme ; EN COURS
- nettoyer les écuries ; FAIT
- nettoyer mon ex-chambre, au 1er étage du logis ; FAIT
- convenir d'un rendez-vous avec Sylvie LEMARIE pour qu'elle vienne cirer divers meubles, y compris les bancs de la chapelle ; A FAIRE. PROBLEME : LA SERRURE DE LA CHAPELLE EST BLOQUEE
- changer les graviers devant le manoir ; en profiter pour rendre mieux carrossable l'allée actuelle ; EN COURS
- acheter du charbon de bois pour le barbecue de J+1 ; A FAIRE
- aller rendre visite à François MOREAU pour vérifier si son orgue entre dans ma Kangoo ; FAIT
- voir avec Jean LEMARIE s'il a un chevalet ou une grille pour attacher les plans de table ; A FAIRE
- acheter un grand barbecue ; INUTILE, GRANDGOUSIER LE FOURNIT.
M. MAFFRE nous a communiqué en début d'après-midi son projet pour la restauration de la toiture du colombier.

Moins de 5 heures plus tard, j'ai fait part de mes observations.

Nous allons essayer d'obtenir les autorisations et promesses nécessaires en temps utile pour un lancement des travaux avant la fin de 2014.

J'ai reçu ce matin le "projet" de M. MAFFRE relatif à la restauration de la charpente et de la couverture du colombier.

Je le mets en ligne, non sans en avoir retiré les 3 dernières pages qui donnent l'estimation du coût des travaux :

Tel qu'il se présente, ce document appelle de ma part les commentaires suivants :

- comme tout ce que fait M. MAFFRE, ce travail est très sérieux ;
- toutefois, dans l'ensemble, il ne nous apprend pas grand chose, si ce n'est quelques termes techniques. En fait, nous avons dû passer par l'élaboration d'un tel document, bien entendu coûteux, pour avoir une chance de décrocher des subventions. Une fois les autorisations nécessaires sollicitées et obtenues, nous espérons pouvoir engager ces travaux dès l'automne ;
- je n'arrive pas à faire admettre par M. MAFFRE que les écrits de LASSEUR, qu'il cite à diverses reprises, n'ont pas une valeur scientifique confirmée. L'architecte reprend donc à son compte certaines élucubrations sur l'histoire des LEDIN au sujet desquelles mes réserves sont également connues des visiteurs de notre site favori ;
- je découvre, en page 11 du document mis en ligne ici une vue en couleurs de la Chaslerie qui témoigne des rapides progrès de la C.A.O. :

Cette vue a été réalisée en utilisant le logiciel Sketchup, de Google, dont une version gratuite est facile d'accès mais M. MAFFRE précise que, pour arriver à un résultat intéressant, une certaine pratique est requise. Cette image mérite à l'évidence d'être conservée ; elle complète utilement les récentes photos de drone.

Mes hiboux vous ont-ils plu ? Aujourd'hui, je vous présente notre chouette :

22 août 2014.

Ganté, armé d'un parapluie et protégé par un torchon, Igor est allé la capturer dans la pièce qui sert de cuisine. Pour m'échapper alors que je prétendais lui faire vider les lieux, elle s'était réfugiée derrière le buffet :

22 août 2014.

Observez ses serres, c'est du costaud !

Habituellement, elle niche au-dessus de la porte donnant accès à la chambre de mon aîné, au 2ème étage du colombier. Pour manifester sa bonne volonté, elle ne manque pas de disposer régulièrement, en guise d'offrande, sur le palier de cette chambre, quelques boyaux de rongeur dont elle s'est régalée. La nuit, elle accompagne aussi de ses ululements le ronflement des tourtereaux.

Donc il était temps d'agir.

J'ai demandé à Igor d'occulter provisoirement les lucarnes des écuries à l'aide de feuilles de plexiglas...

22 août 2014.

... ainsi que de remplacer les jets d'eau de la porte sur cour des écuries car il y avait là un trou jadis utilisé par Ercule pour se mettre à l'abri et par lequel la chouette pouvait encore passer :

28 août 2014.

Téléphonant ce matin à M. TIERCELIN, de la D.R.A.C., j'ai appris que le dossier relatif à la restauration de la charpente et de la couverture du colombier y était arrivé suffisamment tôt pour pouvoir être inscrit au programme des subventions de l'exercice 2014. Il fallait toutefois que je m'assure que le maire de La Haute-Chapelle ne tarde pas à donner son feu vert.

Je me suis donc précipité à la mairie où j'ai été informé que cet accord avait été donné dès que le S.T.A.P. avait posé la question.

Tout cela est donc de bon augure.

P.S. : Je précise que le maître d'ouvrage et principal payeur de ces travaux sera mon aîné.

Philippe TOUSSAINT m'a demandé d'être bref et de ne pas aborder, dans mon discours de dimanche, plus de 2 ou 3 sujets.

L'idée me paraissant bonne, j'ai choisi de retenir deux questions qui me tiennent particulièrement à cœur :

- la transmission du patrimoine. Au bout de 23 ans de chantier, il est en effet temps pour moi de passer la main. Pour des raisons financières qui me sont propres et aussi et surtout car je souhaite que la greffe prenne. Autrement dit, que la génération suivante puisse s'approprier ce projet quand elle est encore suffisamment jeune. Tandis que je m'exprimerai dimanche, la jeune classe la plus directement concernée sera toutefois en voyage de noces, quelque part aux antipodes. Mon cadet sera néanmoins présent pour entendre, méditer et répercuter la bonne parole ;

- l'importance d'une bonne relation de travail entre toutes les parties concernées lorsqu'on s'attelle à la restauration d'un monument historique. Tout n'a pas toujours été facile ici et, moi aussi, j'ai commis des erreurs dont notre site favori a été le tabellion. Mais je serai fier de présenter l'équipe éprouvée qui contribue désormais à la restauration de notre manoir favori (seul Igor manquera à l'appel dimanche mais... il avait un match de foot programmé) et de remercier également les administrations (représentées dimanche par le nouveau directeur régional des affaires culturelles) pour la qualité présente de notre coopération, sous l'égide, enfin, d'un très bon architecte.
Voici un courrier non relu, non signé et imprécisément daté mais à en-tête connue que j'aurais préféré ne pas recevoir. Il établit en effet que, contrairement à ce que j'avais bien voulu imaginer (car j'ai quand même bon fond), le dossier de la Chaslerie a bien été pris en considération par ce qu'il convient, paraît-il, d'appeler un jury d'experts :

Donc, M. MAFFRE (s'il le veut bien) et moi, on va pouvoir épiloguer l'hiver prochain, dans nos basses contrées humides et froides, en évoquant un certain délégué régional de la Haute qui a prétendu, y compris par écrit et en restant sérieux comme un pape, avoir fait œuvre impartiale.

Accessoirement, le dossier qui nous a ainsi été retourné nous est parvenu incomplet puisqu'y manquent les dernières pages.

P.S. : En réponse à une question que j'avais posée, je viens d'être informé, il y a quelques jours, que le prix régional des V.M.F. qui devait, en 2014, être attribué à un Ornais, ne sera finalement attribué à personne. Peut-être les instances appropriées remettront-elles la dotation en jeu dans trois ans, c'est-à-dire, pour être clair, doubleront-elles alors alors la mise. On peut toujours oser l'espérer.

Quoi qu'il en soit, suivez mon regard langoureux vers une certaine jeune classe concernée qui pourra éventuellement sembler mériter d'être encouragée le moment venu, si, comme on le souhaite et comme elle paraît s'y prêter, elle continue à bien prendre le relais des anciens...
Il y a plusieurs mois, j'ai demandé à l'architecte de préparer la demande d'autorisation d'étude préalable relative aux châssis de portes et de fenêtres de la Chaslerie. Malgré plusieurs rappels, je ne vois toujours rien venir.

Idem pour le permis de construire modificatif relatif à la restauration de l'Avenue.

Aurais-je par hasard dit trop de bien de M. MAFFRE ?