Terrassement

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 7 Avril 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Logis - Aile "de la belle-mère"
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J'avais souhaité que Cédrick COOS, de l'enteprise BODIN, prépare un devis pour le pavage du pied des murs de la cour, du côté du logis et de celui de l'"aile de la belle-mère". Cédrick recommande des trottoirs de grès posés à champ sur une largeur de 1,30 mètre.

7 avril 2017.

De ce fait, il va falloir commencer par transplanter toutes les fleurs dont les rosiers.

7 avril 2017.

Nous reparlerons de la question le 28 avril prochain, lors de la venue de Benoît MAFFRE et d'Arnaud TIERCELIN. D'ores et déjà, je me dis que ces travaux ne seront pas possibles avant le début octobre, en raison du programme de festivités jusqu'à cette époque.

J'ai également demandé à Cédrick de chiffrer deux autres interventions dans le logis :
- l'insertion d'une gaine de ventilation entre les w.-c. sous l'escalier et la façade Est ;
- au rez-de-chaussée de la tour Sud-Ouest, le relevage du linteau de la porte d'entrée ainsi que l'élargissement de l'ouverture de la cheminée :

7 avril 2017.

Au passage, Cédrick m'a convaincu de faire disparaître au plus tôt les horribles joints de ciment des murs, faute de quoi la mérule s'installerait derrière le fond de bois prévu à ce stade pour la future bibliothèque.

Enfin, il doute qu'il soit possible d'installer un système de chauffage sous l'enduit de la cage d'escalier du logis car cela se traduirait par des surépaisseurs incompatibles avec les enduits à la chaux aérienne à prévoir à cet endroit.

Au courrier trouvé cette nuit, en rentrant à notre manoir favori, les documents suivants que je commente en les mettant en ligne :
- une lettre de notre géomètre-expert favori :

- sa facture que je vais régler immédiatement puisqu'il a bien répondu à ma commande :

- les documents d'arpentage relatifs à la création d'une parcelle pour le bief amont des douves (classé parmi les monuments historiques) :

- les documents d'arpentage relatifs à la création de quatre autres nouvelles parcelles, l'une pour la tour Louis XIII, l'autre pour le logis, une troisième pour l'allée historique et une dernière pour l'ensemble constitué principalement par la terrasse, le Pournouët et les maçonneries du circuit des douves autres que le bief amont :

- le plan de division qui résulte de tout ce qui précède :

Mon intention est de vendre les nouvelles parcelles, en nue-propriété, à une S.C.I. familiale (peut-être celle déjà mise en place pour l'"aile de la belle-mère"), de manière à donner une assiette juridique incontestable aux travaux de restauration qui pourraient y être menés, dès que possible selon mon souhait.

Quant à ces travaux de restauration, ils devraient être mis en œuvre avec mon accord sur les partis architecturaux retenus et les matériaux choisis.

En effet, ce n'est pas parce que je n'ai plus les moyens de financer ces travaux que je compte m'en désintéresser et, en particulier, cesser d'en rendre compte sur notre site favori. Je ne vois là nulle "immixtion" (n'en déplaise à un prestataire qui semble se croire fondé à se plaindre de moi qui ne suis certes pas un béni-oui-oui ni, je le crois du moins, un observateur inculte ou imbécile), mais une "contrepartie légitime et normale", en plus d'un juste prix à payer par le porteur de parts de la S.C.I., aux abandons d'une propriété jusque là pleine et entière que je suis prêt à consentir dans l'intérêt du monument.

Je fais l'hypothèse que nous arriverons assez facilement à boucher les ornières des accotements des allées ou des pelouses de notre manoir favori, d'autant que n'écoutant que son bon cœur, Maxime est venu, dès sa sortie du travail, manier la mini-pelleteuse :

2 octobre 2017.

Il faudra sans doute ajouter de la bonne terre de ci de là. En revanche, je suis plus inquiet pour les allées, qui étaient nickel et entretenues depuis une dernière intervention significative au printemps 2016 mais dont le gravier disparaît désormais sous la terre déposée par les engins...

2 octobre 2017.

2 octobre 2017.

... parfois très lourds et qui ont défoncé la chaussée à divers endroits.

Puisqu'il reste encore à ces jeunes nombre de matériels et détritus à enlever, nous sommes convenus avec Jimmy de reporter à demain soir l'état des lieux de sortie.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 3 octobre 2017 01:23
À : UPSET ALPHAPODIS
Objet : Urgent - Signalé - Tout-venant sur les allées

Cher Jimmy,

Vous m'avez dit hier soir que vous aviez commandé du tout-venant pour restaurer les allées endommagées ou maculées de boue du fait, principalement, des passages d'engins utilisés à l'occasion du festival.

Pour info, je vous signale que la qualité du tout-venant utilisé lors de la dernière restauration est, d'après la facture ci-jointe du fournisseur "Point Vert" à Domfront, du "MEL.BET.0/10". Ceci indique notamment les dimensions des particules. Il en avait donc été utilisé 16 m3.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (à 8 heures) : Surprenants jeunes gens, j'apprends ce matin qu'ils avaient déjà passé commande, hier, du gravier du bon type. L'entreprise TTA de Joué-du-Bois doit le livrer (TTA qui a prêté un "Manitou" pour la fête, de même que l'entreprise DEGRENNE, charpentier à Lonlay-l'Abbaye. Merci à eux !).

P.S. (du 8 octobre 2017) : En réalité, j'ai dispensé Jimmy de l'état des lieux de sortie prévu au contrat et je lui ai immédiatement rendu, sans discuter, l'intégralité de son dépôt de garantie. Ce sera ma contribution finale à cette manifestation, contribution justifiée par la parfaite correction de mes interlocuteurs d'UPSET et aussi par la qualité de la cause que ce premier "festival Alphapodis" a servie.
Grâce à la bonne terre fournie par Gaëtan et après une coupe de l'herbe devant notre manoir favori, toute trace de la bamboula du 30 septembre dernier aura bientôt disparu :

20 octobre 2017.

Il est ainsi démontré que, même avec une météo calamiteuse, la Chaslerie supporte sans problème ce type de choc.
J'ai interrogé mon expert juridique et fiscal favori pour savoir qui, du nu-propriétaire de l'"aile de la belle-mère" ou des usufruitiers devrait financer les travaux de maçonnerie et de terrassement justifiés par la porosité récente du mur Ouest de ce bâtiment.

Selon lui, il ne fait aucun doute que c'est au seul nu-propriétaire que leur responsabilité incombe.

Je lui avais d'abord demandé s'il ne serait pas possible que la nue-propriété en question soit rendue par le donataire aux donateurs. Là, la réponse a également été sans ambages : "Je déconseille de remettre en cause la nue-propriété de (...). Cela vous vaudrait toutes sortes d'ennuis, difficiles à mesurer d'avance."

Transmis à l'intéressé : pour action, enfin !

Avec le commentaire suivant : "Il faut aussi que tu me dises comment tu comptes t'y prendre pour ne pas bloquer les travaux de la 1ère tranche de restauration des menuiseries extérieures du logis et me permettre de récupérer rapidement les subventions correspondant aux sommes que j'ai déjà réglées puis, le moment venu, à celles que je règlerai pour autant qu'elles soient, pour ce qui concerne l'architecte, en phase avec le contrat que j'ai signé et que tu connais.

Là encore, j'attends ta prompte réponse."
Il pleut. Donc 5ème dégât des eaux en un mois (si je ne me trompe) dans l'"aile de la belle-mère" !

Il y a un progrès cependant : cette fois-ci, la terre du mur n'entre plus dans le bâtiment.

Normal, me direz-vous car elle est déjà entrée lors des dégâts des eaux précédents et ce qui a déjà été fait n'est plus à faire :

31 janvier 2018.

31 janvier 2018.

31 janvier 2018.

Pour son début de retraite après une quarantaine d'années professionnelles comme juriste, Carole aura un intéressant problème à résoudre : comment obtenir d'un nu-propriétaire connu pour son aptitude à attendre que tout lui tombe tout cuit dans les mains qu'il se préoccupe enfin des problèmes de gros-œuvre sur un mur porteur ainsi que des problèmes électriques connexes, essentiels en termes de sécurité des personnes et des biens.

Car, pour l'ami ancien conseiller à la Cour de Cassation que j'ai consulté, il n'y a pas photo : l'individu en question est, au contraire de ce qu'il affirme avec l'aplomb qu'on lui connaît, LE SEUL responsable des travaux qui sont à l'évidence à entreprendre. Moi, de toutes façons, je n'ai plus les sous (il faudra bien que ledit "responsable" l'admette et en tire toutes conséquences, et pas seulement à cet endroit).
Vincent PICAULT vient de passer. Je lui ai demandé de me préparer différents devis correspondant aux travaux suivants :

- dans l'"aile de la belle-mère", je voudrais relever le sol du rez-de-chaussée d'une dizaine de centimètres ; Vincent PICAULT me recommande de commencer par installer un drainage efficace à l'extérieur, au ras du mur Ouest, et par imperméabiliser le bas du mur (sous le niveau du sol) ;

- dans l'"aile de la belle-mère", le relèvement du sol empêchera de conserver les deux poutres au plafond de la "cuisine-provisoire-qui dure" ; donc j'ai demandé de substituer un plafond moderne au plafond actuel, en en profitant pour faire sauter le sol en ciment de l'ex-chambre du 1er étage du colombier, la cheminée moche de cette pièce, ainsi que le mur de séparation avec son cabinet de toilettes, le tout en conservant les éléments de boiserie et en vue d'installer, comme au rez-de-chaussée, un chauffage par le sol ;

- dans la cour, un drainage "ad-hoc" avec imperméabilisation du pied caché des murs, au moins le long du bâtiment Nord et du logis ;

- dans le bâtiment Nord, casser le sol en béton de la chaufferie actuelle ; couler un nouveau sol en réservant l'épaisseur pour le chauffage par le sol ; casser la séparation entre la chaufferie et l'ancienne cuisine (ce qui, me dit Vincent, obligera à doter le plafond d'un IPN) ; percer un passage vers la tour Nord-Est ;

- dans le logis, relever d'une bonne vingtaine de centimètres les linteaux des passages vers la tour Nord-Est et vers le bâtiment Nord.

Dans mon esprit, ces travaux sont prioritaires, de même que l'implantation, enfin, d'une chaufferie centrale, sans doute dans la charretterie. Je veux dire par là qu'ils devraient être réalisés dès 2018 - au moins ces travaux de maçonnerie - en dépit du frottement fiscal que l'on sait (moindre intérêt de 2018 que de 2019 et suivants pour de tels travaux, du fait de l'"année blanche" de la retenue à la source).

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : dimanche 11 février 2018 08:47
À : (...)@culture.gouv.fr; (...)@culture.gouv.fr
Cc : (...)
Objet : Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de M. (...), architecte du patrimoine

Chère Madame, cher Monsieur,

Les très abondantes précipitations de ces deux derniers mois se sont traduites à la Chaslerie, dans l'"aile de la belle-mère" (écuries et colombier), par une série de dégâts des eaux qui appellent à mon sens des travaux d'urgence.

En effet, le mur extérieur Ouest de cette aile qui, comme tous les murs de la Chaslerie, avait été monté à la terre à l'origine, a vu cette terre finir d'être emportée, à sa base, par les flux d'eaux pluviales (la couverture étant sans gouttières) et de ruissellement (le bâtiment est construit en contrebas d'une forte pente), d'autant que mes prédécesseurs des années 1960 avaient eu la riche idée de creuser le sol intérieur dudit bâtiment 10 bons centimètres en-dessous du sol extérieur. Les drainages que je n'avais pas manqué de faire installer au bas de la pente extérieure n'ont pas suffi à retenir toute l'eau. Désormais, par suite de la disparition de la terre progressivement lessivée dans le bas du mur, ce dernier est devenu poreux. Les pièces au rez-de-chaussée du bâtiment sont ainsi transformées en pédiluve dès qu'il pleut un tout petit peu plus que d'habitude, donc très fréquemment en cette saison. Je crois que j'en suis ainsi à cinq dégâts des eaux de ce type depuis moins de deux mois. En fait, je ne les compte plus. Du salpêtre est apparu brutalement ces derniers jours, en abondance, au sol de ces pièces. Bref, il me semble qu'il y a lieu d'intervenir d'urgence tant pour relever le sol intérieur que pour drainer très efficacement le sol extérieur.

En vertu du code civil, la charge de tels travaux incombe sans ambiguïté au nu-propriétaire. Or mon (...), nu-propriétaire de cette aile par l'intermédiaire d'une S.C.I. que nous lui avions donnée en vue de le préparer à notre succession, refuse obstinément de mettre la main au porte-monnaie. Je lui ai donc demandé de me rendre sans délai les parts de S.C.I. en question. Il a prétendu que l'obligation de détention pendant 15 ans d'un monument historique ayant fait l'objet de travaux déductibles s'opposerait à ce retour. Je me suis renseigné. Il n'en est rien, en vertu de l'article 156 bis du code général des impôts : les cessions de parts de S.C.I. familiales sont libres dès lors qu'un membre de la famille conserve l'obligation de détention, ce qui est à l'évidence mon cas.

Au-delà de ces travaux de drainage et de maçonnerie (ainsi que d'électricité puisqu'il est avéré que l'installation actuelle, non conforme aux normes de sécurité, fait peser, avec ces dégâts des eaux à répétition, des risques d'électrocution des personnes et d'incendie du bâtiment), il se pose la question de la fin des programmes de travaux précédemment subventionnés sur ladite "aile de la belle-mère". Je pense ici aux menuiseries de fenêtres et rambardes de ferronnerie à poser en substitution des feuilles de plastique légères qui ont été installées provisoirement sur chaque lucarne lors des travaux de ces dernières années.

Tout me donne à penser, en l'état du dossier, que, compte tenu du dernier retrait de mon (...), je vais devoir prendre à ma charge tous ces travaux. Or, il paraît probable que l'assureur, à qui pourtant je verse de généreuses primes chaque année, refusera de contribuer à leur financement car il ne manquera pas d'attribuer la cause des dégâts des eaux à la vétusté et au manque d'entretien suffisant du mur porteur en cause.

Il se trouve que, comme vous le savez, mon (...) a, de fait, refusé d'acquérir en 2017 ou plus tard la nue-propriété du logis comme je le lui avais proposé pour donner une base juridique solide à son relais. Il a finalement donné son accord de principe fin décembre 2017, mais en le conditionnant par deux clauses totalement absurdes et inacceptables, du moins à mes yeux, comme celle de disposer dans le bâtiment Nord d'une cuisine de 9,60 mètres de long (!!!) en reléguant le bureau-bibliothèque de mes rêves (après plus de 26 ans de travaux) dans ce que j'appelle le cul-de-basse-fosse du rez-de-chaussée de la tour Sud-Ouest. Ce faisant, il a, me semble-t-il, démontré une parfaite insensibilité non seulement à mes problématiques financière, pourtant aiguë, et de transmission, pourtant ô combien choyée, mais aussi - comble de l'irrationalité à mes yeux - à la nécessité d'engager les travaux avant la fin 2017 pour ne pas se retrouver piégé par l'"année blanche" de la mise en place du "prélèvement à la source" : en clair, il a refusé de couvrir les 0,8 % du coût des travaux de la 1ère tranche de restauration des menuiseries extérieures du logis dont le reste, 99,2 %, était indubitablement couvert par des subventions ou bien par son taux marginal d'imposition. Bref, je me vois contraint, alors que j'ai 66 ans et des revenus de retraité de la fonction publique, de contracter un emprunt de 250 000 € et d'une durée de 20 ans pour reprendre la maîtrise d'ouvrage complète des travaux à venir.

Dans ce contexte, je me pose les questions suivantes :

(1) que reste-t-il comme reliquat non consommé à ce jour de subvention de l'Etat au titre de la restauration de la charpente et de la couverture (a) des écuries et (b) du colombier ? Il me semble que ce reliquat doit rester disponible pour restaurer les menuiseries extérieures des lucarnes ;

(2) où en sommes-nous de mes obligations que la maîtrise d’œuvre des travaux subventionnés soit assurée par un architecte du patrimoine ? A ma connaissance, M. (...) a dénoncé unilatéralement le contrat qui le liait à mon (...). L'an dernier, il avait déjà dénoncé unilatéralement, sans aucune raison valable de mon point de vue, le contrat qui le liait à moi. Parce que je respecte sa compétence technique à défaut d'être un admirateur éperdu de ses qualités humaines, je l'avais mis en contact avec mon (...) puisqu'il semblait s'opposer à ce que son relais soit pris face à moi par l'un de ses confrères. (...). Echaudé par l'expérience de l'an dernier, je souhaiterais, avant de contacter un autre architecte du patrimoine, être sûr qu'en 2018, M. (...) ne fera pas obstacle à ce que les travaux de la Chaslerie soient confiés à l'un de ses confrères. (...) ;

(3) pourrais-je espérer une subvention de l'Etat au titre des travaux urgents et nécessaires que j'ai dits sur l'"aile de la belle-mère" ? Je sais bien qu'outre la subvention pour la 1ère tranche de restauration des menuiseries extérieures du logis, j'ai encore un reliquat à consommer pour les enduits de la cage d'escalier (une fois la porte et les fenêtres posées), plus, si je ne me trompe, ce reliquat sur le colombier. Et je sais aussi qu'on m'en veut toujours d'avoir claqué une enveloppe, petite mais précieuse, pour une étude préalable des douves qui n'a pu prospérer pour d'assez bonnes raisons, du moins je le pense. Mais j'espère vous avoir démontré à la fois ma bonne volonté face à des difficultés qui tendent à devenir inextricables et mon désir d’œuvrer dans l'intérêt du bâtiment beaucoup plus que de ma petite personne, petite personne dont je vous avoue qu'elle est parfois un peu découragée par l'étendue de la tâche et le comportement de très proches.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 19 février 2018 09:19
À : (...)@culture.gouv.fr
Cc : (...)@culture.gouv.fr; (...)@culture.gouv.fr; (...).fourcade@(...)
Objet : RE: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Chère Madame,

Merci pour cette réponse. Je vous recevrai comme toujours, vous comme vos collègues, avec plaisir. Je bloque donc le 28 dans l'après-midi.

S'agissant des photos, si j'ai pu vous donner l'impression que je trainais un peu la jambe, c'est parce que, d'expérience, je sais qu'il est toujours difficile d'envoyer des fichiers volumineux aux services de l'Etat. Je comprends que le vecteur que vous m'indiquez est approprié. Je vais donc vous préparer un reportage sur les 4 derniers dégâts des eaux, tous intervenus en janvier dernier. S'agissant du premier, comme je n'en avais pas encore compris la cause (je l'attribuais à une porte mal fermée), je n'avais pas pris de photos.

Bien cordialement,

PPF

________________________________________________________________

De : (...)@culture.gouv.fr
Envoyé : lundi 19 février 2018 09:00
À : Pierre-Paul Fourcade
Cc : (...); (...)@culture.gouv.fr
Objet : Re: Manoir de la Chaslerie - Travaux urgents - Subventions - Problèmes posés par la succession de (...), architecte du patrimoine

Bonjour Monsieur Fourcade,

Nous n'avons pas la possibilité de venir à la Chaslerie cette semaine, veuillez nous en excuser.

Je vous propose de nous adresser les photographies dans un premier temps (http://zephyrin.ext.culture.fr), que nous pourrons compléter par une visite mercredi 28 février après-midi si nécessaire.

bien cordialement,

(...)
ABF cheffe de l'UDAP 61 - DRAC de Normandie
15bis, rue de Fresnay - BP 238
610007 Alençon Cedex
tel : 02 33 26 03 92
sdap.orne@culture.gouv.fr
http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Normandie
Pour l'envoi de fichiers lourds, merci d'utiliser le site de dépôt agréé par le ministère : http://zephyrin.ext.culture.fr

(Fin de citation)
Il est 2 h 15 du matin, il est temps pour moi de me replonger dans mes chers dossiers pour préparer la note sur les dégâts des eaux de l'"aile de la brlle-mère" et la nécessité de travaux d'urgence. Pour cela, je vais consulter les pages de l'onglet "Journal du chantier/Aile de la belle-mère", en commençant par les plus récentes. Je noterai les références des messages pertinents dans les trois rubriques que j'ai dites. Donc c'est parti, mon kiki !

Bon, ça va, il n'y a que 68 pages à remonter. A raison de 10 messages par page, cela représente à peine 675 messages à me taper, une paille ! Espérons que notre site favori ne s'engorge pas pendant ce travail.

Voici donc le travail :

A - Les plans de l'"aile de la belle-mère"
- 14 décembre 2010 : les plans des années 1960 ;
- 14 avril 2012 : les plans de 1883 (un an avant l'incendie du logis) ;
- 16 avril 2012 : un plan de la moitié du XIXème siècle ;
- 10 décembre 2012 : les plans de Lucyna GAUTIER (avec mes commentaires) ;
- 8 janvier 2013 : les plans de Lucyna GAUTIER ;
- 2 février 2013 : les plans de Lucyna GAUTIER ;
- 27 février 2013 : les plans de Lucyna GAUTIER ;
- 27 avril 2013 : les plans de Lucyna GAUTIER ;
- 11 juin 2013 : des plans de Lucyna GAUTIER ;
- 4 février 2014 : les plans des années 1960, avec des appréciations peu amènes de mon cru (il faudrait que je fasse disparaître la dernière puisque j'ai changé d'avis) ;
- 17 avril 2014 : d'autres appréciations peu amènes, en fait du nouvel architecte sur les plans de sa consœur ;
- 7 août 2014 : des plans dressés par Benoît MAFFRE avant travaux sur la charpente et la couverture du colombier ;
- 10 août 2015 : dessin exploratoire de Benoît MAFFRE ;
- 27 juin 2016 : le projet de Benoît MAFFRE ;

B - Les techniques de construction de la Chaslerie
- 6 juillet 2010 : l'attaque de mérule ;
- 15 septembre 2010 : la problématique de la poutre attaquée par la mérule ;
- 13 décembre 2010 : l'état de l'"aile de la belle-mère" au milieu du XXème siècle ;
- 14 décembre 2010 : les travaux des années 1960 ;
- 27 avril 2011 : la "cuisine-provisoire-qui-dure" ;
- 11 mai 2012 : les pierres utilisées pour la construction de la Chaslerie ;
- 16 février 2013 : la preuve que j'ai longtemps pataugé dans ma compréhension de la question ;
- 14 juin 2013 : des révélations sur la construction du mur en cause ;
- 7 février 2014 : des informations géologiques sur le secteur ;
- 10 février 2014 : d'autres informations géologiques sur le secteur ;
- 16 avril 2014 : le mur après enlèvement des boiseries basses ;
- 14 mai 2014 et 16 mai 2014 : la peinture des murs du salon de l'"aile de la belle-mère" ;
- 26 janvier 2018 : le bas du mur sur lequel intervenir ;

C - Les dégâts des eaux récents à l'"aile de la belle-mère"
- pas de message sur le 1er dégât des eaux (je croyais qu'il était dû à la mauvaise fermeture d'une porte extérieure ou d'une fenêtre) ;
- 4 janvier 2018 : 2ème dégât des eaux ;
- 5 janvier 2018 : 3ème dégât des eaux ;
- 20 janvier 2018 : 4ème dégât des eaux ;
- 20 janvier 2018 : S.O.S. lancé à mon aîné ;
- 31 janvier 2018 : 5ème dégât des eaux ;
- 8 février 2018 : demande de devis à Vincent PICAULT ;
- 8 février 2018 : la pluviométrie récente ;
- 11 février 2018 : S.O.S. lancé à la DRAC, demande de subvention ;
- 12 février 2018 : traitement fiscal des travaux d'urgence ;
- 17 février 2018 : prolifération du salpêtre et mobilier à enlever avant travaux.

P.S. : En une heure, j'ai éclusé les dix dernières pages de l'onglet "Journal du chantier/Aile de la belle-mère" ; on n'est pas sorti de l'auberge, je le crains.

P.S. 2 (à 4 h 15) : J'en suis rendu à la page 38 ; petit coup de pompe, je vais me recoucher.

P.S. 3 (à 6 h) : Je me remets au boulot. Il faudrait que je retrouve, pour la partie A ci-dessus, les plans de Lucyna GAUTIER, ainsi que de vieux plans des années 1960 que j'avais dû confier et Benoît MAFFRE et qu'il ne m'a jamais rendus. Je me dis aussi qu'il faudra que je passe en revue les messages de l'onglet "Désultoirement vôtre/géologie" car il doit y avoir là des plans géologiques intéressants. En tout cas, ce travail me montre qu'il est utile pour moi de conserver tous les messages sous la main, avec tous les liens qu'ils contiennent, sans les reléguer dans d'hypothétiques archives comme Thomas me le proposait hier dans l'intention, sans doute louable, de ne pas surcharger inutilement le serveur de notre site favori.

P.S. 4 (à 7 h 45) : Je cale et il faut que j'aille faire un tour au marché car on est vendredi. J'en suis rendu à la page 18. A suivre.

P.S. 5 (à 10 h 30) : Je me remets au boulot. A ce stade, le message le plus intéressant de cette série est, à mes yeux, celui du 14 juin 2013 que j'ai appelé "des révélations sur la construction du mur en cause" ; j'avais complètement oublié ma remarque d'alors ; après l'expérience de ces 5 derniers dégâts des eaux, elle me paraît particulièrement judicieuse : le bas du parement extérieur du mur Ouest en question a déjà été repris ailleurs que là où sont apparues les dernières causes de sinistre !

P.S. 6 (à 11 h 30) : Je cale alors que j'en suis rendu à la page 9.

P.S. 7 (à 21 h 30) : Je m'y remets. On va essayer de terminer, du moins sous cet onglet.

P.S. 8 (à 23 h 20) : J'en ai fini avec l'onglet "Journal du chantier/Aile de la belle-mère". Je passe à "Désultoirement vôtre/Météo" car il y a là des indications sur la pluviométrie récente.

P.S. 9 (à 23 h 25) : Je suis tombé tout de suite sur l'article que je cherchais. Bon, je ne vois pas quoi ajouter d'autre à cette liste de liens. Du moins dans l'immédiat. Et ça tombe bien, puisque mon cadet vient d'arriver. Je vais l'accueillir...

P.S. 10 (le 24 février à 0h 10) : j'aurai donc travaillé près de 7 heures pour retrouver la documentation dont j'avais besoin pour préparer ma note. Il faut maintenant que je jette un coup d’œil à mes fichiers de photos pour voir si je n'oublie rien d'important.
Sur mon calepin, j'avais noté "UDAP" à la date d'après-demain dans l'après-midi, et, ce matin, je ne voyais plus ce que cet acronyme pouvait vouloir dire. "Union des groupements d'achats publics", c'est UGAP. Mais UDAP ?

Et puis j'ai eu une illumination : UDAP = "Unité départementale d'architecture et du patrimoine". Il avait bien été question d'un rendez-vous avec l'ABF de l'Orne pour cette fin de mois, il était donc plus que temps que je me mette à rédiger ma note de synthèse (ou prétendue telle) sur les récents dégâts des eaux dans l'"aile de la belle-mère".

Voici ma prose, couchée d'un trait et expédiée par courriel dans la foulée. J'espère que je n'ai pas oublié trop de choses et qu'on arrive néanmoins à me suivre :

Quatorze pages au compteur, c'est quand même une sacrée tartine ! Au moins, dans ce domaine, je n'ai pas trop perdu la main...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 28 Février 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Aile "de la belle-mère"
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L'A.B.F. de l'Orne et son assistant viennent de repartir. Ils ont pu se rendre compte sur place de la réalité du problème des dégâts des eaux à répétition et de l'urgence de son traitement. Mme CHEVILLON, qui m'a semblé admettre que le drainage extérieur ne saurait attendre, a émis l'idée que, à l'occasion de cette opération (qui serait étendue à la périphérie extérieure de la tour Louis XIII), des archéologues viennent procéder à leurs constats d'usage. En ce qui concerne le relèvement du sol de la cuisine et du salon de l'"aile de la belle-mère", elle préférerait qu'un architecte soit mandaté pour préparer les demandes d'autorisation et de subvention. La très mauvaise qualité du plafond actuel de la cuisine-provisoire-qui-dure a été constatée sans soulever de débat : poubelle !

Dans le logis, j'ai montré à mes visiteurs l'état du mur d'échiffre et l'échantillon d'enduit retenu par l'architecte précédent. Je leur ai également montré les travaux en cours au rez-de-chaussée de ce bâtiment (qui ont permis de retrouver les fondations circulaires des tours, ainsi que l'état sanitaire toujours plus préoccupant de deux poutres, désormais, au plafond de mon ancienne chambre au 1er étage (c'est-à-dire au-dessus de la salle-à-manger).

P.S. : La conclusion de cette visite est que les travaux dont j'ai souligné l'urgence ne pourront être réalisés avant un moment. Manifestement, le confort de ma famille ne fait pas partie des priorités de nos interlocuteurs officiels. J'essayerai de le lui faire, sinon comprendre, du moins admettre.
Je vais devoir m'atteler à la préparation du dossier que je compte envoyer à l'architecte du patrimoine avec lequel j'ai eu un bref mais sympathique échange téléphonique ce matin. La méthode étant apparue bonne, je compte procéder à ce propos comme je l'ai fait, ces derniers jours, relativement aux dégâts des eaux à répétition, c'est-à-dire mettre en ligne, au fur et à mesure que je les retrouverai, les documents administratifs pertinents, plus les éléments de contexte utiles. Sur cette base, je préparerai une note de synthèse articulant les priorités que je verrais à la nouvelle collaboration.

Je pense suivre le plan suivant :
A - Préambule (les protections ; l'historique du chantier).
B - La restauration des menuiseries extérieurs du logis.
C - La problématique de la restauration du rez-de-chaussée du logis.
D - Les travaux urgents dans l'"aile de la belle-mère".
E - Pour mémoire, la fin du "programme 2014".

La matière étant complexe et variée, ce travail me demandera plusieurs jours.
Dans la série "ces porcs qui nous cernent", mention spéciale pour cet agriculteur productiviste qui n'hésite pas à entrer sur mon fond (en l’occurrence le haut de l'allée inscrite à l'I.S.M.H.) pour aller répandre ses cochonneries et autres pesticides dans le champ qu'il loue à un voisin.

Cet individu n'a en effet aucun titre à faire passer ses engins considérables au-delà du poteau suivant qui marque la limite entre mon fond et un chemin communal, au premier plan de la première photo, chemin communal à sa disposition, comme de bien entendu, et sur lequel les ornières qu'il laisse confirment qu'il y dispose d'une place tout à fait suffisante pour manœuvrer :

4 mars 2018.

4 mars 2018.

4 mars 2018.

4 mars 2018.

Donc ce haut et puissant personnage, par ailleurs rompu à l'abattage général des arbres, à l'arasement systématique des talus et au grignotage sans vergogne de terrains communaux dans le seul but de percevoir davantage de subventions européennes pour son maïs probablement O.G.M., ...

... va bientôt recevoir de mes nouvelles ajustées en conséquence.
Je n'avais pas pu m'y mettre plus tôt mais le temps est enfin venu pour moi de commencer à préparer la note que je compte adresser à un architecte du patrimoine pour lui expliquer en quoi consiste notre chantier favori et ce que j'attendrais de lui.

Pour ce faire, je compte passer en revue tous les messages de l'onglet "Journal du chantier/Architecture-M.O."
Pour vous, il n'y en a guère que 216 puisque, depuis le dernier perfectionnement de notre site favori, vous n'avez plus accès - du moins directement - qu'aux messages mis en ligne depuis moins d'un an. Mais pour moi, qui peux consulter tout le stock depuis 2009 grâce à ma "tour de contrôle", il n'y en a pas moins de 968 !

Pour la commodité de mon travail, j'avais dit que je suivrais ce plan :

A - Préambule (les protections ; l'historique du chantier).
B - La restauration des menuiseries extérieures du logis.
C - La problématique de la restauration du rez-de-chaussée du logis.
D - Les travaux urgents dans l'"aile de la belle-mère".
E - Pour mémoire, la fin du "programme 2014".

Eh bien, allons-y !

Je noterai par la suite, dans un point F comme fourre-tout, les messages qui, sans être utiles pour mon travail immédiat, pourront resservir à d'autres fins au cours des prochains mois.

A A - Préambule :

A-1) Les protections :
- 20 février 2014 : l'histoire de la construction de la Chaslerie.
- 3 octobre 2011 et 13 octobre 2011 : le point précis sur les protections au titre des monuments historiques.
- 11 octobre 2011 : un complément sur la protection.
- 1er avril 2014 et 4 avril 2014 et 29 avril 2014 et 22 mai 2014 : de quelques conséquences de la protection.

A-2) L'historique du chantier :
- 22 février 2014 : sur une répartition des rôles qui n'a guère eu cours puisque je suis de nouveau le seul payeur final.
- 4 mai 2014 et 20 juin 2014 : sur l'historique du chantier.
- 5 octobre 2016 et 8 octobre 2016 et 9 octobre 2016 et 9 janvier 2017 : les enduits extérieurs d'origine.


B B - La restauration des menuiseries extérieures du logis.
- 22 septembre 2015 et 2 octobre 2015 et 9 octobre 2015 et 8 décembre 2015 et 22 août 2016 et 12 septembre 2016 : l'étude préalable et autres productions de M. MAFFRE.
- 2 avril 2016 : les observations de l'Etat sur l'étude de M. MAFFRE.
- 5 juillet 2016 et 30 juillet 2016 et 13 septembre 2016 et 1er octobre 2016 et 3 octobre 2016 et 17 octobre 2016 et 2 novembre 2016 et 4 novembre 2016 et 6 novembre 2016 et 9 janvier 2017 et 26 janvier 2017 : sur la porte principale.
- 6 novembre 2016 : la note détaillée de M. MAFFRE.
- 24 novembre 2016 : les suites de cette note.
- 25 mars 2017 : l'autorisation de travaux.
- 27 mars 2017 et 31 mai 2017 et 30 octobre 2017 et 8 janvier 2018 et 12 février 2018 : la subvention de l'Etat.
- 23 mai 2017 et 26 décembre 2017 et 8 janvier 2018 et 9 janvier 2018 : le contenu de la 1ère tranche.
- 19 janvier 2018 : la convention du 15 novembre 2017 avec l'Etat.
- 8 juin 2017 et 15 janvier 2018 et 27 janvier 2018 et 19 février 2018 : le contrat d'architecte.
- 26 décembre 2017 : le financement de la 1ère tranche.
- 11 janvier 2018 et du même jour et 24 janvier 2018 et 2 février 2018 et 15 février 2018 et du même jour et 19 février 2018 : le paiement des subventions.
- 24 mai 2017 : sur les menuiseries métalliques.


C C - La problématique de la restauration du rez-de-chaussée du logis.

C-1) Les réservations pour fluides :
- 3 mars 2014 et 6 mars 2014 et 7 mars 2014 et le même jour et 12 mars 2014 et 1er mai 2014 et 2 mai 2014 et 7 mai 2014 et 12 mai 2014 et 28 mai 2014 et le même jour et 29 mai 2014 et le même jour et 2 juin 2014 et 10 juin 2014 et 11 juin 2014 et 20 juin 2014 et 30 janvier 2018 (important et récapitulatif) : les réservations pour fluides et la pose des dalles dans l'entrée du logis.

C - 2) Autres infos sur le logis :
- 7 avril 2017 et 12 janvier 2018 : les plans.
- 17 février 2018 et 18 février 2018 et du même jour : les fondations rondes des tours.
- 12 janvier 2018 et du même jour et encore du même jour et 14 janvier 2018 et 15 janvier 2018 et 24 février 2018 : le projet de restauration.
- 8 mars 2018 : le modèle du manoir du Bas au Teilleul.
- 30 mars 2016 : souvenirs, souvenirs.
- 5 janvier 2018 et 9 janvier 2018 : travaux de maçonnerie à prévoir.
- 25 janvier 2018 et 3 février 2018 et 6 mars 2018 : la problématique du chauffage.
- 3 mai 2014 : la géothermie de surface.
- 17 janvier 2018 et 26 janvier 2018 et 9 février 2018 et 10 février 2018 et 13 février 2018 et 17 février 2018 et 7 mars 2018 : la géothermie profonde.
- 27 janvier 2018 : l'aérothermie.
- 6 février 2018 : le bois déchiqueté.
- 8 février 2018 : les inserts.
- 27 janvier 2018 et 8 février 2018 : les planchers chauffants.


D D - Les travaux urgents dans l'"aile de la belle-mère".
- 4 février 2014 : les plans de 1952.
- 12 novembre 2015 : les gaines dans la cheminée.
- 13 novembre 2016 : le problème connexe des portes extérieures de la "tour Louis XIII".
- 26 janvier 2018 et 18 février 2018 et 25 février 2018 : le problème connexe de la chambre du 1er étage du colombier.
- 15 février 2018 et 16 février 2018 et du même jour : le problème connexe des lucarnes.
- 12 février 2018 : le traitement fiscal des travaux urgents.
- 16 février 2018 et 19 février 2018 : la demande de subvention et les contacts avec l'UDAP 61.
- 23 février 2018 : ma préparation de la note à l'UDAP 61.
- 26 février 2018 et 27 février 2018 et du même jour : ma note de synthèse à l'UDAP 61.
- 28 février 2018 : la visite de l'UDAP 61.
- 5 mars 2018 : les devis.


E E - Pour mémoire, la fin du "programme 2014".
- 1er avril 2014 et 4 juillet 2014 : le "programme 2014".
- 26 mai 2014 : le permis de construire relatif aux parties inscrites du "programme 2014".
- 23 juin 2014 et 23 février 2018 et 8 mars 2018 : la problématique de la subvention.
- 30 juin 2014 : un carrelage à poser.
- 2 janvier 2017 : les rampes d'escalier.
- 11 décembre 2013 et 22 février 2018 et du même jour et 2 mars 2018 : les enduits muraux.


F F - Le fourre-tout.

F-1) La cave :
- 9 août 2010 et 8 janvier 2011 : la problématique de la restauration de la cave.

F-2) La ferme :
- 2 octobre 2010 : la problématique de la restauration de la ferme.
- 17 octobre 2010, un deuxième du même jour : les projets relatifs à la ferme.
- 26 novembre 2010 : un problème de charpente qui reste à traiter.
- 6 janvier 2018 : des travaux de charpente-couverture à prévoir.

F-3) Les douves :
- 2 novembre 2010 et 5 novembre 2010 et 10 décembre 2011 et 27 juin 2012 : la problématique de la restauration des douves.
- 12 juin 2012 : les plans des douves.

F-4) L'"aile de la belle-mère :
- 14 décembre 2010 : des documents d'architecte et des appréciations peu amènes sur les travaux des années 1950 dans l'"aile de la belle-mère".
- 13 octobre 2012 : les escaliers actuels de l'"aile de la belle-mère".
- 14 octobre 2012 et 10 décembre 2012 et 5 janvier 2013 et 8 janvier 2013 et du même jour et 2 février 2013 et le même jour : la problématique de la restauration de l'"aile de la belle-mère".
- 27 février 2013 et 17 avril 2014 et 14 septembre 2015 et 15 septembre 2015 et 18 septembre 2015 et 27 juin 2016 et 25 juillet 2016 : les plans pour l'"aile de la belle-mère".
- 7 janvier 2013 et du même jour : sur des idées qui ont eu cours chez certaines, à propos des aménagements intérieurs de l'"aile de la belle-mère".
- 14 octobre 2012 et 10 février 2014 et 12 février 2014 et le 13 février 2014 et 27 février 2014 et 2 mars 2014 et 18 mars 2014 et 17 avril 2014 et 28 avril 2014 et 3 mai 2014 : sur les casts de l'"aile de la belle-mère".
- 12 décembre 2014 et 18 décembre 2014 : des vues sur la restauration de l'"aile de la belle-mère".
- 12 mai 2015 : un point à surveiller.
- 17 mai 2015 et 18 mai 2015 et 19 mai 2015 et 25 mai 2015 : un débat occulté contre mon gré.
- 9 juin 2015 : sur une coulure blanche qui m'intriguait ces derniers jours.
- 9 juin 2015 et 12 juin 2015 et 19 novembre 2015 et 13 septembre 2017 : sur un caractère souvent pénible.
- 30 juin 2015 : un débat qu'on aura peut-être l'occasion de rouvrir.
- 6 janvier 2018 : des travaux de charpente-couverture à prévoir.

F-5) Le logis :
- 28 février 2013 et 9 novembre 2013 et 20 novembre 2013 : des infos utiles sur le logis.
- 9 février 2011 : une étude, dont je ne retrouve pas la trace à ce jour, sur les modes de chauffage à la Chaslerie par Thierry BURIN des ROZIERS.
- 13 septembre 2015 et 14 septembre 2015 : sur les linteaux des fenêtres à l'étage.

F-6) Le bâtiment Nord :
- 30 juin 2014 : le circuit de chauffage par le sol.

F-7) L'allée :
- 19 novembre 2011 : les deux pavillons de l'allée (parmi mes rêves les plus fous).
- 9 mai 2012 (on y lit qu'un certain fermier voisin me chauffe les oreilles depuis un moment) et 17 avril 2014 et 4 juillet 2014 : le projet de restauration de l'allée historique.

F-8) Les matériaux :
- 27 janvier 2016 et du même jour : pour le sol des étages.
- 9 mars 2016 et 24 mars 2016 et 30 mars 2016 et du même jour et 31 mars 2016 et 15 avril 2016 et 17 mai 2016 et 8 juin 2016 : pour la rénovation thermique.
- 29 juin 2012 : un stock de boiseries dont j'avais perdu le souvenir (à moins que ce ne soient celles de la Raterie, point à vérifier).
- 13 mai 2014 : sur notre fournisseur de granit (adresse utile si, par exemple, on installe un jour des pilastres en haut de l'allée historique).
- 9 août 2015 : une double vasque qui me reste sur les bras.
- 29 mars 2016 et 1er avril 2016 : sur des carrelages.
- 4 octobre 2009 : les références de la peinture rouge des menuiseries extérieures.
- 20 juin 2014 : des goûts et des couleurs.
- 25 juin 2014 et 26 juin 2014 : la couleur des joints.
- 30 juin 2014 : une rampe d'escalier en bois.
- 3 juillet 2014 et 9 juillet 2014 : des ferronneries.
- 11 juillet 2016 : des décors de stuc.
- 4 juillet 2014 : les produits d'entretien du granit.
- 8 juin 2016 : pour le traitement des poutres vermoulues.
- 13 septembre 2016 et 12 octobre 2016 : pour l'entretien des bois cirés.
- 10 juillet 2014 : des vitres.
- 10 juillet 2014 : éléments d'archéologie.
- 11 juillet 2014 et 23 juillet 2014 : un très beau travail de restauration de menuiseries.
- 23 juillet 2014 : des tenons que je n'aime pas du tout.
- 23 juillet 2014 : des finitions de boiseries de chêne.

F-9) Quelques archives d'utilité relative :
- 7 août 2014 et 5 novembre 2014 et - 4 janvier 2016 : le "projet" de M. MAFFRE et d'autres documents pour la restauration de la charpente et de la couverture du colombier.
- 2 août 2016 : une porte charretière cloutée.
- 12 octobre 2016 : sur un grand décorateur d'origine domfrontaise.
- 7 février 2018 et 12 février 2018 : la gloriette.
- 13 février 2018 : les cuisinières de haut de gamme.
Le fermier qui a creusé récemment des ornières en haut de l'allée historique est venu s'excuser ce matin. Il m'a dit qu'il avait pris bonne note de la protection de cette allée et du fait qu'il avait roulé par erreur sur mes terres. Il a promis de boucher les ornières.

L'incident est donc clos.

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 9 mars 2018 09:59
À : anne.chevillon@culture.gouv.fr
Objet : Chaslerie - Allée ISMH - Incident récent avec un agriculteur

Chère Madame,

Pour info : https://www.chaslerie.fr/blog/message/43791

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Voici la lettre que je souhaiterais déposer en début d'après-midi au cabinet de l'architecte du patrimoine que j'ai contacté :

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 24 Mars 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Logis
0
Jean LEMARIE est un as : il est arrivé vers midi avec ses boîtes de vieilles clés...

24 mars 2018.

... et, en cinq minutes, il avait trouvé la bonne, la vitrine était enfin ouverte :

24 mars 2018.

Puis Jean a aidé Igor à desceller la taque...

24 mars 2018.

... et à la déposer, sans la casser, sur un lit de roses (ou presque) :

24 mars 2018.

On voit sur la photo précédente qu'il y aura lieu de changer des granits au fond de l'âtre.

24 mars 2018.

A la suite de ces manipulations, nous nous sommes persuadés de l'impossibilité d'apporter cette taque à François LAUTOUR. En effet, outre qu'elle est largement fissurée donc risque de casser, son poids est tel qu'il faudrait 4 hommes pour la soulever. François LAUTOUR a bien voulu me proposer de se déplacer vers notre manoir favori, d'ici une dizaine de jours, avec le matériel nécessaire pour brocher l'arrière de cette taque et je lui en suis très reconnaissant.

Une fois la vitrine retirée de la pièce, Igor n'a pas tardé à reprendre son travail au marteau-piqueur :

24 mars 2018.

24 mars 2018.

24 mars 2018.

Son intention est de finir d'ôter la dalle de béton aujourd'hui.

Pour la prochaine fois (à une date indéterminée à ce stade), il me demande de louer une mini-pelle de moins d'un mètre de large afin qu'elle puisse passer par la porte d'entrée de la salle-à-manger. Elle servira à gratter le sol plus commodément que la pioche.