(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 26 juillet 2024 17:27
À : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>;
Cc : Xavier MEYER
Objet : RE: Diagnostic - manoir de la Chaslerie

Un grand merci !

Je vous souhaite d'excellentes vacances !

Cordialement,

PPF

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De : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Envoyé : vendredi 26 juillet 2024 17:25
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; Xavier MEYER
Objet : Diagnostic - manoir de la Chaslerie

Bonjour Monsieur Fourcade, Monsieur Meyer

Veuillez trouver ci-joint la version mise à jour du diagnostic du manoir de la Chaslerie :

- Jusqu'à la page 2 : sommaire et préambule.
- De la page 3 à la page 46 : relevés des bâtiments sur cour.
- De la page 47 à la page 80 : relevés des dépendances.
- De la page 81 à la page 134 : étude historique et patrimoniale.
- De la page 135 à la page 152 : plans chronologiques.
- De la page 153 à la page 216 : diagnostic sanitaire des abords et des bâtiments sur cour.
- De la page 217 à la page 242 : diagnostic sanitaire des dépendances et conclusion de cette partie de l'étude.
- De la page 243 à la page 288 : projet.
- De la page 289 à la page 308 : estimation du projet.
- De la page 309 jusqu'à la fin : programmation.

Il est bien entendu que je rajouterai l'avant-propos et la préface dès que je les aurai à ma disposition.
Pour l'estimation, je suis incapable de tout arrondir à la centaine près. Mes compétences s'arrêtent ici pour ce logiciel, désolée.
Le plan de la page 93 est essentiel pour Monsieur Paquin. Il sert à expliquer l'éperon qui sert à défendre l'abbaye de Lonlay. Je l'ai donc laissé.

Vous souhaitant bonne réception

Cordialement

PS : Lucie n'est pas ma sainte patronne, il existe bien une Sainte Lucile mais dont on sait très peu de choses. Lucile signifie "Petite lumière", ....

Lucile Bourdin-Norgeot
Collaboratrice d'architecte

Atelier PAQUIN architecte D.P.L.G.
architecte du Patrimoine DSA Chaillot.
2, rue du Collège 50300 AVRANCHES
Tél. 02 50 26 01 32
atelierpaquin.architecte@gmail.com
lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com

(Fin de citation)

On a tous nos freluquets, ces individus très médiocres mais persuadés de détenir la vérité, historique ou autre, et qui seraient prêts à tout pour tenter d'imposer leurs vues par d'obscures manœuvres ou en tirant argument de leur prétendue expertise personnelle, alors que celle-ci ne saurait trop souvent convaincre que des gogos, voire, par voie de conséquence éventuelle mais naturelle, les kékés.

Outre que Patrice décrit son manoir comme le ferait Arnaud PAQUIN...

...il consacre un chapitre de son dernier ouvrage...

... à moucher le sien (que j'ai bien connu, soit dit en passant).

Tout ceci me confirmerait, s'il en était besoin, que j'ai bien choisi "mon" préfacier.

Long appel téléphonique ce soir de Patrice CAHART qui, pour préparer sa préface, m'interrogeait sur les principales conclusions de l'étude de diagnostic d'ensemble.

Je suis toujours stupéfait par la rapidité avec laquelle Patrice s'empare des sujets les plus austères et met le doigt sur les questions les plus importantes.

En l’occurrence, il n'avait même pas attendu de recevoir par "colissimo" son exemplaire du pavé :

Je trouvais que la citation d’Épictète en exergue de la page 135 de l'étude de diagnostic d'ensemble n'était pas optimale. Et même, à dire vrai, un peu casse-pieds.

Je vais demander de lui substituer celle-ci : "J'ai vu des personnes douces, graves, sensées, se changer en furies pour un détail de chronologie ou d’orthographe". Julien Green

Rigolo, non ?
Et même, de ma part, plutôt gentil...

Stupéfiant Patrice ! Quelle extraordinaire capacité de travail !

Il a reçu ce matin, par "Colissimo", le pavé que l'on sait.

En fin de journée il m'appelle et m'indique qu'il l'a lu. Il m'en fait au passage beaucoup de compliments.

Sa préface pourrait être prête demain matin.

P.S. (à 21 heures) : Patrice est encore plus remarquable que je ne viens de l'écrire.

Par un courriel reçu à l'instant, il m'a déjà transmis son projet de préface...

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 7 août 2024 02:55
À : Xavier MEYER
Cc : Autres membres du bureau de La SVAADE ; C. F.
Objet : RE: Réactions et impressions diverses à divers événements et échanges récents.

Cher Xavier,

Merci beaucoup pour ce long message.

Je m'associe bien volontiers à vos louanges sur la classe de maître et sais parfaitement la part éminente qu'Annick et vous avez prise à son succès.

A propos de Mme (...), vous - et Carole aussi, d'ailleurs - avez, non sans m'étonner, qualifié ma prose de modérée. Je ne suis pas persuadé qu'elle soit perçue comme telle par ses autres destinataires, ce qui pourrait ne pas faciliter nos affaires. La vérité est que, depuis très longtemps (avant 1998...), je suis si révolté par tant de comportements d'acteurs publics que je n'éprouve plus la moindre confiance à leur égard. Faut-il pour autant le leur écrire aussi nettement ?

A propos de "Ouest-France", il faudra qu'on en reparle. Je ne crois pas qu'ils aient modifié leur mauvaise ligne éditoriale.

Concernant les Jeux Olympiques, je n'ai vu qu'une toute petite partie de la cérémonie d'ouverture et je l'ai trouvée fondamentalement chiante (comme d'hab) sans que la parade sur l'eau ne me semble diminuer l'ennui profond que j'ai toujours éprouvé face à de telles manifestations pour veaux. J'ai néanmoins aperçu des choses d'autant plus urticantes qu'elles sont une manifestation supplémentaire des vices évidents du Jupiter-de-mes-deux sans foi ni loi que l'on sait. Dans un ordre d'idées comparable, je me suis bien marré quand, lors du passionnant match de judo France-Japon mixte par équipes que, Speedy Gonzales sur les genoux, j'ai suivi en direct devant une télé nouvelle au manoir favori (on n'arrête pas le progrès), le commentateur a parlé des "Bleus"...

J'en déduis que je dois être daltonien (ou pire encore, bien entendu).

Enfin, à propos de mes suggestions préalables à propos de la préface, vous avez pu noter que Patrice s'est carrément assis dessus. Je le connais depuis quelque chose comme 40 ans, il est beaucoup plus gradé que moi dans l'administraaaâââtion, donc je n'en ai guère été étonné. Il demeure qu'à l'âge de 82 ans il est toujours admirablement réactif et aussi percutant, ce en quoi je l'envie beaucoup, moi qu'a déjà frappé - et comment ! - le gâtisme de l'âge. Et quelle œuvre ! Encore ces jours-ci un bouquin de plus, celui-ci sur son manoir favori. J'aimerais tant que Guillaume l'interviewe (Patrice, pas le manoir) comme il sait si bien le faire, à la médiathèque ou mieux encore - soyons fous - à notre manoir favori à nous !

Amicalement,

PPF

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De : Xavier MEYER
Envoyé : mardi 6 août 2024 20:14
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : C. F. ; membres du bureau de La SVAADE
Objet : Réactions et impressions diverses à divers événements et échanges récents.

      Domfront le 3 août 2024.

               Cher Pierre-Paul

     Je reviens vers vous pour réagir à divers échanges que vous m’avez fait partager, aux événements exceptionnels qui ont hissé la Chaslerie au sommet du bonheur dans le beau partagé, et de l’actualité locale, mais aussi à des événements nationaux qui peuvent laisser une impression bien plus mélangée.
     
1) La classe de maître de Sophie HERVE :
     Moments exceptionnels chez nous, comme l’an dernier : bonne humeur et bons appétits, bonne ambiance entre les artistes, avalanche d’émotions par la qualité des voix et la musique, découvertes sur la pédagogie de Sophie HERVE quant à l’implication de tout le corps dans le chant, quant au soin de la voix, sa préservation, son avenir et son développement dans la bonne tessiture, reconnaissance amicale et émue des élèves envers leur professeur pour la qualité de son enseignement, pour un long parcours de parfois une trentaine d’années, pour des sauvetages, des réparations, non seulement de la voix elle-même, mais parfois des personnes, conférences sur la voix et l’anatomie de ses organes par Nastia, chanteuse croate, mais aussi chirurgien oto-rhino-laryngologiste et phoniatre qui n’a pu se résoudre à choisir entre ses deux passions, le chant et la médecine, découverte du fantastique travail de Marie-Pascale TALBOT, pianiste et chef de chant, qui découvre, sans préparation préalable, les partitions des chants à faire répéter aux chanteurs et les déchiffre, partitions lui permettant bien souvent de jouer un condensé de la musique de l’orchestre ..., moments chaleureux autour d’un verre de poiré ou de calvados, à la veillée ou à la ferme des PACORY à Saint-Fraimbault …
     Magnifiques concerts à La Chaslerie les 27 et 28 juillet, couronnés de l’enthousiasme et l’engouement du public …,
     Plusieurs articles dans la presse locale ont amplifié ce succès incontestable, mettant ainsi La Chaslerie au premier plan dans notre Domfrontais, comme une référence de beauté, de jeunesse et de culture, relayant ainsi le projet de La SVAADE et de ses propriétaires d’y créer des résidences d’artistes, affirmant l’idéal d’un « élitisme pour tous » !
      C’est dans ce glorieux rayonnement que l’état diagnostic du manoir, préparé par Monsieur PAQUIN, architecte du Patrimoine, va être présenté au public, comme aux autorités, le 22 septembre prochain !
     Un grand merci à Carole et Pierre-Paul de nous permettre de vivre ces moments intenses dans leur propriété manoriale !

2) Courriel de Madame (...) et votre réponse :
     J’ai trouvé bien cocasse l’impatience manifestée par la Région, concernant la réalisation des menuiseries extérieures …
     Quant à la réponse que vous lui avez adressée, je considère qu’elle pourrait être citée comme un modèle de patience et de modération …
    Une question demeure : combien de temps faudra-t-il pour finaliser "l’instruction" de cet énième dossier déposé, puis pour ensuite statuer, et selon quelle réglementation applicable ?

3) Concernant votre échange avec le journal Ouest-France :
     Je souscris aux termes de votre réponse adressée à ce quotidien. Il serait, en effet, quand même invraisemblable que le journaliste représentant local soit réprimandé pour avoir appliqué les consignes de sa direction que vous aviez pointées du doigt. Serait-ce un changement de traitement de l’information au vu de vos remarques, ou au vu de l’importance et de la qualité de l’événement « classe de maître » relaté par Le Publicateur Libre, et passé sous silence par Ouest-France, pour ne pas être en reste à l’avenir ?…
     
4) Concernant les Jeux Olympiques de Paris :
     Cet événement, international pour glorifier le sport, et national pour glorifier la France, annoncé et organisé à grands frais, ne suscitait pas chez moi un grand enthousiasme.
     L’importance et la qualité des événements se déroulant à La Chaslerie ne m’ont pas permis de prendre du temps pour suivre sa cérémonie d’ouverture dont je n’ai pu voir que des bribes.
     A défaut d’enthousiasme, une telle cérémonie n’a déchaîné chez moi que colère, amertume, mais aussi pitié.
     Non sportif, je croyais cependant à la valeur internationale du sport qu’une telle cérémonie se devait de célébrer. Il n’en a rien été. Finalement, à l’aune de cette chienlit, ne faut-il pas se demander si le sport, aussi, n’en est pas désormais dépourvu. Quant à la fierté nationale, ce fut un déversement d’images ne cherchant pas seulement à afficher la décadence de la France, mais à en célébrer la déchéance. A ces profanations, s’est ajouté le sacrilège contre le Christ et le catholicisme.
     Heureusement, les épreuves sportives nous ont montré par elles-mêmes, la beauté de l’effort, de la compétition, des exploits, de la force, de l’harmonie … ce que le fondateur des Jeux avait voulu célébrer.
    Mais, pour moi, rien n’entame, non seulement ma foi religieuse mais aussi dans les valeurs qui m’ont été transmises.

5) L’étude de diagnostic d’ensemble de La Chaslerie et sa préface :
     J’ai lu attentivement votre contribution à la préface de l’ouvrage de Monsieur PAQUIN.
     Je la trouve excellente et n’ai rien à corriger.
     J’ai seulement à émettre quelques réflexions qui me sont passées par la tête.
     + page 1, première moitié du troisième alinéa : il est exact que l’ensemble du manoir et de ses dépendances a toujours évoqué en moi la définition de la « villa » gallo-romaine (ou la bastide dans le midi). En effet, l’ensemble forme un tout, autour et pour le manoir, tout économique et social ; ce n’est pas pour rien que l’ensemble est protégé. Cette notion me paraît plus forte et plus en lien avec une tradition historique que la notion de simple « lieudit ».
     + page 2, dernier alinéa : ne pourrait-on pas, très brièvement, faire état ici du lien avec les fonctions que lesdits seigneurs ont pu remplir à la tête de la cité de Domfront, mais aussi du pillage et saccage du manoir par les protestants, desquels ils furent indemnisés.
      + page 3, ligne dixième, au lieu de « avant que l’aile ouest ne soit construite ... », il faudrait préférer avant que l’aile ouest ne fût construite…
     
Amicalement.
      
X. MEYER.

(Fin de citation)

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 7 août 2024 14:12
À : Patrice CAHART
Cc : C. F.
Objet : RE: préface (suite)

Cher Patrice,

C'est superbe !

Permets-moi toutefois de signaler les points suivants :
- fin du 2ème alinéa de la page 1 : il y a un "ainsi" de trop ;
- au 4ème alinéa de la page 1, il faut placer la fermeture de parenthèse juste après le mot "coffines" ; le fait que les ardoises sont clouées est indépendant du fait qu'elles sont naturellement courbes ; "clouées", c'est un gage de qualité ; "coffines", c'est un raffinement très rare ;
- au 5ème alinéa de la page 1 : "Levêque" et non "Lévêque" ;
- au dernier paragraphe de la page 2, il y a une confusion sur divers points à propos de l'aile ouest ; c'est pour cela qu'à la deuxième ligne de ta dernière version, j'avais proposé d'ajouter "et de l'aile ouest" juste après "menuiseries du logis" et que j'avais recommandé de faire sauter, juste après, la mention "remplacement aussi des fenêtres de la façade ouest sur cour par des lucarnes" ; en réalité, le changement par des lucarnes ne porte que sur les "casts" des brisis de la façade ouest du bâtiment ouest (des horreurs dues à (..)) ;
- page 3, alinéa commençant par "L'Atelier Paquin", j'enfoncerais le clou en ajoutant "incontestablement" avant "l'un des principaux points d'appui" ;
- avant-dernier alinéa, écrire La SVAADE (avec les italiques ; c'est notre normalien favori, Guillaume BEESAU, très brillant secrétaire de La SVAADE, qui nous l'a enseigné) ;
- au dernier alinéa, parenthèse, écrire "(toujours mal signalée sur la route, hélas)".

Par ailleurs, qu'appelles-tu "président du pays de Domfront" ? Nous entendons faire un grand battage autour de cette étude de diagnostic que nous estimons de qualité exceptionnelle. Et, pour commencer, le 22 septembre prochain lors des "JEP 2024".

Amicalement,

PPF

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De : Patrice CAHART
Envoyé : mercredi 7 août 2024 13:09
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : C. F.
Objet : préface (suite)

Cher Pierre-Paul, chère Carole,

Voici la préface (...).

Vous pourriez peut-être transmettre ce document au président du pays de Domfront, pour l’aider à prendre de bonnes décisions.

A compter de demain jeudi 8, à 17 heures, et jusqu’à la fin du mois, je ne serai plus connecté (mais toujours accessible par téléphone).

Comme je vous l’indiquais hier, je passerai au début de septembre avenue Jules-Janin, afin de vous rendre la belle étude Paquin.

Je vous souhaite une bonne fin d’été.

Patrice

(Fin de citation)

Voici la préface de Patrice CAHART pour l'"étude de diagnostic d'ensemble" de la Chaslerie :

A un point d'exclamation près qui semblerait à ajouter en fin de texte, celui-ci me paraît parfait.

La prochaine étape pour moi sera de me rendre à Paris pour y présenter l'étude d'Arnaud PAQUIN à Pierre TOUBERT en vue d'en obtenir un avant-propos. Au moins à mes yeux, celui-ci couronnerait magistralement cet ouvrage que, je le rappelle, je considère comme mon testament spirituel à propos de la Chaslerie.

Visite, à l'heure du café, d'une arrière-petite-fille d'Henri LEVÊQUE, accompagnée de son mari (anglais) et de leurs quatre enfants (dont deux grands, dont le second, très intéressé par l'histoire et les vieilles pierres, vient de passer l'équivalent du bac). Ils devaient vite rejoindre Ouistreham, de sorte que leur visite s'est bornée à la chapelle et au rez-de-chaussée du logis.

Cette visiteuse qui, si j'ai bien compris, se prénomme Sybille, se souvient d'avoir posé, enfant, du temps de son grand-oncle François LEVÊQUE, pour une photo à l'angle sud-ouest de la cour, devant la tour du colombier. Elle m'a dit que c'était lors de son dernier passage à la Chaslerie. Si je ne me trompe, elle devait alors être âgée de trois ans.

Elle a trouvé que les lieux avaient changé et a eu l'amabilité de faire beaucoup de compliments. Il paraît qu'elle a hérité des trumeaux des boiseries du grand salon ; elle confirme que ces boiseries proviennent d'un appartement de la rue de l'Alboni hérité d'un GOUPIL. Elle m'a confié qu'une expression toujours en vigueur dans sa famille est "riche comme GOUPIL"...

En relisant l'étude de diagnostic d'ensemble dans chacune de ses versions successives, j'aurai toujours trouvé des amendements de rédaction à présenter.

Voici ma dernière liste à ce jour :

Pauvre Lucile qui trouvera ça dans son ordi à son retour de congés !

Dans l'immédiat je vais pouvoir confier à Jacques BROCHARD mon exemplaire de l'étude en format A3. Ce sera beaucoup plus facile pour lui de l'étudier en vue de la "séance de gala" du 22 septembre prochain. C'est en effet lui, que j'en remercie, qui a bien voulu accepter de représenter La SVAADE ce jour-là, en l'absence de Xavier MEYER, empêché.

La qualité des informations d'ordre historique contenues dans l'étude d'Arnaud PAQUIN me paraît résulter, à tout le moins, des caractéristiques suivantes :

Cette étude peut être analysée, sur ces questions, comme une synthèse des recherches entreprises, au moins depuis que ce site existe, c'est-à-dire depuis quinze ans. De très nombreux comptes rendus de ces recherches et de leurs résultats ont été publiés en toute transparence sur ce site ouvert au public. De ce fait, tous les sachants ou prétendus tels, notamment ceux qui ont manifesté le consulter fréquemment, ont pu, sans délai, faire part de leurs critiques éventuelles ou bien apporter leurs contributions comme il convient.

De telles méthodes de travail et de diffusion d'informations pertinentes, rendues possibles par l'existence de ce site, sont, au moins dans le principe, de nature à conférer à ces recherches et à leurs résultats une dimension de rigueur intellectuelle dont tous les érudits locaux autoproclamés qui se sont penchés sur la question n'ont sans doute pas toujours su ou pu faire preuve autant que cela eût semblé sinon nécessaire, du moins souhaitable.

Je me réfère ici, par exemple, aux messages de ce site numérotés 1769, 1775, 1776, 1792, 1799, 1802, 1813, 1816, 1902, 2313, 13043, 16405 (liste à parfaire et à compléter, sachant que ce site porte à ce jour quelque chose comme 24 571 messages, dont 13 223 "publics" comme ceux-ci).

P.S. (du 21 août 2024 à 2 heures 45) :

Je rencontrerai demain après-midi Pierre TOUBERT à son domicile parisien. A mon habitude, je rendrai ensuite compte de cet entretien sur le site favori.

L'entretien avec Pierre TOUBERT avant-hier n'aura pas duré plus d'une vingtaine de minutes.

Fidèle à la procrastination qui me caractérise, j'avais fini par préparer, juste avant l'entretien, un court texte afin de suggérer des idées pour son avant-propos mais je ne pense pas qu'il en fera plus d'usage que Patrice CAHART n'en fit du sien, supposé l'aider pour la préface.

Pierre a tout de suite déclaré que Patrice ayant fort bien préfacé l'étude que l'on sait, cela réduisait la matière de sa propre intervention. Juste après, il m'a demandé quelle serait la diffusion de l'étude et j'ai alors compris que j'avais négligé à tort de réfléchir à une réponse utile à cette légitime question. J'ai bredouillé une réponse qui n'a pas dû l'emballer, notamment quand il m'a demandé si j'envisageais la publication d'un texte raccourci. Non, je n'ai rien prévu de tel, les lecteurs ne devraient avoir à leur disposition qu'un pavé d'essence administrative et de plus de 333 pages sur 80 centimètres de largeur, donc guère commode à déployer. Et peu de nature, de ce fait, à abonder une bibliographie...

Sur le fond, Pierre a évoqué une piste, celle de l'openfield anglais, sujet sur lequel il pourrait s'exprimer dans son avant-propos. Sujet inattendu pour moi, en tout cas extérieur, sinon à ma zone de confort, du moins à mes préoccupations de l'heure.

Quant au délai de remise de son texte, j'ai senti que mon souhait de la fin-août n'est pas forcément de nature à l'enthousiasmer.

Bref, on verra bien.

Le fait est que, ne sachant ce que Patrice produirait, j'avais introduit Pierre dans le dispositif. Comme une sorte de "corde de rappel" si je puis dire. Et j'avais "fait donner" Patrice en premier parce que je ne me sentais guère capable de coordonner deux tels pur-sang, le premier n'ayant en outre pas de liens familiaux avec moi...

Ceci étant, je crois que je n'ai plus grand chose à ajouter à cette étude ni à ses textes introductifs. Pondre un avertissement me semblerait excessif. Mais j'y réfléchis.

Donc, dans l'immédiat, je me suis enfin mis en roue libre à ce sujet qui m'aura beaucoup occupé depuis près de deux ans. Et je peux dire que ça fait du bien !

Mécontent de l'absence de netteté de la carte figurant en page 104 droite de la dernière version de l'"étude de diagnostic d'ensemble", je me suis rendu hier après-midi au musée de Normandie à Caen pour la photographier de nouveau :

Je m'aperçois que cette nouvelle carte est imparfaite puisque y est apparue, par exemple, une erreur sur la direction du centre Maine...

Tant qu'à faire, j'ai pris d'autres photos :
- sur les tribus gauloises et les voies romaines (une carte qui me semble recouper des informations déjà glanées dans le secteur de la Chaslerie) :

- des centres sidérurgiques :

- d'explications sur les murs à pans de bois :

La dernière en cette matière est ratée et motivera peut-être un prochain voyage :

N.D.L.R. : Délicate attention après une sympathique visite.

1ère page : "pour les miracles que".
2ème page : "vous y avez accomplis. Nous sommes repartis émerveillés".
3ème page : "Chaslerie de mon enfance ravivait des souvenirs tristes - la votre est pleine de vitalité et si belle !"

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 28 août 2024 08:28
À : Lucile Bourdin <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Cc : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> ; Xavier MEYER
Objet : La Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble

Chère Lucile,

Puis-je vous saisir dès votre retour de congés en vous soumettant encore ceci ?

J'y joins la préface de Patrice CAHART, à paginer en tout début de document et en chiffres romains. J'attends encore un avant-propos qui précéderait la préface.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 11 septembre 2024 12:53
À : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>; Xavier MEYER
Cc : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Objet : RE: Diagnostic Chaslerie

Ces remarques étant importantes, il importe qu'elles soient intégrées au document en temps utile pour permettre l'édition-papier définitive avant le 22 septembre. Donc avant le 17 septembre prochain.

Je réitère ma proposition de venir à Avranches pour faire moi-même le travail nécessaire.

Cordialement,

PPF

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De : Lucile Bourdin-Norgeot <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Envoyé : mercredi 11 septembre 2024 11:50
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; Xavier MEYER
Objet : Diagnostic Chaslerie

Bonjour Monsieur Fourcade, Monsieur Meyer

Veuillez trouver ci-joint le diagnostic mis à jour.

A noter néanmoins :
- la remarque de la page 106 droite est impossible à réaliser. Je n'ai plus de place !!!!!
- Je n'ai pas le temps pour le moment d'arrondir l'estimatif. Peut-être la semaine prochaine mais ce n'est pas sûr.
- Je n'ai pas le temps de reprendre tous les renvois de page et les notes de bas de page. peut-être serait-il nécessaire d'en faire une liste pour pouvoir les vérifier systématiquement sans trop perdre de temps.
- Pour les perspectives, à voir, mais le temps va peut-être nous manquer dans l'immédiat.
- Il est impossible de rajouter des notes de bas de pages pour les titres des photos. J'ai donc ajouté vos remarques sous les titres.

Je fais de mon mieux pour vous satisfaire. Ce n'est pas toujours simple....

Vous souhaitant une bonne réception

Cordialement

Lucile Bourdin-Norgeot

Collaboratrice d'architecte
Atelier PAQUIN architecte D.P.L.G.
architecte du Patrimoine DSA Chaillot.
2, rue du Collège 50300 AVRANCHES
Tél. 02 50 26 01 32
atelierpaquin.architecte@gmail.com

(Fin de citation)