Plomberie-chauffage

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 30 Mai 2011
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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L'entreprise DELTA vient préparer le test de dilatation du circuit de chauffage par le sol dans le bâtiment Nord :

30 mai 2011, l'entreprise DELTA à pied d'œuvre.

P.S. (du 6 juin 2017) : Alors que je suis en train de restaurer la tour de contrôle de notre site favori, polluée depuis quelques mois par des hackers, j'évite d'intervenir sur ce message-ci autrement que par ce commentaire car l'artisan en question a demandé que ses photos soient retirées. Il en ira de même pour les autres photos de cet individu ou de son assistant.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 31 Mai 2011
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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M. DELTA, le plombier-chauffagiste, est venu ce matin dans le bâtiment Nord pour tester la dilatation du circuit de chauffage par le sol :

31mai 2011, le plombier près de la chaudière actuelle du bâtiment Nord.

Le branchement est complexe :

31 mai 2011, le test de dilatation en cours.

J'ai cependant l'impression que la chaudière n'a pas fonctionné. Il faudra donc que M. DELTA revienne.

Quoi qu'il en soit, après que, la veille, son compagnon a arrimé la chasse d'eau du cabinet de toilettes du rez-de-chaussée...

31 mai 2011, dans le cabinet de toilettes au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.

... il a profité de sa venue ce matin pour installer le radiateur (à surface de miroir, très chic) dans le dressing du 1er étage :

31 mai 2011, le radiateur du dressing du 1er étage du bâtiment Nord.

J'en suis à concevoir le programme du chantier pour les prochaines semaines.

Dans l'immédiat, Pascal s'occupe du rampannage du fournil de la ferme. Roland BOUSSIN m'a indiqué qu'il reviendrait dans une dizaine de jours pour poser les tuiles sur ce bâtiment. Philippe JARRY devrait installer la fosse septique début juillet. Il restera à planifier le travail du plombier et de l'électricien. En tout état de cause, j'aimerais pouvoir passer l'hiver prochain dans ce bâtiment enfin restauré et... chauffé. Ce serait alors, en l'état du chantier, le local le plus confortable de l'ensemble de la Chaslerie.

Sur la "maison de Toutou", j'attends pour la fin de cette semaine-ci la livraison des nichoirs par Denis DUVEAU. Il n'y aura donc plus d'obstacle pour que Pascal pose le torchis. Dans la foulée, nous en ferons sans doute de même sur l'appentis de la cave.

Lucyna GAUTIER devrait déposer aujourd'hui la demande de permis nécessaire (eh oui, incroyable mais vrai !) pour le mur Ouest de la douve Nord. Nous nous sommes finalement mis d'accord pour des grilles en fer et j'ai même commencé à évoquer le sujet dès ce matin avec Roland FORNARI. Dès que possible, Pascal attaquera la restauration de ce mur.

Roland FORNERI devrait livrer rapidement un certain nombre de ses oeuvres et lancer la fabrication de la grille pour le mur entre le manoir et la chapelle.

La poursuite de la restauration de la ferme pâtira nécessairement de la charge de ce programme. La prochaine tâche est d'y relever le linteau de la porte de séparation entre la future cuisine-salle à manger et le futur petit salon. J'ai demandé, il y a plusieurs semaines, à Sébastien LEBOISNE un devis pour le linteau de la cheminée ; ne voyant rien venir de sa part, je vais interroger Denis DUVEAU.

A ce stade, le chantier de la ferme est cependant à un tournant : devons-nous achever la restauration de la partie Sud, de manière à y rendre utilisable l'équivalent d'un logement de deux ou trois pièces (au rez-de-chaussée et au 1er étage, après avoir restitué l'aspect initial de longère) ou bien devons-nous continuer vers le Nord les travaux, en cherchant à nous limiter pendant une bonne année à la seule maçonnerie ? Quoi qu'il en soit, le jeune W.F. est très content de ce qu'il a pu inspecter ce week-end, c'est déjà une bonne chose.

Sur le bâtiment Nord, le test de dilatation est toujours en cours et se passe bien. Il faudrait que Carole décide enfin quelles tomettes poser au sol et choisisse l'équipement du cabinet de toilettes. En attendant, nous marquons le pas. Pour ce qui concerne la restauration des boiseries de ce que j'appelle (malgré les vives protestations de Carole) ma future "chambre mortuaire", Sébastien LEBOISNE ne l'a toujours pas commencée ; il m'a parlé du second semestre 2011, ce qui est bien long.

Sur l'"aile de la belle-mère", Lucyna devrait revenir vers Mr T. en septembre prochain. Je crois que c'est une excellente idée de la laisser désembrouiller les escaliers invraisemblables d'Henri LEVEQUE. Lucyna va aussi réfléchir à la distribution des pièces et, le cas échéant, faire des propositions pour modifier les ouvertures extérieures.

Quant à la cave, Nicolas GAUTIER et Lucyna ont redit à Mr T. l'incongruïté qu'il y aurait à percer les ouvertures auxquelles il pense à ce stade. Je n'exclus pas de mener à ma main le chantier de ce bâtiment, avec l'idée de démontrer à mon aîné qu'il est possible de le restaurer en veillant au confort et à la lumière mais sans dénaturer les volumes.

Bref, on le voit, ce ne sont ni le travail ni les projets qui manquent. Et ceci sans même évoquer l'allée principale, dont la restauration est reportée à plus tard.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 2 Juillet 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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Le plombier, M. DELTA, est venu cet après-midi enlever le dispositif de mise en chauffe de la dalle du bâtiment Nord :

2 juillet 2011, M. DELTA dans le bâtiment Nord.

Ce test était en cours depuis le 31 mai dernier.

Dans ce local, les travaux sont toujours interrompus en attendant que Carole nous fasse part de ses préférences pour les tomettes et pour les sanitaires.

Il reste aussi à savoir ce qu'on fera des murs de l'entrée : comment traiter le placo posé afin de dissimuler les fissures du Siporex ? Quelle prochaine étape prévoir pour le mur du fond de l'entrée, l'enduire de plâtre ou bien y poser du placo ?

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Aout 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Comme convenu, Didier LAGREVE est venu hier revêtir de placo marin le mur du fond de l'entrée, dans le bâtiment Nord :

3 août 2011, l'entrée du bâtiment Nord.

Cette fois, il est clair que le chantier de ce bâtiment est bloqué par Carole, qui n'a toujours pas choisi les tomettes du sol ni le modèle des sanitaires. Il va donc falloir que je m'en mêle.

Après quoi, l'intervention de Sébastien LEBOISNE, chargé de restaurer les boiseries de la chambre, deviendra vite critique.

Reçu ce matin le devis de Sébastien LEBOISNE pour les boiseries de ma chambre mortuaire : cela coûterait à peu près le même prix de restaurer les anciennes ou d'en fabriquer de nouvelles. Et les dimensions des nouvelles, sur mesures, conviendraient mieux à la pièce, telle que je l'ai fait modifier...

En attendant de reposer en paix, j'ai constaté ce matin que toutes les canalisations, ici, sont désormais prises par le gel. Déjà qu'il n'y avait pas beaucoup de confort (du moins, selon Carole et les fistons)... J'espère que le plombier, M. DELTA, ne restera pas trop longtemps sourd à mes appels au secours. Dans l'immédiat, Bernard va essayer de couper l'arrivée générale d'eau, pour tenter de limiter les dégâts au dégel.

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5 février 2012, la vue du balcon de mon studio à Caen.

Si j'en juge par la vue de mon balcon ce matin à Caen, même des compatriotes de Dracula pourraient ne pas apprécier de travailler dehors dans les prochains jours.

Je réfléchis donc à d'autres tâches que je pourrais confier à Igor et Valentin, à l'abri de mes vieux murs.

Malgré les vives réticences de Carole et des enfants à ce que j'ouvre de nouveaux chantiers intérieurs avant d'en avoir mené à bien quelques-uns, je me dis que la dérestauration de la cage d'escalier du logis pourrait occuper mes employés pendant quelque temps. Il s'agirait d'abord pour eux de piqueter les murs afin d'éliminer l'horrible enduit au ciment apposé là et qui empêche la respiration des pierres, ce qui pose, tous les hivers, des problèmes de condensation ; en outre, la liaison entre les pierres et l'enduit est particulièrement hideuse :

8 janvier 2011, un travail à reprendre de A à Z.

Avant de réenduire ces murs de chaux, il faudrait faire disparaître les ferrures qui maintiennent certaines marches afin de reprendre les granits comme il convient, c'est-à-dire en les armant d'acier et en bouchant les trous à la résine :

28 juin 1997, quelques horreurs, dans la cage d'escalier du logis, consécutives à l'incendie du 19ème siècle.

Pour ce travail délicat, Eric AUBINAIS, mon tailleur de pierres, devait intervenir. Mais ce jeune artisan a mis la clé sous la porte ; il préfère une vie plus peinarde de concierge dans un château de la Manche et ne répond plus à mes coups de téléphone. Je vais donc devoir faire appel à une entreprise spécialisée dans la restauration de monuments historiques ; l'une d'elle viendra me voir dès ce mercredi pour préparer son devis ; il est plus que probable que, pour mener à bien cette tâche, j'aurai besoin de subventions.

Il faudrait également remplacer le revêtement du sol :

23 avril 2011, le sol de l'entrée du logis, encore une brillante réussite !

Bien entendu, avant de poser un nouveau revêtement du sol, il faudrait prévoir, à la bonne profondeur, toutes les réservations nécessaires pour les fluides (eau, électricité, chauffage...). Pour ce futur revêtement, j'ai déjà collationné de belles dalles anciennes de granit mais je ne dispose pas de la surface suffisante.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 13 Février 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Tour Louis XIII - Météo - A la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Annonces
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Le plombier, M. DELTA, est venu vérifier l'installation de la Chaslerie alors que la température est remontée brutalement à +4°C. Le voici sous mon bureau, dans la pièce où devrait être aménagée cette année la future chaufferie :

13 février 2012, M. DELTA dans la future chaufferie, au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII.

Comme on le voit, il y a là quelques stères de bois - du chêne, en l'occurrence, et parfaitement sec - qui attendent d'être emportés. Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter !

Carole est toujours très impatiente que je commence enfin sérieusement les travaux d'habitabilité dans le bâtiment Nord. J'ai tâché de lui expliquer que mon calendrier était commandé par (1) la limitation de mon épargne, (2) le fait que je dois supporter, en tout état de cause et en l'état du dossier, les salaires et charges d'Igor et Valentin, ce qui m'amène à privilégier la maçonnerie, (3) les contraintes administratives, notamment celles gérées par la D.R.A.C., les plus complexes assurément.

Je ne suis pas sûr qu'elle m'ait bien compris, notamment à cause de la troisième contrainte qu'elle ignore totalement et bien à tort. Elle pense en effet que c'est par pur caprice que j'en suis toujours à donner la priorité aux murs des douves.

Or, si j'arrive enfin à décrocher les subventions nécessaires, promises pour partie mais toujours attendues, je serais bien bête d'y renoncer en privilégiant le chauffage, la plomberie, l'électricité et que sais-je encore ? Pas facile de le faire admettre par ma chère et tendre. Mais, si je n'y arrive pas, je ne vois pas comment, de mon vivant, pourrait être menée à bien la fin de la restauration des extérieurs de la Chaslerie, celle qui conditionne la pérennité et la beauté des lieux.

Car j'ai dans l'idée que, si je réussis à mener à bien ce projet, c'est autant de moins qui incombera à mes fils et/ou successeurs, qui pourraient, eux, se borner à financer les travaux intérieurs, plus classiques sinon plus aisés.

Après vingt et un ans d'efforts continus et longtemps incompris, ce dernier pari, le plus important à mes yeux (et celui où ma valeur ajoutée me paraitrait la plus déterminante), n'est peut-être pas encore perdu.

C'est du moins mon espoir.

Dès cette fin d'après-midi, le sol de la future chaufferie a été récuré par Igor et Valentin. Voici ce que cela donne :

25 avril 2012, le mur Sud de la future chaufferie.

25 avril 2012, le coin Nord-Ouest de la future chaufferie.

On observera tous les tuyaux destinés à alimenter la future chaudière ; il faudra sans doute les abaisser. Le tuyau jaune en altitude est celui par lequel passe l'eau froide vers la cuisine actuelle, au rez-de-chaussée du colombier. Quel confort, n'est-ce pas ?

24 avril 2012, Valentin et Igor en plein travail.

25 avril 2012, la cheminée de la future chaufferie.

Donc, encore une journée où Igor et Valentin n'auront pas besoin de berceuse pour s'endormir !

P.S. : La météo des prochains jours est tout aussi mauvaise. Il va falloir que je réfléchisse aux travaux à effectuer en attendant le retour d'un temps plus clément...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 27 Avril 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Terrassement - Tour Louis XIII - Météo - Désultoirement vôtre !
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La pluie aura au moins un avantage : elle lavera le dallage que nous sommes allés récupérer à Céaucé et qui se révèle de meilleure qualité que l'ancien dallage de la tour Louis XIII.

27 avril 2012, le dallage de Céaucé entreposé dans la cour.

J'attends désormais le retour du plombier pour qu'il examine comment masquer ses tubes dans le sol restauré de la future chaufferie. Il faudra en outre résoudre un problème de drainage car, l'ancien dallage ayant été retiré de la tour, on y marche pour le moment sur de l'argile molle car saturée d'eau.

M. DELTA, le plombier, vient de me préciser qu'il n'y a pas moyen d'abaisser les tuyaux déjà en place au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII. Sinon, il faudrait les couder, ce qui provoquerait l'apparition de bulles d'air bloquant les fluides.

Pour le chauffage à mettre en place à terme, M. DELTA pense que la géothermie serait moins adaptée à la Chaslerie que les copeaux de bois. Puisque j'exclus désormais le chauffage par le sol dont le caractère "consommable" me semble difficilement compatible avec un monument historique, le plombier fait en effet remarquer que la géothermie nécessiterait d'énormes radiateurs, forcément disgracieux.

Nous avons également évoqué la question du passage des tuyaux de chauffage pour desservir à terme le logis et l'"aile de la belle-mère". Pour le logis, nous n'éviterons pas de défoncer le macadam de la cour. Pour l'aile de la belle-mère, j'attends que Mr T. y voie plus clair dans ses projets et vais sans doute laisser des tubes en attente sous le sol de la future chaufferie.

Il me semble que, cette fois-ci, Mr T. envisage sérieusement de prendre mon relais dans la restauration de l'"aile de la belle-mère", c'est-à-dire le colombier et les écuries. Il m'a fait part de ses idées ; ainsi, il prévoit, une fois la charpente et la couverture des écuries restaurées par mes soins, de poursuivre par le colombier, y compris l'intérieur de celui-ci ; il conserverait les deux chambres, celle du premier étage destinée à ses amis et celle du deuxième qu'il garderait pour lui ; au-dessus de cette dernière, il conserverait une pièce qui lui servirait de bureau-bibliothèque-salle de projection ; au rez-de-chaussée, dans la cuisine provisoire actuelle, il s'interroge sur les niveaux du sol et du plafond. Attenante à sa chambre, il aménagerait une vaste salle de bains, sans doute séparée par un vide sanitaire du salon actuel dont il conserverait le volume et la cheminée. C'est de ces vues préalables qu'il entend débattre avec Lucyna GAUTIER le 19 mai prochain.

Il va donc falloir que, de mon côté, j'étudie comment lui transférer cet immeuble, peut-être en lui vendant une S.C.I. qui aurait préalablement acquis la nue-propriété de cette partie du manoir. Sans doute conviendra-t-il de commencer par faire délimiter un nouveau lot par un géomètre ; je vais donc interroger un notaire à ces sujets.

Bonjour,

Je vois que vous aimez les ambiances humides afin de mettre en exergue vos talents de "maître ès drainages".

Quant au nid, n'y aurait-il pas dans votre secteur, un "Asio flammeus" ?

Bonne APM !

N.D.L.R. : Soyons précis, que diable ! Voulez-vous dire un "Asio flammeus sandwichensis" ? En tout cas, les hirondelles protégées par Carole n'ont pas tardé à revenir examiner les lieux dans la tour Louis XIII, une fois le ménage fait de main de maître (même si on ne les voit pas sur ma photo...) :

8 mai 2012, la future chaufferie briquée comme un sou neuf.

Plus de six mois après qu'un chauffard a détruit une partie de la haie sur la D22, les experts d'assurances viennent de passer à la Chaslerie. Il n'y a pas eu de problème, le devis de la S.A.R.L. LEMARINIER est accepté.

Je signale cependant que, bientôt dix-huit mois après le dégât des eaux relaté sous cet onglet, j'attends toujours que mon assureur veuille bien m'indemniser. Cet assureur est Groupama et on sait les difficultés qu'il traverse. Attendons la suite mais le temps est compté...

P.S. du 19 juillet 2012 : La très mauvaise qualité de service de Groupama (plus de 18 mois pour refuser une indemnisation qui n'aurait jamais dû l'être) m'a amené à chercher un assureur plus efficace. Je suis en passe de conclure avec Axa, par l'intermédiaire d'un courtier qui m'a été recommandé par la "Demeure Historique". Bon débarras !

Lucyna GAUTIER n'est nullement affolée par l'état des planches découvertes hier. Nous allons cependant finir de retirer l'argile pour voir combien de celles-ci il y aurait lieu de changer. Pour la suite, Lucyna recommande qu'à défaut d'argile (qui aurait sa préférence), nous coulions sur ces planches un béton allégé contenant du chanvre qu'une toupie viendrait livrer. Pour le plafond, elle suggère de garder l'horrible canevas de sapin implanté par mes prédécesseurs mais de le dissimuler derrière un décor de style 17ème ; j'attends de voir ses dessins pour me prononcer à ce sujet. J'ai fait part de ma préférence pour que cette pièce d'environ 60 m2 ne soit pas divisée (ce qui n'est pas l'avis de Carole) et Lucyna va présenter un projet de compartimentage auquel elle a, paraît-il, déjà réfléchi.

19 mai 2012, Philippe JARRY (de passage pour nous prêter son niveau à laser), Lucyna et Mr T.

Puis Lucyna est entrée en conclave avec Carole et, surtout, Mr T., afin d'avoir une première discussion sérieuse sur les travaux envisagés dans l'"aile de la belle-mère". Comme je l'avais promis, je me suis alors retiré ; d'ailleurs, ainsi que je l'ai déjà expliqué sous cet onglet, je n'ai pas la moindre idée sur la meilleure façon de réparer les dégats occasionnés, dans ces volumes, par les initiatives aberrantes du père de mon vendeur.

19 mai 2012, conférence au sommet dans la cuisine provisoire, au rez-de-chaussée du colombier.

P.S. : En fait, Lucyna proposerait, si j'ai bien compris, d'implanter la cuisine et l'escalier de l'aile de la belle-mère dans l'écurie actuelle. Cela nécessiterait sans doute l'ouverture d'une fenêtre sur cour. Il s'agit là d'un parti auquel, de notre côté, nous n'avions pas réfléchi mais cela paraît astucieux. Par de telles suggestions, l'architecte démontre à mes yeux sa valeur ajoutée. Deux autres domaines où son expérience est précieuse sont le phasage des travaux et tout ce qui concerne les fluides (eau, électricité, chauffage), c'est-à-dire des questions pratiques qui m'ont toujours paru fastidieuses...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 29 Mai 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Logis - Economie - Désultoirement vôtre !
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17 mois après le dégât des eaux dans la cage d'escalier du logis, je viens à peine de recevoir l'indemnité d'assurance ; elle est d'un montant ridicule. Il est vrai qu'il faut choisir : ou bien on traite convenablement les clients, ou bien on arrose des mandataires sociaux qui ont envoyé le groupe dans le mur.

Je ne resterai donc plus longtemps client de ces zozos.

P.S. du 19 juillet 2012 : L'affaire est mûre, je serai désormais client d'Axa. Oublions vite Groupama, le service y est devenu minable !