Plomberie-chauffage

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Aout 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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Le plombier Sylvain DUPRE est revenu en cette fin d'après-midi. Il a pu rétablir l'eau dans le bâtiment Nord. Il repassera demain pour poser la dérivation provisoire.

Pouvoir prendre une douche chez soi, quel régal, quel délice et quel luxe ! Je viens d'en refaire l'expérience.

P.S. (à 18 h 20) : Ce foutu réducteur de pression s'est encore bloqué. Plus d'eau de nouveau !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 6 Aout 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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Le plombier Sylvain DUPRE a installé ce matin la dérivation provisoire de l'arrivée d'eau :

6 août 2020.

6 août 2020.

6 août 2020.

6 août 2020.

6 août 2020.

6 août 2020.


Nous revivons !

Sur une idée d'Anne-Violette, nous ferons l'économie d'une recherche du réducteur de pression défaillant et enterrerons la dérivation dès que le terrassier redeviendra disponible, non sans l'avoir pourvue d'un nouveau réducteur de pression.

Quant à l'autre panne - celle qui se traduit par de petits geysers près du colombier - on la traitera à cette occasion. En attendant, l'alimentation en eau du tuyau qui fuit demeurera coupée.
L'architecte du patrimoine m'a longuement téléphoné cette après-midi.

La conversation a porté principalement sur trois sujets :
- l'ascenseur ou monte-charges à prévoir dans l'aile Ouest. Je lui ai dit souhaiter cet équipement. Cela risque de réduire l'espace disponible pour la salle de bains de la "chambre des tourtereaux", ce que je ne voudrais pas ;
- le mur Nord de l'ancien salon de l'"aile de la belle-mère". Je lui ai dit souhaiter faire sauter ce mur mal monté dans les années 1950 et le remplacer, si nécessaire, par une cloison de bois rétractable (inspirée de ce que j'ai vu dans un château écossais (Earls Hall) ou bien, sur un autre modèle, au manoir de la Palue à Domfront). Elle résiste à l'idée de faire disparaître cette maçonnerie pour deux types de raisons, acoustiques ou esthétiques, qui me semblent en effet à prendre en considération ;
- la place de la douche dans le futur cabinet de toilettes du rez-de-chaussée du bâtiment Nord. Pour des raisons tenant aux risques que ferait courir l'humidité de la douche à la pérennité de la menuiserie du fenestrou, elle me dissuade de donner suite à l'idée de Carole, consistant à aménager cette douche au fond (Nord) de cette pièce.

Voici en tout cas l'état des lieux actuel de cette dernière pièce, côté Nord...

... et côté Sud :


Et voici les plans de la 2ème version de l'APS relatif à la restauration de l'aile Ouest (principalement), tels que me les a transmis l'architecte du patrimoine quelques minutes après cette conversation.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 1er Septembre 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse
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Jérôme, de l'entreprise JARRY, intervenu ce matin, a tout de suite retrouvé le réducteur de pression dont nous avions perdu la trace et qu'il faudra sans doute changer :

1er août 2020.

1er août 2020.

Il était juste à côté du regard d'arrivée d'eau et du compteur de "Véolia" :

1er août 2020.

A l'angle du bâtiment Nord, on a vite observé que l'alimentation en eau du fournil du manoir est, contrairement à ce que j'avais cru comprendre, indépendante de l'origine des récents petits geysers, apparus il y a quelques semaines le long de la façade Ouest :

1er août 2020.

1er août 2020.

1er août 2020.

1er août 2020.


On peut conclure de cette découverte que l'alimentation en eau de l'aile Ouest devra être remise en place différemment de ce qu'elle était, ce qui nous promet quelques casse-têtes supplémentaires, vraisemblablement dans la cour.

A noter que Philippe JARRY a souhaité, dans la cour, récupérer des plaques de tôle prêtées il y a un an. Elles ont été remplacées, pour passer les fossés en cause, par du tout-venant.
Et si la meilleure idée, pour loger Jan, au moins provisoirement, était de l'installer dans le fournil de la ferme ?

Ceci signifierait que ce local, constamment qualifié par mon aîné de trop éloigné du manoir, ne serait plus disponible pour son épouse et lui les quelques nuits par an qu'ils consentent à passer au manoir favori. Et m'obligerait à terminer enfin les travaux d'habitabilité requis à cet endroit.

Et me mettrait sous pression pour avancer dans les travaux du colombier, ce qui ne pourrait que satisfaire diverses personnes dont l'architecte du patrimoine en charge, entre autres, desdits travaux...
Régis FOUILLEUL est venu ce matin changer le réducteur de pression sur le circuit alimentant le manoir favori en eau :

17 septembre 2020.

17 septembre 2020.

Le modèle actuel est de taille réduite par comparaison au précédent, qui doit dater des années 1950 ou 1970 :

17 septembre 2020.

Régis a eu la bonne idée d'installer le nouveau réducteur à côté du compteur d'eau...

17 septembre 2020.

17 septembre 2020.

... ce qui a permis de supprimer un regard :

17 septembre 2020.

Par ailleurs, à l'angle du bâtiment Nord, le contenu de la trappe a pu être simplifié. Régis m'a montré qu'on avait bien prévu, l'an dernier, de pouvoir alimenter en eau l'aile Ouest grâce à un tuyau mis en place dans la cour (j'avais des doutes à ce sujet ; et le fait est qu'une correction aurait été délicate à ce stade du chantier) ; il n'y a donc plus lieu de se soucier des geysers apparus cet été à l'Ouest de l'aile Ouest :

17 septembre 2020.


A la suite de cette intervention du plombier, le terrain a été remis en état aux abords du manoir afin que les visiteurs des prochaines "Journées du patrimoine" (ici, dimanche après-midi) ne risquent pas de se blesser.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 25 septembre 2020 08:03
À : (...)architecte@gmail.com
Cc : C.F. ; sarl.boussin.liegeas <sarl.boussin.liegeas@orange.fr>
Objet : Chaslerie - APS

Madame,

Mon épouse, à qui je raconte votre visite de chantier d'avant-hier, me rappelle qu'il ne faut pas oublier, au stade de nos réflexions, l'arrivée des tuyaux divers au 1er étage de la tourelle Sud. Elle a raison.

De mon côté, je me dis qu'on aurait dû demander au bureau d'études "Bee+" de réfléchir au chauffage de la "cave" et de la ferme, sur la base de notre aquathermie. Peut-être n'est-il pas trop tard ? Car je n'exclus pas de rendre habitable la moitié Sud de la ferme, ne serait-ce que pour loger un homme toutes-mains.

Pour la ferme (comme d'ailleurs pour la cave où l'isolation de la couverture serait à ajouter), je dispose d'un ou de deux vieux permis de construire (du temps des GAUTIER, mari puis femme) et il y a eu notamment des réflexions pour redonner à cette dépendance son aspect de longère initial (la surélévation de la partie la plus au Sud étant très moche puisque la ligne de faîtage a alors été conservée), ce qui me semblerait l'idée la plus appropriée.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Lors de nos deux ou trois derniers échanges téléphoniques, et aussi lors de la récente réunion de chantier, l'architecte du patrimoine m'a laissé entendre qu'il faudrait revoir à la hausse l'enveloppe de ses honoraires. Elle qui a un grand sens de l'écoute doit se dire qu'il n'en va pas de même pour moi.

En vérité, je me demande si nous ne serions pas déjà partis dans une phase de tension comme celle qui avait précédé le lâchage en rase campagne d'un de ses prédécesseurs.

Il va donc falloir que je me replonge dans le dossier pour savoir combien d'honoraires j'ai déjà réglés aux uns et aux autres pour obtenir enfin la pose de sept lucarnes. Inutile de dire que ça me casse les pieds. Je devrai aussi vérifier ce que cette architecte du patrimoine a prévu dans ses deux contrats, particulièrement touffus et abscons puisque dictés par son ordre professionnel. En fait, je l'ai laissée y écrire ce qu'elle voulait et il m'a toujours semblé qu'en tout état de cause, les honoraires prévus pour les menuiseries extérieures sont très généreux, surtout s'agissant d'un travail hautement répétitif et déjà sur-documenté.

Si je cherche les autres points qui m'agacent dans cette affaire, je ne peux que relever le fait qu'en dépit de l'urgence invoquée de longue date, une poutre pourrie et des portes H.S. en sont toujours à attendre qu'un architecte du patrimoine (ou assimilé) veuille bien s'occuper enfin de leur restauration. Je suis d'avis qu'il faudra un jour se demander si ces lenteurs ou viscosités maintes fois constatées ne résultent pas directement du mode de rémunération imposé, en pourcentage du coût des travaux.
Il se tiendra cette après-midi, à Paris, chez Carole, une importante réunion avec l'architecte du patrimoine au cours de laquelle je serai censé préciser le calendrier du chantier de restauration de la Chaslerie.

La chose est très difficile pour moi, même en faisant abstraction de toutes les contraintes autres que la financière qui m'assaillent en permanence.

Pour s'en tenir à la contrainte financière qui, elle, me paraît commander tout le reste car, contrairement aux autres, elle n'est pas artificielle ni négociable, les choses se présentent de la façon suivante :

1) En vidant mes poches, en continuant à me serrer la ceinture comme j'y suis habitué et en engloutissant dans ce programme le produit de la vente de "Pontorson", je disposerai au maximum de 500 000 € d'apport personnel.

2) Face à cela, je ne sais pas quelle est l'ampleur du programme à financer, même en m'en tenant aux dépenses prioritaires suivantes et aux pratiques antérieures de subvention de la part de l'Etat ou du département :
. les tranches 1 et 2 de restauration des menuiseries extérieures du logis : leur budget total est de 150 000 €, dont peuvent être déduits la moitié de ce montant en subventions ; après ces tranches 1 et 2, il y aura des tranches 3 et 4 d'un montant comparable mais pour lesquelles je ne sais pas si je pourrai obtenir des subventions ;
. la chaufferie centrale : le budget en est de l'ordre de 150 000 € sans qu'il y ait de subvention et tout l'aval est à prévoir, pour lequel je ne dispose d'aucun chiffrage ;
. la moitié Nord du logis, y compris la poutre pourrie, les désordres du conduit de la cheminée du 1er étage, la salle de bains à créer de fond en comble et deux pièces à restaurer profondément : budget encore inconnu ; peu de subventions à attendre ;
. la cage d'escalier du logis : il reste un rogaton de subvention à consommer, que je risque de me faire sucrer, mais il faudra d'abord que les fenêtres et les radiateurs soient en place, détail oublié par un précédent architecte du patrimoine ;
. le colombier, afin d'en rendre habitables au moins deux pièces, sans même évoquer l'escalier à créer ni les salles d'eau, ni le rez-de-chaussée : budget encore inconnu ; pas de subvention à attendre ;
. quelques portes H.S. dont certaines posent des problèmes de sécurité signalés ;
. la cour : budget encore inconnu ; pas de subvention à attendre.

3) Dans mon cas, l'un des leviers essentiels de mon programme de travaux tient à la possibilité de réduire en conséquence le montant de mes impôts, notamment l'impôt sur le revenu.

Or, en l'état de mes comptes, mon "programme de détaxation" est saturé pour un moment. Autrement dit, il n'y a, pour un an ou deux au moins, aucun avantage fiscal pour moi à précipiter le rythme des travaux. Ni même, tant les curseurs sont au taquet (je pense ici aux "déficits fonciers reportables" que je dilapide), à entreprendre de quelconques travaux. De ce point de vue qui est le mien, je n'aurais à faire face qu'aux dépenses que je considère comme incompressibles (celles tenant à l'emploi d'un salarié ou bien celles d'urgence, comme le rétablissement, l'été dernier, de la desserte en eau du manoir).

4) Pour sortir de cette situation de blocage, je ne vois que deux pistes :
- soit obtenir de quelqu'un qui y aurait avantage qu'il porte le programme de travaux ; j'avais imaginé un montage cet été par lequel, pour 100 de mes euros investis, l'individu en question, dont le taux marginal d'imposition est supposé de 45 %, aurait permis de faire face à 100/55 fois plus de dépenses, soit 181 € de travaux (sans même composer les effets résultant du fait que, face aux 81 € de travaux supplémentaires, l'individu en question pourrait se prévaloir, pour la même raison, d'une cascade de retombées positives). Mais le candidat rêvé pour un tel montage a objecté des desiderata absurdes face à ma recommandation ;
- soit obtenir de la Région qu'elle prenne sa part, soit 20 à 30 %, du programme, du moins pour la partie qui remplirait ses critères compliqués (mais compréhensibles, notamment l'interposition d'une association d'intérêt général) ; pour 100 d'apport personnel, on pourrait alors financer au mieux 100/70 fois plus de dépenses, soit 143 € de travaux.

En cumulant les deux effets - rêvons un peu -, pour 100 € d'apport personnel, c'est 1,81*1,43 fois plus de travaux qui seraient financés, soit plus de 250 €. Donc, pour mes 500 000 € d'apport personnel, ce sont 0,5 à 1,3 M€ de travaux qui, toutes choses égales par ailleurs, pourraient être envisagés.

Devant une telle incertitude, que voulez-vous que je réponde à ceux (en fait, celles) qui me demandent de préciser mon calendrier ? Sinon que leur question n'a pas de sens pratique ou que je suis littéralement dans l'impossibilité, en l'état du dossier, d'en dire davantage !

Voilà pourquoi, tout simplement, la priorité pour l'architecte du patrimoine me paraît qu'elle se concentre sur la "purge" des dossiers qui sont supposés en avoir besoin. Le temps des réalisations pourra venir ensuite.
J'ai expliqué hier matin qu'à la condition qu'un individu ayant un taux d'imposition marginal de 45 % sur ses revenus porte le chantier, alors, pour 100 € que je lui prêterais, il pourrait, sans même prendre en compte les subventions imaginables, financer 181 € de travaux. J'ai ajouté que ceci résulte d'un calcul de l'effet direct mais qu'il y aurait lieu de tenir compte également de retombées indirectes éventuelles. Il convient de donner une idée de cet effet de composition. Procédons à ce calcul.

En première approche, les 181 € de travaux coûtent, nets d'IR, 100 € à l'individu en question. Autrement dit, la première année, l'individu en question peut, pour 100 € que je lui prête, envisager raisonnablement d'engager 181 € de travaux.

La deuxième année, l'individu paye 81 € de moins d'IR que ce à quoi il serait tenu sans ces travaux. Il peut réinvestir en travaux ces 81 €. A ce stade, il a donc engagé 181 + 81 = 262 € de travaux pour 100 que je lui ai prêtés et les 81 qu'il a bien voulu mettre au pot. Ces 81 € de travaux de l'année 2 lui procureront 81*0,45 = 36 € d'économie d'IR l'année 3.

La troisième année, l'individu récupère 36 € au titre de l'impôt, somme qu'il peut réinvestir en travaux.

Et ainsi de suite.

Au total, pour 100 € que je lui prête et 81 € qu'il finance d'une autre façon, ledit individu rend possible la réalisation de 100*1,81*1,81 = 327 € de travaux. Soit quatre fois sa propre mise, ce qui n'est pas rien !

Certes, me dira l'individu, il pourrait être tenu, avant mon décès, de me rembourser la moitié des 100 € prêtés (l'autre moitié étant susceptible de lui revenir au titre de l'héritage, modulo les droits de succession). Et il aurait dû trouver par ailleurs les 81 € nécessaires l'année 1.

En effet. Ceci dit, pour être en droit de procéder à ces déductions, l'individu devrait détenir à tout le moins la nue-propriété des parties du manoir faisant l'objet des travaux considérés. Or celle-ci a un prix. A mon âge (68 ans) et selon les barèmes officiels, ce prix est de 50 % de la valeur du bien libre (dès le 1/1/23, il n'en sera plus, dans le cas d'espèce, que de 40 %).

Quant à la valeur du bien libre, je dispose d'une évaluation argumentée du cabinet LE NAIL à ce sujet, évaluation qui avait permis de répondre utilement au fisc il y a quelques années, lors d'un contrôle dont j'avais fait l'objet. Depuis cette époque, les prix de ce genre de propriétés ont baissé. En outre, à la Chaslerie, l'état actuel du chantier justifierait une dépréciation supplémentaire. Enfin, la conclusion d'un bail emphytéotique en faveur de la S.V.A.A.D.E., telle qu'envisagée pour avoir une chance d'attirer la manne régionale, ne manquerait pas de réduire une nouvelle fois la valeur marchande du bien.

Tout cela pour dire que, vu de ma fenêtre, il faudrait être assez obtus pour ne pas chercher à tirer, d'une manière ou d'une autre, parti de mon raisonnement, quitte à le compléter à la marge.
Importante réunion ce matin, au manoir favori, avec Eric FAUCONNIER, directeur du "Pays du bocage", syndicat mixte regroupant trois communautés de communes (Putanges-Val d'Orne, Andaines-Passais et Domfront-Tinchebay Interco) et une communauté d'agglo (Flers Agglo). Le "Pays du bocage" agit comme "Pôle d'équilibre territorial et rural" (P.E.T.R.) et intervient notamment dans la préparation et le suivi (dans le cadre de la "clause de revoyure") du "contrat d'aménagement" avec la Région Normandie.

Il s'agissait pour moi de présenter sommairement le manoir, son programme de travaux et ses projets d'animation (dans le cadre de la S.V.A.A.D.E.) et de m'informer sur les aides envisageables du côté de la Région.

Des dossiers précis devront être préparés, pour lesquels les travaux actuels de l'architecte du patrimoine seront des plus utiles.

Accessoirement, j'ai montré les derniers plans reçus de l'architecte et Eric FAUCONNIER a bien voulu se charger de les scanner pour les transformer en "fichiers pdf", ce qui me permettra de ne pas retarder leur transformation en image 3D grâce à Jean THUAUDET que je remercie encore pour son initiative remarquable et ses contributions.

P.S. (à 18 h 30) : Dès ce soir, Eric FAUCONNIER m'a fait parvenir la version "pdf" des plans de l'architecte du patrimoine, reçus sous forme-papier le 5 octobre dernier. J'ai pu transmettre immédiatement ces fichiers à Jean THUAUDET afin de lui permettre de perfectionner encore sa simulation 3-D du manoir favori.
Dans les "65 m2 habitables" du manoir favori, ces jeunes enfants prennent beaucoup de place les trop rares fois où ils sont là.

Il est donc grand temps que je fasse aménager le cabinet de toilettes prévu au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.
Toujours pour secouer ce courtier à la masse, voici des photos des intérieurs. Elles confirment qu'aussi curieux que cela puisse apparaître après trente ans de travaux, je dispose de guère plus de 65 m2 habitables toute l'année :

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

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16 mars 2021.

16 mars 2021.

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16 mars 2021.

16 mars 2021.

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16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

16 mars 2021.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 22 Avril 2021
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Aile "de la belle-mère"
1
Au premier étage du bâtiment Nord, le radiateur du dressing fuit, comme me l'a signalé Joffrey hier.

Régis FOUILLEUL est passé cette après-midi voir le problème. Il m'a demandé de lui indiquer la marque et le modèle de ce radiateur pour qu'il puisse commander le joint idoine. En clair, de remettre la main sur sa facture.

Grâce au site favori, je retrouve assez facilement la date de l'installation de cet équipement : le 31 mai 2011. Et mes dossiers fiscaux sont suffisamment bien tenus pour que je puisse, sans difficulté, exhumer demain matin ladite relique. Ce soir, j'ai la flemme de monter dans les combles de la tour Louis XIII où est archivée toute cette paperasserie.

P.S. (du 23 avril 2021 à 9 heures) : J'ai retrouvé la facture. Le plombier de l'époque - une sale type, affublé d'un compagnon incompétent - n'hésitait pas à se faire payer six mois à l'avance alors qu'il fallait toujours courir après lui pour le faire intervenir :

L'"obsolescence programmée" ou l'incapacité pour un fournisseur de suivre son matériel, voici une chose que je déteste.

Régis FOUILLEUL, mon plombier, se heurte au fabricant du radiateur qui fuit dans mon dressing. Celui-ci, du nom d'"IRSAP" ( y.gohier@irsap.com ; 06 69 59 57 91 ; 04 28 00 01 67 ; https://www.irsap.it/fr/), s'avère incapable de retrouver la pièce de rechange d'un joint défaillant de son matériel acheté il y a à peine dix ans et qui était coûteux.

J'ai donc envoyé à Régis ces photos de la robinetterie en cause, prises ce matin :

10 mai 2021.

10 mai 2021.

10 mai 2021.

Je venais de relancer le chauffage dans le fournil de la ferme. Mais l'électricité a sauté. Le cadet a dû venir, sous une pluie battante, chercher la clé de la pièce de la ferme où se trouve le disjoncteur.

Dans le bâtiment Nord, c'est la plomberie qui pose problème avec ce radiateur qui fuit.

Que j'aimerais ne plus avoir ce genre de problèmes quand il y a eu des travaux que je pensais soigneux !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 20 Mai 2021
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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Régis FOUILLEUL est venu démonter le radiateur du dressing voisin de ma chambrette :

20 mai 2021.


Un radiateur italien, c'est-à-dire doté d'un très beau design mais plombé par un service-après-vente nul. Régis devra donc substituer à la robinetterie défaillante, en laiton de Chine, un système plus solide et de sa création :

20 mai 2021.

Je viens d'adresser à l'ADEME, via leur site internet, le courriel suivant :

(Début de citation)

Bonjour ! L'association S.V.A.A.D.E. ("Association pour la défense et la promotion du spectacle vivant et de l'artisanat d'art dans le Domfrontais et ses environs") étudie la possibilité pour elle de financer les installations de chauffage par aquathermie (les forages sont effectués et le résultat est positif ; il s'agit de financer la pompe à chaleur et toute l'installation aval jusqu'au chauffage par le sol ou aux radiateurs, selon les contraintes architecturales) desservant un monument historique ; elle serait le maître d'ouvrage de ces travaux. En qualité de trésorier de cette association, je suis chargé d'instruire le dossier en vue d'une prochaine assemblée générale. Je vous serais reconnaissant de bien vouloir m'informer sur les aides financières accessibles dans le cas d'espèce.
Cordialement,
PPF
06 12 96 01 34

(Fin de citation)

En ce qui concerne les particuliers, les aides de l'ADEME sont réservées aux résidences principales, le critère étant, sans qu'il y ait lieu de discuter, le lieu du domicile fiscal. Donc, pour moi, Paris.

J'essaye, comme on le voit, de trouver une solution permettant d'atténuer la charge de la facture des travaux en question, sachant que, selon l'étude réalisée par le bureau d'études "Bee+", une pompe à chaleur, d'un prix de 130 000 € à elle seule, serait nécessaire à la Chaslerie pour l'installation par aquathermie envisagée.