Peinture

Château de Villeneuve-Lembron (Puy-de-Dôme) :

N.D.L.R. : Une très nette ressemblance avec notre manoir favori. Permet d'imaginer, entre autres, les douves et les lucarnes, grandes ou petites, telles qu'elles ont pu y exister. Sans parler des meneaux. On s'y croirait !

Autre idée à retenir : l'enduit sur les murs extérieurs. Bien sûr.
Sur une aile de la cour, je ne manque pas de remarquer un décor bicolore qui m'intrigue et qui, à lui seul, mériterait peut-être la visite.

A l'évidence, contemporain de la Chaslerie (ou, du moins, de même style et remplissant les mêmes fonctions).

Je poursuis ma découverte, via "Google" :

(Début de citation)

Le château de Villeneuve Lembron fut édifié à la fin du XVème siècle pour Rigaud d'Aureille, bailli des montagnes d'Auvergne, maître d'hôtel des rois Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier. Érigée en baronnie, la terre de Villeneuve échut à la famille des Montmorin au début du XVIème siècle. Gaspard de Montmorin embellit le château d'un grand décor peint de grotesques, dont il reste quelques remarquables témoignages dans la salle d'apparat (embrasures des fenêtres) et dans les grandes écuries. En 1643, Villeneuve-Lembron fut acquis par Isaac Dufour, trésorier de France, qui aménagea l'ancienne forteresse. Il transforma la cour intérieure, aménagea une galerie à portique et décora les plafonds et les cheminées du premier étage.
Le château fut ensuite transmis à la famille Pélissier de Féligonde, qui le conserva jusqu'en 1919. Le bâtiment, de plan carré, est cantonné de quatre tours. Il a été décoré d'un ensemble de peintures murales dont il subsiste des vestiges dans les deux galeries du corps de logis, sur les murs extérieurs et dans la chapelle.

Le château est entouré de fossés et l'on accède à cette enceinte intérieure par une porte en anse de panier qui donne accès à une basse cour. C'est un château de transition entre le Moyen Age et la Renaissance : les quatre tours rondes et les larges fossés témoignent de l'idée du rôle défensif des châteaux qui persistait encore à l'époque de sa construction. En revanche l'aménagement intérieur est bien celui d'un château de plaisance. Les menuiseries et les serrureries de ces logis datent du XVème siècle. Les ailes Est et ouest ont été construites sous Louis XIII et des ouvertures, portes et fenêtres, ont été refaites.

Sous la galerie, la cour intérieure est ornée au rez-de-chaussée, de peintures humoristiques à fresque. En effet, à l'abri des galeries de la cour, la vivacité de l'imaginaire médiéval revit grâce aux peintures murales : on remarquera en outre un portrait de Rigaud d'Aureille et des illustrations de contes satyriques comme le "dit de la Bigorne" et celui de la "Chiche Face" ainsi que le "dit de l'astrologue" et le "dit du vieux maître d'hôtel".
Avec les successeurs de Rigaud d'Aureille, le château fut habillé de décors Renaissance : la voûte du bâtiment des écuries est orné de peintures murales évoquant l'opposition du bien et du mal. Les ébrasements des fenêtres se peuplent quant à eux de personnages de la mythologie romaine

L'illustration de maximes familières, comme celles de "la Bigorne et du vieux Maître" ou de "l'Astrologue", côtoie un décor inspiré de savantes références littéraires.

(Fin de citation)

Même les stalles, dans la chapelle, rappellent fortement celles (plus belles, d'après moi) de notre manoir favori.

Je lis par ailleurs : "En pleine restauration, l'intérieur du château est fermé à la visite mais le parc ainsi que les écuries décorées de fresque du 16ème siècle sont ouverts pendant les travaux.
La réouverture totale du château est annoncée pour le 8 juillet 2016."

Il faut absolument que j'aille le visiter sans tarder !

N.D.L.R. 2 : Donc ce château appartient à l'Etat. L'intérieur manque en effet de vie. Dommage que le coyautage des couvertures soit aussi sec. Et qu'une aile ait disparu, remplacée par un mur qui ne me semble pas du meilleur effet. A part cela, l'ensemble est très remarquable, assurément.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 2 Aout 2016
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Peinture - Logis - Bâtiment Nord - Tour Louis XIII
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Outre le passage de deux couches de badigeon dans mon bureau, l'une en début de journée, l'autre en fin, ces jeunes gens auront aujourd'hui commencé à me raboter l'angle gênant dans le cabinet de toilettes du rez-de-chaussée du bâtiment Nord...

2 août 2016.

... et adapté une auge de granit à sa nouvelle fonction dans le cabinet de toilettes sous l'escalier du logis :

2 août 2016.

2 août 2016.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Aout 2016
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Peinture - Fournil du manoir
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J'ai laissé Benjamin travailler tranquillement, depuis 15 jours, dans le fournil du manoir. Je viens d'y passer une tête afin de voir comment il s'en sort :

29 août 2016.

D'emblée, je suis frappé par la bonne odeur de cire et les tomettes n'ont jamais été aussi belles. Le chantier me paraît impeccable.

Certes, les meubles n'ont pas tous retrouvé leur place et il faudra que je corrige, mais c'est un détail :

29 août 2016.

29 août 2016.

29 août 2016.

Benjamin est en train de refaire le carrelage du petit four :

29 août 2016.

S'il continue à travailler aussi bien, on restaurera peut-être le carrelage du grand four voisin.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 21 Octobre 2016
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Peinture - Ferme et son fournil
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A l'initiative de Benjamin que j'en remercie et avec l'aide de Dylan, l'atelier a repris "figure humaine" (comme l'aurait dit ma marraine). Les outils et fournitures sont rangés - enfin ! - de façon méthodique et efficace :

21 octobre 2016.

21 octobre 2016.

21 octobre 2016.

21 octobre 2016.

21 octobre 2016.

21 octobre 2016.

Il faudra encore aller jeter tous les matériaux, comme ces sacs de Baticim ou de chaux qu'Igor aura, par incurie ou je-m'en-foutisme, laissé périmer ou prendre l'humidité :

21 octobre 2016.

Un ami qui possède une maison à Mortain où il vient, semble-t-il, d'installer sa thébaïde s'est déclaré partant pour que Benjamin et Dylan travaillent chez lui. Il a quelques murs de pierre à remonter, faute de quoi des terrasses risqueraient de s'ébouler, et aussi tous ses beaux volets de bois à repeindre. Je lui ai fait observer que les joints en ciment de sa maison mériteraient d'être remplacés par des joints de chaux. Et j'ai vu que sa cour arrière est envahie de mousses disgracieuses.

Bref, je crois que je peux d'ores et déjà lancer le recrutement d'un deuxième "emploi d'avenir", ce qui abaisserait le coût horaire moyen de l'équipe dans notre intérêt commun. En effet, avec trois collaborateurs dont deux "emplois d'avenir", le coût de chacun serait, en moyenne, divisé par deux par rapport à ce qu'il touche. Ceci en toute légalité et charges sociales incluses.

A ce prix-là, je pense que je devrais pouvoir trouver d'autres amateurs, ce qui ajouterait de la souplesse à l'ensemble. Un cercle vertueux paraît ainsi enclenché...
Au courrier ce matin, une lettre de la mission locale de Flers m'informant que le conseil départemental de l'Orne a formellement accepté de couvrir les trois quarts du coût de Dylan, ceci dans le cadre de la réglementation des "emplois d'avenir".

Excellent. Il me reste encore des données à entrer sur le site internet qui m'est désigné afin que me soit remboursée l'avance de trésorerie que j'ai dû consentir au titre du premier salaire de ce jeune homme.
Le système que j'ai monté en m'appuyant sur la réglemention des "emplois d'avenir" semble intéresser suffisamment de personnes, très souvent différentes du public habituel de l'A.D.D.O.O.E., pour que j'établisse une partition des activités en constituant une nouvelle association qui pourrait s'appeler "Association pour l'insertion professionnelle de jeunes dans l'Ouest Ornais, le Sud Manche et le Nord Mayenne" (APIJOMM). Corrélativement, il faudra que j'adapte en conséquence les statuts de l'A.D.D.O.O.E. qui se concentrerait désormais sur son premier objet statutaire, donc que je transfère les contrats de travail de Benjamin et de Dylan de l'A.D.D.O.O.E. à cette APIJOMM.

Je vais m'atteler à cette transformation dans les prochains jours. Je veillerai à ce que l'on soit pleinement opérationnels au moment où le recrutement de nouveaux "emplois d'avenir" redeviendra possible, c'est-à-dire à partir du 1er janvier prochain.
Si je récapitule, l'état de ma nouvelle usine à gaz est le suivant :
- Benjamin et Dylan sont salariés de l'A.D.D.O.O.E., leurs bulletins de salaire étant préparés par la M.S.A. ;
- dans mes démarches pour leur trouver du travail ailleurs qu'à notre manoir favori, je rencontre un succès qui m'encourage à développer l'expérience des "emplois d'avenir" ;
- je m'apprête donc à recruter, dans les mois qui viennent, plusieurs "emplois d'avenir" supplémentaires ; chaque recrutement, outre qu'il apportera de la souplesse dans l'affectation de tout ou partie de l'équipe ainsi constituée, abaissera le coût moyen de celle-ci : ainsi, avec deux "emplois d'avenir", l'équipe de trois hommes reviendrait au total à 1,5 fois le coût d'un smicard, donc chaque salarié reviendrait en moyenne, charges comprises, à la moitié du coût (charges comprises) d'un smicard ; avec quatre "emplois d'avenir", ce qui me semble tout à fait envisageable dès 2017, les cinq hommes coûteraient au total autant que deux smicards, de sorte que chacun reviendrait en moyenne à 40 % du coût d'un smicard ;
- je vais rechercher des subventions auprès de divers conseils départementaux en vue d'alléger le coût de Benjamin qui encadrera cette équipe ; en première approche, l'Orne, qui supporte la charge des "emplois d'avenir" ainsi recrutés localement, pourrait accepter d'intervenir à ce niveau également ; dès lors que d'autres jeunes seraient recrutés et employés dans des départements limitrophes, leurs conseils départementaux seraient également sollicités ;
- je recherche des alliances avec des entrepreneurs qui pourraient être suffisamment intéressés par la qualité de notre travail d'insertion professionnelle et de formation pour recruter ces jeunes lorsqu'ils arriveraient en fin de droits au titre des "emplois d'avenir" (soit, en l'état des textes réglementaires, au bout de trois ans après leur recrutement) ;
- enfin, je fais étudier les dispositions fiscales dont les employeurs de tous ces jeunes pourraient également se prévaloir, le cas échéant, pour abaisser le coût net pour eux de ce système.

Je précise que j'ai conçu cette usine à gaz lorsque, constatant l'aboulie du repreneur pressenti de notre manoir favori dans un contexte de chute de mes revenus et d'extinction de mon épargne financière, j'ai dû rechercher des voies nouvelles, astucieuses mais toujours légales, pour abaisser pour moi la charge de mes employés. Puisque, grâce à la martingale trouvée, un effet boule de neige vertueux est susceptible d'être développé, je me dis qu'autant contribuer tous ensemble à faire reculer le chômage des jeunes du secteur. D'où l'idée de structurer cet effort en toute transparence et en veillant à ce que tous ceux qui ont un intérêt au succès de cette expérience (jeunes concernés, employeurs potentiels, entrepreneurs locaux, administrations diverses, y compris les formateurs professionnels) s'appuient les uns sur les autres.

Que ceux qui sont susceptibles d'être intéressés par mon système n'hésitent pas à me contacter, je répondrai, dans le rôle de tabellion que je m'attribue, à toutes leurs demandes d'explications complémentaires.
J'ai reçu ce matin la visite de Boris MAHE, le "référent" de Dylan à la mission locale de Flers. Il venait nous parler de la formation professionnelle à mettre en place en faveur de ce jeune homme. Je n'ai pas compris grand chose à ses propos, si ce n'est que le dispositif requis va déséquilibrer les comptes prévisionnels de ma petite usine à gaz. Il nous a remis, à Dylan et à moi, deux feuilles rappelant la législation du travail en cas d'emploi de jeunes (Dylan aura 18 ans en février prochain), m'a fait signer un dossier sans m'en remettre une copie (ce dossier précisait que Dylan devait repasser les épreuves théoriques de son C.A.P. de "constructeur de canalisations" à la fin de ce mois de novembre) et m'a promis de m'adresser divers documents que je mettrai en ligne dès réception. Enfin il m'a informé que, la réglementation n'arrêtant pas de changer, il n'était pas garanti qu'il soit de nouveau possible de recruter des "emplois d'avenir" dès le 1er janvier prochain mais que l'on ne saurait exclure, non plus, que la pompe soit réamorcée plus tôt.

Pas simple tout ça.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 23 Novembre 2016
Journal du chantier - Peinture - Chapelle
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J'ai demandé à Benjamin de passer un coup de lasure sur le bois raboté hier par les serruriers sur la porte Nord de la chapelle, afin d'éviter que cette porte ne gonfle sous l'effet de la pluie. Il me présente ici un échantillon afin de recueillir mon accord :

23 novembre 2016.

C'est très bien. Voici un travail nécessaire et qui n'aura pas tardé.

En fait, pour tout vous dire, j'ai fait le déplacement à Paris pour assister à une vente aux enchères de tissus d'ameublement dont j'aurais besoin afin de poursuivre la restauration de notre manoir favori.

Je suis en effet affolé par les prix pratiqués dans leurs échoppes par les vendeurs de tissus neufs de qualité et aussi par l'appauvrissement rapide de leur gamme. Comme si, depuis vingt ans, tout un pan de notre savoir-faire et de notre patrimoine industriel était, là aussi, passé à la trappe. Triste époque...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 23 Mars 2017
Journal du chantier - Peinture - Logis - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes - Annonces - A la Chaslerie
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Voici les 4 rouleaux de tissus d'ameublement que j'ai achetés dernièrement à Drouot :

23 mars 2017.

23 mars 2017.

23 mars 2017.

23 mars 2017.

Ce sont, dans l'ordre des photos, les lots 76, 74, 41 et 56. Mon prix de revient est souvent 10 fois moindre que le prix en boutique. Mais j'en ai désormais beaucoup trop pour mes besoins.

Donc, si vous êtes intéressé pour m'en racheter une partie, il y a certainement moyen de faire affaire.

P.S. : Lors de la vente, l'expert a indiqué que le tissu 76 avait été largement utilisé par Charles de BEISTEGUI dans son château de Groussay.

Au courrier trouvé cette nuit, en rentrant à notre manoir favori, les documents suivants que je commente en les mettant en ligne :
- une lettre de notre géomètre-expert favori :

- sa facture que je vais régler immédiatement puisqu'il a bien répondu à ma commande :

- les documents d'arpentage relatifs à la création d'une parcelle pour le bief amont des douves (classé parmi les monuments historiques) :

- les documents d'arpentage relatifs à la création de quatre autres nouvelles parcelles, l'une pour la tour Louis XIII, l'autre pour le logis, une troisième pour l'allée historique et une dernière pour l'ensemble constitué principalement par la terrasse, le Pournouët et les maçonneries du circuit des douves autres que le bief amont :

- le plan de division qui résulte de tout ce qui précède :

Mon intention est de vendre les nouvelles parcelles, en nue-propriété, à une S.C.I. familiale (peut-être celle déjà mise en place pour l'"aile de la belle-mère"), de manière à donner une assiette juridique incontestable aux travaux de restauration qui pourraient y être menés, dès que possible selon mon souhait.

Quant à ces travaux de restauration, ils devraient être mis en œuvre avec mon accord sur les partis architecturaux retenus et les matériaux choisis.

En effet, ce n'est pas parce que je n'ai plus les moyens de financer ces travaux que je compte m'en désintéresser et, en particulier, cesser d'en rendre compte sur notre site favori. Je ne vois là nulle "immixtion" (n'en déplaise à un prestataire qui semble se croire fondé à se plaindre de moi qui ne suis certes pas un béni-oui-oui ni, je le crois du moins, un observateur inculte ou imbécile), mais une "contrepartie légitime et normale", en plus d'un juste prix à payer par le porteur de parts de la S.C.I., aux abandons d'une propriété jusque là pleine et entière que je suis prêt à consentir dans l'intérêt du monument.

Le dégât des eaux n'est pas cantonné à deux pièces de l'"aile de la belle-mère". Voici ce que je constate au 1er étage de la tour Louis XIII :
- le vitrage d'occultation de la meurtrière a laissé entrer la pluie ; toute la maçonnerie a pris l'eau et le tanin de la porte y a diffusé ; des bibelots ont souffert (je les ai retirés) :

4 janvier 2018.

- les menuiseries extérieures orientées vers l'Ouest n'ont pas suffi à contenir les eaux à l'extérieur des bâtiments. Voici, par exemple, une autre photo prise au même 1er étage de la même tour :

4 janvier 2018.

Puisque des objets qui m'appartiennent ont été atteints, je vais faire intervenir l'assurance. Voici le courriel que je viens d'adresser à mon courtier favori :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : jeudi 4 janvier 2018 11:07
À : (...)
Objet : Manoir de la Chaslerie - Dégât des eaux dû à la tempête

Cher Monsieur,

Je vous signale que la tempête en cours a occasionné des dégâts significatifs dans diverses pièces de mon manoir.

Je n'ai pas encore fini de passer l'inspection et vous préciserai les choses un peu plus tard.

Auriez-vous l'obligeance de me rappeler en quoi consiste ma couverture en la matière, pour des dégâts touchant tant le bâtiment que son mobilier ?

D'avance merci.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)

Pendant que je poursuis mon inspection, Igor continue à éponger les sols :

4 janvier 2018.

Il me dit que de l'électro-ménager appartenant à mon cadet a été touché :

4 janvier 2018.

Il a eu la bonne idée de surélever des meubles en plaçant des tomettes sous leurs pieds :

4 janvier 2018.

Malheureusement, il reste de nombreux cartons intransportables en l'état (ici ce n'est pas grave car il s'agit de bouteilles) :

4 janvier 2018.

Enfin, il me confirme qu'au rez-de-chaussée de l'"aile de la belle-mère", ce ne sont pas les menuiseries extérieures qui ont lâché mais que la source du problème est à rechercher au pied de la façade Ouest :

4 janvier 2018.

Aux dernières nouvelles, Carole, à qui je faisais part de mes dernières suggestions pour l'aménagement de la cuisine, préférerait que celle-ci soit aménagée au rez-de-chaussée de la tour Nord-Est. Elle rejette l'idée d'un transfert de la chaufferie vers la tour Sud-Ouest.

J'observe que cela pourrait permettre de mettre en œuvre un bureau-bibliothèque sur deux travées.

D'ici qu'on en revienne à mes idées de départ, il n'y a donc pas loin.