Par corps de métier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 10 Mars 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis - Murs divers
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Le contact est rétabli avec Lucyna GAUTIER ; je n'avais d'ailleurs pas de souci à ce sujet. Elle va travailler cette semaine sur le dossier des douves et passera me voir dans huit jours. J'espère que j'aurai alors reçu de bonnes nouvelles de la D.R.A.C.

11 mars 2012, les primevères !

C'est le printemps ! Sur les talus poussent les primevères :

11 mars 2012, primevères en bordure de la grande allée ! (bis)

Les pâquerettes sont apparues dans la prairie dont il va bientôt falloir recouper l'herbe :

11 mars 2011, fragiles pâquerettes...

Les taupes ont recommencé à attaquer, notamment autour de la chapelle. J'ai demandé à Michel LECORPS, mon taupier, d'intervenir sans tarder.

Un ami, qui vient d'avoir une mauvaise surprise en ouvrant sa boîte aux lettres, m'écrit ceci :

(début de citation)

Cher ami,

Je me permets de m'adresser à vous pour vous demander un conseil : j'ai fait effectuer des travaux d'étanchéité et d'isolation sur des fenêtres par une entreprise qui m'avait indiqué que ces travaux faisaient partie des travaux d'économie d'énergie déductibles des impôts, et qui ensuite m'a adressé une facture où figure explicitement la somme déductible desdits impôts.
Or le service des Contributions de ... m'a fait parvenir récemment une proposition de redressement, car il considère que ces réalisations ne font pas partie des travaux déductibles. Je souhaite saisir la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes au Ministère. Voyez-vous à qui je pourrais m'adresser ? Merci par avance.

(fin de la citation)

Voici ma réponse :

(début de citation)

Cher ...,

L'état désastreux des finances publiques explique sans doute ce contrôle fiscal. Vous me parlez de travaux d'étanchéité et d'isolation. Or j'ai consulté internet via Google et je suis tombé sur cette page qui donne la liste limitative des travaux déductibles. Entrez-vous dans l'une des rubriques en question ?

Les textes les plus importants (et même déterminants) sur ce type de sujet sont les textes réglementaires, comme celui-ci. Entrez-vous dans l'une de ces catégories, selon vous ?

Soyez gentil d'étudier les liens que je vous transmets, notamment le second (que j'ai trouvé via un site officiel, donc important en l'espèce). Vous savez précisément en quoi ont consisté vos travaux ; il convient de voir si vous pouvez préciser au contrôleur sur quel alinéa du texte réglementaire pertinent vous vous fondez.

Au cas où la question resterait nébuleuse à vos yeux, il me semble que vous devriez prendre l'attache de l'artisan qui vous a facturé ces travaux comme déductibles. Il doit pouvoir justifier sur quel texte précis il s'est appuyé. Je pense qu'il a engagé sa responsabilité à votre égard si sa facture vaut affirmation, de la part de cet homme de l'art, d'une qualité fiscale éventuellement erronée.

J'ajoute qu'on ne saurait exclure que votre artisan soit de bonne foi et se soit trompé. Auquel cas, il ne devrait pas faire de difficulté à corriger ou compléter sa facture initiale pour expliciter, dans les termes précis des textes réglementaires, la nature exacte de son intervention.

A défaut, je crois qu'il faudrait vous retourner contre l'artisan (qui, lui, n'a pas dû oublier de s'appuyer sur la prétendue économie d'impôts pour calculer sa marge...).

N'hésitez pas à me recontacter pour me tenir informé de la suite de vos réflexions et de la réaction de votre artisan. Au demeurant, je ne suis pas sûr que l'ancienne "direction des prix" soit le bon interlocuteur pour vous éclairer sur le contenu des textes. Le moment venu, il me paraîtra sans doute plus judicieux d'essayer de joindre à Paris un agent de l'actuelle "direction générale des finances publiques".

Amitiés,

(fin de citation)

Si un visiteur du site a de meilleurs conseils à prodiguer, qu'il n'hésite pas à nous les communiquer ici.

Je précise qu'à la Chaslerie, je n'ai jamais demandé de crédit d'impôts à raison de travaux d'économie d'énergie (je m'aperçois que j'aurais pourtant pu, par exemple chaque fois que je fais poser des portes ou des fenêtres à double vitrage). Mais je trouve ma déclaration de revenus suffisamment complexe comme cela. Il faudrait sans doute que je reconsidère ma position...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 12 Mars 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Claude MARTIN et Bernard s'affairent à l'orée du petit bois :

12 mars 2012, au coin Nord-Ouest du petit bois.

Bernard aura bientôt fini de dégager l'ancien chemin de ronde de l'envahissement de ses saules :

12 mars 2012, en quête de bois pour sa cheminée.

On pourra de nouveau se promener là en écoutant les oiseaux...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 12 Mars 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers
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Il faudra que j'explique prochainement en quoi consistent les drainages à proximité du mur Ouest de la douve Nord.

Je me suis aperçu, mais un peu tard, d'une malfaçon puisque, à l'extrêmité Sud de ce mur, nous avons laissé les graviers en contact direct avec la terre. J'ai donc demandé à Igor et Valentin d'y remédier, ce qui les oblige à recreuser le sol à cet endroit :

12 mars 2012, l'extrêmité Sud du mur Ouest de la douve Nord avant reprise.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 14 Mars 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Fournil du manoir - Murs divers
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Igor et Valentin corrigent la malfaçon du drainage du mur Ouest de la douve Nord, Valentin à la pioche...

14 mars 2012, Valentin en train de creuser.

... et Igor à la mini-pelleteuse :

14 mars 2012, Igor aux manettes.

Ce soir, l'erreur a presque disparu :

14 mars 2012, les parpaings qui manquaient.

Parallèlement, Igor a continué à s'occuper du drainage au Nord du fournil voisin.

14 mars 2012, au Nord du fournil du manoir.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 14 Mars 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Le dégagement du chemin de ronde à l'Ouest du petit bois est terminé :

14 mars 2012, la satisfaction du devoir accompli.

Claude MARTIN récupère le bois des saules coupés en aval de ce chemin de ronde, vers l'entrée des terres louées à Hervé LEMOINE :

14 mars 2012, Claude MARTIN à la tronçonneuse.

Il y a là une myriade de jeunes merisiers, désormais dégagés, dont les graines ont été semées par un vieil arbre abattu par la tempête de 1999. C'est un beau cadeau qu'il nous a laissé de la sorte :

14 mars 2012, les jeunes merisiers.

Thierry BOURRE est passé ce matin à la Chaslerie pour examiner quels arbustes remplacer dans les cadrans celtiques, au Nord du manoir. J'en ai profité pour l'emmener voir les arbres récemment élagués ; il trouve qu'on y est allés très fort mais estime que les arbres devraient le supporter sans problème ; il reviendra néanmoins en juillet prochain nous prodiguer quelques conseils afin que nous éclaircissions les plantations, avec l'objectif de laisser se développer, à terme, un arbre tous les dix mètres ; il me signale cependant qu'il ne faudrait plus tarder à éclaircir l'aulnée, en éliminant un arbre sur deux dans une ligne sur deux (soit un arbre sur quatre en moyenne).

Je l'ai interrogé sur les essences à planter dans la grande allée du manoir ; j'ai suggéré de poursuivre avec des tilleuls, comme à proximité de la chapelle ; Thierry BOURRE m'en a dissuadé en expliquant que, le bois de tilleul ne valant rien, autant planter des essences dont la vente du bois couvrirait, en cas de tempête, les frais d'abattage ; il suggère, afin que Carole et moi puissions profiter bientôt de la vue, que nous alternions des hêtres et des peupliers "Flévo" ; je lui ai répondu qu'on devrait pouvoir nous passer de ces peupliers car nous avons l'habitude des plantations et ne manquons pas d'imagination ; mais je vais quand même prendre le temps de réfléchir à sa recommandation.

P.S. du 23 mars 2012 : J'ai oublié de noter que, d'après Thierry BOURRE, la santé des merisiers est conditionnée par l'absence de pesticides. Cela prouve qu'aucun nuage de ceux-ci n'atteint l'orée Ouest du petit bois, comme montré ici le 14 mars dernier. Il est clair que de tels arbustes crèveraient vite si je m'avisais d'en planter le long de la grande allée du manoir, c'est-à-dire à côté du champ exploité par un jeune agriculteur qui, en décembre dernier et pour la seconde fois de l'année, s'est fait enlever une partie du cerveau à l'hôpital (une tumeur non cancéreuse, d'après ce que l'on voudrait nous faire croire...), à l'instar du fils d'un agriculteur voisin, d'un autre, jeune père décédé avant la naissance de son enfant, ou d'un troisième, atteint de cette maladie au moment où il prenait sa retraite.

Tout cela se passe en plein bocage (ou ce qu'il en reste) et à moins d'un kilomètre à vol d'oiseau de la Chaslerie.

Mais quand donc comprendront-ils ? Combien leur faudra-t-il de morts supplémentaires ?

Je pensais que l'on pourrait éventuellement mettre en alignement de votre allée le platane d'Orient. C'est un arbre qui fut introduit en Europe vers le XVIème Siècle (date de construction de la Chaslerie si je ne me trompe). C'est également le seul platane à ne pas être originaire d'Amérique du Nord. Il est d'une très grande longévité (a priori le plus ancien aurait 2000 ans : le platane d'Hippocrate).

Qu'en pensez-vous ?

N.D.L.R. : C'est une idée qui me plaît beaucoup. Elle me rappelerait les platanes des bords de route de ma région d'origine. Ceci dit, j'ai un doute : cette essence n'est-elle pas celle qui souffre beaucoup en bordure du canal du Midi (où elle a été plantée par les successeurs de Pierre-Paul RIQUET, un parent des FOURCADE, soit dit en passant, et, aussi, de Notre-Dame-de-Thermidor) ? D'après ce que je lis sur le net, le PLATANOR résisterait au chancre en cause ; il faudrait se renseigner sur ce cultivar.

Eric DIOURIS
rédigé le Mercredi 21 Mars 2012
Administration - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
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Bonjour,

La 29ème édition des Journées européennes du patrimoine aura lieu les 15 et 16 septembre 2012.
Le ministère de la culture et de la communication a choisi comme thème national les "patrimoines cachés".

Vous trouverez par ailleurs la lettre du directeur régional, lançant l'opération en Basse-Normandie et un questionnaire à remplir ; un argumentaire du thème national vous parviendra ultérieurement.

Si vous souhaitez participer à cette édition, je vous remercie de bien vouloir nous renvoyer le questionnaire rempli avant le 30 avril 2012 accompagné d'une photo en format numérique de bonne qualité (900ko minimum et 300 dpi) afin d'illustrer notre programme régional.

Pour cette nouvelle édition, nous attirons votre attention sur la nécessité de renvoyer, pour des raisons juridiques, le questionnaire dûment signé en page 3 ainsi qu'en page 4 si vous joignez des photographies de votre monument.
Restant à votre disposition pour toutes questions supplémentaires.

Cordialement

Eric Diouris
Chargé de communication à la D.R.A.C.

Guylène Fauq
Assistante de communication
02 31 38 39 61

N.D.L.R. : Une nouvelle fois, la Chaslerie participera à cette manifestation. Mais, comme à l'accoutumé, forts du constat que le public ne vient en nombre que le dimanche après-midi (et aussi de celui qu'il est fatiguant de tenir le crachoir, debout pendant 5 heures), nous limiterons les visites guidées au 16 septembre, de 15h 30 à 19 h (étant entendu qu'une visite guidée aura lieu, le même jour, de 14 à 15 h, pour le seul public de "Septembre musical de l'Orne"). Bien entendu, j'autorise la D.R.A.C. à utiliser, pour ses documents édités à l'occasion de ces Journées, toute photo qu'elle repiquerait sur ce site internet. Le "thème national" choisi par les services parisiens du ministère de la culture (cette année, les "patrimoines cachés") paraît peu inspirant ici : à la Chaslerie, nous sommes au contraire très ouverts au public, ainsi que ce site internet le démontre chaque jour.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 21 Mars 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Sculpture - Dans l'Orne - Ailleurs - Annonces
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Le 26 mars 2011, j'avais rendu compte, sous l'onglet "Sujets divers", de ma visite chez Pascal POIRIER, à La Ferté-Macé. J'y suis repassé hier. Je souhaitais en effet m'assurer qu'il se tient toujours prêt à enseigner à Igor et Valentin comment tailler les pierres afin que nous couronnions le puits de la ferme du volume qui lui manque ; il n'y a pas de problème, m'a répondu Pascal.

La reproduction d'une statue du Christ sur laquelle il travaillait déjà, il y a un an, est pratiquement finie. Il doit livrer cette nouvelle statue aujourd'hui à sa cliente, la ville de Honfleur. Il ne lui reste plus qu'à raboter quelques pièces destinées à boucher les fissures du bois...

20 mars 2011, le Christ de Honfleur.

... notamment sur la tête :

20 mars 2011, la tête du Christ de Honfleur.

Nous avons longuement parlé, d'un côté, de la dureté de la condition d'artisan et, de l'autre, de la difficulté de trouver chez le même individu un niveau technique suffisant et un goût authentique pour son métier ainsi qu'une réelle capacité à conseiller le client. Pascal s'exprimait en tant que "meilleur ouvrier de France" et moi comme client un peu décontenancé par l'un de ses confrères, menuisier de son état.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 21 Mars 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Dans l'Orne - Annonces
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J'ai le plaisir de vous présenter deux jeunes Roumains dont la situation est, depuis aujourd'hui, parfaitement en règle :

21 mars 2012, Igor et Valentin devant la préfecture de l'Orne.

Igor a en effet reçu sa nouvelle carte de séjour et de travail avec des données biométriques du dernier chic.

Valentin détient dorénavant un recepisse officiel de sa demande de titre, valant régularisation de sa situation jusqu'à la délivrance de la carte définitive.

Voici une bonne chose de faite dont je remercie, avec soulagement, les uns et les autres.

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Lucyna GAUTIER, aidée de son fils Paul, vérifie en ce moment les cotes de l'écurie et du colombier du manoir. En vue de lui faciliter la tâche, je lui ai communiqué un tirage du plan préparé pour Henri LEVEQUE en 1952 (et que j'ai mis en ligne, le 14 décembre 2010 sous l'onglet "Sujets divers"). Je lui ai également prêté mon exemplaire de l'étude préalable, de septembre 2006, de Dominique RONSSERAY, architecte en chef des monuments historiques, sur les charpentes et couvertures de ces bâtiments.

22 mars 2012, Paul GAUTIER au rez-de-chaussée du colombier.

J'ai par ailleurs demandé à Lucyna de préparer dans les meilleurs délais, afin de les soumettre à l'administration des affaires culturelles pour autorisation et subvention, les dossiers des travaux que je souhaiterais pouvoir effectuer en 2012 (en plus de la finition du mur Ouest de la douve Nord), à savoir (1) la restauration de la cage d'escalier du logis ainsi que (2) le démontage ordonné des vestiges du mur d'escarpe avec la pose des fondations du mur restauré.

Comme on le voit, j'ai le souci de fournir à Igor et Valentin (en liaison avec une entreprise spécialisée pour la cage d'escalier) un plan de charge gérable sans trop d'à-coups dès le retour des beaux jours.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 22 Mars 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Fournil du manoir - Murs divers
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Igor est tout heureux de me montrer que le nouveau drain fonctionne. Voilà qui devrait rassurer Guy HEDOUIN...

22 mars 2012, le drain à l'angle Sud-Est du fournil.

Le terrain en amont du mur Ouest de la douve Nord sera donc bientôt assaini :

22 mars 2012, le fossé du drain à l'Ouest du mur Ouest de la douve Nord, c'est-à-dire au Nord-Est du fournil du manoir.

Lucyna me met cependant en garde contre un drainage qui serait plus bas que la base des fondations du fournil ; elle me dit qu'en asséchant trop profondément l'argile, on peut provoquer dans la terre un effet de mille-feuilles dont on retirerait la crême. Je pressentais cette difficulté ; c'est pour cela que j'avais donné une certaine rigidité à mon modèle de drainage, prévoyant même une base et un dessus en béton afin de ne pas entraver le passage de tracteurs, nécessaire pour desservir le "Pournouët". Ceci dit, seul le temps confirmera ou infirmera le bien-fondé (c'est le cas de le dire) du parti que j'ai pris.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 23 Mars 2012
Administration - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Lobbying environnemental - A.D.D.O.O.E.
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ALERTE TRES SIGNALEE !

Le "schéma régional éolien de Basse-Normandie" est en cours de finalisation. Pour l'ouest Ornais, il prévoit un "objectif indicatif de valorisation du potentiel d'énergie éolienne" de 150 MW, sachant que cette zone accueille déjà 20 MW.

La Haute Chapelle est inscrite sur la "Liste des communes favorables préférentiellement au petit éolien" (machines d'une puissance comprise entre quelques dizaines et quelques centaines de kW, inférieures à 50 m et qui d'un point de vue réglementaire ne sont soumises ni à étude d'impact ni à enquête publique), Domfront et Lonlay-l'Abbaye sur celle du "grand éolien" (machines d'une puissance comprise entre quelques centaines de kW et quelques MW, d'une taille de plus de 50 m et composées majoritairement d'un rotor tripale).

A compter de ce jour, SOYONS TRES VIGILANTS !

P.S. : J'ai demandé à l'amie qui m'a communiqué ce document de 83 pages de me faire passer une version plus lisible des plans qu'il contient. Voici ce qu'elle vient de me répondre :

(début de citation)

Cher Pierre-Paul,

En l'état actuel je n'ai pas de meilleure version. Ces documentations ne sont diffusées que sur accès avec codes spéciaux qui ne sont pas divulgués à ceux qui ne sont pas favorables à l'ensemble des dispositions élaborées. Les associations non favorables ont été éjectées du dispositif en juin dernier (...).

J'espère néanmoins avoir une autre version d'ici la fin du mois et vous la ferai parvenir aussitôt.

Après rédaction définitive du projet il y a plusieurs étapes à franchir et la signature définitive est actuellement prévue fin 2012 mais plus le projet est avancé plus il est difficile de le modifier.

En toute amitié,

(fin de citation)
Bonsoir,

L'eau qui s'écoule de votre drain, n'est pas forcément celle de votre mur, mais du terrain environnant.

Quand à la remarque de Lucyna Gautier, elle serait valable, si l'on creusait au pied de ce mur et en dessous de la semelle.

Mais à une distance de 1m ou +, le comportement ne serait pas le même.

On verra bien une fois l'été passé, comment va réagir le mur.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Je vois que l'attention se relâche puisque j'ai eu le temps de mettre en ligne huit messages avant que vous ne réagissiez, dans le sens attendu d'ailleurs...

En arrivant ce matin à la Chaslerie, j'ai eu la bonne surprise de constater que Bernard avait pris l'initiative de couper l'herbe aux abords et pour la première fois de l'année.

En revanche, mauvaise surprise, le sol de mon bureau, notamment près des fenêtres, était jonché de cadavres de mouches. Quelle plaie ! Si quelqu'un sait comment éviter cette invasion, je suis preneur !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 28 Mars 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Fournil du manoir - Murs divers
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Si, dans les vieilles pierres, le plaisir est proportionnel à l'investissement comme l'a écrit ce matin une visiteuse du site, alors il nous faut profiter de ces images car le chantier ne pourra durer longtemps sans déblocage de certaines aides.

28 mars 2011, Valentin à la bétonnière.

Désolé de le rappeler sans humour mais c'est un fait.

28 mars 2012, la jonction entre les drains du fournil et le sas en parpaings du mur Ouest de la douve Nord.