Par corps de métier

Dès 8 heures ce matin, Pascal a travaillé sur la troisième petite ouverture que je lui ai réclamée hier. Il a commencé par enlever les pierres de l'ancienne ouverture, dégageant ainsi ses feuillures :

8 avril 2011, l'ancienne ouverture de la future cuisine-salle à manger de la ferme.

Il est ainsi prouvé, s'il en était besoin, que mes trois ouvertures sont largement conformes à l'original (j'ai juste préféré des linteaux obliques, de manière à faciliter l'entrée de la lumière). Cette conclusion est d'autant plus satisfaisante que je n'avais pas attendu ce travail de fouille pour donner mes instructions à Pascal. Ceci me donne donc à penser - en toute modestie - que je ne comprends pas trop mal, somme toute, ce que j'appelle "l'esprit du lieu".

En début d'après-midi, voici l'état du chantier vu de l'extérieur du bâtiment. Le linteau de l'ancienne ouverture est la grosse pierre roux foncé qui se trouve sous le haut des tubes d'échafaudage, en haut à droite de la future ouverture :

8 avril 2011, la 3ème petite ouverture de la future cuisine-salle à manger de la ferme.

On comprend que les nouvelles ouvertures seront plus basses que l'ancienne. J'ai en effet souhaité que Pascal cale la hauteur de leurs appuis sur celle du dossier du banc d'angle qui meublera la pièce à cet endroit. Car je trouverai très confortable, lorsque j'irai plus tard remplir ma grille de Sudoku en prenant un petit déjeuner chez Walter, de sentir le soleil réchauffer mes vieilles omoplates. On n'est jamais trop prévoyant...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 9 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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Ce matin, Philippe JARRY, Pascal et moi, nous avons été accueillis à Sainte-Opportune par Aurélien FILLÂTRE. Son grand-père appelle ce jeune homme "Aurélien le coquin". Pour moi, ce sera "Aurélien l'avocat", tant ce grand admirateur de Babar, tout comme moi, m'a semblé bavard. Il m'a fait visiter le poulailler de son père...

9 avril 2011, visite d'un poulailler sous la conduite d'

J'ai pu admirer l'échelle qui permet aux poules de pénétrer dans cette grange par un portillon à leurs dimensions :

9 avril 2011, le poulailler d'Aurélien.

Pendant qu'Aurélien et moi devisions de la reine Céleste et du singe Zéphyr, Philippe et Pascal, aidés du père et du grand-père d'Aurélien, chargeaient la cheminée de granit achetée grâce aux bons conseils de Guy HEDOUIN. Au passage, nous avons appris que ce que nous appelions à tort le linteau de la cheminée en est en réalité le manteau :

9 avril 2011, Philippe JARRY et Pascal en train de charger la cheminée.

Une fois de retour à la Chaslerie, Philippe et Pascal ont déchargé ces pierres devant la ferme. Sur la photo suivante, on pourra, au passage, noter l'état du chantier de la troisième petite ouverture de la future cuisine de la ferme, dans l'état où Pascal en a interrompu la maçonnerie hier soir :

9 avril 2011, Philippe JARRY décharge les granits tandis que Pascal conduit le

Pascal devra commencer, lundi ou mardi prochain, par passer ces blocs sculptés au "kärcher" pour enlever la mousse et les lichens.

9 avril 2011, les granits en attente du kärcher.

Bonsoir Mr Fourcade,

Vous allez être déçu, je vais encore vous contredire, les bons termes pour les cheminées sont les suivants :

A copier 100 fois !

A part cela, je vois que la cheminée est arrivée à bon port. On pourra l'admirer lors de notre visite.

Savez-vous qu'avec les fleurs de pissenlits non traités on fait une excellente confiture qui s'apparente au miel ?

Je vois que la divergence de vue sur la restauration persiste, peut-être faudrait-il aborder le problème d'une autre manière.

Bonne soirée !

@ Guy HEDOUIN :

Décidemment, que ferais-je sans vous ? Vous êtes impayable, et encore plus perfectionniste que moi, on dirait.

Pour les relations père-fils, je suis demandeur de leçons. J'en ai parlé avec des amis. Eux aussi éprouvent, m'ont-ils dit, des difficultés analogues avec leur descendance, comme si le fils voulait toujours "tuer le père".

Ceci dit, Carole vient d'arriver, on va aller dîner tous les quatre "Au goût des autres", à Saint-Georges-de-Rouelley, et je vous ferai ensuite part (sous l'onglet "Sujets divers" qui me semble mieux convenir pour la suite des échanges sur un tel sujet) de certaines de mes réflexions sur l'hérédité, la généalogie et la statistique. Une fois de plus, je vous le promets, je ne serai pas "politiquement correct"...

Véronique FRANCE
rédigé le Dimanche 10 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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Si vous êtes demandeur de leçons, on dirait que vous ne pouviez pas mieux tomber, car Monsieur a l'air particulièrement doué pour en donner.

Quelle chance d'être ainsi constamment redirigé dans le droit chemin, quand on s'en écarterait aussi maladroitement !

Dès ce matin à 9 heures, Mr T. et moi avons parcouru l'"aile de la belle-mère" (c'est-à-dire le colombier ainsi que la partie des écuries où Henri LEVEQUE avait entrepris des travaux il y a une cinquantaine d'années) en échangeant nos idées.

Nous sommes facilement tombés d'accord sur les principes suivants :

1 - Il n'y a pas lieu de modifier les maçonneries extérieures qui garderaient donc leurs ouvertures telles qu'elles sont, modulo, éventuellement, des adaptations de second ordre.

2 - Le parti à retenir pour la restauration intérieure sera la conséquence de choix sur le type de chambres et de salles d'eau dont on souhaite disposer. Au 1er étage du colombier, on peut conserver le cloisonnement actuel, avec une chambre donnant vers le Sud et un petit cabinet de toilettes ouvrant sur la cour. En revanche, tout ce qui se situe au-dessus ou à côté de cette chambre doit être repensé.

3 - L'escalier, avec ses invraisemblables contorsions actuelles, devra être remplacé par un escalier intelligemment conçu.

Nous voici soulagés, nous pouvons donc chanter de nouveau !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 10 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Dans l'Orne - Annonces
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Je suis désormais assailli d'offres de pierres pour les douves !

J'ai expliqué avoir acheté une petite cinquantaine de m3 de pierres de bonne couleur cet hiver, à deux vendeurs différents, l'un à La Haute Chapelle, l'autre à Saint-Gilles-des-Marais.

Le géant corse doit revenir ce matin pour voir si nous pouvons nous mettre d'accord sur les 80 m3 en provenance de Ger.

Mais ce n'est pas tout. J'ai en mains une offre de 80 m3 à Lonlay-l'Abbaye et une autre de 60 à Domfront.

Bien entendu, cette profusion d'offres fait baisser les prix.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement
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Toute la journée, Bernard a fait des allers et venues entre la Chaslerie, Saint-Gilles-des-Marais et Saint-Mars-d'Egrenne, pour récupérer les pierres que m'a vendues Marcel GAHERY.

11 avril 2011, le chargement des pierres d'un ancien poulailler à Saint-Gilles-des-Marais.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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Pascal a quasiment achevé aujourd'hui la maçonnerie de la 3ème petite ouverture de la future cuisine-salle à manger de la ferme. Il ne reste plus que le linteau à couler, puis quelques pierres à poser dessus :

11 avril 2011, la 3ème petite ouverture de la future cuisine de la ferme.

Nous avons donc commencé à réfléchir à la pose des pierres de cheminée dans le futur petit salon de la ferme.

A dire vrai, mon achat de samedi n'est pas optimal, ainsi que je ne m'en suis rendu compte que ce soir.

Si, en effet, je compare la cheminée que je viens d'acheter à celle de la salle à manger du manoir, je m'aperçois que le linteau de la nouvelle est loin d'être satisfaisant. Il est en granit bleu, alors que tout le reste de la cheminée est en granit roux. Surtout, je pense qu'il est postérieur aux corbeaux et aux piédroits. Je suppose qu'il a remplacé un linteau de bois qui avait mal vieilli. Mon impression est que ce linteau a deux siècles au maximum alors que le reste de la cheminée en aurait plus de trois.

11 avril 2011, le linteau de la cheminée achetée avant-hier.

Ce linteau reposait directement sur les corbeaux, comme le montre la photo suivante que m'a communiquée le vendeur :

La cheminée achetée à Sainte-Opportune.

Voici, par comparaison, la cheminée du manoir :

11 avril 2011, la grande cheminée du manoir.

Une fois n'est pas coutume, je vais donc dire du bien d'Henri LEVEQUE, dont le choix de cheminée a été plus judicieux que le mien...

Sur la grande cheminée de la Chaslerie, on note que le linteau est posé sur des "sur-corbeau" (je ne connais pas le terme exact) qui l'éloignent donc du foyer. Cela donne à l'ensemble de bonnes proportions.

Sur la cheminée achetée avant-hier, il n'y a pas de "sur-corbeau", de sorte que la longueur de la partie des corbeaux dépassant du mur détermine la distance entre le linteau et le foyer ou, si l'on préfère, la profondeur de la cheminée. Autrement dit, il manque une trentaine de cm à l'appel !

Or, dans le futur petit salon de la ferme, le plan du mur dans lequel doivent être insérés les piédroits et les corbeaux de la cheminée achetée avant-hier n'est que de 10 à 15 cm en avant du plan du foyer. Comme les corbeaux ne sont prévus pour ressortir que de 30 cm devant le plan du mur, cela signifie que nous ne disposerions que de 45 cm au maximum pour la profondeur de la cheminée, ce qui est très peu.

11 avril 2011, l'emplacement de la cheminée de la ferme.

Face à ce problème, j'ai imaginé deux solutions :

- soit enfoncer le foyer de 15 à 20 cm en tirant parti de l'épaisseur du mur, ancien pignon de la ferme dans sa conformation initiale ; mais ceci me paraîtrait soulever des problèmes de réalisation, notamment de sécurité ; donc j'abandonne cette idée ;

- soit avancer le plan du mur, par exemple en le doublant d'un mur de parpaings de bonne épaisseur.

Pascal me dissuade de mettre en œuvre la deuxième idée, qui lui semble trop onéreuse. Il m'en suggère une troisième qui consisterait à retailler et boucharder les corbeaux de la "nouvelle" cheminée, de manière à en allonger la partie visible.

11 avril 2011, le corbeau gauche de la cheminée achetée avant-hier.

Pascal a commencé ce soir à tester la faisabilité de sa suggestion sur le corbeau gauche et se dit satisfait du résultat.

Pourtant, il s'est également mis à la recherche, dans mon stock de vieux cailloux, d'une paire de corbeaux de bonne longueur et en granit roux.

De mon côté, je ne suis pas convaincu que je pourrai faire l'économie d'un surépaississement du mur.

On verra demain. Il nous faudra également rechercher des dalles de granit pour l'âtre de la cheminée. La journée sera donc chargée.

Avant-hier matin, lorsque Mr T. et moi avons visité l'"aile de la belle-mère", je lui ai fait part de mes rares idées pour la restauration de ce volume.

Dans la chambre du 2ème étage du colombier, je lui ai indiqué que je ferais sauter le plafond, donc disparaître la chambre du 3ème étage avec la travée d'escalier incommode qui la dessert, de manière à disposer d'une pièce à double hauteur de plafond et vue sur la charpente. A cet endroit, cette dernière est en effet très belle. Cela permettrait de supprimer les deux lucarnes donnant sur la cour et de transformer celle donnant au Sud pour lui redonner un aspect d'entrée du colombier pour les pigeons (étant entendu que les trous de boulin sont nombreux sur deux des quatre murs de la chambre du 2ème étage). Je ferais de même disparaître le cabinet de toilettes exigu donnant sur la cour, ainsi que le petit vestibule contenant la travée d'escalier montant au 3ème, afin de disposer, au second, d'une grande pièce éclairée par 4 fenêtres.

Mr T. a tordu le nez devant ces suggestions et déclaré qu'il préfèrerait conserver les trois lucarnes et transformer ladite chambre du 3ème étage en bureau-bibliothèque pour lui.

Toutefois, dimanche soir, avant de rentrer à Paris, il m'a signalé que son amie trouvait très bonne mon idée. A mes yeux, il ne fait guère de doute que cette demoiselle a bon goût et une influence bienvenue sur mon aîné...

Mais hier soir, lorsque, téléphonant à Mr T., je l'ai informé que j'avais pris rendez-vous chez un notaire pour examiner comment organiser sa prise de relais sur cette "aile de la belle-mère", il m'a recommandé de ne pas trop me presser. Il souhaite réfléchir d'abord à la forme que pourrait avoir le nouvel escalier qui remplacerait l'actuel, raté comme l'on sait.

J'ai proposé à Mr T. de demander à Lucyna GAUTIER de réfléchir à ce problème. Il semblerait d'accord pour financer cette étude, ce qui me paraîtrait une bonne façon d'avancer.

Un visiteur du site m'indique que le "sur-corbeau" s'appelle en réalité un sommier. Ce sommier repose sur les corbeaux et sert à maintenir en place le linteau permettant de le déporter vers l'extérieur afin de constituer l'avaloir.

En fait, la nuit ayant porté conseil, je me dis que le mieux serait sans doute de nous priver des services du linteau de granit bleu que je viens d'acheter et de lui substituer un linteau de chêne. Cela aurait en outre l'avantage du retour à l'authenticité, vraisemblablement.

Reste à résoudre la question des dimensions de ce que j'appelle l'âtre, c'est-à-dire la surface au sol sous la cheminée. Je pense que, faute de meilleure solution, je demanderai à Pascal de le réaliser en granit bleu, en réutilisant des pierres du vieux pont de Lonlay qu'avait dû acheter Henri LEVEQUE (là, il va falloir que je me surveille car c'est la 2ème fois en 24 heures que je me laisse aller à des sentiments positifs à l'égard du père de mon vendeur. C'est simple, je ne me reconnais plus moi-même !)

Pascal me suggère d'aller faire un tour chez le marbrier de Domfront pour voir s'il n'aurait pas mon bonheur. J'y file de ce pas. Cela va finir par ressembler à un pélerinage sur les traces de cette grande âme du Domfrontais, comme dit le comique...

P.S. : Rebondissement dans l'affaire de l'âtre ce matin. J'avais en effet repéré dans le voisinage un stock de granits susceptibles de convenir, car plus roux, me semblait-il, que ceux laissés par Henri LEVÊQUE. Je me suis rapproché de la personne habilitée à en disposer. Ce dernier a bien voulu donner son feu vert à l'échange. Nous y procèderons dès cet après-midi. Qu'il sache en tout cas que je leur suis très reconnaissant, à lui d'abord, mais aussi à tous ceux qui ont permis cette opération.

Je reprends la plume dans l'après-midi. Voici les pierres que j'ai apportées à l'échange :

12 avril 2011, les pierres apportées à l'échange.

Et voici celles reçues, qui sont plus petites mais qui conviendront mieux pour l'âtre :

12 avril 2011, les futures pierres de l'âtre de la ferme.

Guy HEDOUIN
rédigé le Mardi 12 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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Bonsoir,

Prenez le temps de la réflexion pour votre cheminée, agir vite n'est pas toujours le mieux. Il faut observer ce qui se faisait à cette époque, pourquoi l'on procédait de cette manière.

Les cheminées sont des sujets délicats car il faut aussi penser à leur fonctionnement. Ou alors cela sera une cheminée purement décorative.

Bonne réflexion !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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@ Guy HEDOUIN :

Oui, à gauche de la 1ère photo, il s'agit bien d'un sommier. Les deux autres pierres sont belles de dimensions mais ne comportent qu'un petit côté travaillé finement.

Sur la seconde photo, il s'agit de marches d'un ancien calvaire de cimetière. Donc elles ont été bouchardées sur 2 côtés, un grand et un petit. Et elles font un peu moins de 1,80 m de long, ce qui convient à mon âtre.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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A 9 h, ce matin, Pascal a commencé par délimiter le futur emplacement de l'âtre :

13 avril 2011, le chantier en début de matinée.

A midi, il avait dégagé la place :

En fin de journée, seule la première pierre de l'âtre restauré avait pu être posée. Pascal a eu du mal à en déplacer seul les 450 kg. Je lui avais demandé que la surface supérieure de cette pierre soit dans le même plan que le sol fini, ce qui est peut-être une erreur :

13 avril 2011, la 1ère pierre de l'âtre est placée.

Demain, il devrait commencer par installer l'un ou l'autre piédroit. Je me demande comment il compte s'y prendre pour déplacer le bloc de granit en question. Je serais bien incapable de lui suggérer la moindre idée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 14 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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Pascal commence la journée en nettoyant au "kärcher" les granits des piédroits :

14 avril 2011, nettoyage du piédroit gauche de la cheminée du futur salon de la ferme.

Afin d'en faciliter le tirage, il n'omet pas de doter la cheminée d'un dispositif y amenant de l'air frais :

14 avril 2011, le fond de l'âtre.

En fin de matinée, le chantier est prêt pour la pose des piédroits :

14 avril 2011, le chantier en fin de matinée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 14 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
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En début d'après-midi, Carole a donné son point de vue, éclairé évidemment, sur la meilleure façon de mouvoir des granits de 500 kg :

14 avril 2011, Carole inspecte les travaux de la ferme.

Heureusement, Pascal avait sa petite idée en tête :

14 avril 2011, Pascal déménage un piédroit à la mini-pelle.

Il lui aura fallu tout l'après-midi pour placer deux granits (et, accessoirement, boucher quelques trous dans le mur) :

14 avril 2011, le piédroit gauche monté aux deux tiers.

En fin de journée, sous le regard admiratif de Bernard, Pascal a approché de son futur emplacement le premier granit du piédroit de droite. Il reprendra demain le chantier à cet endroit.

14 avril 2011, Bernard observe Pascal à la manoeuvre.