Par corps de métier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 9 Octobre 2015
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Ferronnerie - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord - Aile "de la belle-mère"
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Hier après-midi, je suis passé à la D.R.A.C. où j'ai déposé un volumineux dossier à l'intention de Philippe ROCHAS, notre conservateur régional du patrimoine. J'y avais joint le courrier suivant :

(début de citation)

Monsieur le conservateur régional,

Pour faire suite à une conversation récente avec Mme LE NOZAHIC, je vous prie de trouver ci-joint 3 tirages-papier de l’étude préalable, en date du 18 septembre dernier, que M. Benoît MAFFRE, architecte du patrimoine, a consacrée aux menuiseries extérieures des bâtiments sur cour du manoir de la Chaslerie. J’y ajoute le tirage-papier de trois messages du site internet de la Chaslerie, à savoir les messages n°18784 (8 pages), 18 852 (2 pages) et 18854 (106 pages) ; le premier porte sur un monument disparu en 1944, le manoir de Chaponnais à Domfront, qui ressemblait beaucoup à la Chaslerie ; les deux autres (reliés ensemble) sur la petite étude que j’ai effectuée sur les linteaux des fenêtres du premier étage des manoirs du Domfrontais ; ces trois messages étaient destinés initialement à M. MAFFRE mais je pense qu’ils peuvent vous intéresser.

Je comprends que vous allez soumettre l’étude de M. MAFFRE pour avis à l’inspection générale des monuments historiques.

Je profite de cet envoi pour vous faire part de mes remarques personnelles sur cette étude et pour vous indiquer comment je souhaite la mettre en application.

1 – Sur l’étude de M. MAFFRE :

Je suis d’avis que cette étude est globalement remarquable, très fouillée et fort utile.

M. MAFFRE et son assistante, Floriane GRIPPON ont finement exploité la plupart des documents que j’avais mis à leur disposition, notamment via le site internet de la Chaslerie.

Mais, comme je trouvais qu’ils insistaient trop, dans une version provisoire de leur rapport, sur l’idée que les linteaux du 1er étage du logis auraient été là depuis l’origine, j’ai mené une petite enquête complémentaire sur les pratiques locales qui tend à montrer qu’à tout le moins, on peut douter de cette façon de conclure cette question. Pour M. Nicolas GAUTIER, A.B.F. qui connaissait bien la Chaslerie, ces linteaux avaient été bricolés après l’incendie de 1884 ; il se basait notamment sur la présence d’un double jet d’eau sur la cheminée centrale du logis (voir la photo de mon message n° 18852) ainsi que sur une vieille photo, conservée dans le dossier de la C.N.M.H., montrant des enduits anciens sur la façade sur cour du logis (cette photo est reproduite en page 31 de l’étude de M. MAFFRE). Ces éléments m’avaient paru probants. Le fait est qu’en l’absence d’études sur le haut des murs du logis (qui auraient pu être rabotés à la suite de l’incendie) et d’images anciennes de la Chaslerie, en l’état actuel du dossier, cette question ne peut, à mon avis, être tranchée de façon définitive. J’ai cependant bon espoir d’arriver à mettre la main prochainement, grâce à un brocanteur ami, sur des documents qui seraient conservés par (...) et qui pourraient nous en apprendre un peu plus.

Quoi qu’il en soit, je pense que mes messages sur Chaponnais et les linteaux peuvent utilement compléter votre documentation générale sur les manoirs du Domfrontais. Le fait est qu’une proportion importante de ceux-ci n’est pas protégée au titre des M.H. malgré leur intérêt évident. J’ai en outre constaté qu’une proportion significative de ces monuments est en état d’entretien médiocre ou pire encore. On peut craindre que, d’ici une ou deux générations, nombre d’entre eux soient très abîmés, voire aient disparu.

Cette dernière remarque coïncide avec le constat que je fais fréquemment, dans les parages de la Chaslerie, sur les difficultés qu’éprouvent nombre de propriétaires à transmettre leur bien dans leur famille. De ce point de vue, je suis privilégié, et la Chaslerie aussi, puisque nous avons la chance que mon aîné assume ce qui n’est certes pas un cadeau. Je vous dis ceci pour vous inciter à une certaine compréhension, comme je m’y efforce de mon côté, vis-à-vis de mon fils et de son souci de rendre habitable l’ « aile de la belle-mère » (écuries + colombier), à quoi je suis prêt à ajouter, par simple bon sens, la tour Louis XIII.

Comme vous le savez, Lucyna GAUTIER avait obtenu un permis de construire pour l’ « aile de la belle-mère », en ayant bâti son projet autour de la cage d’escalier qu’elle prévoyait dans l’emprise des écuries, au contact du colombier.

M. MAFFRE est, quant à lui, désireux de prévoir l’entrée de ladite aile et l’escalier correspondant au milieu de la longueur des écuries. Ceci entraîne une réaffectation en cours des volumes intérieurs, sur laquelle vous ne manquerez pas d’être saisi le moment venu.

L’étude de M. MAFFRE est basée sur ce choix. Il en résulte des modifications des maçonneries des ouvertures sur le principe desquelles je suis d’accord, ayant moi-même déjà rebouché deux ouvertures très laides et réduit une troisième tout aussi ratée sur la façade Ouest des écuries. Mais il me semblerait opportun de ne pas perdre de vue le caractère initial de maison forte de la Chaslerie. Donc je recommanderais pour ma part que les nouvelles ouvertures de la façade Ouest soient équipées, elles aussi, de grilles. Et je m’interroge – sans avoir de réponse assurée – sur la taille souhaitable des vitres des fenêtres à venir de l’ « aile de la belle-mère ».

Sur ces deux questions particulières, je lirais avec intérêt, mais avec l’ouverture d’esprit que j’ai dite, l’avis de l’inspection générale des monuments historiques.

2 - Quant à la mise en œuvre des recommandations de M. MAFFRE, je me borne ici à évoquer celles que je financerai, à savoir celles sur le logis et le bâtiment Nord, les autres devant l’être par mon aîné.

Lorsque j’ai parlé à Mme LE NOZAHIC, je lui ai dit que j’aimerais faire passer avant la fin de 2015 la restauration des menuiseries extérieures de la cage d’escalier du logis (de manière à achever rapidement le programme 2014 qui inclut les enduits intérieurs à confier à BODIN) et celles de la « pièce dévastée » (au 1er étage, au-dessus du salon) car elles sont en coma dépassé, le vent suffisant à les ouvrir avec les dégâts des eaux que vous pouvez imaginer. Mais Mme LE NOZAHIC m’a dit qu’il lui semblait trop tard pour monter, d’ici la fin de 2015, les dossiers d’autorisation et de subvention correspondants.

Je suis donc amené à recaler ma demande. C’est ainsi que je vous informe que je souhaiterais engager dans les meilleurs délais la restauration de l’ensemble des menuiseries extérieurs du logis, sans oublier les deux portes en rade du bâtiment Nord. Bien entendu, comme je suis extrêmement satisfait (aux délais près) du travail de M. MAFFRE, je compte bien le mandater pour monter les dossiers et suivre ces travaux.

Il s’agit ainsi d’un budget de l’ordre de (...) € T.T.C. que je vous prierais de bien vouloir subventionner au taux des M.H., étant entendu que je compte, si c’est encore possible, solliciter une rallonge du conseil départemental.

S’agissant de ce programme, j’émets cependant un doute sur les (...) € H.T. budgétés par M. MAFFRE pour la porte sur cour du logis. M. MAFFRE a en effet, à l’occasion de son étude, découvert qu’une double porte actuelle de l’ « aile de la belle-mère » provenait de cet endroit (voir page 30 de son étude). Mais j’observe les deux points suivants :
- d’une part, cette porte est très peu épaisse, donc pas adaptée à une façade Ouest soumise aux intempéries ;
- d’autre part, il me paraît évident, compte tenu de la fournaise de l’incendie de 1884 qui avait explosé les granits, que cette porte avait été installée là après ledit incendie ; donc ce n’est pas une relique ; et d’ailleurs je trouve son style Louis XV incongru à cet endroit.

J’espère que mon long propos vous sera utile, me tiens évidemment prêt à répondre à toutes vos questions éventuelles et vous prie d’agréer, Monsieur le conservateur régional, l’expression de mes sentiments très agréablement cordiaux.


P.S. : En ce qui concerne le « programme 2014 », Roland FORNARI, passé me voir ce matin, m’a livré les pentures des portes intérieures de l’entrée du logis, de sorte que M. BRESSON va pouvoir poser ces portes dans les prochaines semaines. De même Roland FORNARI m’a assuré qu’il poserait les grilles des fenêtres du 1er étage du logis avant la fin de l’année. C’est dire qu’il ne resterait plus, pour terminer le « programme 2014 », qu’à enduire les murs de la cage d’escalier du logis. Pour des raisons évidentes, il me paraît souhaitable que les menuiseries extérieures de ladite cage d’escalier aient été refaites avant que BODIN n’intervienne.

(fin de citation)

Je mets ce courrier en ligne ici car l'expérience montre que c'est pour moi le meilleur archivage.

Cela me donne l'occasion de me relire et je m'aperçois ainsi que j'ai oublié de fournir un autre argument important pour moi : l'année 2016 sera en effet la dernière année avant ma retraite, donc la dernière année avant une chute marquée de mes revenus ; il serait donc souhaitable que je sois mis en position d'apporter mon écot au "programme 2016" alors que c'est encore possible. Il faudra que je pense à le rappeler lors d'un prochain contact avec le conservateur régional.

Après être passé à Caen, j'ai téléphoné à M. MAFFRE pour lui dire que je comptais sur lui pour préparer rapidement la paperasse utile pour le "programme 2016". M. MAFFRE m'a répondu qu'il le ferait dès que l'inspection générale des monuments historiques se serait prononcée sur son rapport. Logique. Espérons donc qu'ils ne tardent pas trop.

De la semaine, Franck LIEGEAS n'est pas réapparu sur le chantier. Il paraît qu'il croule sous la paperasse.

Ses compagnons ont quasiment achevé la pose des ardoises :

16 octobre 2015.

Quant à moi, je continue à trouver la tabatière rachetèque. Surtout, il reste cette pierre saillante inexpliquée en altitude sur la souche de cheminée (on l'aperçoit à peine, vue de dessous, sur la photo ci-dessus) et j'imagine qu'elle donne une idée de ce qu'a pu être la couverture d'origine. Mais, dans l'immédiat, sa présence demeurera un mystère.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 26 Octobre 2015
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Bâtiment Nord - Cave
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Igor continue à enduire de chaux le mur intérieur Nord de la cave :

22 octobre 2015.

Quand la météo le permet, il poursuit la construction du 2ème petit pont :

23 octobre 2015.

Je lui ai enfin demandé de ne pas oublier de terminer la reprise de badigeon dans ma chambrette monacalo-monastique :

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

En l'absence persistante de Franck LIEGEAS, son équipe me paraît avoir marqué le pas depuis une semaine. Il est vrai qu'ils ont hissé les tuiles en haut des échafaudages...

22 octobre 2015.

... parfois avec l'aide d'Igor et du "Valtra"...

21 octobre 2015.

... parfois alors que le monte-charges faisait des siennes :

21 octobre 2015.

Ces jeunes gens m'ont demandé si j'étais d'accord sur le panachage des tuiles :

23 octobre 2015.

Le fait est que, contrairement à ce que m'avait dit Roland BOUSSIN, il y a là des tuiles de deux formats différents. Mais, puisque tel semble déjà avoir été le cas pour les écuries et sous réserve de l'opinion de M. MAFFRE, je n'ai pas émis d'objection.

Sur ces bases, le chantier s'est poursuivi tranquillement...

22 octobre 2015.

... mais semble avoir connu une accélération aujourd'hui :

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

26 octobre 2015.

Trois scies opèrent en même temps, de sorte que le chantier est actuellement très bruyant :

26 octobre 2015.

Tour du chantier ce matin...

28 octobre 2015.

28 octobre 2015.

28 octobre 2015.

28 octobre 2015.

... et re-tour du chantier cet après-midi :

28 octobre 2015.

28 octobre 2015.

Comme on le voit, les compagnons de Franck LIEGEAS (toujours absent) ont traité d'abord les arêtiers et rempliront les espaces laissés vides durant les prochains jours.

On voit également que le sciage des tuiles entraîne énormément de poussière, au point que les ardoises sont actuellement recouvertes d'une pellicule rouge.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 28 Octobre 2015
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse
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Le jeune Igor est heureux de pouvoir tailler des pierres !

28 octobre 2015.

La rambarde est presque terminée d'un côté :

28 octobre 2015.

A noter que les pierres de l'arche ont la même longueur que sur le 1er petit pont, ce qui montre que le 2ème est nettement plus imposant ; cela tient bien sûr aux dimensions des fossés qu'il s'agissait de franchir :

28 octobre 2015.

Cet après-midi, la 2ème rambarde commence à sortir des limbes :

28 octobre 2015.

Et voici où Igor en est rendu ce soir :

28 octobre 2015.

28 octobre 2015.

Un dernier exemple de son travail du jour :

28 octobre 2015.

Mon aîné se trouve quelque part entre l'Algérie et le Cameroun car il est parti vendre à quelques banques centrales des produits de son invention. Je reçois ce matin un S.M.S. où il m'écrit : "Je vois sur le site que le chantier avance bien. C'est bientôt fini à ce rythme. Merci pour les photos."

Eh oui, mon bonhomme ! Et si tu t'ennuies dans un aéroport, tu pourras toujours jeter un coup d'œil à ton téléphone portable. Car voici pour toi :

29 octobre 2015.

29 octobre 2015.

29 octobre 2015.

29 octobre 2015.

Il faudra toutefois que ces jeunes gens fassent un peu de ménage avant la dernière réunion de ce chantier avec M. MAFFRE. Je te rappelle qu'elle est programmée pour lundi prochain :

29 octobre 2015.

Je suppose que tu seras encore en vadrouille. T'en fais pas, mon bonhomme, ton vieux père te remplacera. "As usual"...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 30 Octobre 2015
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - Economie
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Je n'ai plus rendu compte des séances du FOGEFOR depuis une éternité ou presque. Or demain aura lieu la 10ème et il est grand temps que je me reprenne.

J'ai donc passé aujourd'hui plusieurs heures à scanner les quelques 163 pages de texte qui nous ont été distribuées et commentées fin avril, principalement à propos de la fiscalité des forêts, sujet touffu s'il en est.

Donc je vous donne rendez-vous au cours des prochains jours. Je vais tâcher de rattraper tout mon retard. Promis, juré, craché, cochon qui s'en dédit !

Réunion de chantier ce matin :

2 novembre 2015.

2 novembre 2015.

M. MAFFRE...

2 novembre 2015.

... était accompagné de sa nouvelle collaboratrice, Morgane COLAS :

2 novembre 2015.

2 novembre 2015.

2 novembre 2015.


J'ai profité de la venue de notre architecte favori pour lui présenter l'auge achetée à Jean LEMARIE. Il tâchera de l'intégrer au projet d'aménagement de l'aile de la belle-mère qu'il est chargé de concevoir pour mon aîné. Pour avancer dans l'élaboration de ce projet, nous avons besoin de connaître l'avis de l'inspection des monuments historiques sur l'étude de M. MAFFRE consacrée aux portes et fenêtres de la Chaslerie.

Enfin, j'ai rappelé que ma demande d'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis datait de plus de six mois.

Le terrasson Ouest est terminé :

3 novembre 2015.

Nous en sommes rendus à la repose des épis de faîtage. L'axe de fer est protégé par une couche anti-rouille...

3 novembre 2015.

... puis le corps des épis est rempli de mousse de polyuréthane (afin d'éviter que la condensation ne rouille l'axe prématurément). Enfin Thierry modèle les crêtes de chaux :

3 novembre 2015.

En redescendant, observons la disposition des tuiles sur le bas des terrassons :

3 novembre 2015.

Il ne faut pas que je laisse ma procrastination l'emporter. Lançons-nous, je mets en ligne les images de la 5ème séance du FOGEFOR dont il faut que j'arrive à rendre compte malgré la nausée que déclenche chez moi son sujet principal. J'ajouterai les commentaires ensuite, dès que j'en aurai retrouvé le courage.

P.S. : Je reprends cette corvée le 9 novembre 2015 :

Commençons par l'exposé de M. de CATHEU :

Les routes ne sont pas cadastrées ; les chemins privés sont cadastrés avec la parcelle qui les contient ; de même, la voirie forestière est considérée comme un bois.
Le sous-groupes BS (taillis sous futaie) est très nombreux.
Si une parcelle boisée est cadastrée P et non B, on paye trop d'impôts ; si elle est en L (lande), on paye moins d'impôts mais on n'aura pas d'aides.
Si un bâtiment est en S (sol), on ne paye pas le foncier non bâti.
Les chiffres 1, 2, 3, 4... entraînent une fiscalité de plus en plus basse.

L'idée importante est que le cadastre est une simple présomption.

Le numéro de parcelle primitif remonte au cadastre de 1931.

Si l'IL n'a pas été déposé en temps utile, la durée d'exonération court à compter du dépôt (parfois le fisc la réduit).
Les bois sinistrés sont les parcelles classées 99.

A ce stade de l'exposé, je me suis mis à roupiller, j'avais atteint ma dose. On sait que je venais d'apprendre qu'un permis de construire des éoliennes avait été accordé près de chez moi, de sorte que j'avais très mal dormi les nuits précédentes. On voudra bien m'excuser si mon compte rendu s'en ressent très fortement...

!

Droit de préférence, un truc important. Enfin, relativement important, n'exagérons pas. Il va donc falloir vérifier comment sont classées mes parcelles actuellement...

?

Page importante.

"Cotisation volontaire obligatoire"... "Les bordereaux ne sont pas toujours d'une clarté limpide", le contraire nous aurait étonnés.

Quelle galère !

Effectivement, pour que le bonheur soit complet, il ne manquait que ceux-là...

(A suivre)
La couverture du colombier est achevée !

6 novembre 2015.

6 novembre 2015.

Il reste à l'équipe de Franck LIEGEAS à opérer un certain nombre de reprises de couverture sur des bâtiments restaurés ici par Roland BOUSSIN.

Mais il est question de déchafauder le colombier, ce qui me gênerait puisque j'attends toujours que l'artisan contacté il y a plusieurs semaines pour le tubage de la cheminée me transmette enfin son devis.