Par corps de métier

Igor a continué de travailler sur le deuxième petit pont...

18 mai 2015.

18 mai 2015.

... jusqu'à ce que je lui demande de rejointoyer la souche de cheminée du colombier, du moins dans la partie que cachait jusque là la couverture :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

18 mai 2015.

Lorsqu'il pioche le ciment qui n'avait pas manqué d'être utilisé, il y a une bonne cinquantaine d'années, pour colmater ce conduit, les pierres se détachent. A l'intérieur du conduit, on aperçoit un vieux tube métallique, qui fut longtemps relié à une chaudière installée au rez-de-chaussée :

18 mai 2015.

Ce tube serait à remplacer par un (ou deux) tube(s) neuf(s), l'un peut-être pour une nouvelle chaudière au rez-de-chaussée, l'autre à coup sûr pour la cheminée de la chambre du 1er étage.

Il est heureux que je ne revoie pas rapidement Roland BOUSSIN car je pourrais commencer à devenir franchement désagréable :

1 - Le prétendu "parapluie" qu'il était contractuellement chargé d'installer sur le colombier n'est toujours pas suffisant et l'eau continue à pénétrer à l'intérieur de l'édifice :

18 mai 2015.

2 - Alors que Franck LIEGEAS m'avait promis son rapport pour le dernier week-end, je ne l'avais toujours pas reçu ce matin. J'ai donc téléphoné à Roland BOUSSIN et il m'a affirmé qu'il me serait expédié. Je comprends néanmoins que Roland BOUSSIN a préféré continuer à se plaindre de moi auprès de l'architecte. Le fait est qu'en ce lundi soir, ce rapport ne m'est toujours pas parvenu.

3 - Compte tenu des constats de Franck corroborés, aujourd'hui, par la dépose des chevrons sur les terrassons et le brisis Ouest, j'ai demandé aux compagnons de Roland BOUSSIN de ne pas appliquer les ordres de celui-ci de remplacer dès demain et à l'identique diverses pièces de charpente, dont les poinçons. Une nouvelle fois, Roland BOUSSIN n'a pas manqué d'aller pleurnicher téléphoniquement auprès de l'architecte.

Les indices tendant à établir que la restauration à l'identique de la charpente actuelle serait peut-être une ânerie me semblent pourtant s'accumuler, ainsi qu'en témoignent les photos du jour. (Les photos suivront, mises en ligne lors de ma prochaine insomnie)

Certes, dans cette affaire, je ne suis ni le maître d'ouvrage, qui est mon aîné, ni le maître d'œuvre, qui est M. MAFFRE. Je fais l'hypothèse qu'on admettra que je suis mu, avant tout, par l'intérêt du monument. Et par la conviction que, si on loupe une maille du tricot cette fois-ci, il est probable qu'il n'y aura pas de rattrapage possible avant 150 ans au moins. Raison de plus pour bien peser nos choix.

Or il est de fait que, malgré les assurances qu'il avait données à l'architecte, Roland BOUSSIN n'avait pas avancé la découverte suffisamment pour lui permettre, au moins selon moi, de travailler dans de bonnes conditions lors de la première réunion de chantier. Sur ces bases que je considère avoir été faussées, M. MAFFRE a certes émis de premières recommandations que Roland BOUSSIN voudrait désormais appliquer sans retard, lui qui est pourtant coutumier du fait, et pour de mauvaises raisons de surcroît.

Dans ce contexte, les observations que Franck LIEGEAS a pu faire après une journée supplémentaire de découverte, postérieure à la première réunion de chantier, et dont je ne puis croire qu'il ne les ait pas rapportées à son beau-père et associé (ni qu'il ait changé d'avis depuis lors et sans m'en prévenir d'aucune façon, mais pourquoi, d'ailleurs, aurait-il changé d'avis ?), semblent démontrer qu'appliquer sans discernement les premières orientations de l'architecte serait à tout le moins prématuré. Il doit y avoir débat, et un débat non escamoté si possible.

Les observations que l'on a pu faire aujourd'hui avec Régis confirment qu'il est urgent d'attendre la deuxième réunion de chantier, programmée pour lundi prochain, avant de décider de la suite du programme. Ceci doit, selon mon fils (avec qui je m'en suis longuement entretenu ce soir, de même qu'il a parlé à M. MAFFRE) et moi, être fait posément, sous la conduite de l'architecte et en tenant compte de tous les éléments apparus depuis la première réunion. Bien entendu, il nous paraît nécessaire que Franck LIEGEAS, en qui je fais le choix de conserver ma confiance à ce stade, participe à cette deuxième réunion.

Quant à Roland BOUSSIN, qu'il sache que le crédit que j'accorde à ses interventions est désormais en chute libre.

P.S. (du 19 février 2023) : Relisant ce message, je n'en retiens que mes regrets que Benoît MAFFRE ait empêché le débat sur la forme initiale de la charpente du colombier. Je persiste à penser qu'elle a pu être comparable à celle de la tour Louis XIII. C'est aussi ce qu'avait conclu Franck LIEGEAS lors du démontage de la couverture du colombier mais, si ma mémoire est bonne, l'architecte, toujours aussi plaisant dans ses manières, lui avait intimé l'ordre de se taire et Franck avait, à mon regret, obéi.
Je reprends la plume à 3 heures du matin. Il n'y a toujours aucun message de Franck LIEGEAS dans ma boîte aux lettres. Comme on l'a montré ici, la S.A.R.L. BOUSSIN-LIEGEAS est donc incapable de tenir parole tant :
- (1) à propos de son calendrier d'intervention - je rappelle qu'il était initialement prévu que la restauration de la charpente et de la couverture du colombier commence à la fin de l'année dernière - que :
- (2) à propos du parapluie qui était stipulé contractuellement et qui, à ce jour, ne fonctionne toujours pas convenablement, ceci malgré une première alerte relevée par mes photos du 30 avril et confirmée lors de la première visite de chantier de l'architecte, le 11 mai, et
- (3) à propos du rapport promis par Franck LIEGEAS après ses constats du 12 mai dernier.

A l'évidence, ma façon de suivre le chantier au jour le jour - bien sûr quand je suis sur place - et de mettre rapidement en ligne mes commentaires sur notre site favori (en général durant la nuit qui suit) déplaît à certains qui préféreraient qu'un témoin aussi actif soit réduit au silence. Dans l'immédiat, en me privant du rapport de Franck, promis deux fois, ceux-ci espèrent entraver ma parole.

Eh bien, c'est raté. Je vais mettre en ligne les photos que j'ai prises hier et je vais les commenter avec mon propre vocabulaire, en essayant d'être aussi clair que possible.

En fait, la charpente du colombier est composée de deux ossatures, deux sortes de cages thoraciques enchâssées l'une dans l'autre :
- une première ossature, dite par moi intérieure, belle, constituée de grosses pièces de bois bien taillées, globalement saine, y compris ses arêtiers, bien que plus ancienne que la seconde ; cette première ossature se trouve au seul niveau du 3ème étage du colombier (l'étage des lucarnes désormais démontées) ;
- une seconde ossature, dite par moi extérieure, dont les pièces principales sont souvent pourries, qui recouvre la première au niveau du 3ème étage (celui des brisis) et la complète au 4ème niveau, celui des terrassons ; les arêtiers de ce 4ème niveau sont archi-morts, de même que le poinçon Est (côté cour) ; les arêtiers de cette ossature extérieure au niveau du 3ème étage sont fluets, plaqués sur les arêtiers costauds de l'ossature intérieure auxquels ils ne sont pas parallèles puisqu'ils présentent un angle plus aigu (= fermé) avec le plan horizontal (si vous préférez, avec le plancher du 3ème niveau).

Sur la base de ce vocabulaire, voici mes propres observations, portant sur les aspects sanitaires ainsi que sur les aspects structurels de ces deux ossatures :

1) à propos de l'ossature intérieure :

- le poteau qui jouxte la souche de cheminée à son Nord est pourri extérieurement :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

- la poutre horizontale, orientée Nord-Sud mais proche du côté Est, est pourrie à son extrémité Sud :

18 mai 2015.

- la poutre horizontale qui supporte le poinçon Est est atteinte par la mérule (de même que la pièce oblique, appartenant à la 2ème ossature, qui la surmonte) en sa partie Nord :

18 mai 2015.

- les pièces de bois qui relient en leur milieu les grandes poutres Nord-Sud horizontales et les poutres Nord-Sud du cadre extérieur supérieur de la 1ère ossature sont fluettes ; un éclairage électrique y a été installé, sans doute vers 1960, en direction du plafond du 3ème niveau :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

- les pièces de bois installées sur la bissectrice des 4 angles formés par les poutres du cadre extérieur supérieur présentent des mortaises, actuellement inutiles, que Franck LIEGEAS avait, le 12 mai dernier, interprétées comme la preuve que ces pièces de bois avaient été retaillées pour les raccourcir à l'époque où l'ossature extérieure avait été installée :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

18 mai 2015.

2) à propos de l'ossature extérieure :

- sur tout son pourtour, le cadre extérieur supérieur de la 1ère ossature est doublé par des pièces de bois appartenant à la 2ème ossature ; en voici une vue du côté Nord et photographiée par en-dessus :

18 mai 2015.

- ces pièces de bois du cadre extérieur supérieur de la 2ème ossature ont été fixées à la première ossature par des clous forgés trop courts, d'où les encoches que l'on retrouve partout :

18 mai 2015.

- ce cadre de bois extérieur est pourri du côté Ouest :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

18 mai 2015.

- à mi-hauteur des arêtiers des terrassons, un petit cadre de bois destiné à soutenir des chevrons est constitué de pièces trop courtes, de sorte qu'elles flottent par rapport à ces arêtiets :

18 mai 2015.

18 mai 2015.

18 mai 2015.

18 mai 2015.

- les arêtiers supérieurs sont fluets et morts ; voici le moins moche :

18 mai 2015.

- les arêtiers inférieurs de la 2ème ossature sont plus pentus que les arêtiers de la 1ère ossature ; selon moi, ceci devrait pousser à se demander quelle était la pente de la couverture d'origine (possiblement moindre que celle des brisis de la couverture mansardée) :

18 mai 2015.

- le haut des poinçons est mort :

18 mai 2015.

Pour que mon constat soit complet, il aurait fallu que je vous parle du caractère rachetèque et que j'ai toujours trouvé incongru des pièces de bois situées aux 4 angles de la 1ère ossature et qui relient, à proximité du plancher des combles, les arêtiers de cette ossature et les blochets correspondants.

Grâce à ces photos et malgré mon vocabulaire profane, j'espère néanmoins vous avoir montré que le comportement de M. BOUSSIN est lamentable et qu'au lieu d'aller pleurnicher auprès de l'architecte, il ferait mieux de travailler enfin convenablement et sans essayer de nous forcer la main. A mes yeux, ces procédés sont minables.

J'espère aussi que les photos que je viens de mettre en ligne seront consultées par M. MAFFRE. Si tel est le cas, je pense qu'il y verra la preuve que la 2ème ossature ne suffit pas à justifier que l'on s'en tienne, sans réfléchir davantage ni en débattre au fond, au projet initial de restauration à l'identique d'une couverture mansardée.

Sur ce, il est 5 h 15 du matin, je repars me coucher car je dois faire de la route aujourd'hui et il vaudrait mieux que je ne dorme pas trop au volant.

Je relis ce matin le "Projet" de M. MAFFRE pour la restauration de la charpente et de la couverture du colombier.

Tout ce qui est écrit là me convient parfaitement, sous réserve d'un changement éventuel de programme si, de l'avis de l'architecte, les preuves de la forme ancienne de la charpente sont suffisantes.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 20 Mai 2015
Journal du chantier - Ferronnerie - Bâtiment Nord
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Hélas je suis rentré trop tard à la Chaslerie pour voir le forgeron travailler. Quand je suis arrivé, il était déjà reparti, rampe posée :

20 mai 2015.

20 mai 2015.

20 mai 2015.

20 mai 2015.

Je remarque toutefois que les têtes de vis de la lisse basse ne sont pas patinées...

20 mai 2015.

... contrairement à celles de la main courante :

20 mai 2015.

Roland, à qui je téléphone immédiatement, me confirme qu'il a préféré utiliser des vis en laiton pour la lisse basse, à cause de l'action du tanin sur le fer, mais il me promet de revenir parfaire leur patine.

Comme on le voit, il a choisi de tourner la difficulté qui l'avait arrêté avant-hier ; la lisse basse et la main courante sont interrompues au passage délicat ; de ce fait, la rampe branle un peu quand on la secoue, ce qui pourrait l'amener à tosser contre le mur de la grande chambre en soupente.

Ceci étant, le résultat me paraît tout à fait satisfaisant, et même d'une élégance de bon aloi, qui fleure bon sa manorialitude.

Ugh, j'ai dit !

Réunion de chantier ce matin. Nous étions presque au grand complet :

25 mai 2015.

Presque tous sont montés dans les échafaudages...

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

25 mai 2015.

... avant de redescendre sur le plancher des vaches :

25 mai 2015.

Résultat des courses, si je résume :

1 - ce que j'appelle l'ossature intérieure a été conçu pour supporter une couverture mansardée et non une couverture droite ; on peut imaginer que cette ossature intérieure est due à Jean MIDY, le charpentier qui avait recouvert la cave et les écuries en y laissant sa signature ;

2 - il y a eu un changement d'équipe entre la réalisation de l'ossature intérieure et celle de l'extérieure ; la seconde équipe était nettement moins habile ; l'hypothèse a été émise que Jean MIDY serait mort en cours de chantier.

Résultat des courses, si je résume le résumé :

3 - Rien ne permet, en l'état de la charpente du colombier, de reconstituer une couverture droite.

Pour moi qui pinaille, resterait pendante la question de la hauteur du jet d'eau sur la souche de cheminée ; mais cette dernière n'a dû être construite que lors de la transformation des deux étages bas du colombier en habitation (sans doute pour abriter le chapelain qui logeait jusque là dans la tour Louis XIII) ; or les linteaux des ouvertures de cette époque sont du XVIIIème. Donc, sauf à imaginer que la souche de cheminée ait été construite, dans la première moitié du XVIIIème, le long d'une couverture droite ancienne, puis que la charpente ait été changée en totalité vers 1760, il n'y a plus le moindre indice permettant d'imaginer ce qu'aurait pu être une couverture droite. L'angle de tir est donc des plus étroits et je dois m'incliner.

La restauration de la charpente et de la couverture du colombier devrait donc être poursuivie en conservant le profil mansardé que nous connaissons.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Mai 2015
Journal du chantier - Menuiserie - Ferme et son fournil
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Sébastien LEBOISNE est passé reprendre les cotes du lit à baldaquin au 2ème étage du colombier...

27 mai 2015.

... de manière à pouvoir le dupliquer pour le fournil de la ferme. En particulier, le sommier aura les mêmes dimensions, 140 x 200.

Quant à Content III, voici en définitive la taille qu'il aura, d'après l'épure grandeur nature que j'ai photographiée hier, dans l'atelier de Sébastien :

26 mai 2015.

Même réduite par rapport au dessin du 17 avril, la bête promet donc d'être impressionnante.

Igor a placé le "Valtra" de manière à ce que sa benne recueille les détritus des charpentiers :

27 mai 2015.

Régis et ses compagnons ont démonté la charpente des terrassons :

27 mai 2015.

27 mai 2015.

27 mai 2015.

Comme on le savait, le poinçon Est était particulièrement abîmé :

27 mai 2015.

27 mai 2015.

27 mai 2015.

27 mai 2015.

Ce soir, la charpente des terrassons s'est comme qui dirait volatilisée et la pose de l'entrait neuf destiné à remplacer celui, atteint par la mérule, qui soutenait le poinçon Ouest a commencé :

27 mai 2015.

Auparavant, les deux futurs entraits en question avaient subi les assauts de la mortaiseuse :

27 mai 2015.

27 mai 2015.

Le nettoyage de l'espace entre les deux sablières, l'extérieure et l'intérieure, a commencé. Ce n'est pas du luxe...

27 mai 2015.

... notamment au niveau de la lucarne Sud où il a fallu arracher quelques lattes du parquet des combles :

27 mai 2015.

Il est ainsi apparu que, malgré la présence d'aubier, notamment à cet endroit, la sablière intérieure devrait pouvoir être conservée telle quelle :

27 mai 2015.

On n'a pas manqué de retrouver là des interventions au ciment qui ont été immédiatement éliminées...

27 mai 2015.

... ainsi que, au niveau des fenêtres du 2ème étage, percées comme l'on sait vers 1960, la trace de solutions médiocres :

27 mai 2015.

Ce soir, le démontage de la moitié Nord de la sablière extérieure Ouest a commencé :

27 mai 2015.

Régis et Alexis (dit Alex) ont travaillé hier sur les deux fermes des terrassons.

En début de journée, nous avons parlé de l'aspect à donner aux pièces de bois neuves ; j'ai souhaité que disparaissent les striures des scies modernes :

28 mai 2015.

La surface des poutres a donc été passée à la brosse métallique électrique...

28 mai 2015.

... tandis que leurs angles vifs devaient être cassés et rabotés.

Régis a décidé de conserver le poinçon Ouest, en dépit de l'usure de son sommet :

28 mai 2015.

28 mai 2015.

En fin de journée, la ferme Ouest des terrassons était en place, ainsi que l'arbalétrier Ouest, seul l'entrait ayant été changé :

28 mai 2015.

28 mai 2015.

Il restera toutefois à casser et raboter les angles supérieurs des deux entraits :

28 mai 2015.

Thierry, vieux compagnon de Roland BOUSSIN (il était intervenu sur la couverture du dôme d'entrée), est en charge des travaux délicats. Sur le colombier, c'est lui qui doit restaurer les sablières.

Hier, il a fait glisser vers L'Est la moitié Ouest de la sablière Sud, de manière à refermer l'écart apparu au cours des siècles entre les deux moitiés ; le résultat est excellent :

28 mai 2015.

28 mai 2015.

28 mai 2015.

De ce fait, l'écartement des sablières Sud et Ouest, à l'angle Sud-Ouest du colombier, s'est accru mais il disparaîtra avec la prochaine greffe de ces deux pièces de bois :

28 mai 2015.

Thierry a également préparé la sablière Sud, au niveau de la lucarne, de manière à pouvoir y remplacer par une greffe les parties pourries :

28 mai 2015.

28 mai 2015.

28 mai 2015.

28 mai 2015.

28 mai 2015.

Enfin, il a reconnu le travail qui reste à accomplir sur la sablière Est, tant au niveau de la lucarne Sud-Est...

28 mai 2015.

... que de la Nord-Est :

28 mai 2015.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 29 Mai 2015
Journal du chantier - Administration - Vie du site - Entretien du site
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A ce stade, je suis très satisfait d'"Orange" qui m'a envoyé ce matin un sous-traitant pour vérifier ma ligne téléphonique et installer une nouvelle "Livebox".

29 mai 2015.

Apparemment, ma ligne internet ne saute plus, alors qu'elle le faisait de nombreuses fois chaque jour.