Par corps de métier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 21 Mars 2015
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Igor m'a téléphoné hier soir pour m'annoncer, triomphant, qu'il avait déjà attrapé 5 taupes.

J'ai demandé le détail, sachant que j'avais acheté la veille 20 pièges d'occasion à M. LECORPS.

Il paraît que 3 taupes ont été prises grâce aux 10 pièges posés avant-hier sur les conseils et sous le contrôle de notre Tartarin du bocage. Cela représente un taux de réussite de 30 %, ce qui me semble excellent.

"Et pour les 2 autres ?" ai-je demandé. Igor m'a répondu qu'il avait posé tout seul 4 autres pièges le matin-même. Donc son propre taux de réussite est de 50 % !

Je sentais bien que ce garçon était doué... Car la difficulté est moins de savoir tendre les pièges que de détecter où, parmi des myriades de taupinières, ils auront le plus de chances d'être efficaces.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 21 Mars 2015
Journal du chantier - Administration - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Au courrier ce matin :

Ainsi, alors qu'aucune information nouvelle n'est apparue dans le dossier depuis le début février, "on" découvre le 17 mars que le projet de plantation se trouve dans le périmètre d'un monument classé ou inscrit !

Soyons charitables, il vaut sans doute mieux prendre tout ça de bonne humeur...

Rappelons simplement qu'aucune demande de subvention n'a été présentée pour ce dossier.

De plus, pour planter 40 fois plus d'arbres en 1998, aucune telle autorisation n'avait été requise.

C'est à de tels détails qu'on mesure le progrès !

Plus sérieusement, je n'ai pas repris langue avec le sylviculteur qui devait procéder à ces nouvelles plantations.
Courriel adressé hier par Benoît MAFFRE à Roland BOUSSIN :

(début de citation)

Objet : 61 - Manoir de la Chaslerie - Restauration de la toiture du colombier - Début des travaux‏

Monsieur,

Je reviens vers vous pour lancer comme convenu, le démarrage des travaux cités en objet.
(Vous vous étiez engagé auprès de M. Fourcade à démarrer, après de multiples reports, mi-avril)

Pourriez-vous nous préciser la date de montage des échafaudages, le délai de montage, y compris parapluie, puis le délai de dépose de la couverture afin de programmer un premier rendez-vous pour examen des ouvrages ?

D'avance merci.

Crdt.

Benoît Maffre
Architecte du patrimoine, DPLG
Gérant
B.MAP Sarl d’Architecture
La Brosse - 7, rue des Forges – 27320 Droisy
Tel : 02 32 30 57 97 – Port : 06 08 49 19 85

(fin de citation)

N.D.L.R. : Très bien.

J'ai transmis hier à M. MAFFRE le devis que m'avait adressé, mi 2012, M. PERROTTE. Y étaient joints les dessins des châssis de fenêtres que cet excellent menuisier recommandait pour la cage d'escalier du logis ainsi que pour la "salle dévastée".

L'on voit ici, au passage (c'est l'un des nombreux intérêts de consigner, parfois laborieusement peut-être, sur notre site favori, des événements qui paraissent insignifiants à des tiers), que, de notre côté, le dossier mature depuis trois années au moins.

Ainsi, le contact est désormais établi entre l'architecte et cet artisan, avant même que les corrections de l'arrêté de subvention de l'étude préalable ne nous soient parvenues.
C'est dire que nous sommes quelques-uns dans les starting-blocks, prêts à démarrer cette étude dès que le dossier paraîtra en ordre.

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De retour à la Chaslerie, Carole s'est déchaînée...

21 mars 2015.

21 mars 2015.

21 mars 2015.

... contre les rosiers qui n'avaient qu'à bien se tenir :

21 mars 2015.

Il sera intéressant de voir s'ils résistent à ce traitement de choc qui me semble un peu tardif.

De mon côté, j'ai réglé son compte à une araignée (de chez CHISTREL, est-il besoin de le préciser ?).

P.S. et N.B. : Les faits que j'aie transformé en chantier l'ancienne cuisine du bâtiment Nord et en grenier la salle-à-manger du logis sont en revanche passés comme une lettre à la poste.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Mars 2015
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis - Bâtiment Nord
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Un message de M. BOCHET sur le répondeur ce matin m'apprend qu'il y aurait des erreurs dans ma demande de paiement de subvention du 23 décembre dernier, pour la partie qui coince à ce jour, c'est-à-dire celle relative aux parties inscrites.

Il est fort possible que je me sois trompé une nouvelle fois, tant ces décomptes sont complexes à dresser (du fait des divers taux de T.V.A. applicables ; du fait aussi que le même architecte suit l'ensemble du chantier, ses factures de visite ne distinguant évidemment pas entre les parties classées et les parties inscrites ; sans parler du traitement des travaux en régie, effectués par Igor et, à l'époque, Jonathan).

On peut cependant se demander pourquoi il aura fallu trois mois pour s'en apercevoir, alors qu'il y a un mois environ, mon interlocuteur m'avait affirmé que tout était clair pour lui et qu'il envoyait le dossier au paiement. Ne serait-il pas plus simple que je sache qui élève des objections, afin de pouvoir me les faire préciser et voir posément de quoi il retourne ? Ce jeu de cache-cache ne facilite pas les choses.

Comme on le voit, je serais prêt de mon côté à faire amende honorable le cas échéant. Mais pourquoi, en sens inverse, n'ai-je toujours pas été informé des corrections qu'appelle un courrier du 4 mars dernier alors que je les ai immédiatement sollicitées et que cela m'a été promis verbalement le 10 mars ? En attendant, la nouvelle mission de M. MAFFRE, à savoir l'étude préalable sur les châssis de portes et de fenêtres, continue à être entravée.

P.S. : M. BOCHET et moi venons de réussir à nous parler en début d'après-midi. En fait, il lui manque une facture de l'entreprise BODIN et les trois déjà réglées à l'architecte. Ces 4 documents étaient annexés à ma demande relative aux parties classées. Pensant que mes 2 demandes, celle relative aux parties inscrites et celle relative aux parties classées, seraient instruites par le même agent, je n'avais pas cru nécessaire de dupliquer ces factures. Ce sera chose faite dans les prochaines minutes.

P.S. 2 : J'ai donc envoyé la copie de ces factures à 14 h 42.
A 16 h 33, je recevais, en retour, le certificat de conformité signé de l'A.B.F., donnant son feu vert au versement de la subvention.

Cette fois-ci et pour ce dossier, on tient le bon bout ! Merci à tous !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 26 Mars 2015
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord
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Profitant d'une insomnie pour relire la lettre de la D.R.A.C. du 4 mars dernier, je relève qu'elle m'accorde une subvention pour "la restauration des menuiseries extérieures du corps de logis principal, de l'aile Nord en partie, du pavillon Louis XIII, des anciennes écuries et du pavillon du colombier du manoir de la Chaslerie à La Haute-Chapelle (étude de diagnostic)". Ouf, vous pouvez respirer mais il fallait lire la phrase jusqu'au bout ("étude de diagnostic", c'est le nouveau nom, paraît-il, de l'"étude préalable" que je souhaite confier à M. MAFFRE).

Jusqu'à cette nuit, j'avais lu trop vite et m'étais concentré sur l'expression "restauration des menuiseries extérieures" puisque ma demande portait sur l'"étude préalable à la restauration des menuiseries extérieures", expression que je m'attendais à retrouver dans ce courrier.

Donc, en l'absence de réaction de mon interlocuteur désigné, je me suis enferré à redemander - la dernière fois, hier après-midi et par écrit - quelque chose... qui m'avait déjà été accordé ! Honte à moi, je couvre mon front de cendres, Amen !

Il demeure que le taux de la subvention retenu pour cette étude, quel que soit le nom de cette dernière, est inférieur à celui qui m'avait été annoncé pas plus tard qu'au début de l'année puis confirmé verbalement voici deux semaines environ. Je cherche à comprendre plus généralement où on en est en matière de taux de subvention car la donnée sera critique pour la suite des opérations.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 26 Mars 2015
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Bernard, que j'ai réussi à joindre, m'apprend qu'avec 5 pièges, il attrape 20 taupes par saison chez son amie Francine. Bravo Bernard, j'ignorais ce talent, tu es le plus fort !

26 mars 2015, la dernière prise d'Igor, qui en est à 9 taupes ce soir.

Il ne pourra pas venir samedi aider Carole à sarcler ses plates-bandes. En revanche, il est d'accord pour faire un de ces jours une razzia parmi les ragondins signalés par Igor ; il faudra d'abord qu'il récupère son attirail, désormais stocké chez Francine bien sûr. Sacré Bernard !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 31 Mars 2015
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Je craignais de m'être de nouveau fait poser un lapin mais l'entreprise E.J.S. est présente au rendez-vous de ce matin :

31 mars 2015.

31 mars 2015.

Il paraît qu'il va leur falloir une journée et demie pour installer le circuit de chauffage électrique par le sol dans le fournil de la ferme.

31 mars 2015.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 1er Avril 2015
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Les compagnons de Freddy JARDIN sont arrivés tôt ce matin :

1er avril 2015.

1er avril 2015.

Ils ont fini de disposer sur l'isolant l'installation de chauffage électrique :

1er avril 2015.

1er avril 2015.

Il ne leur reste plus qu'à poser l'interrupteur et le thermostat.

De mon côté, je vais devoir lire la notice qu'ils m'ont laissée avant de décider quelle suite donner au chantier :
- couler la dalle sur les fils, sans attendre d'avoir installé la douche,
- ou bien commencer par la pose du bassin de la douche, afin d'éviter que la dalle ne se fissure à la suite des raccords ultérieurs ?

Il me semble que poser la question, c'est y répondre. Mais l'on sait que ce genre de notice n'est pas la littérature que je préfère :

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Avril 2015
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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Notre mécano favori, le jeune Maxime, vient de passer me voir. Son diagnostic est clair :
- aucun des tracteurs n'est entretenu convenablement ; tous ont besoin d'une vidange, la dernière remontant souvent à plusieurs années ; le système de coupe du John Deere est à remettre en état ;
- la bétonnière a passé l'hiver dehors ; elle aussi a besoin d'une vidange ;
- le matériel doit passer toutes les nuits à l'abri, même quand on s'en sert.

A transmettre à Igor, avec un bon savon mérité.

P.S. : Engueulé Igor.

Dès 9 heures du matin hier, sous une pluie battante, Benoît MAFFRE et son assistante, Florianne GRIPPON, prenaient les cotes des ouvertures de la Chaslerie afin de se mettre en mesure de commencer dès que possible leur "étude de diagnostic" sur les portes et fenêtres des bâtiments sur cour (pour dire les choses simplement). Comme on s'en doute, j'ai essayé de les photographier pour illustrer mon compte rendu en ligne. Mais il semble que mon appareil "Panasonic" ait rendu l'âme ; le fait est que je le trimballe toujours dans une poche de mon anorak, sans étui, et que la promiscuité avec des clés ne lui arrange pas le portrait ; cette fois-ci, je crois que je ne pourrai éviter de lire le mode d'emploi du successeur, un "Olympus", que je tiens prêt à prendre le relais.

A 10 heures, Roland FORNARI devait nous rejoindre pour compléter son relevé de cotes pour la rampe de l'escalier du bâtiment Nord ; je comptais profiter de l'occasion pour lui confirmer ma commande des grilles du 1er étage du logis, telle que prévue dans le "programme 2014" que l'on sait. Mais Roland n'est pas venu et n'a pas davantage téléphoné pour s'excuser. Dans l'après-midi, j'ai appelé son atelier et suis tombé sur un disque. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé de fâcheux.

Mon aîné avait débarqué jeudi soir à la gare de Flers comme je le lui avais recommandé car l'évènement important de ce vendredi était la visite de la Chaslerie par une délégation de la D.R.A.C. de Basse-Normandie et une autre du S.T.A.P. d'Alençon. J'attendais cette inspection non sans une certaine appréhension, souhaitant faire bonne figure, et la Chaslerie avec moi, sans pour autant en rabattre sur le fond de mon discours, d'un style pas toujours habituel j'en conviens, ne serait-ce qu'en raison de ce qui peut apparaître frondeur dans mon caractère. Je le dis tout de suite : tout s'est très bien passé.

Le nouveau conservateur régional des monuments historique, Philippe ROCHAS, accompagné de l'excellent Arnaud TIERCELIN, d'Emeline LE NOZAHIC (qui suivra désormais les travaux sur parties classées de la Chaslerie) et de l'A.B.F., chef du S.T.A.P. de l'Orne, Anne CHEVILLON, a visité l'ensemble des bâtiments sur cour (à l'exception du 1er étage du bâtiment Nord, celui des chambres en soupente) ainsi que la chapelle. Il est difficile pour moi de me mettre à la place de ceux qui, à cette occasion, découvraient la Chaslerie autrement qu'à travers des dossiers (à savoir Philippe ROCHAS et Emeline LE NOZAHIC) mais il me semble qu'ils n'ont pu qu'être frappés par (1) les volumes des bâtiments (la Chaslerie est beaucoup plus grande en réalité que sur les photos ; je pense que ceci tient à l'équilibre global de ses proportions qui, sur photos, est trompeur quant à l'échelle), (2) la rudesse des matériaux qui donnent leur unité à cet ensemble édifié et maintenu, voire accru, à travers des siècles, tant bien que mal (murs montés à la terre ; dégâts - heureusement réversibles - causés par une période de travaux au ciment, au milieu du XXème siècle), (3) l'importance du programme de restauration déjà réalisé depuis 24 ans, et (4) l'ampleur de ce qui reste à accomplir pour (re)donner enfin une habitabilité minimale à ces vieilles pierres.

Après la visite, nous nous sommes retrouvés dans mon bureau où j'ai montré des photos anciennes (en fait mon dossier du concours V.M.F. de 2014), après quoi nous avons évoqué les dossiers en cours - toutes les difficultés sont désormais aplanies et j'en remercie mes interlocuteurs - puis les dossiers à venir :

- fin du "programme 2014" ; j'ai expliqué pourquoi je tardais à lancer la réfection des enduits de la cage d'escalier du logis et mes arguments ont, je crois, été bien compris ;

- aménagement intérieur de l'"aile de la belle-mère" et de la tour Louis XIII ; mon aîné, l'architecte et moi avons insisté sur la problématique de l'escalier intérieur, en distinguant entre le projet (acté par un permis de construire) préparé par Lucyna GAUTIER et les réflexions en cours entre mon aîné et M. MAFFRE à propos de modifications éventuelles à ce projet ;

- restauration de l'intérieur de la moitié Nord du logis ;

- projet de restauration de l'Avenue ; la question est pour moi en délibéré car j'attends d'en savoir plus sur la possibilité de confirmer officiellement que cette Avenue est nécessaire à l'exploitation forestière de mes plantations (en clair, d'obtenir, en plus de la subvention des affaires culturelles, une subvention de la D.R.E.A.L.) ; il faudra sans doute passer par la mise au point d'un P.S.G. ("plan simple de gestion") ;

- projet de restauration du circuit des douves ; cité ici pour mémoire.

Finalement, j'ai fait découvrir "ma cantine" à notre petit groupe ; l'atmosphère était bon enfant, conviviale et sympathique et la conversation détendue.

P.S. : A noter que mon fiston a dit et répété qu'il était heureux que M. MAFFRE soit là pour me cadrer (il devait faire allusion au projet de bibliothèque). Je trouve qu'il est un peu gonflé, le bonhomme : c'est moi qui ai demandé à M. MAFFRE de le cadrer, lui. Ne pas confondre. ;-))

Voici le courrier que j'adresse à Philippe ROCHAS :

Sont jointes à ce courrier les pièces annexes suivantes :
- le formulaire rempli de demande de subvention à l'Etat pour la restauration d'un monument historique classé ;
- la convention avec l'Etat, signée par mes soins, et qui devra être revêtue de la signature du préfet de région ;
- le devis de Benoît MAFFRE avec sa note explicative ;
- une fiche sur mon identité ;
- une attestation que les travaux n'ont pas commencé ;
- une attestation que je suis en règle au regard de mes obligations fiscales et sociales ;
- un plan de financement détaillé de l'étude de diagnostic en question (à savoir 60 % par subvention de l'Etat et le solde par moi en auto-financement).

Etonnant Igor ! Parfois il m'agace car je trouve qu'il ne travaille pas assez vite. Mais il faut reconnaître qu'en 24 ans de chantier, je n'ai jamais eu de salarié aussi soigneux que lui, et de loin. Ainsi, en sarclant les plates-bandes de Carole comme elles ne l'ont jamais été...

9 avril 2015.

... il vient de déterrer des pierres qui l'intriguent. Je lui réponds qu'il y a eu là un ancien fournil, dont il ne restait plus que des vestiges irrécupérables lorsque j'ai acheté la Chaslerie ; le terrassier alors intervenu pour arracher les ronces à la pelleteuse avait dû les enfouir pour se simplifier la vie.

Comme les plans cadastraux antérieurs qui nous sont parvenus, le plan encore en vigueur avant le funeste remembrement communal des années 1990 confirme l'ancienne existence de cet édicule qui, au XVIIIème siècle, devait servir à la famille logeant dans la pièce d'habitation unique de la "cave" (sa moitié Ouest).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 9 Avril 2015
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Je confirme que le "Siporex" est un très mauvais matériau de construction, au moins pour les usages que je pensais possibles. Certes, celui qu'on a utilisé pour monter les cloisons intérieures du bâtiment Nord était fin, par souci de ne pas perdre de précieux cm2. Mais on a constaté qu'il ne présentait aucune résistance à rien et que, par voie de conséquence, il était vite constellé de micro-fissures.

Depuis quelques mois, j'en fais de nouveau l'expérience dans ma chambrette en soupente. Voici ce qu'on observe désormais entre une panne (portée par deux fermes distantes de 2 mètres environ, la cloison se trouvant à mi-distance des deux fermes) et le cadre de la porte d'accès au palier :

9 avril 2015.

De ce côté-ci de la cloison, le Siporex a été revêtu d'un grillage léger de plastique puis enduit d'un produit fixateur et enfin de chaux. De l'autre côté, là où est l'escalier, j'ai préféré que la chaux soit déposée sur du placo et il n'y a aucune fissure.

Je vais donc demander à Igor de fixer un placo sur cette face-ci également puis d'enduire ce placo de chaux. Ceci devrait suffire pour faire disparaître cette horrible fissure. Du moins je l'espère.

Maxime LEBOUTEILLER
rédigé le Vendredi 10 Avril 2015
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Bonjour Monsieur Fourcade.

J'ai commencé ce matin l'entretien sur la tondeuse John Deere. Ce n'est pas une mince affaire. En affutant les couteaux, je me suis aperçu que des roulements des paliers sont complètement morts.

10 avril 2015.

Il faut donc que je les commande demain chez Lebaudy ainsi que les roulettes de lamiers.

L'engin sera opérationnel en milieu de semaine prochaine si tout arrive en temps et en heure.

Bonne journée.

Maxime

N.D.L.R. : O.K. Merci beaucoup !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 11 Avril 2015
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord
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Dans la boîte aux lettres hier soir, un courrier du 8 avril 2015 de la D.R.A.C. m'annonçant le versement de 80,66 % de la subvention qui m'avait été allouée le 1er juillet 2014 pour la restauration des parties inscrites du "programme 2014".

Ma demande, envoyée le 23 décembre 2014, portait sur 80,70 % de cette subvention. Cette fois-ci, je m'étais donc trompé de peu dans mes calculs.

Courriel dont j'ai reçu communication hier :

(début de citation)

M. Boussin, bonjour,

Ayant bien noté que vous commenciez la semaine prochaine le montage des échafaudages, je vous confirme qu'un premier rendez-vous de chantier aura lieu le lundi 11 mai à 9h00.

Pour ce rendez-vous, il est prévu l'inspection des charpentes, lucarnes (non déposées) et arases, après mise en place du parapluie et dépose des couvertures.
Merci de préparer pour ce rendez-vous un premier bilan sanitaire des bois de charpente et les éventuels sondages des parties susceptibles d'être endommagées.

Le maître d'ouvrage fera réaliser en parallèle l'évacuation du dernier niveau et la dépose des revêtements et doublages intérieurs.

Bien cordialement.

Benoît Maffre
Architecte du patrimoine, DPLG
Gérant

B.MAP Sarl d’Architecture
La Brosse - 7, rue des Forges – 27320 Droisy
Tel : 02 32 30 57 97 – Port : 06 08 49 19 85

(fin de citation)