Par lieu

Pas le temps de mettre en ligne les photos prises ce matin. Désolé, je suis débordé.

En quelques mots :
- l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS a relevé de 15 cm, à l'aide de crics et de vérins, la quasi-totalité de la charpente des écuries (le centre, pas les extrémités qui sont solidaires de la maçonnerie ; cela a été possible en raison de la flexibilité de cette œuvre mais il faudra qu'ils reviennent pour opérer de même aux extrémités) ; elle devait achever aujourd'hui l'enlèvement des sablières et des blochets ; le caractère irrécupérable de la plupart de ces pièces de bois est confirmé ; le tenon d'une poutre verticale est cassé car il était pourri ; un faux tenon devra être greffé pour arrimer cette poutre au blochet correspondant ; les autres poutres verticales sont en bon état ;
- Igor et Jonathan commenceront demain les reprises de maçonnerie en haut des murs des écuries de manière à ce que ces derniers puissent bientôt recevoir les nouvelles sablières et les nouveaux blochets, en cours de fabrication ; l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS leur prêtera son laser ;
- puisque je suis très satisfait de l'entreprise BODIN, j'ai demandé à M. COOS de passer me voir mercredi prochain pour qu'on discute, sous le contrôle de M. RONSSERAY, A.C.M.H., de la suite des travaux que je souhaite lui confier ; il s'agira, pour l'essentiel, de la restauration d'autres granits du logis (encadrements de portes et de fenêtres ; pierre du seuil de la cour) ;

Je signale en outre que j'ai reçu ce matin la visite de Me PETITJEAN, huissier de justice, venu constater à ma demande et à toutes fins utiles (sans que cela n'ait quoi que ce soit à voir avec l'intervention en cours de l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS) l'état intérieur des écuries et du colombier. Il a pris de multiples photos, lui aussi.

Enfin, j'indique à Mr T. qu'après le démontage des sablières et de la pièce de bois formant linteau de "sa" fenêtre, il est apparu que ce dernier était en sapin (merci au Tonton que l'on sait - même pas le temps de coller le lien...-) et, surtout, qu'il n'y a qu'une hauteur possible pour le linteau de pierre qui remplacera ce truc immonde, celle que je lui ai dite au téléphone ; donc plus matière à tergiverser, il faut y aller !

Pour Mr T. spécialement, alors que ses obligations professionnelles (et autres) le retiennent à Londres, voici une photo, prise hier, de "sa" fenêtre, après que les compagnons de Roland BOUSSIN ont enlevé la sablière :

23 octobre 2013,

Comme tu le vois, mon grand, on est obligés de placer le haut du linteau de pierre sous l'arête supérieure du mur qui portera la sablière, si l'on veut que cette fenêtre ne soit pas incongrue par rapport aux volumes de cette pièce de bois et de ce mur.

En d'autres termes, cette fenêtre perdra en hauteur, à ce titre, l'équivalent d'une vitre.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Pour tailler et sculpter la résine et le granit, Sébastien est obligé de porter un masque :

23 octobre 2013, Sébastien en plein travail.

Voici ce qu'il a sous les yeux :

23 octobre 2013, entre les marches 9 et 8, un nez de marche en cours de restauration.

Observez que l'affreux pâté de ciment (visible sur la dernière photo d'un précédent message) a désormais disparu de la 9ème marche de la 4ème travée, celle sur laquelle est posé le marteau :

23 octobre 2013, plus aucune trace du pâté de ciment sur la marche 8.

Sébastien m'informe que la 4ème travée comportait 39 fissures et la 3ème, 24, sans compter les nez de marche cassés à restaurer.

Après l'intervention de l'entreprise BODIN, tout cela ne devrait être qu'un mauvais souvenir.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Après une nuit de lecture de "Grands arrêts de la jurisprudence administrative", je profite d'un moment de battement entre un T.D. et 4 heures d'amphi dans cette matière (ou presque) pour reprendre la plume.

Voici l'état, hier, de la petite ouverture de l'entrée du bâtiment Nord :

23 octobre 2013, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.

Remarquez le nouveau linteau et les tomettes posés par Igor.

Je suis conscient du fait qu'en ouvrant le fenestrou, on rasera les tomettes ; mais je me dis que l'entretien de cette niche sera plus facile.

Vous connaissez bien, désormais, l'atmosphère de l'étage sous combles des écuries :

23 octobre 2013, à l'étage des écuries.

Je vais vous montrer aujourd'hui comment s'y prennent les compagnons de Roland BOUSSIN pour soulever la charpente de 15 cm, de manière à pouvoir dégager les tenons qui immobilisaient la charpente sur les blochets.

En fait, nous prenons le train en route, alors que la charpente a déjà été translatée comme ici, sous l'effet d'un vérin pneumatique. Notez que le vérin supporte un basting chargé de soulever une ferme ; parallèlement à ce basting, un tube métallique est en position de relayer l'effort :

23 octobre 2013, vérin, basting et tube métallique.

L'exercice va consister à dégager le vérin pour y substituer un support plus stable.

1ère étape, montrée ci-dessus, on agit sur un levier relié au vérin pour pousser encore plus haut le basting, donc la charpente.

2ème étape, on visse un dispositif sur le tube pour rallonger celui-ci :

23 octobre 2013, l'allongement du tube.

A ce stade, la charpente repose sur le tube métallique ainsi rallongé, et non plus sur le basting. On peut donc retirer le vérin qui ne supporte plus rien :

23 octobre 2013, le poids porte ici sur le tube métallique.

On place ensuite des pièces de bois sous le bastings jusqu'à la bonne hauteur (ici, quelques centimètres de plus que 15, puisque telle est la longueur des tenons qu'il s'agit de dégager des blochets) :

23 octobre 2013, le basting supporté par des pièces de bois ; à ce stade, le poids de la charpente repose sur le seul tube métallique.

Puis on s'assure de la verticalité du basting, après quoi on peut dévisser le dispositif du tube métallique, ce dernier n'ayant plus de rôle majeur à jouer :

23 octobre 2013, une installation qui pourra durer tant que les nouveaux sablières et blochets n'auront pas été installés.

Sur la vingtaine de blochets retirés de la charpente, il est probable que nous ne pourrons guère en sauver. La plupart sont trop abîmés. D'ailleurs, Roland BOUSSIN m'avait prévenu qu'ils seraient tous à changer. Pour vous en convaincre, en voici quelques échantillons...

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

... et voici celui dont le tenon de raccordement, pourri, a lâché :

23 octobre 2013.

Je suis étonné de la rapidité avec laquelle Igor et Jonathan restaurent le haut des murs des écuries. A ma demande, ils privilégient l'usage de la chaux. Déjà, les deux tiers du mur Est (celui sur cour) ont été traités :

26 octobre 2013, le Nord du mur Est des écuries.

Igor est venu me montrer comment ils procèdent :

26 octobre 2013, le Sud du mur Est des écuries.

Tout cela me convient.

Côté Ouest, nous décidons, avec l'accord téléphonique de Mr T., d'abaisser, de l'équivalent d'une hauteur de vitre, le linteau de la fameuse fenêtre (comprenez qu'à droite de la photo suivante, 3 pierres vont être enlevées - donc pierre rousse comprise - le linteau devant être surmonté d'un rang de pierres étroites dont le dessus sera aligné avec le dessous des sablières, c'est-à-dire la ligne marquée au crayon) :

26 octobre 2013,

Il reste encore du ménage à faire :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouest des écuries.

Surtout, à proximité de la tour Louis XIII, il est confirmé qu'il faudra couler de la chaux à la place de la terre qui avait servi à monter le mur mais qui a été lessivée, depuis des lustres, par les eaux de ruissellement, particulièrement abondantes à cet endroit :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouesst des écuries, à proximité de la tour Louis XIII.

Lors de ma visite ce matin, j'ai oublié de compter les blochets que l'équipe de Roland BOUSSIN a laissés sur place, sans doute parce qu'ils seront réutilisables. Il m'a semblé en voir 3. Il faudra que je lui demande. J'en profiterai pour savoir quels sont les commentaires de Dominique RONSSERAY, A.C.M.H., étant entendu que mon emploi du temps beaucoup trop tendu ne devrait pas me permettre d'assister, comme je le souhaiterais, aux prochains rendez-vous de chantier.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 26 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Dans ma cellule monacale, les premiers essais de badigeon (dont 2 couches ont été passées dans la seule embrasure de la fenêtre) me laissent perplexe. La couleur correspond bien à mes attentes mais il est fâcheux que les traces des tests précédents demeurent :

26 octobre 2013, le badigeon dans la chambrette.

Attendons néanmoins que tout cela ait le temps de sécher (de toutes façons, "Point P" a besoin de dix jours pour nous approvisionner en quantité suffisante pour le reste de la pièce). Je regarderai cela de nouveau mercredi prochain.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 26 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Par les temps qui courent, il ne saurait y avoir de passage à la Chaslerie sans visite de la cage d'escalier du logis :

26 octobre 2013, le haut de la 4ème travée (marches 6 à 12).

26 octobre 2013, le bas de la 4ème travée (du palier à la marche 9, l'aspirateur étant posé sur la marche 6).

Je trouve les restaurations trop visibles sur les contremarches 10 et 11. En revanche, à la place de l'ancien pâté de ciment, je confirme que c'est nickel :

26 octobre 2013, le pâté de ciment était en plein milieu de la photo.

Bonjour Pierre-Paul,

Attention à la toiture, ça va souffler cette nuit et demain.

J'ai vu que les travaux vont bon train de tous les côtés.

Avant de passer le badigeon, un coup de papier de verre sur les essais aurait atténué les traces.

Bonne apm !

N.D.L.R. : Merci pour le conseil, je vais le dire à Igor.

Pour ce qui est de la tempête, il semble qu'elle se borne cette fois-ci à tangenter l'Orne extérieurement. A Caen, j'ai certes senti quelques bourrasques passer mais rien de dramatique à ce stade.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 30 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Vue du dessus, la 4ème travée est désormais méconnaissable, qu'on l'observe du dernier palier...

30 octobre 2013, les dernières marches de la 4ème travée.

... ou de l'avant-dernier :

30 octobre 2013, les premières marches de la 4ème travée.

Un très grand bravo à Sébastien et à l'entreprise BODIN, c'est un travail tout à fait réussi !

On va pouvoir passer à la 3ème travée, dont les nez des premières marches sont bien abîmés :

30 octobre 2013, les premières marches de la 3ème travée.

30 octobre 2013, les premières marches de la 3ème travée, photographiées sous un autre angle.

Puis il restera à traiter les dessous des travées :

30 octobre 2013, le dessous de la 4ème travée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 30 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Depuis samedi dernier, la 2ème couche de badigeon a eu le temps de sécher...

30 octobre 2013, dans la cellule monacalo-monastique.

... mais ce n'est pas encore satisfaisant.

Il faut qu'avec Igor, nous améliorions notre maîtrise de ce matériau.

Roland BOUSSIN avait omis de noter où se trouvait exactement la sablière gravée par Jean MIDY.

Grâce à mes photos de chantier...

19 octobre 2013, la sablière gravée avant son démontage.

... il m'est possible de lui répondre :

30 octobre 2013, les mêmes pierres.

On est ici au niveau de la 4ème ferme en partant de la tour Louis XIII, c'est-à-dire celle qui supportait la poutre qui a été retirée ou, si vous préférez, sensiblement à la verticale du chambranle gauche de la porte d'accès aux écuries.

Au niveau des sablières des écuries, Igor et Jonathan ont apporté la correction que je leur avais demandée :

30 octobre 2013, en haut du mur Est des écuries.

Je voulais éviter un joint trop épais.

Jonathan a démonté la fenêtre qui clochait sur le mur Ouest...

30 octobre 2013, le châssis enlevé, le haut des chambranles arasé.

... mais le linteau de pierre qu'il a sélectionné ne m'emballe pas :

30 octobre 2013, le linteau proposé par Jonathan.

J'en trouve la surface trop accidentée. On va tâcher de trouver mieux dans les parages.

La reprise des maçonneries du mur Ouest n'en est qu'à son début...

30 octobre 2013, en haut du mur Ouest des écuries.

... mais il semble d'ores et déjà acquis que Mr T. ne pourra que difficilement accéder ce week-end à sa chambre, au deuxième étage du colombier (il lui faudra commencer par gravir une échelle puis traverser le chantier du 1er étage des écuries ; autant dire que se rendre aux toilettes relèvera du parcours du combattant, surtout de nuit).

Quant à la future salle de bains, au Nord-Ouest des écuries, Igor a commencé à y faire le ménage :

30 octobre 2013, un mur lessivé à consolider et, peut-être à diminuer d'épaisseur pour élargir la future salle de bains.

Il faudra que Mr T. nous dise si on doit en profiter pour désépaissir son mur Ouest.

Enfin, j'observe que les compagnons de Roland BOUSSIN ont mis de côté la plupart des blochets démontés (on en voit un sur cette dernière photo). J'imagine qu'ils pourront toujours servir, par exemple, de pieds de lampes rustiques.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Du bon emploi de la résine dans des travaux cosmétiques sur granit :

Commencez par confectionner de petits réceptacles de pâte à modeler que vous emplissez de résine mélangée de poudre de granit pilé de la bonne teinte :

30 octobre 2013, au début de la restauration d'une marche de la 3ème travée.

Quand la résine a pris, vous pouvez la tailler comme si c'était du granit...

30 octobre 2013, suite 1.

... en utilisant les outils traditionnels des granitiers :

30 octobre 2013, les outils de Sébastien.

Il paraît que ces pointes à bout de tungstène sont désormais importées de Chine mais qu'elles sont de moins bonne qualité que la production précédente qui, j'imagine, provenait d'Allemagne.

30 octobre 2013, Sébastien au travail.

Le résultat n'a peut-être pas la bonne couleur :

30 octobre 2013, la résine taillée.

On regardera cela samedi, quand les dernières traces de pâte à modeler auront pu être dégagées.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
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Mon escalier, mon escalier outragé, mon escalier brisé, mon escalier martyrisé, mais mon escalier restauré, restauré par Sébastien, restauré par l'entreprise BODIN avec le concours de la D.R.A.C., avec l'appui et le concours de la France tout entière, c'est-à-dire de la France qui se bat, c'est-à-dire de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle !
(Applaudissements nourris)

Ainsi s'écrit (aussi) l'histoire...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 2 Novembre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Sauriez-vous dire quelle est la marche que Sébastien restaurait mercredi dernier ?

2 novembre 2013, des marches de la 3ème travée en cours de restauration.

Pour vous aider, je vous remontre les photos prises ce jour-là...

Comme vous pouvez le constater, son travail est vraiment impressionnant. Mr T. (qui étrennait de superbes grolles fourrées de mouton, visibles ci-après) n'en revenait pas :

2 novembre 2013, admirez le pied léger !

Alors, pour ma question, la langue au chat ?

C'est la marche sur laquelle ce jeune homme élégant s'apprête à poser le pied droit.

J'ai fait confiance à Jonathan pour sélectionner une bonne pierre et voici ce qu'il a rapporté :

2 novembre 2013, le second linteau choisi par Jonathan.

Et en plus, vous n'apercevez sans doute pas les fissures qui affaiblissent nécessairement ce linteau.

Conclusions :
1 - J'interromps ce travail de maçonnerie.
2 - Jonathan va, dès lundi matin, passer ce linteau au kärcher puis repartir tailler les arbres au Tertre Linot car je n'ai pas d'autre travail à lui confier.
3 - Quant à la pierre, je tâcherai d'aller rapidement en chercher d'autres moi-même et on avisera.

Peut-on désépaissir le mur Ouest des écuries au niveau d'une future salle de bains, sachant que ce mur a 70 cm de largeur et que, dès qu'il pleut, il coule beaucoup d'eau de ruissellement sous l'angle entre les écuries et la tour Louis XIII, c'est-à-dire de l'autre côté de ce mur à cet endroit ?

2 novembre 2013, l'emplacement de la future salle de bains, entre la tour Louis XIII et la première ferme.

Roland BOUSSIN, interrogé, ne voit aucun inconvénient à ce qu'on grignote 20 cm, dès lors qu'on lui ménage un coin où poser son premier blochet.

Mr T. demande que les sablières intérieures débordent de 12 cm de l'aplomb du mur, de manière à lui permettre, le moment venu, d'isoler le mur thermiquement. Roland BOUSSIN répond qu'il a réservé des pièces de bois de 20 cm de large pour confectionner les sablières intérieures, de sorte que le souhait de Mr T. ne lui pose aucun problème.

Je m'enquiers de l'isolation sur les jouées des lucarnes, à proximité de certains blochets. Roland BOUSSIN me dit que cela ne pose pas non plus de problème ; il me scannera sa proposition.

Tout cela me convient, sous réserve de l'accord de Dominique RONSSERAY, A.C.M.H.

J'ai voulu régler ce matin cette histoire de linteau qui me turlupinait.

D'abord, j'ai constaté qu'une fois passé au kärcher, il avait moins mauvaise mine :

6 novembre 2013, le linteau récuré.

Je me suis ensuite rendu à l'endroit où je savais pouvoir en trouver d'autres. Mais je n'en ai vu aucun qui, du fait de sa couleur ou de sa surface, soit manifestement plus approprié.

Restait à traiter la question des trois fissures mal placées :

6 novembre 2013, les deux fissures de droite.

6 novembre 2013, la fissure du centre.

A ce sujet, Sébastien a pu m'apporter tous apaisements. Il confirme que ces fissures sont superficielles. Surtout, il va enseigner à Jonathan comment les combler avec de la chaux teintée ; il paraît que la réparation sera très solide.

Donc basta, on garde ce linteau et on poursuit !