Par lieu

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 30 Novembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Carole revient braver le froid, ce week-end, à la Chaslerie. Quand elle découvrira l'état du salon, elle tombera à la renverse. Malgré les nouveaux planchers au premier étage et au second au-dessus de ce salon et en dépit de divers bâchages, la poussière due au piquetage du mur de refend et à son nouvel enduit s'est infiltrée partout.

Donc le programme de ce week-end sera chargé : d'abord, renettoyer les meubles du salon ; puis les redéménager dans la salle-à-manger du logis ; enfin les y rebâcher et recondamner la porte d'accès à cette pièce.

En effet, il faudra bientôt nous tenir prêts à commencer la restauration de la cage d'escalier du logis. Cela durera plusieurs mois et se traduira par beaucoup de gêne et de poussières. Pendant cette période, je ne vois pas comment je pourrai accéder à ma chambre ni à la douche attenante. Cela promet d'être joyeux, même pour un vieil ours de mon acabit !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 30 Novembre 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers
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Est-il utile que je mentionne avoir reçu ce matin un courriel de la D.R.A.C. ? Sans nouvelle de ma demande de versement d'une partie de la subvention pour la restauration du mur Ouest de la douve Nord et, accessoirement, gêné dans ma trésorerie, j'avais laissé hier un message pour m'enquérir de la situation.

On me répond qu'à ce stade de l'instruction des plus de 100 pièces du dossier, certains des justificatifs transmis ne seraient pas considérés comme relatifs auxdits travaux, notamment ceux portant sur l'outillage et le matériel. Considère-t-on qu'il aurait fallu remonter ce mur de plus de 5 mètres de hauteur sans échafaudages, sans outils ou sans le moindre engin pour déplacer 72 m3 de pierres et la colle qui va avec ? Je ne puis l'imaginer.

Mais, si l'on essaye de prendre un peu de recul par rapport à une conjoncture où l'on peut comprendre que l'Etat freine les sorties de fonds, ce courriel ne soulève-t-il pas la question de la pertinence d'un contrôle sur pièces quand le contrôle sur place était possible en permanence mais n'a pu commencer (pour des raisons étrangères au chantier, au maître d'ouvrage et au maître d'œuvre) avant le 28 juin 2012, c'est-à-dire une date où la maçonnerie était presque terminée ?

Avec toute l'empathie dont on est ici capable pour des agents de l'Etat surchargés de travail, on se dit que la suite nous l'apprendra peut-être.

Bien entendu, cet état de fait ne peut que freiner davantage des maîtres d'ouvrage qui, comme moi, envisagent de donner du travail à des ouvriers et artisans de qualité pour restaurer des constructions comme le mur d'escarpe des douves de la Chaslerie. Sans doute serait-il donc plus sage de reporter de tels travaux "sine die".

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Décembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Logis
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Atmosphère digne d'un LA TOUR sous les combles du logis...

1er décembre 2012, au-dessus de la cage d'escalier du logis.

... où le confort moderne est pourtant en train d'arriver :

1er décembre 2012, au-dessus de la

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Décembre 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Ayant un doute (mais n'étant pas sûr de moi) à propos de la découpe du placard à aménager sous le futur escalier du bâtiment Nord, j'ai recommandé à Denis DUVEAU de solliciter l'avis de Lucyna GAUTIER.

La façade du projet de placard de Denis DUVEAU.

Voici la réponse de Lucyna à Denis :

(début de citation)

En réponse à votre dessin je me demande pourquoi vous faites la référence au xve par la mouluration et partage en panneaux. Vous étais obligé de proposer des panneaux triangulaires en partie haute (!!!) pour un placard sous escalier.

Je suis plus pour mettre les planches unies et faire disparaitre optiquement quel-quanque à aménagement sous escalier. Espace est petit pas besoins de le charger en plus.

Bien sur avec accord de Monsieur Fourcade.

Cordialement

(fin de citation)

Ne pouvant à l'évidence me satisfaire d'un tel torchon, j'ai demandé à Lucyna de préciser sa pensée par un croquis. En vain.

J'ai fait réagir hier Marc CHALUFOUR sur le dessin de Denis. Il a émis des idées intéressantes. Dans l'immédiat, je demande à Denis de n'installer que l'escalier ; j'en aurai très vite besoin pour accéder à ma chambre, dès qu'on aura bâché la cage d'escalier du logis en préparation du futur chantier. Le placard attendra donc un peu.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Logis - Tour Louis XIII
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Rien de bien extraordinaire sur le chantier : sous les combles, la deuxième couche d'enduit est achevée.

4 décembre 2012.

Dans la future chaufferie, le plombier, passé ce soir, confirme qu'on ne s'est pas trompés dans l'enfouissement de ses tubes. Ouf !

M. DELTA a profité de son passage pour purger les deux seuls radiateurs en fonction à la Chaslerie (dans mon cabinet de toilettes et le dressing attenant) et pour couper l'eau dans la cage d'escalier du logis (ce qui devrait nous éviter la répétition des déboires d'il y a deux ans).

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Aile "de la belle-mère"
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Envoyé à l'instant à Lucyna GAUTIER un courriel dont j'extrais le passage suivant :

(début de citation)

Je m'inquiète de l'excessive lenteur de la mise au point de plans acceptables pour l'"aile de la belle-mère".

Je rappelle que, pour que je ne risque pas de perdre les subventions, les travaux de BOUSSIN doivent être ABSOLUMENT TERMINES en 2013. Or ils devront être précédés d'importants travaux de maçonnerie pour déplacer la cheminée.

Au moment où j'écris, je n'ai reçu communication, en tout et pour tout, que de 3 plans peu explicites et de rien d'autre.

Ces documents ne permettent aucunement de se rendre compte des questions PREALABLES AU LANCEMENT DU CHANTIER suivantes :
- l'escalier tournant est-il suffisamment bien conçu pour desservir les étages sans nécessiter des paliers biscornus ? Il faut un dessin complet, sérieux, pour pouvoir en juger !
- est-il réalisable en marches massives de chêne (à l'ancienne) compte tenu des jours dans les murs ? Ou bien faudra-t-il s'attendre à ce que des marches se cassent la figure ?
- quels travaux de charpente prévoir pour déplacer la cheminée ? Dessins détaillés nécessaires.
- quel dessin pour les lucarnes ? quels matériaux ?
- quelles autres contraintes pour la charpente et la couverture ?

Il faudra aussi prévoir rapidement l'implantation des travaux de plomberie, chauffage et électricité car cela touche au terrassement.

(fin de citation)

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Aile "de la belle-mère"
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Lucyna GAUTIER a transmis hier soir à Mr T. ses plans en vue d'améliorer l'habitabilité de l'"aile de la belle-mère". Voici, avec mes commentaires, ce que cela donne.

D'abord, le façades. La façade sur cour (que Lucyna appelle Sud alors qu'elle est orientée vers l'Est) montre qu'on conserverait les ouvertures d'Henri LEVÊQUE sur le colombier et sur ce qui correspond, au rez-de-chaussée, au salon du logement. En revanche, sur la partie la plus au Nord (à droite) de cette façade, il y aurait de petites modifications : la porte d'accès aux écuries actuelles (à la future salle-à-manger) serait en partie vitrée et complétée à gauche d'une nouvelle ouverture, bien dessinée. Au niveau de la toiture, la cheminée serait décalée vers le Nord et les lucarnes rebalancées en conséquence. Tout ceci me semble bienvenu et relativement aisé à réaliser, la principale difficulté étant de trouver le bon granit pour les deux nouvelles ouvertures.

Façade Est.

Du côté de la façade actuelle d'arrivée (orientée vers l'Ouest et non, comme indiqué sur le dessin, vers le Nord), il y aurait de nombreuses modifications :
- au rez-de-chaussée, l'horrible porte extérieure d'accès aux écuries, percée par Henri LEVÊQUE, serait supprimée et remplacée par une fenêtre assortie aux autres ;
- au niveau du 1er étage, les ouvertures actuelles dans la maçonnerie disparaitraient au profit d'ouvertures beaucoup plus discrètes dans les brisis ; cela semble une excellente idée, les ouvertures actuelles ayant été très mal réalisées par Henri LEVÊQUE et dénaturant la massivité nécessaire de cette façade.

Ces travaux seront cependant très délicats à réaliser pour ne pas rendre perceptibles, par des différences de couleur de la pierre, les interventions nécessaires en maçonnerie. Il est vraisemblable que nous devrons démonter une grande partie du parement extérieur de cette façade afin de panacher les pierres ; ce sera un gros travail.

Façade Ouest.

J'en viens aux travaux intérieurs. Autant, sur les façades, j'estime que mon avis doit être considéré comme très important et à respecter (ce que les juristes appellent un "avis conforme"), autant, pour l'intérieur, je suis hors de la "boucle décisionnelle" et n'émets qu'un "avis simple". Après tout, c'est le fiston qui paye, les travaux sont dans "sa bulle", donc c'est lui qui décide librement. Ceci dit, compte tenu de mon expérience des chantiers, ce que je dis peut avoir un petit intérêt.

Au niveau du rez-de-chaussée, le plan de Lucyna n'appelle pas de remarque particulière de ma part :
- Les pièces sont de belles dimensions.
- Il faudra déplacer la cheminée d'une travée de charpente vers le Nord, de manière à redonner au salon un bon volume après l'amputation due à la nouvelle cage d'escalier ; ceci me paraît bienvenu.
- La cuisine provisoire actuelle, au rez-de-chaussée du colombier servira de débotté et de vestiaire avec un w.-c. : excellente idée.
- La nouvelle cuisine sera intégrée à la future salle-à-manger : très bien ; il ne faudra cependant pas se tromper dans le style de cette cuisine afin de la rendre discrète dans ce volume. Elle sera complétée par une arrière-cuisine : excellent pour assourdir le bruit des machines et dissimuler une quincaillerie moderne incongrue en ces lieux.
- La porte extérieure du salon donnera accès à un palier surélevé d'une marche par rapport au salon et il faudra monter deux marches pour passer du débotté au salon (Lucyna s'est trompé, sur son dessin, à propos du sens de cette montée) ; il sera toujours nécessaire de monter puis descendre une marche pour passer de la cour au débotté.

Le rez-de-chaussée.

Au niveau du 1er étage, j'éprouve quelques hésitations. Mais rien de fondamental :
- La chambre 1 n'est guère modifiée par rapport à sa découpe actuelle ; plutôt que deux lavabos, je recommanderais un lavabo et un bidet.
- Je ne suis pas sûr que le palier de l'escalier tournant, équivalent à trois marches, soit aisé à insérer dans le dispositif ; il est vrai néanmoins que le démarrage de l'escalier à l'étage en-dessous est suffisamment... inattendu pour donner quelque flexibilité dans la réalisation.
- Il faut deux marches (au lieu d'une, actuellement) pour accéder à la chambre 1 ; il faut également 5 marches pour accéder au couloir des autres chambres. A ce stade, le progrès n'est pas flagrant par rapport au spaghetti absurde d'Henri LEVÊQUE ; il est vrai que c'est surtout au-dessus de ce niveau que les zigouigouis de l'escalier étaient ridicules. Il y a encore 4 marches pour passer du couloir aux 3 autres chambres, donc un vide sanitaire sous le plancher de ces chambres ; l'idée sous-jacente de mettre enfin ces volumes en phase avec la hauteur des lucarnes me semble très bienvenue, donc ces séries de 4 marches ne me gênent pas en tant que telles. Il faudrait toutefois examiner sur la coupe du bâtiment si le caractère mansardé de la toiture joint aux nombreux placards prévus ne donnerait pas à ces chambres des dimensions trop exigües.
- Plutôt qu'un dressing entre les chambres 2 et 3, ne vaudrait-il pas mieux prévoir une autre salle de bains ? Certes, cela poserait des problèmes d'éclairage et de ventilation, donc de dessin de la petite ouverture extérieure à prévoir, sur le terrasson sans doute, mais cela me paraît mériter d'être envisagé.
- Dans la salle de bains, toujours 2 lavabos. Bizarre. La baignoire me paraît bien courte pour de grands gaillards (il faut penser à la dégénérescence de l'espèce, 10 cm par génération si l'on veut bien ne pas interrompre une si brillante lignée...). Donc à revoir ; une solution serait de faire tourner la baignoire de 90° en piquant l'espace du lavabo du fond.
- La mezzanine a-t-elle de l'intérêt ? Bibliothèque, sans doute. Pourquoi pas ?

Le premier étage.

Au niveau du 2ème étage, l'idée est de mettre en valeur les trous de boulin. Le lit est donc absorbé pour partie par une alcôve. Les deux lavabos me choquent moins car les jeux de miroirs peuvent être traités de façon intéressante. Le palier fonctionne bien avec l'étage en-dessous.

Le deuxième étage.

Lucyna a prévu de conserver un 3ème étage de manière à disposer un bureau sous la belle charpente mansardée du colombier. Le problème est que l'escalier débouche en plein milieu du volume, ce qui peut gêner son ameublement. Il est vrai qu'il n'y aura jamais foule là-haut. Et je ne vois pas comment on pourrait utilement modifier la trémie sauf à raidir sensiblement les marches, ce qui serait casse-gueule. Il ne faudra pas se tromper dans les rampes qui devront demeurer arachnéennes.

Le troisième niveau.

Enfin, la coupe longitudinale permet de comprendre que le sol du débotté au rez-de-chaussée ne peut être relevé ; apparemment, il est même légèrement abaissé, ce qui me semble opportun. La coupe fait apparaître un vide sanitaire de 59 cm au plafond de la chambre 1 : je n'en vois pas l'intérêt ni l'usage ; à supprimer.

Coupe longitudinale.

Le point le plus préoccupant de cet ensemble de dessins est l'escalier en colimaçon. Si on prévoit, comme sur la coupe, que la structure de l'escalier portera sur une cloison en pan-de-bois, je doute fort que cela suffise à assurer la solidité de l'ensemble. Lucyna devra donc préciser très rapidement son projet sur ce point, cela me paraît indispensable en l'état du dossier.

Mr T.
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Aile "de la belle-mère"
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Pourquoi dis-tu que le départ de l'escalier est inattendu ?

Quant a moi, j'avoue être déçu par ces propositions : on part d'une situation où les bouts d'escaliers s'enchainent dans tous les sens pour recréer une situation globalement similaire.

Je ne comprends pas comment on ne peut pas retomber sur ses pattes avec l'escalier : si on fait un tour de vis en 13 marches pour accéder à la première chambre, on doit bien pouvoir faire 3/4 de tour pour accéder à la mezzanine de laquelle partiraient ensuite 5-6 marches en ligne droite, parallèles au mur côté extérieur, pour accéder a notre chambre... Ou alors je me fous dedans dans mes calculs et/ou mes projections en 3D. Je me demande dans quelle mesure il ne va pas falloir faire intervenir un escaliériste dès aujourd'hui ?

N.D.L.R. : D'abord, mon grand, je ne te félicite pas : à cette heure-ci, les enfants dorment, nom de Diou !

J'écris "inattendu" car il faut s'enfoncer dans le volume pour aller trouver la 1ère marche : ce n'est sans doute pas dramatique.

Ensuite tu me dis trouver que le progrès n'est pas flagrant par rapport aux horreurs du phénix du bocage. En réalité, le problème posé est très difficile à résoudre. Deuxio, je trouve que Lucyna ne s'en tire pas mal : c'est surtout au-dessus du plancher du 1er étage que ça clochait ; ici, c'est nettement plus rationnel.

Tu es comme moi, mon fils : lorsqu'on manque de sommeil, on voit tout en noir. Je comprends que ces plans, que tu attendais avec impatience, te turlupinent. Mais je te l'assure : ce n'est pas mauvais, prends le temps d'y repenser tranquillement.

Tu es en train de te rendre compte des premières difficultés de la restauration des vieilles pierres. Courage, c'est le métier qui entre ! Et beau dodo, le Bibo !

Kisses du Dad.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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@ Mr T. :

Si tu souhaites donner suite à ton idée de consulter un escaliéteur, ce qui ne peut effectivement pas faire de mal, je te conseillerais d'aller voir notre ami Marc CHALUFOUR. C'est lui qui a réalisé notre escalier intérieur à Paris, il a du goût et de l'expérience. Sans doute conviendrait-il de le rémunérer pour ses conseils. Je te propose de venir le rencontrer un prochain week-end chez lui, à quelques kilomètres de Briouze, à Chênedouit, à la demi-acre. En plus, la maison qu'il restaure actuellement et qui est son domicile, est très intéressante à visiter. Téléphone lui (02 33 12 71 45 ou 06 15 05 30 63). Si tu le veux bien, je t'accompagnerais.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 13 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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La dernière couche de chaux sur le mur sous les combles sera aussi douce à la vue qu'une peau de pêche. Cela me satisfait pleinement et augure très bien de la prochaine restauration de la cage d'escalier du logis.

13 décembre 2012, sous les combles du logis.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 15 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Voici la chaux déposée hier sur le mur de refend des combles :

14 décembre 2012, sous les combles du logis.

Igor et Jonathan m'assurent que cette chaux encore humide ne risque pas de geler et qu'elle s'éclaircira très nettement en séchant. En tout cas, j'aime ces formes enrobées du mur.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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La restauration du volume au-dessus de la "pièce dévastée" est enfin achevée. C'est parfait de mon point de vue. Il n'y manque que la porte. On pourra bientôt se servir de cet espace reconquis comme premier garde-meubles.

19 décembre 2012, dans le logis, sous les combles.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII
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Dans la cour, à côté de la future chaufferie, Igor et Jonathan sont en train de préparer le calepinage des pavés. L'assemblage du puzzle n'en est qu'à ses débuts.

19 décembre 2012, dans la cour.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Denis DUVEAU et deux compagnons viennent d'arriver à la Chaslerie. Il paraît qu'il va leur falloir trois jours de travail pour installer le nouvel escalier du bâtiment Nord :

19 décembre 2012, les escaliéteurs disposent leur matériel dans le bâtiment Nord.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII
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Le tri des pierres continue. Vive la jeunesse ! On devrait disposer de sensiblement plus de pierres que celles dont on aura besoin pour la future chaufferie...

19 décembre 2012, dans la cour (suite).

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Et c'est parti pour la pose de l'escalier du bâtiment Nord ! Première impression : ce sera meublant...

19 décembre 2012, dans l'entrée du bâtiment Nord.