Pour pouvoir l'écouter plus confortablement que sur mon téléphone portable et à loisir, je poste ici un exposé de Jean-François ASSELINEAU consacré au commerce mondial et que je trouve très intéressant.

(On peut sauter directement à la douzième minute des plus de deux heures d'enregistrement ; ASSELINEAU change de sujet après 1 heure 7 minutes de discours ; il est en effet à peu près aussi prolixe en paroles que je le suis en écrits, ce qui n'est pas peu dire...)

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 11 avril 2025 19:29
À : Membres du bureau de La SVAADE , C. F.

Objet : Un très fin lettré de nos amis...

... a découvert ceci :

Cela fait un moment que certains d'entre nous subodoraient quelque chose de barbare dans ce nom d'association. Ils se demandaient par exemple s'il n'y avait pas du lapon ou de l'inuit là-dessous (pauvres Lapons et pauvres Inuits ainsi maltraités, bien involontairement !) . Bref, s'il ne faudrait pas opter pour une dénomination plus simple, comme - soyons fous ! - "Les amis de la Chaslerie".

Je lis pourtant, via "Google", que "La Slovénie est fière de sa longue tradition d'hospitalité chaleureuse et d'accueil chaleureux envers ses hôtes. Cet élément culturel est profondément ancré dans la société slovène, où les habitants sont réputés pour leur amabilité et leur disponibilité à aider les visiteurs."

À votre avis, que devrions-nous conclure de tout cela ?

(Réponse à rédiger, si toutefois on en trouve le temps, entre deux essais de demandes de subventions.)

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (à 20 heures) : Une Slovène célèbre :

Mais je ne sais pas si cette info peut faciliter la réflexion.

Hier après-midi, au forum de Flers, pour un "opéra de poche" très réussi, organisé par "Les Musicales du Bocage" à partir de "Le barbier de Séville" de ROSSINI :

Hier soir, sur "la Cinq", il y avait une épreuve d'orthographe.

Avec Garance, nous avons fait les trois dictées. J'ai été agréablement surpris par l'orthographe de ma petite-fille. Il est vrai qu'elle lit beaucoup, mais pas toujours des ouvrages que je recommanderais.

Paul, lui, a décroché très vite. Il m'a appris qu'à Paris et faute de temps, il préfère se consacrer au rugby plutôt qu'aux échecs.

Aux échecs, c'est Hector qui lui a succédé lors des cours auxquels il était inscrit. Hector me montre son cahier d'exercices d'échecs, je suis étonné tant du niveau de ceux-ci que de l'intérêt que ce très jeune joueur y trouve et du soin qu'il met à y répondre.

Avec ces trois enfants, nos principaux points de désaccord portent sur la musique, ils préfèrent en effet, sous l'influence que je n'ai pas de mal à déceler, ce que j'appelle la "zimboumboum".