Un notable parisien nommé Quatremer sollicite Louis XVIII pour ajouter une particule à son nom. Réponse du roi :

- Vous pouvez en mettre une à la fin si cela vous fait plaisir.

N.D.L.R. : Ne devrais-je pas me considérer comme également visé puisque mon nom de famille est, de notoriété publique, FourcaDE ?

Si oui, "shocking, my dear !"
"Isn't it ?"

Chancelier d’Autriche, le prince de Metternich dit à un diplomate anglais :

- À Vienne, les gens du peuple parlent mieux le français que les gens cultivés de Londres.

- Votre Altesse devrait se souvenir que Napoléon n’est pas venu deux fois à Londres pour le leur enseigner…

N.D.L.R. : A ce sujet, on peut faire l'économie d'une poignée d'euros en s'abstenant d'aller voir le "Napoléon" de Ridley SCOTT.

Le cinéma n'est plus ce qu'il était. Et de beaucoup !

Vu ce soir, au ciné de Domfront, "Flo", le film sur Florence ARTHAUD. De jolies images au début, la fin est un peu plus glauque.

Le producteur de ce film est Manuel MUNZ. C'est un de mes doubles camarades X-E.N.A. d'une dizaine d'années plus jeune que moi. Je crois même qu'il était sorti major de l'X.

De beaux diplômes que nous n'avons certes pas volés. J'en parle ici parce qu'il y a deux ou trois jours, un minus local, tout juste bon à liquider des boîtes et à virer ses employés, a cru malin de me dénigrer en daubant ces diplômes. Il s'est en outre donné le ridicule de chercher à me donner des leçons de management.

P.S. (du 26 novembre 2023 à 14 heures) : Dans ce film, une scène m'a semblé ratée, celle où l'on voit des couples danser sur la terrasse ou le parterre d'un château de la famille d'Olivier de KERSAUZON, dont un cavalier en uniforme d'officier de marine et qui a gardé sa casquette sur la tête. Il se trouve que mon chemin a croisé, il y a une cinquantaine d'années, celui d'un frère du navigateur, alors lieutenant de vaisseau tandis que j'ètais aspi. Jamais, bien entendu, ce loufiat n'aurait dansé en gardant sa casquette sur la tête. Pas plus que moi d'ailleurs.

Car, comme le disait parfois mon père, qui fut officier de l'artillerie de marine (ex coloniale), "un officier mondain doit savoir baiser les mains des dames et les culs des jeunes filles". Il est vrai que, pour ce qui est des premières, je me suis toujours trouvé empoté. Nuque trop raide, sans doute. Longtemps Carole me l'a reproché.

J'en déduis - et c'est bien sûr là où je voulais en venir - que Manuel MUNZ n'a pas dû effectuer son service dans la "Royale", contrairement à moi.