Références culturelles
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 4 Février 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Samedi 4 Février 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Nature (hors géologie) - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
D'après Thierry BOURRE, il n'y a pas de contre-indication à l'élagage des chênes et des hêtres quand il gèle. Je vais donc demander à Igor et Valentin de s'y remettre, donc de conserver les travaux d'intérieur pour les jours de pluie. Il me semble que le bûcheronnage leur plaît et j'ai observé que le froid ne perturbe guère ces compatriotes de Dracula.
Hélène LEROY-PEETERS
rédigé le Vendredi 24 Février 2012
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
rédigé le Vendredi 24 Février 2012
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
Orfeu Negro... envoûtant !
Votre arrière grand-maman était-elle aussi belle ??
(pardon pour la pub au début...)
Dans notre ambiance morose, voici ce qu'il nous manque... de la couleur... chants, guitare, ciel bleu et soleil !!! Cette petite fille à la robe blanche me laisse caresser l'espoir de voir ma Julietotte dans quelques années...
N.D.L.R. : Yves CIAMPI... Il était revenu à Dakar tourner "Liberté 1", un film au milieu des baobabs de mon enfance, l'album de photos familial en conserve, chez ma mère, des images du tournage. A l'époque, mes parents m'avaient emmené voir "Qui êtes-vous, Monsieur Sorge ?", un drôle de film pour un petit garçon de dix ans à peine mais qui m'avait captivé, je m'en souviens très bien. Comme je me souviens très bien d'autres films visionnés en compagnie de mes parents à la même époque, "Normandie-Niémen" avec Marc CASSOT, "Austerlitz" avec Pierre MONDY, "La Fayette" avec Michel LE ROYER ou bien encore "Le monde du silence" du Commandant COUSTEAU... Je me rappelle aussi "Le triporteur" avec Darry COWL, projeté sur un drap de lit par nuit noire à Kayes (exactement comme dans "Tintin au Congo") et qui m'avait fait tordre de rire ou encore, bien sûr, "Mon oncle" de Jacques TATI que j'avais adoré (ce dernier, j'avais même dû le voir à Saint-Céré, au moment de sa sortie)... Que de bons souvenirs, grâce au cinéma !
Votre arrière grand-maman était-elle aussi belle ??
(pardon pour la pub au début...)
Dans notre ambiance morose, voici ce qu'il nous manque... de la couleur... chants, guitare, ciel bleu et soleil !!! Cette petite fille à la robe blanche me laisse caresser l'espoir de voir ma Julietotte dans quelques années...
N.D.L.R. : Yves CIAMPI... Il était revenu à Dakar tourner "Liberté 1", un film au milieu des baobabs de mon enfance, l'album de photos familial en conserve, chez ma mère, des images du tournage. A l'époque, mes parents m'avaient emmené voir "Qui êtes-vous, Monsieur Sorge ?", un drôle de film pour un petit garçon de dix ans à peine mais qui m'avait captivé, je m'en souviens très bien. Comme je me souviens très bien d'autres films visionnés en compagnie de mes parents à la même époque, "Normandie-Niémen" avec Marc CASSOT, "Austerlitz" avec Pierre MONDY, "La Fayette" avec Michel LE ROYER ou bien encore "Le monde du silence" du Commandant COUSTEAU... Je me rappelle aussi "Le triporteur" avec Darry COWL, projeté sur un drap de lit par nuit noire à Kayes (exactement comme dans "Tintin au Congo") et qui m'avait fait tordre de rire ou encore, bien sûr, "Mon oncle" de Jacques TATI que j'avais adoré (ce dernier, j'avais même dû le voir à Saint-Céré, au moment de sa sortie)... Que de bons souvenirs, grâce au cinéma !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII - Murs divers - Archives, histoire, documentation - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 25 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII - Murs divers - Archives, histoire, documentation - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Pour nous réchauffer malgré les intempéries, à défaut de reléguer de nouveau Igor et Valentin dans la tour Louis XIII, nous allons travailler en écoutant le 4ème concerto pour piano de Sergueï PROKOFIEV !
P.S. : Non, même en musique, il n'y a vraiment pas moyen de travailler dehors avec un temps pareil ! Je suspends donc les travaux sur le mur Ouest de la douve Nord. Repli ordonné vers la tour Louis XIII, où je comprends que les morceaux de tomettes retrouvés provenaient du 1er étage (emplacement de mon bureau actuel) et avaient été précipités là lors de l'effondrement de la charpente et de la couverture de la tour, en 1931. Le revêtement du sol du rez-de-chaussée avait alors reçu le choc, de sorte qu'une partie avait dû en être arrachée lors des déblaiements ultérieurs. Le trou avait ensuite été comblé tant bien que mal. Ainsi, tout s'éclaire !
P.S. : Non, même en musique, il n'y a vraiment pas moyen de travailler dehors avec un temps pareil ! Je suspends donc les travaux sur le mur Ouest de la douve Nord. Repli ordonné vers la tour Louis XIII, où je comprends que les morceaux de tomettes retrouvés provenaient du 1er étage (emplacement de mon bureau actuel) et avaient été précipités là lors de l'effondrement de la charpente et de la couverture de la tour, en 1931. Le revêtement du sol du rez-de-chaussée avait alors reçu le choc, de sorte qu'une partie avait dû en être arrachée lors des déblaiements ultérieurs. Le trou avait ensuite été comblé tant bien que mal. Ainsi, tout s'éclaire !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Carole et moi venons, ces derniers jours, de visiter quelques grandes demeures écossaises, dans le cadre d'un programme proposé par la Demeure Historique avec l'aide de l'Agence Mondes & Merveilles.Notre groupe comprenait une vingtaine de propriétaires de monuments historiques français et il faut reconnaître que la Normandie était bien représentée, ce qui a donné lieu à quelques échanges particuliers intéressants.Le voyage faisait la part belle aux jardins, ce qui m'avait amené à nous y inscrire en pensant à l'avenir du chantier de la Chaslerie. Nous avons foulé de magnifiques pelouses, comme celle de Dalmeny House mais, après m'être renseigné sur les travaux qu'un tel entretien nécessite, je conclus que la Chaslerie gardera durablement son herbe à vaches broyée avec tous les trèfles ou pissenlits qui y prolifèrent. Pour ce qui concerne les jardins proprement dits, les Ecossais ont placé la barre très haut comme à Scone Palace où a travaillé le jardinier qui a donné son nom au pin Douglas :Par étourderie, j'avais oublié mon appareil photo à l'hôtel, à Dundee, le jour où nous avons sans doute vu les plus beaux jardins. Voici néanmoins quelques images des autres visites : En bordure des parcs, la nature était resplendissante :Dommage que je n'aie pas photographié les campagnes parcourues en autobus (ou, pour certaines, en "Rolls de chasse" aux armes de Earlshall conduite par notre truculent hôte qui avait, pour la circonstance, laissé au garage sa Bentley des années 30 ayant concouru au Mans...) car, là-bas, on accorde aux arbres le temps de se développer et il n'y a pas, comme chez nous hélas, ces poteaux électriques dont l'anarchie enlaidit les paysages d'autant plus vite que les haies y sont abattues. J'ai remarqué au contraire de beaux murets de pierre, de longueurs impressionnantes, entre lesquels paissent les vaches d'Ecosse...... ou coulent de non moins paisibles ruisseaux :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Interlude musical pendant notre promenade en Ecosse...
Ce ne sont pas tout à fait les paysages que nous avons pu admirer puisque nous sommes restés, pour l'essentiel, entre Dundee, au bord du Firth of Tay, et Edinburgh, près du Firth of Forth.Au cours de ces trois jours, nous avons fait étape à :
1 - Hopetoun House,
2 - Monzie Castle (prononcer "Mony"),
3 - Scone Palace,
4 - Glamis Castle (prononcer "Glams"),
5 - Hill of Tarvit,
6 - Falkland Palace,
7 - Earls Hall,
8 - Saint-Andrews,
9 - Dalmeny House.
(les numéros sont ceux reportés sur le plan ci-dessus).
Bien entendu, ce périple fut l'occasion de quelques mondanités comme, à titre d'exemples, un thé à Glamis Castle chez Michaël Fergus, 18ème Comte de Strathmore and Kinghorne, petit-neveu de la Reine Mère (mais absent)...... un déjeuner dans une cuisine de Scone Palace...... un autre thé (mais toujours pas de whisky) à Dalmeny House...... où la 7ème Comtesse Rosebery nous a fait les honneurs de son salon Rothschild...... en toute simplicité puisque son corgi nous observait placidement, allongé en plein centre d'un tapis de la Savonnerie : Quant à moi - vous me connaissez, donc n'en serez pas surpris - devant une telle munificence, je ne manquai pas de garder une réserve de bon aloi :
Ce ne sont pas tout à fait les paysages que nous avons pu admirer puisque nous sommes restés, pour l'essentiel, entre Dundee, au bord du Firth of Tay, et Edinburgh, près du Firth of Forth.Au cours de ces trois jours, nous avons fait étape à :
1 - Hopetoun House,
2 - Monzie Castle (prononcer "Mony"),
3 - Scone Palace,
4 - Glamis Castle (prononcer "Glams"),
5 - Hill of Tarvit,
6 - Falkland Palace,
7 - Earls Hall,
8 - Saint-Andrews,
9 - Dalmeny House.
(les numéros sont ceux reportés sur le plan ci-dessus).
Bien entendu, ce périple fut l'occasion de quelques mondanités comme, à titre d'exemples, un thé à Glamis Castle chez Michaël Fergus, 18ème Comte de Strathmore and Kinghorne, petit-neveu de la Reine Mère (mais absent)...... un déjeuner dans une cuisine de Scone Palace...... un autre thé (mais toujours pas de whisky) à Dalmeny House...... où la 7ème Comtesse Rosebery nous a fait les honneurs de son salon Rothschild...... en toute simplicité puisque son corgi nous observait placidement, allongé en plein centre d'un tapis de la Savonnerie : Quant à moi - vous me connaissez, donc n'en serez pas surpris - devant une telle munificence, je ne manquai pas de garder une réserve de bon aloi :
Hélène LEROY-PEETERS
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
"L'oeuvre d'art doit trouver en soi sa suffisance, sa fin et sa raison parfaite."
André Gide
Merci de nous faire partager ce séjour en Ecosse avec votre plume ; pour avoir parcouru cette magnifique campagne dans les hauts lieux des Haras, je partage tout à fait vos commentaires ; les Britanniques ont un tel respect de la nature, des animaux, qu'ils nous font réfléchir sur certaines de nos "façons de faire"...
Many thanks !
N.D.L.R. : Attendez de voir comment ils se laissent portraiturer dans leurs demeures et vous m'en direz des nouvelles...
André Gide
Merci de nous faire partager ce séjour en Ecosse avec votre plume ; pour avoir parcouru cette magnifique campagne dans les hauts lieux des Haras, je partage tout à fait vos commentaires ; les Britanniques ont un tel respect de la nature, des animaux, qu'ils nous font réfléchir sur certaines de nos "façons de faire"...
Many thanks !
N.D.L.R. : Attendez de voir comment ils se laissent portraiturer dans leurs demeures et vous m'en direz des nouvelles...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 31 Mai 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Pendant que Bernard coupe les herbes au pied des murs...... regardez bien au milieu de la photo...
Vous ne voyez rien ? Alors j'agrandis :Comme chaque fois que je m'apprête à le prendre en photo torse nu, Igor s'empresse de remettre son polo : en voilà encore un qui n'est toujours pas disposé à suivre l'exemple de Patrick, 3ème Comte de Strathmore et Kinghorne (donc ancêtre de S.M. la Reine Elizabeth II, du côté Bowes Lyon) !
Vous ne voyez rien ? Alors j'agrandis :Comme chaque fois que je m'apprête à le prendre en photo torse nu, Igor s'empresse de remettre son polo : en voilà encore un qui n'est toujours pas disposé à suivre l'exemple de Patrick, 3ème Comte de Strathmore et Kinghorne (donc ancêtre de S.M. la Reine Elizabeth II, du côté Bowes Lyon) !
Guy HEDOUIN
rédigé le Vendredi 1er Juin 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 1er Juin 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Bonjour,
Voyons si vous avez de l'humour, ôtez la veste, retroussez vos manches et mettez des bottes, cela sera plus crédible. On dirait un parisien en week-end.
Quand aux planches, méfiez-vous quand même, elles peuvent être traitées à la créosote.
Bonne journée !
N.D.L.R. : Encore un qui voudrait que je me transforme en Comte écossais, on dirait ! Je ne savais pas que j'avais tant de petits canailloux dans mon fan club ! (Car je n'ai pas "validé" certains messages, vous vous en doutez...).
Dans l'article de Wikipedia auquel vous renvoyez, il est question d'un certain Béchamp qui se trouve être un ancêtre de Carole, du côté de sa mère. Il va donc falloir que je fasse un effort pour lire ce sabir...
Sébastien LEBOISNE m'affirme toutefois que ses planches ne sont pas traitées comme les traverses de chemin de fer. Donc pas de difficulté et d'autant moins que, vérification faite, elles n'ont pas la bonne largeur pour être réemployées à la Chaslerie. Donc le débat - if any - est clos.
Voyons si vous avez de l'humour, ôtez la veste, retroussez vos manches et mettez des bottes, cela sera plus crédible. On dirait un parisien en week-end.
Quand aux planches, méfiez-vous quand même, elles peuvent être traitées à la créosote.
Bonne journée !
N.D.L.R. : Encore un qui voudrait que je me transforme en Comte écossais, on dirait ! Je ne savais pas que j'avais tant de petits canailloux dans mon fan club ! (Car je n'ai pas "validé" certains messages, vous vous en doutez...).
Dans l'article de Wikipedia auquel vous renvoyez, il est question d'un certain Béchamp qui se trouve être un ancêtre de Carole, du côté de sa mère. Il va donc falloir que je fasse un effort pour lire ce sabir...
Sébastien LEBOISNE m'affirme toutefois que ses planches ne sont pas traitées comme les traverses de chemin de fer. Donc pas de difficulté et d'autant moins que, vérification faite, elles n'ont pas la bonne largeur pour être réemployées à la Chaslerie. Donc le débat - if any - est clos.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 2 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Samedi 2 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Voici, en vrac, quelques photos de belles pièces ou de beaux objets photographiés lors de notre récente promenade en Ecosse :
- la salle à manger de Hopetoun House où nous a guidés l'actuelle Comtesse Hopetoun... ... ou bien celle de Scone Palace avec, sur le mur, une magnifique collection d'ivoires du 17ème siècle, rassemblée là par le 4ème Comte Mansfield...... ou encore la très belle nef d'argent offerte par leurs fermiers (!) aux parents de la Reine Mère, les 13èmes Comte et Comtesse de Strathmore et Kinghorne, et qui orne désormais le centre de la table de salle à manger de Glamis Castle : - le salon de Glamis Castle où l'on peut s'asseoir à l'intérieur de l'impressionnante cheminée et où vous pourrez reconnaître, exposé sur le mur du fond, un autre portrait, celui-ci en groupe et peint par Jacob de Wet, de l'ancêtre local qui appréciait tant les tenues légères : - toujours à Glamis Castle, le billard où jouer des parties de snooker endiablées... ... sous un très beau marché aux fruits de Frans Snyders :- et encore à Glamis Castle (désolé de ne pas montrer de photos des autres demeures visitées mais l'on sait que, le lendemain, j'avais oublié l'appareil à l'hôtel...), le boudoir de la Reine Mère, au confort souple et à l'élégance toute britannique :
- la salle à manger de Hopetoun House où nous a guidés l'actuelle Comtesse Hopetoun... ... ou bien celle de Scone Palace avec, sur le mur, une magnifique collection d'ivoires du 17ème siècle, rassemblée là par le 4ème Comte Mansfield...... ou encore la très belle nef d'argent offerte par leurs fermiers (!) aux parents de la Reine Mère, les 13èmes Comte et Comtesse de Strathmore et Kinghorne, et qui orne désormais le centre de la table de salle à manger de Glamis Castle : - le salon de Glamis Castle où l'on peut s'asseoir à l'intérieur de l'impressionnante cheminée et où vous pourrez reconnaître, exposé sur le mur du fond, un autre portrait, celui-ci en groupe et peint par Jacob de Wet, de l'ancêtre local qui appréciait tant les tenues légères : - toujours à Glamis Castle, le billard où jouer des parties de snooker endiablées... ... sous un très beau marché aux fruits de Frans Snyders :- et encore à Glamis Castle (désolé de ne pas montrer de photos des autres demeures visitées mais l'on sait que, le lendemain, j'avais oublié l'appareil à l'hôtel...), le boudoir de la Reine Mère, au confort souple et à l'élégance toute britannique :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles
rédigé le Lundi 4 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles
Dans un prochain message, je tâcherai de mettre en perspective les enseignements de notre récent périple en Ecosse, vus de la Chaslerie. Mais, auparavant, je voudrais montrer quelques-uns des meubles ou objets, souvent Haute Epoque, qui m'ont plus particulièrement intéressé et à propos desquels je me dis que, si j'en avais les moyens, je les verrais bien dans notre manoir bas-normand préféré...Ici, c'était le cas, surtout à Earls Hall et à Falkland Palace. Manque de chance, le jour où nous avons visité ces demeures, je ne m'étais pas muni de mon appareil photo et suis donc réduit à scanner quelques images des livrets correspondants vendus aux touristes. Mon reportage en sera réduit d'autant en attendant que, peut-être, des échanges entre participants de notre groupe de voyage me permettent de compléter ce message.
A Earls Hall, j'ai remarqué le système de séparation en deux d'une grande pièce, un travail de menuiserie qui aurait sa place dans la pièce du 1er étage du logis de la Chaslerie (là où nous en sommes à peine à changer des planches au sol) : A Glamis Palace, j'ai observé cette crédence...... ou cet ensemble de cadrans solaires (que je n'ai pas dénombrés mais il y en a là une centaine, notamment sur le volume géométrique du haut) :D'une façon générale et à mon habitude, j'ai été impressionné par les lits à baldaquin dont le plus beau, selon moi, daté de 1618, orne la chambre du "keeper" de Falkland Palace... ... mais, compte tenu du délicat problème de rideaux que j'ai à résoudre à la Chaslerie, je me suis attaché à scruter les tringles et passementeries de tous les lits à baldaquin découverts en Ecosse. C'est ainsi qu'à Glamis Castle, décorant le ciel de lit brodé par la 14ème Comtesse de Strathmore... ... j'ai pu lire les prénoms et les dates de naissance de chacun de ses dix enfants, dont celui de la 9ème, Elizabeth, née en 1900 et future Reine Mère :Enfin, j'ai également souhaité garder le souvenir d'autres objets ou façons de faire comme, à Glamis Castle toujours, cette lanterne, compte tenu de ma commande à Roland FORNARI d'en réaliser deux pour flanquer l'entrée du logis de la Chaslerie (nous avons d'ailleurs un problème d'alimentation en électricité et je constate qu'on n'a pas su le résoudre dans le cas de ce château puisque le fil électrique y est très visible)...... ou bien ce pont de bois sur une solide armature métallique (je caresse le projet d'en rétablir un pour franchir le canal d'arrivée de l'eau dans les douves de la Chaslerie)... ... ou bien encore cette façon de tailler les hêtres :
A Earls Hall, j'ai remarqué le système de séparation en deux d'une grande pièce, un travail de menuiserie qui aurait sa place dans la pièce du 1er étage du logis de la Chaslerie (là où nous en sommes à peine à changer des planches au sol) : A Glamis Palace, j'ai observé cette crédence...... ou cet ensemble de cadrans solaires (que je n'ai pas dénombrés mais il y en a là une centaine, notamment sur le volume géométrique du haut) :D'une façon générale et à mon habitude, j'ai été impressionné par les lits à baldaquin dont le plus beau, selon moi, daté de 1618, orne la chambre du "keeper" de Falkland Palace... ... mais, compte tenu du délicat problème de rideaux que j'ai à résoudre à la Chaslerie, je me suis attaché à scruter les tringles et passementeries de tous les lits à baldaquin découverts en Ecosse. C'est ainsi qu'à Glamis Castle, décorant le ciel de lit brodé par la 14ème Comtesse de Strathmore... ... j'ai pu lire les prénoms et les dates de naissance de chacun de ses dix enfants, dont celui de la 9ème, Elizabeth, née en 1900 et future Reine Mère :Enfin, j'ai également souhaité garder le souvenir d'autres objets ou façons de faire comme, à Glamis Castle toujours, cette lanterne, compte tenu de ma commande à Roland FORNARI d'en réaliser deux pour flanquer l'entrée du logis de la Chaslerie (nous avons d'ailleurs un problème d'alimentation en électricité et je constate qu'on n'a pas su le résoudre dans le cas de ce château puisque le fil électrique y est très visible)...... ou bien ce pont de bois sur une solide armature métallique (je caresse le projet d'en rétablir un pour franchir le canal d'arrivée de l'eau dans les douves de la Chaslerie)... ... ou bien encore cette façon de tailler les hêtres :
C. FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Juin 2012
Journal du chantier - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 8 Juin 2012
Journal du chantier - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
"Love what you have. Do what you can. Be who you are." - Author Unknown
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Vendredi 8 Juin 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
J'avais promis que je tirerais quelques enseignements d'ordre général à la suite de notre récent voyage en Ecosse. C'était bien présomptueux de ma part. Je ne devrais jamais me laisser aller à de telles anticipations (Dominique LEMAIRE en sait quelque chose puisque je n'ai toujours pas rédigé mon article pour "Libres Feuillets"...).
Je retiens cependant de ce séjour deux ou trois idées principales.
La première est que, pour entretenir ou restaurer des monuments historiques, beaucoup dépend de la qualité de l'artisanat d'art. En Ecosse, le mouvement "Arts & Crafts" a permis, à une époque qui s'éloigne, de tirer parti d'un vivier d'artisans d'élite. J'ai ainsi été frappé par les ferronneries que j'ai admirées, notamment dans les cheminées, ou par la qualité exceptionnelle des portes intérieures des propriétés visitées, généralement en acajou massif et impeccable, avec des charnières d'une précision digne d'une Rolls (les poignées m'ont cependant paru moins bluffantes). Dans la partie de l'Ecosse que nous avons visitée, nous avons croisé à de multiples occasions (en particulier à Monzie Castle, Hill of Tarvit ou Earls Hall) la trace de Sir Robert LORIMER, un architecte qui marqua son époque avec sa manière reconnaissable.
Seconde idée que je n'ai pas vraiment creusée, il n'y a rien de tel que le droit d'aînesse pour permettre le maintien de l'intégrité de propriétés immenses. Qu'on y songe : la superficie des domaines visités en Ecosse était de 6 500 acres à Hopetoun House, 4 038 acres à Monzie Castle, 33 000 acres à Scone Palace, 14 000 acres à Glamis Castle, 279 acres à Hill of Tarwill et 160 acres à Earlshall. Sachant qu'un hectare de chez nous a la même surface que 2,5 acres écossaises, je vous laisse calculer... Non, j'ai pitié de vous ! Donc, à Monzie Castle, un château moins beau extérieurement que la Chaslerie mais dont les bâtiments ont une taille comparable, le domaine est 27 fois plus vaste qu'ici ; à Scone Palace, un monument historique d'importance nationale mais d'aspect extérieur quelconque, il l'est 220 fois ! On comprend donc pourquoi, à Glamis Castle, cher à la Reine Mère, un cadeau des fermiers à leurs bailleurs, en l'occurence ses père et mère, a pu être une nef d'argent ; malheureusement, ce ne sera pas demain la veille à la Chaslerie, et le G.A.E.C. du Nord n'y est pour rien... Il est évident qu'avec des hinterlands pareils, on peut chasser la grouse en toute quiétude.A titre accessoire puisque la problématique est différente en France, j'avoue ne pas avoir saisi les finesses comparatives de la détention de châteaux en Ecosse, selon qu'elle est directe ou par le biais du "National Trust", du "Scottish Trust" ou même de "charities" (comme j'ai cru comprendre que c'était le cas chez les descendants de Nathan Meyer ROTHSCHILD, le fondateur initié de la branche anglaise...).
P.S. : Pour la petite histoire, Lord Rosebery, le 5ème Comte du nom, un propriétaire de Dalmeny House, s'était lancé trois défis : gagner le Derby (d'Epsom, "of course"), épouser une héritière et être Premier Ministre ; il les a relevés tous les trois, le premier deux ou trois fois, le second grâce à une Hannah ROTHSCHILD qui n'était certes pas un grand prix de beauté mais a eu l'élégance de mourir tôt, le troisième en succédant à GLADSTONE (mais internet laisse entendre que la fin de sa carrière fut un peu moins glorieuse).
De tels défis seraient bien entendu autant de non-sens pour un propriétaire français contemporain de monument historique, sans vouloir citer personne. CQFD.
Je retiens cependant de ce séjour deux ou trois idées principales.
La première est que, pour entretenir ou restaurer des monuments historiques, beaucoup dépend de la qualité de l'artisanat d'art. En Ecosse, le mouvement "Arts & Crafts" a permis, à une époque qui s'éloigne, de tirer parti d'un vivier d'artisans d'élite. J'ai ainsi été frappé par les ferronneries que j'ai admirées, notamment dans les cheminées, ou par la qualité exceptionnelle des portes intérieures des propriétés visitées, généralement en acajou massif et impeccable, avec des charnières d'une précision digne d'une Rolls (les poignées m'ont cependant paru moins bluffantes). Dans la partie de l'Ecosse que nous avons visitée, nous avons croisé à de multiples occasions (en particulier à Monzie Castle, Hill of Tarvit ou Earls Hall) la trace de Sir Robert LORIMER, un architecte qui marqua son époque avec sa manière reconnaissable.
Seconde idée que je n'ai pas vraiment creusée, il n'y a rien de tel que le droit d'aînesse pour permettre le maintien de l'intégrité de propriétés immenses. Qu'on y songe : la superficie des domaines visités en Ecosse était de 6 500 acres à Hopetoun House, 4 038 acres à Monzie Castle, 33 000 acres à Scone Palace, 14 000 acres à Glamis Castle, 279 acres à Hill of Tarwill et 160 acres à Earlshall. Sachant qu'un hectare de chez nous a la même surface que 2,5 acres écossaises, je vous laisse calculer... Non, j'ai pitié de vous ! Donc, à Monzie Castle, un château moins beau extérieurement que la Chaslerie mais dont les bâtiments ont une taille comparable, le domaine est 27 fois plus vaste qu'ici ; à Scone Palace, un monument historique d'importance nationale mais d'aspect extérieur quelconque, il l'est 220 fois ! On comprend donc pourquoi, à Glamis Castle, cher à la Reine Mère, un cadeau des fermiers à leurs bailleurs, en l'occurence ses père et mère, a pu être une nef d'argent ; malheureusement, ce ne sera pas demain la veille à la Chaslerie, et le G.A.E.C. du Nord n'y est pour rien... Il est évident qu'avec des hinterlands pareils, on peut chasser la grouse en toute quiétude.A titre accessoire puisque la problématique est différente en France, j'avoue ne pas avoir saisi les finesses comparatives de la détention de châteaux en Ecosse, selon qu'elle est directe ou par le biais du "National Trust", du "Scottish Trust" ou même de "charities" (comme j'ai cru comprendre que c'était le cas chez les descendants de Nathan Meyer ROTHSCHILD, le fondateur initié de la branche anglaise...).
P.S. : Pour la petite histoire, Lord Rosebery, le 5ème Comte du nom, un propriétaire de Dalmeny House, s'était lancé trois défis : gagner le Derby (d'Epsom, "of course"), épouser une héritière et être Premier Ministre ; il les a relevés tous les trois, le premier deux ou trois fois, le second grâce à une Hannah ROTHSCHILD qui n'était certes pas un grand prix de beauté mais a eu l'élégance de mourir tôt, le troisième en succédant à GLADSTONE (mais internet laisse entendre que la fin de sa carrière fut un peu moins glorieuse).
De tels défis seraient bien entendu autant de non-sens pour un propriétaire français contemporain de monument historique, sans vouloir citer personne. CQFD.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 18 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Lundi 18 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Nous voici enfin arrivés au niveau de la collerette de pierres sur laquelle sera édifié le dos-d'âne prévu. Cette collerette sera à 75 cm au moins au-dessus du sol, après l'ultime terrassement.Il me semble donc que nous devrions en avoir fini avec ce chantier pour le 14 juillet, comme escompté.
P.S. : Je trouve que les couleurs et la perspective tourmentée de la photo ci-dessus sont dignes du Gréco... Mazette, quel photographe je fais !
P.S. : Je trouve que les couleurs et la perspective tourmentée de la photo ci-dessus sont dignes du Gréco... Mazette, quel photographe je fais !
Hélène LEROY-PEETERS
rédigé le Samedi 23 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Samedi 23 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
P.S. : Est-ce que le Nil va arriver jusqu'au Pournouët ??
N.D.L.R. : Insortable... et déchaînée !
Mais vous n'avez peut-être pas complètement tort, comme le montre cette photo où notre présidente préférée, Marie-Annick de SAINT-MELOIR, telle le Cheik Abdel RAZEK du "Mystère de la grande pyramide", semble proclamer : "Par Horus, demeure !"
N.D.L.R. : Insortable... et déchaînée !
Mais vous n'avez peut-être pas complètement tort, comme le montre cette photo où notre présidente préférée, Marie-Annick de SAINT-MELOIR, telle le Cheik Abdel RAZEK du "Mystère de la grande pyramide", semble proclamer : "Par Horus, demeure !"
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 3 Juillet 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 3 Juillet 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Nul besoin de chanter "Bambino" à Igor pour qu'il gratte, gratte...Ce soir, en compagnie de Jonathan, il brosse toujours les joints du parement Est de notre fameux mur :Comme on l'aperçoit peut-être, il ne restera bientôt, de ce côté-ci, qu'à jointoyer les sorties des chantepleures. Ce ne sera pas le plus facile car les drainages marchent du feu de Dieu (n'en déplaise à notre Saxon sceptique favori...).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 5 Juillet 2012
Journal du chantier - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 5 Juillet 2012
Journal du chantier - Terrassement - Abords, Avenue, terrasse - Murs divers - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Un fois son terrassement terminé en fond de douve...... tel FITZCARRALDO, Igor a entrepris de gravir la montagne avec son engin interplanétaire...Il a cependant fallu que Bernard vienne le secourir et le tracter à l'aide du Valtra :On peut se demander si l'herbe repoussera en fond de douve après le passage de ce jeune homme mais la réponse ne fait bien sûr aucun doute.En tout cas, Igor a vite repris son poste en haut des douves pour pelleter encore.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 16 Juillet 2012
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Lundi 16 Juillet 2012
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
Ils sont arrivés par l'Avenue...... emmenés par le père de Jonathan (du ranch de la Foucaudière à Domfront)...... Ils ont juste pris le temps de poser devant le manoir...... et ils sont repartis vers la Fosse Arhour puis le Mont Saint-Michel où ils arriveront au terme de leur périple de 4 jours.Si vous désirez participer à une prochaine promenade à cheval, cliquez ici !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 19 Juillet 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Jeudi 19 Juillet 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Dans le numéro de sa revue de juin 2012 que je viens de recevoir, la "Demeure Historique" rend compte de notre voyage en Ecosse, du 25 au 28 mai dernier. J'y retrouve la photo des participants...... où l'on peut mesurer, sur le perron de Glamis Castle, le nombre et la qualité du contingent bas-normand :
- M. Jacques BOUDET et son épouse (Le Champ-de-la-Pierre), devant le pilastre gauche,
- M. Patrick DUMOUSSET, délégué régional des V.M.F., au milieu de la porte, et son épouse, en pantalon rouge au 1er plan,
- Mme LELEGARD (Pirou et la Lucerne), devant le pilastre droit,
- M. et Mme Philippe LEMOINE-BOUCAUD (Rabodanges), à droite de la photo, juste à côté de l'Ecossais en kilt,
- et, bien sûr, vos serviteurs, à côté du pilastre droit.
L'article montre également la comtesse HOPE en train de nous faire visiter son château de Hopetoun :Enfin, il me rappelle le nom du truculent propriétaire d'Earlshall, M. Paul VEENHUIJZNEN...... ce qui me permet, en naviguant sur le net, de trouver quelques photos de sa superbe propriété :
- M. Jacques BOUDET et son épouse (Le Champ-de-la-Pierre), devant le pilastre gauche,
- M. Patrick DUMOUSSET, délégué régional des V.M.F., au milieu de la porte, et son épouse, en pantalon rouge au 1er plan,
- Mme LELEGARD (Pirou et la Lucerne), devant le pilastre droit,
- M. et Mme Philippe LEMOINE-BOUCAUD (Rabodanges), à droite de la photo, juste à côté de l'Ecossais en kilt,
- et, bien sûr, vos serviteurs, à côté du pilastre droit.
L'article montre également la comtesse HOPE en train de nous faire visiter son château de Hopetoun :Enfin, il me rappelle le nom du truculent propriétaire d'Earlshall, M. Paul VEENHUIJZNEN...... ce qui me permet, en naviguant sur le net, de trouver quelques photos de sa superbe propriété :
Guy HEDOUIN
rédigé le Vendredi 20 Juillet 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
rédigé le Vendredi 20 Juillet 2012
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
Bonjour,
Je vous joins une réponse de M. de Mons.
"Bonsoir,
Il pourrait bien s'agir de la famille de Crouy-Chanel qui a des liens avec le Maine et qui se fait appeler "comte de Crouy-Chanel de Hongrie". Il m'a semblé lire le mot Hongrie dans la devise. Des notices existent sur cette famille sur internet et dans les dictionnaires généalogiques.
Cordialement.
Léonor de Mons"
On attend la suite du feuilleton de votre côté.
Bonne journée !
N.D.L.R. : Ainsi, votre "expert" confond "HONORE" et "HONGRIE". Etonnant, non ? (On ne s'en lasse pas.)
Je vous joins une réponse de M. de Mons.
"Bonsoir,
Il pourrait bien s'agir de la famille de Crouy-Chanel qui a des liens avec le Maine et qui se fait appeler "comte de Crouy-Chanel de Hongrie". Il m'a semblé lire le mot Hongrie dans la devise. Des notices existent sur cette famille sur internet et dans les dictionnaires généalogiques.
Cordialement.
Léonor de Mons"
On attend la suite du feuilleton de votre côté.
Bonne journée !
N.D.L.R. : Ainsi, votre "expert" confond "HONORE" et "HONGRIE". Etonnant, non ? (On ne s'en lasse pas.)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 2 Aout 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Cave - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 2 Aout 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Cave - Météo - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
En ce début de soirée et entre deux ondées, promenade du côté de la cave dont l'appentis a, depuis plusieurs jours, revêtu sa livrée de torchis :