Références culturelles

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 2 Juin 2018
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Pour meubler mes insomnies pendant la promenade en Sicile et, aussi, les heures passées dans le car dont je me doutais qu’elles seraient nombreuses, j’avais emporté quatre bouquins, dont le SCIASCIA et le CHARLES-ROUX déjà cités.

J’ai trouvé l’intrigue du premier assez confuse, ce qui est une façon peut-être appropriée de parler de la mafia. Quant au second, je l’ai lu avec un préjugé négatif du (impossible de trouver l’accent) au fait qu’au Trésor, j’avais fréquenté deux membres de la famille de cet auteur que je ne trouvais pas très sympathiques. La lecture a confirmé cette opinion, le style grande bourgeoise rebelle n’est donc pas ma tasse de thé. Et les milieux qu’elle décrit, comme ceux de la presse ou de la mode, me cassent les pieds.

En revanche, « Le guépard » dans lequel je suis absorbé, me plaît tout à fait et j’eprouve Beaucoup (pourquoi cette majuscule dont je n’arrive pas à me débarrasser) de sympathie, tant pour l’auteur, Giuseppe TOMASI du LAMPEDUSA, que pour son héros, aussi prince que lui.

Quant au 4ème bouquin, ce sont des extraits de Maassant (machine rebelle, je répète : Maupassant) sur la Sicile et, plus particulièrement sur Taormina, je le lirai en dernier, n’ayant pas été séduit par les glaces et autres granités ingérés dans cette localité, au contraire de Palerme ou (accent) elles sont en outre bon marché.

C’était, avec les kilos que j’ai rapportés, ma principale contribution à la rubrique culturelle inspirée par cette promenade. Je vous fais ainsi grâce de mes réflexions sur les temples grecs en calcaire simple et à l’ordre dorique car on en a soupé.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 5 Juin 2018
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De mon point de vue et en dépit des risques élevés (poussières et chiures d'oiseaux) de leur exposition à l'air libre (ou quasiment), les mosaïques de la villa romaine du Casale valaient le voyage. Ces revêtements de sols en pierres de couleur taillées ont résisté à 17 siècles, ce qui, de ma fenêtre bien que manoriale, me semble faramineux :

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

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28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

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28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

28 mai 2018.

A l'heure où j'en suis à réfléchir aux revêtements du sol du rez-de-chaussée du logis de notre manoir favori, il y a sans doute là de quoi méditer.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 6 Juin 2018
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Promenade à Syracuse...

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

... où j'ai été particulièrement impressionné par la façon de bâtir une cathédrale sans bouger les colonnes d'un temple grec (à l'ordre dorique, évidemment)...

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

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29 mai 2018.

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29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

... ainsi que par l'"oreille de Denys"...

29 mai 2018.

... dans laquelle nous sommes entrés...

29 mai 2018.

... pour en faire retentir l'écho :

29 mai 2018.

29 mai 2018.

29 mai 2018.

Nous avons achevé cette promenade devant l'éléphant, symbole de la ville :

29 mai 2018.

A l'invitation de Sinikka GALLOIS, je me suis rendu aujourd'hui à Saint-Lô, à l'occasion de la 2ème édition des "Rencontres du patrimoine de la Manche". Cela se passait au haras national et j'ai assisté à une présentation d'attelages :

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

10 juin 2018.

Parmi les exposants, j'ai eu le plaisir de retrouver quelques-uns de mes artisans favoris :
- Cédrick COOS, de l'entreprise BODIN, maçon, que j'ai encouragé à ce que Frédéric LEBON nous trouve le dallage de granit recherché pour la salle-à-manger du logis,
- Nicole PURSON, encadreuse chez qui je devrais prendre livraison de l'aquarelle que m'a vendue Mme LEPELLEY, représentant notre manoir favori dans l'état où je l'ai trouvé, en 1991,
- Ryszard ZUREK, mon doreur sur bois favori qui vient d'obtenir que l'abbaye blanche de Mortain fasse partie des 250 bénéficiaires de la loterie du bateleur BERN ;
- Pascal BRESSON, menuisier-ébéniste, qui m'a mis en garde contre le montage de fenêtres qui ne serait pas à moulures contre-profilées.

J'ai pris les coordonnées d'exposants avec qui je pourrais avoir à travailler à l'avenir :
- le ferronnier Robert HOGUE, de l'"Atelier des métaux",
- "Déco Logis", qui pourrait former Christian à l'emploi d'enduits traditionnels,
- "Alti Prestations", qui pourrait, le cas échéant, prendre le relais de notre copilote favori, si celui-ci continue à refuser d'opérer dans le cadre de notre manoir favori avec le drone dont je lui ai pourtant payé la moitié,
- "Les Liens de la Mémoire", relieur,
- "Normandy Ceramics", fabricant de carrelages.

Parmi ces derniers, je retiens particulièrement les coordonnées de Julien REQUIER, tailleur de pierre que je consulterai à coup sûr lorsque nous en serons arrivés au choix d'un évier pour la future cuisine du bâtiment Nord.
Assisté d'un de ses compagnons...

19 juillet 2018.

19 juillet 2018.

... Sébastien LEBOISNE est venu ce matin démonter les fenêtres de la tranche 1 de restauration des menuiseries extérieures du logis...

19 juillet 2018.

... afin de les remplacer par le matériau suivant...

19 juillet 2018.

... le temps que l'entreprise BODIN n'en restaure les encadrements de granit :

19 juillet 2018.

Voici l'aspect de notre logis favori cette après-midi,...

19 juillet 2018.

... digne des vitraux de SOULAGES à Conques. Enfin presque digne.

Je rappelle que la tranche 1 en question concerne les 2 fenêtres ainsi que les meurtrières de la tour Sud-Ouest, les 4 fenêtres de la "pièce dévastée", 4 ouvertures de la cage d'escalier plus la porte principale du logis.
L’Etat récupère une statuette médiévale détenue par une famille depuis 1813.

Après une décision du Conseil d’Etat, une famille doit restituer à l’Etat un pleurant ornant le tombeau de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne.

Tombeau de Philippe le Hardi.

La statuette en albâtre, représentant un moine en pleurs, date du XVe siècle et mesure 42 centimètres.

Elle figurait parmi les douze statues, sur quarante et une, disparues du tombeau en 1794, dont une partie a été retrouvée.

N.D.L.R. : Dans le genre, c'est encore celui-ci que je préfère :

Tombeau de Philippe Pot.

Manorial, isn't it ?
Retrouvé sur notre site favori, ce poème prémonitoire de Domino où il est question de "Caliste" :

Malherbe aurait bien pu consacrer quelques vers
A ton manoir normand d'élégante structure
Il aimait les châteaux les parcs même en hiver
Les miracles de l'art y changeaient la nature

Il nous a dit sous Henri IV à cœur ouvert
Leur beauté le bonheur d'avoir dans la clôture
De leurs jardins en fleurs de leurs ombrages verts
L'être sans qui sont gris les tons de leur peinture

Ce qui rend après lui tant de passionnés tristes
Y compris comme toi tous ceux dont le plaisir
Est de redonner vie à des lieux habités

Par le temps c'est parfois l'absence de Caliste
Et ce sont les années menaçant le désir
D'inscrire dans la pierre un peu d'éternité


Un "s" à la place d'un "x", quelle importance après tout ? C'est vrai qu'il me manque, ce petit bonhomme... Quand viendra-t-il voir son Bon-Papa, lui aussi ?
La journée d'hier a été très occupée pour moi par la recherche d'un établissement susceptible d'accueillir ma mère et les échanges à ce sujet avec ma sœur, et aussi par la recherche de linteaux de granits à Rouellé, où je me suis heurté à un refus de m'en céder, jusqu'à Coulouvray-Boisbenâtre, où j'ai renoncé à participer à la vente aux enchères d'aujourd'hui.

Pendant ce temps, notre chantier favori n'a pas connu d'évolutions spectaculaires, en tout cas que j'aie documentée par des photos. Après avoir fini de jointoyer (mais pas encore brossé) le cul du four...

27 juin 2018.

... Sébastien a commencé effectivement les travaux de maçonnerie de la "tranche 1 de restauration des menuiseries extérieures du logis"...

27 juin 2018.

... tandis que Benoît mettait de l'ordre dans le chantier...

27 juin 2018.

... utilisant pour ce faire la benne du "Valtra". En fin de journée, Christian m'a laissé le message que lui-même venait de déchirer une roue arrière de ce tracteur, je ne sais pas encore comment.

Ce matin, je devrai finir de remplir et expédier à MetLife mon dossier médical puisque j'ai enfin reçu la pièce qui me manquait, puis préparer un courrier à la magistrate d'Avranches qui m'a demandé de lui préciser mes pouvoirs face au dernier locataire défaillant. Enfin, je dois assister à une visite du Haras du Pin organisée par le conseil départemental de l'Orne avant de poursuivre vers Paris de manière à participer à une réunion familiale demain, autour de mon cadet.

Si l'on ajoute à cela quelques menues interventions, dans l'urgence, dans notre combat anti-éolien (voir à ce sujet l'excellent article de mon ami Patrice CAHART), on comprendra que je n'ai guère de temps à consacrer dans l'immédiat à notre site favori. D'autant que j'utilise mes moments de répit pour avancer dans la lecture de l'excellent livre d'Alexandre MARAL sur "Les derniers jours de Versailles", un récit tout à fait captivant et dont on ne se lasse pas de suivre les péripéties.

P.S. : Christian m'apprend qu'il a frotté le pneu contre une pièce de métal qui, à force de se dévisser à l'usage, avait fini par dépasser de la porte charretière. J'avais, de longue date, remarqué ce défaut mais omis de le réparer. Comme quoi, il ne faut négliger aucun détail. En sens inverse, il est de fait également que j'ai toujours demandé aux différents conducteurs du "Valtra" de faire attention à ne jamais toucher les battants de cette porte, en dépit de son étroitesse relative.

P.S. 2 : Vérification faite, il y a bien eu faute du conducteur qui ne s'est pas contenté de frotter ce bout de métal mais, bel et bien, l'ensemble du battant :

28 juin 2018.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Juin 2018
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En tant qu'"acteur du tourisme", j'étais invité cette après-midi au Haras du Pin par le conseil départemental de l'Orne. Le programme comportait une visite des écuries puis le spectacle équestre de l'été 2018.

La guide de mon groupe, une certaine Chloé, était très au fait de son sujet et très claire dans ses explications mais j'ai trouvé que l'état d'entretien des bâtiments est des plus médiocres ; en particulier, les menuiseries extérieures sont souvent usées et toujours repeintes sans soin ; quant aux stalles, elles témoignent d'une insuffisance d'entretien préoccupante et, dans l'ensemble, sont dans un bien triste état, et d'abord de saleté.

Quant au spectacle, je suis d'avis que s'accoutrer en cow-boy de foire pour brandir, à la en-veux-tu-en-voilà, le drapeau américain aux accents tonitruants d'un Bruce SPRINGSTEEN de pacotille (non, je ne suis pas "born in America" et le serais même de moins en moins !) puis se livrer à quelques acrobaties à la cosaque, faiblardes en l’occurrence, est d'une parfaite incongruité dans un tel cadre et relèverait davantage d'un ersatz de cirque PINDER à bout de crédits. En bref, aucune féerie là, juste un pipi de chat.

Quel dommage que, parmi tous les ploutocrates qui font la pluie et le beau temps dans ce pays, notamment lors des élections (hélas), il n'y en ait pas un qui condescende à employer un petit bout de son immense fortune, sinon à faire revivre, du moins à animer avec talent ce "Versailles du Cheval" qui le mériterait incontestablement.
Chantier au repos, à Christian près mais pas pour longtemps pour ce qui le concerne. Roland FORNARI s'est néanmoins manifesté. Idem pour le démolisseur qui me parle de cheminées anciennes pour remplacer les deux de la moitié Nord du logis (celle de la salle-à-manger et celle de Mebzon).

Roue de tracteur pas encore changée mais devis accepté. Merci Maxime pour ton aide !

Allers-retours à Pontorson où je dialogue, pour un lot qui vient de se libérer, avec un Roumain en C.D.D. sans garanties évidentes mais doté d'une concubine enceinte jusqu'aux dents. Toujours aucun écho du jeune à coiffure bizarre qui, au dernier décompte, me devait plus de 3 000 € mais que je devrais être autorisé à faire expulser sous peu (du moins je l'espère).

Plus que jamais distrait au volant, j'ai échappé à trois ou quatre refus de priorité (de ma part) au cours des trois derniers jours.

Contributions à la mise au point d'un ballet acoustique dans notre combat anti-éolien favori. L'adversaire est très coriace mais on se bat comme des lions.

Et, bien sûr, visites quotidiennes à ma mère qui semble se remettre rapidement.

3 juillet 2018.

J'en veux pour preuve qu'elle a la dent plus dure que jamais, désormais à l'encontre d'un personnel hospitalier qui me paraît pourtant s'acquitter parfaitement d'une tâche que je ne lui envie pas.

P.S. : J'oubliais : je lis toujours avec autant d'intérêt "Les derniers jours de Versailles". Il faudra que j'offre ce passionnant bouquin autour de moi.
Tombeau de Catherine de Médicis - sculpté par Germain Pilon. Basilique de Saint-Denis, Paris.

Catherine de Médicis est née le 13 avril 1519 à Florence (République florentine) sous le nom de Caterina Maria Romola di Lorenzo de' Medici et morte le 5 janvier 1589 à Blois (France).

Fille de Laurent II de Médicis (1492-1519), duc d'Urbino, et de Madeleine de la Tour d'Auvergne (1495-1519), elle grandit en Italie d'où elle est originaire par son père. À la mort de ses parents, elle hérite du titre de duchesse d'Urbino, puis de celui de comtesse d'Auvergne à la mort de sa tante Anne d'Auvergne en 1524.

Par son mariage avec le futur Henri II, elle devient Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, puis reine de France de 1547 à 1559. Mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d'Espagne) et Marguerite (dite « la reine Margot », épouse du futur Henri IV), elle gouverne la France en tant que reine-mère et régente de 1560 à 1563.

Catherine de Médicis est une grande figure du xvie siècle. Son nom est irrémédiablement attaché aux guerres de Religion opposant catholiques et protestants. Qui plus est, une légende noire persistante la dépeint comme une personne acariâtre, jalouse du pouvoir, ne reculant devant aucun crime pour conserver son influence. Aujourd'hui, la tendance historiographique tend à réhabiliter le rôle de cette reine de France qui usa de son influence lors d'une période historique complexe et très troublée.

Partisane d'une politique de conciliation, elle est l'instauratrice en France de la liberté de conscience pour les protestants, et a de nombreuses fois tenté de faire accepter le concept de tolérance civile. Avec l'édit de janvier 1562, elle tente d'instaurer la liberté de culte, mais ne parvient pas à empêcher le déclenchement des hostilités. Après la surprise de Meaux en 1567, sa fermeté et sa méfiance envers les protestants se renforcent. Son rôle supposé dans le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572 contribue à en faire une figure controversée de l'histoire de France.

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Atlas international des nuages
rédigé le Mercredi 4 Juillet 2018
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Il existe une centaine de type de nuages répertorié dans cet Atlas, subdivisés en dix genres puis en espèces et enfin en variétés. Les nuages sont le moteur du cycle de l’eau mais aussi du système climatique entier. Ils permettent de prévoir la disponibilité des ressources en eau. Tout savoir sur la formation d'un nuage ici.

N.D.L.R. : Intéressant.

Moment atypique dans le ciel normand et rencontre impromptue avec le "volutus", un nuage rare :

Ce volutus a pris ses aises dans le ciel de Lessay (50) / © Aurelien Pien

Amboise...chambre de la reine Catherine de Médicis, épouse du roi Henri II :

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.

Ce lit n'est pas sans ressemblances avec mon plumard favori.

23 juillet 2011.

Ceci dit, le parti de restauration qui, après de longs débats, a été retenu est plutôt de nous caler sur la période Transition, donc du temps de la splendeur des LEDIN, ce qui nous obligerait, à terme, à adapter le mobilier de notre manoir favori.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 7 Juillet 2018
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Sortie avant-hier avec les "Amis du Houlme". La première étape était au château de Chaulieu :

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

Depuis ma dernière visite, la végétation a beaucoup poussé...

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

... mais l'endroit est toujours aussi impressionnant :

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

Décors, à l'imitation de Cormatin, dus au pinceau de Jean-Jacques ROUCHERAY, de Pont-Rilly :

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

Menuiseries de Patrick CENNI :

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

5 juillet 2018.

Il y a toujours là quelque chose de magique et d'un peu fou. En tout cas, une belle source d'inspiration sinon un modèle :

5 juillet 2018.