Références culturelles

Dernière étape de mon périple du dernier week-end, l'abbaye bénédictine de Charlieu (Loire). J'y ai particulièrement admiré la statuaire et j'aime cette pierre calcaire dorée, infiniment plus facile à travailler que notre grès armoricain mais beaucoup plus fragile aussi :

16 octobre 2016.

L'abbaye a été sauvée par un couple COIGNET du XIXème siècle. Peut-être des parents de Carole ?

16 octobre 2016.

Une belle collection de sarcophages :

16 octobre 2016.

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En conclusion de cette promenade, je donne un grand coup de chapeau au conseil départemental de la Loire, propriétaire des 4 monuments visités (Bâtie d'Urfé, château-prieuré de Pommiers-en-Forez, monastère des cordeliers de Saint-Nizier-sous-Charlieu, abbaye bénédictine de Charlieu) qui les entretient très bien et en agrémente la découverte grâce à des panneaux d'information très plaisamment documentés.

P.S. : Je n'ai pas pour habitude de visiter les monuments en même temps que des groupes dont je ne connais pas les membres. Ici, ça m'est arrivé à Pommiers, avec des personnes qui présentaient bien mais qui, dans leurs commentaires ou questions à la guide, débitaient un nombre de conneries à la minute tout à fait étonnant, signe à l'évidence d'une inculture crasse : pauvre France !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 29 Octobre 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Messe de Saint Hubert en forêt d'Ecouves, célébrée par Mgr de GERMINY, assisté de l'abbé de SAINTE PREUVE, avec l'équipage KERMAINGANT :

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

Je m'y suis rendu à l'invitation de Jacques BROCHARD :

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

29 octobre 2016.

Quand les piqueux sont venus au rapport, j'avoue que je n'ai pas entendu ni compris grand chose...

29 octobre 2016.

... de sorte que, lorsqu'il s'est agi de rejoindre nos postes respectifs...

29 octobre 2016.

... je me suis égaré et n'ai donc rien vu de la suite.

On tâchera de faire mieux une prochaine fois.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 1er Novembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Marie-Annick de SAINT-MELOIR ayant besoin de transmettre des photos de son manoir des Brosses à Céaucé à une personne dont la boîte mail sature vite, il nous a semblé commode de mobiliser notre site favori :

30 octobre 2016.

30 octobre 2016.

On accède au manoir par une très belle avenue de platanes :

30 octobre 2016.

30 octobre 2016.

30 octobre 2016.

La chapelle, dédiée à Sainte Anne, a longtemps servi de but de pélerinage voué à Sainte Radegonde, en vue de protéger les terres à 35 kilomètres à la ronde contre les hannetons et leurs larves (les mans).

31 octobre 2016.

Cette chapelle est restée "dans son jus" :

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

Fait notable, le manoir des Brosses, situé en limite entre la Normandie et le Maine, n'a jamais été vendu à ce jour.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

En bas à gauche du linteau de la cheminée, une fleur de lys est sculptée dans le granit :

31 octobre 2016.

31 octobre 2016.

L'escalier à vis est en bois et contenu dans la tour d'angle :

31 octobre 2016.

P.S. : Voici, à titre de comparaison, quatre photos des Brosses prises en mai 1939 :

mai 1939.

mai 1939.

mai 1939.

mai 1939.

Afin d'essayer de stimuler les réflexions de Benoît MAFFRE sur ce que pourrait être la porte principale du logis, je lui ai transmis ce matin une série de photos, trouvées sur "Facebook" (page "Musei Italiani"). Elles présentent un battant central inséré entre deux battants en L inversé :

Il y a une variante : deux battants centraux insérés entre deux battants en L inversé :

Est-ce que ces exemples inspireront notre architecte du patrimoine favori ?
A la "librairie le passage" d'Alençon, je me suis offert quatre bouquins. Celui que je vais lire en premier a été écrit par un de mes anciens élèves à l'E.N.A., un garçon que j'ai toujours trouvé très sympathique, y compris lorsqu'il était directeur du Trésor, ce en quoi il tranchait selon moi sur la galerie de tous ceux que j'ai connus dans ce rôle depuis 41 ans (déjà...).

Donc Jean-Pierre JOUYET - c'est de lui qu'il s'agit - a trouvé le moyen, alors qu'il est le principal collaborateur de son ami le président de la République, de nous pondre 228 pages sur le Régent et sur Fouché, entre autres, sous le titre "Ils ont fait la Révolution sans le savoir" et le bizarre sous-titre "Le libertinage contre la Terreur".

Tout à l'heure, en attendant mon hôte pour déjeuner, j'ai parcouru la première dizaine de pages. Et je n'ai pas été emballé. Pis, je me demande si ces types qui ont de tels jobs n'auraient pas une vraie case en moins au ciboulot : au lieu de lutter contre le chômage, le clown casqué se répand maladivement face à des journalistes trop heureux d'épingler un tel cloporte nombriliste à leur tableau de chasse ; et l'autre zigoto, il cherche quoi, au fait, avec cette prose ? Ils ont donc tant de mal à "habiter la fonction", comme on dit dans les gazettes ? C'est vraiment si dur ou quoi ? Question d'autant plus pertinente, me semble-t-il, qu'ils devraient bientôt, tous deux, disposer de beaucoup de loisirs pour se livrer à leurs écritures favorites. (Bienvenue dans le club !)

Cher Pierre-Paul,

Merci pour vos remarques sur la restitution de l'enduit en damier, scrupuleuses et fondées que je fais miennes sans barguigner et qui, au surplus, ne remettent pas en cause le principe ainsi dessiné en façon d'esquisse.

En visitant votre blog si expressif à la recherche d'une photo ancienne du porche avec son comble à l'impériale dans son état, certes piteux, mais authentique (XVIIIe siècle pour le moins, sinon originel) je suis tombé sur votre demande d'un dessin de vantaux pour la porte du logis : cette question m'a plongé dans un abîme de réflexion car si c'est de la porte dans son état XVIIIe, les photos anciennes sont sans ambiguïté, en revanche, si c'est des vantaux XVIe, cela signifie rétablir le linteau à sa hauteur originelle, donnée par les joints régnant entre les 3ème et les 4ème pierres du piédroits, conforme dans son principe aux autres portes du même modèle des manoirs contemporains...

Bien amicalement à vous.

Nicolas

N.D.L.R. : Cher Nicolas,

Merci pour ces remarques qui ne m'étonnent pas de votre part.

Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le diagnostic relatif à la hauteur originelle de la porte.

Pour autant, je n'entends pas remettre le linteau à sa hauteur d'origine. La raison est que, si je suivais cette idée, je devrais également remettre dans leur état d'origine :
- les 4 fenêtres de la façade sur cour qui se trouvent au Sud de cette porte, c'est-à-dire rétablir leurs meneaux ; bien entendu en faire autant côté terrasse ; ceci serait relativement facile à faire, par exemple par l'excellente entreprise BODIN ;
- les deux portes intérieures au logis qui permettent d'accéder de l'entrée respectivement à la salle-à-manger actuelle (ancienne cuisine) et au salon actuel ; ceci serait déjà nettement plus délicat et dommageable puisque ces portes à l'encadrement de granit chanfreiné sont belles et que, au moins côté cuisine, il faudrait rétablir l'usage de la petite porte dont le linteau, trop bas pour nous, raboterait souvent nos crânes ;
- l'aile en retour sur cour qui a disparu au milieu du XVIIIème siècle, faute de quoi les 4 fenêtres actuelles de la moitié Nord de la façade sur cour devraient être profondément remaniées puisque leurs encadrements de granit actuels ne sont pas du même modèle que celles de la moitié Sud ; rien qu'à ce dernier titre, quelle que soit la branche retenue de cette alternative, l'idée de remettre la porte principale dans son état d'origine me paraît devoir être abandonnée.

Donc il nous faut ne pas toucher à la maçonnerie de la porte principale du logis. Et c'est là que nous en sommes, à nous demander quel style donner à la menuiserie de cette porte.

Votre collègue Benoît MAFFRE, ayant découvert, lors de son étude préalable, qu'au début du XXème siècle, la porte en question était de style Transition, a d'abord souhaité que la nouvelle menuiserie de cette porte soit du même modèle. Mais je l'ai arrêté dans cet élan car j'ai fait valoir que ladite porte Transition n'avait pu être placée là qu'à la suite de l'incendie de 1884, donc n'était pas là lorsque le linteau a été surélevé, à savoir au milieu du XVIIIème siècle, une époque où la famille LEDIN était riche, comme en témoignent, entre autres, certaines peintures murales de la chapelle, ou les couvertures mansardées de l'"aile de la belle-mère", ou la cave ou, peut-être même, le dôme au-dessus de la porte charretière. Outre cette raison historique, je trouvais pour ma part que les moulures Transition faisaient moche et incongru à cet endroit car elles juraient avec le décor, assez riche mais sec, de la maçonnerie Renaissance.

Depuis que j'ai émis cet avis, nous n'avons pas vraiment progressé dans le dessin de la menuiserie de la porte restaurée. Tous les détails de ce débat ont fait l'objet de messages de ma part sur notre site favori, notamment depuis cet été.

A ce stade de notre perplexité quant à cette menuiserie, je viens de proposer l'idée d'une porte centrale insérée entre deux portes en forme de L inversé. Cette porte centrale pourrait avoir une hauteur proche de la porte originelle. J'attends les réactions de Benoît MAFFRE à cette proposition.

Il m'a écrit hier soir qu'il allait se pencher ce matin sur la question, en compagnie de sa collaboratrice Floriane GRIPPON.

Voilà. Vous savez tout ou presque. Affaire à suivre.

Amitiés,

PPF
Dans le numéro de novembre 2016 de la revue des "Amis du Houlme", je remarque le compte rendu d'une visite au château de Fontenil...

... et, plus particulièrement, la photo d'une magnifique porte Renaissance :

De quoi me faire rêver. Cette photo inspirera-t-elle enfin notre architecte du patrimoine favori ?

Au passage, me revient un souvenir de la classe de seconde...

P.S. : Cette porte Renaissance n'est pas sans ressemblance avec une porte qui finit de pourrir à 4 kilomètres de notre manoir favori, au bord de la D22 à Lonlay-l'Abbaye :

6 novembre 2016.

6 novembre 2016.

6 novembre 2016.

Il suffirait pour l'essentiel, me semble-t-il, de changer l'ordre des chapiteaux, de corinthien à ionique. Et pour le judas, pourquoi ne pas prévoir quelque chose comme ceci, trouvé sur "Facebook" :

Angelo Donghia, known as 'the Saint Laurent of sofas', designed Trump's penthouse in Louis XIV-style. His list of clients beyond Trump included Ralph Lauren, Barbara Walters, Mary Tyler Moore, Liza Minelli, Neil Simon and Diana Ross.

N.D.L.R. : Louis XIV, mon cul ! Il resterait à expliquer comment on peut plaire à tant de monde en ayant un tel goût de chiottes.

Juste pour le plaisir des yeux, voici des photos de cuisines italiennes trouvées sur "Facebook", à la page de "Musei Italiani" et avec leurs commentaires :

L’Abbazia di Vallombrosa si trova nell'omonima località del comune di Reggello, in provincia di Firenze.

La cucina è uno degli ambienti più caratteristici dell'abbazia, ariosa ed armonica nelle proporzioni. Il caratteristico focolare con cappa esagonale, sorretta da pilastri, separa la parte quattrocentesca da quella seicentesca, restaurato una prima volta nel 1789.

Accanto al camino, un forno per il pane e l'acquaio. Sui tavoli in pietra sono collocati utensili appartenenti alla cucina e all'antica spezieria del monastero :

Cucina dell' Antico Spedale del Bigallo a Bagno a Ripoli (Firenze) :

Castello di Monselice (Padova) Cucine :

Old kitchen, castle of Dozza (Bologna) :

Cucine del Monastero delle Orsoline di Calvi dell'Umbria (Terni) :

Palazzo Reale di Torino – Cucine storiche :

Ferrara Castello Estense - Le Cucine Ducali :

Cucina della Villa Medicea a Poggio Caiano (Prato) :

La cucina medioevale del Convento di S. Pietro a Breme (Pavia) :

Palazzo Spinola in Pellicceria (Genova) Antiche cucine :

Taranto - Palazzo Pantaleo (XVIII-XIX secolo), sede del Museo Etnografico "A. Majorano" :

Kitchen of the Villa San Michele (Capri) :

Villa Godi in Lonedo di Lugo di Vicenza, province of Vicenza, designed by Andrea Palladio :

Thermopolium Ostia Antica :

Villa Fracanzan Piovene - Orgiano (Vicenza) :

Cucine reali di Stupinigi :