Références culturelles

Le Publicateur Libre
rédigé le Samedi 30 Janvier 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Tourné dans le Bocage, de Mortain à Orgères en passant par Domfront et Passais-la-Conception au début des années 60, mais censuré durant des années, le film Jusqu'à plus soif est enfin disponible en DVD. Retrouvez également plusieurs articles dans le Publicateur Libre des 7 et 28 janvier 2016.

N.D.L.R. : Comme chacun le sait, le poiré, c'est bon pour la santé !

Un de ces tests mystérieux trouvés sur "Facebook" :

Pas de chance pour moi, ce métier se dévalorise très vite :

P.S. (du 7 février 2016) : Pour avoir une idée de la façon dont ces tests fonctionnent, on essayera d'aller écouter la leçon de Yann LE CUN (ami de Michel BERA) au Collège de France, le 12 février prochain.

Débat assez animé hier soir à la table familiale : je suis d'autant moins enclin à abandonner mon idée de bibliothèque à la place de l'ancienne cuisine du bâtiment Nord que les rangements auxquels je procède ces jours-ci me confirment que mes bouquins s'abîment dans les endroits divers où j'ai dû les stocker depuis 25 ans. En outre, retrouvant mes livres d'enfance, je me dis que ce serait bien agréable de réunir ma descendance dans une pièce lumineuse et de bonne taille où tout inciterait cette jeunesse à lire des ouvrages que je pourrais leur signaler et dont nous pourrions discuter.

Happy Mardi Gras! This work by Hals depicts Vastenavond (Shrovetide or Mardi Gras), a pre-Lenten carnival featuring bad food and worse behavior.

Featured Artwork of the Day: Frans Hals (Dutch, 1582/83–1666) | Merrymakers at Shrovetide | ca. 1616–17

N.D.L.R. : Presque contemporain de la Chaslerie.
La France pittoresque (via Facebook)
rédigé le Mardi 9 Février 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Un petit livre fort rare, publié en 1628 à Paris, chez Chappelet, pour le collège des Jésuites de La Flèche, est intitulé Bienséance de la conversation entre les hommes. (D’après « Le Figaro : supplément littéraire du dimanche », paru en 1894)

Fort lus par les générations de l’époque, ces petits ouvrages leur ont inculqué ces principes de politesse et de galanterie qui ont fait le renom du gentilhomme français...

N.D.L.R. : Presque contemporain à la Chaslerie.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 9 Février 2016
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
0
J'ai commandé aujourd'hui à Bruneau 40 boîtes supplémentaires de 64 litres chacune pour ranger les bouquins entreposés tant bien que mal à divers endroits de la Chaslerie. Car plus j'en mets à l'abri des chiures d'oiseaux et des cadavres d'insectes et plus j'en retrouve.

Il est malheureux qu'à 64 ans révolus et alors que je suis plongé dans notre chantier favori depuis 25 ans, je ne dispose toujours pas d'une bibliothèque digne de ce nom.

On sait que je ferraille contre à peu près tout le monde pour installer ma bibliothèque rêvée dans l'ancienne cuisine du bâtiment Nord. Mais tous ces énergumènes m'affirment qu'une cuisine conviviale (comprenez de grandes dimensions) serait bien préférable à une thébaïde que, si je comprends bien, je serais à peu près le seul à fréquenter. Voici donc ce qu'il en coûte d'être entouré d'analphabètes.

Mon cadet a néanmoins essayé de faire progresser le débat ce week-end. Il propose d'installer cette bibliothèque dans la "salle dévastée", au 1er étage du logis. Avec ses 60 m2 et ses quatre fenêtres dans trois azimuts, cette pièce ne me déplairait pas. Mais j'aurais juste un menu problème de financement pour de tels travaux. Il est donc grand temps que je gagne à l'Euro Millions (à ce jour et malgré mes efforts bi-hebdomadaires, je n'ai pas encore dépassé les 10 euros).

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Février 2016
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
0
Des goûts et des couleurs...

Hier, lors de mes rangements, j'ai découvert un petit ouvrage étonnant. Avec le sens exquis du politiquement correct qui me caractérise et que vous appréciez tant chez moi, je m'empresse d'en placer sous vos yeux un extrait choisi :

Comment ce petit volume est-il parvenu jusqu'à moi ? Je l'ignore. Je n'ai aucune attache à Troyes et n'ai jamais entendu parler du "Pensionnat de Mademoiselle AUBRY" ni d'une Noémie COUTURAT.

Lorsque, dans quelques semaines comme il me l'a promis, il reviendra me voir, je placerai cet élégant témoignage sur la table de chevet de mon vieux copain Ayodele Babatounde BALOGUN. Ceci ne devrait pas manquer de pimenter quelque peu nos débats favoris.

L'ADN ancien des européens révèle l'existence de mystérieuses migrations il y a 4800 ans.

A la fin du Néolithique (ci-dessus un village néolithique reconstitué, situé à Uhldingen-Mühlhofen, Allemagne), le génome des européens a été brutalement bouleversé, probablement suite à l'arrivée de nouvelles populations sur le continent européen.

Ecomusée du Perche
rédigé le Mercredi 17 Février 2016
Peinture - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Recette de la peinture à la farine, protection des bois extérieurs

Vous mettez quoi pour protéger vos bois extérieurs ?
> cette drogue de lasure (quand c’est fini le bois en redemande l’année suivante) ?
> votre bois est autoclave (vous trouvez çà beau) ?
> votre bois est brut mais a tendance à mal vieillir aux outrages du temps ?

Donc laissez-vous tenter par une belle peinture (avec les pigments naturels), écologique, résistante, simple, pour un coût ridicule.

N.D.L.R. : On tâchera de s'en souvenir.

Magnifica e rarissima chiave Veneziana del XVI secolo.
Autentica al 100%
Lunghezza 13 cm
Rosone bellissimo con cresta superiore.

Antico battente in ferro forgiato e scolpito. Autentico.
Nord Italia Epoca XVI secolo
Pubblicato nei libri del settore
Link shop :

Antico Battente in ferro forgiato italiano XVI secolo.
Dimensioni 18 cm x 19 cm circa

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.
#MetKids Fun Fact: These gloves, or gauntlets, are mismatched! The left one actually comes from another, very similar suit of armor made only a couple of decades later. Everything else was part of the original armor, which is over four hundred years old. http://met.org/1SEXpJ4

Made under the direction of Jacob Halder (British, 1558–1608) | Armor Garniture of George Clifford (1558–1605), Third Earl of Cumberland | 1586

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Bonjour,

Comme suite à notre entretien téléphonique, je vous remercie d’avoir accepté d’accueillir Bertrand Pivert notre jeune charpentier lorsqu’il le pourra.

Je lui envoie dès aujourd’hui les coordonnées de votre site avec les indications du DOE et de l'onglet "charpente-couverture".

Vous m'avez interrogé sur les enduits chaux-chanvre. Sur le site de MPF national, vous trouverez le dossier ATHEBA qui vous intéressera je l’espère.

Vous trouverez aussi en pièces jointes quelques éléments concernant l’église de Méguillaume, à la restauration de laquelle travaille Bertrand Pivert :

Je vous rappelle ultérieurement pour vous dire à quel moment on pourrait se voir et faire un petit tour « vieilles pierres » dans notre secteur !

Bien à vous,

Marie-Laurence

N.D.L.R. : Merci pour ce très intéressant message. N'hésitez pas à nous tenir informés de votre chantier favori, en nous expliquant ses étapes, ses difficultés et ses joies.

Merci pour l'info sur l'enduit chaux-chanvre. On va étudier la question, bien qu'il soit sans doute un peu tard pour la cave.

Je viendrai avec plaisir visiter votre secteur sous votre houlette.

Quant à M. Pivert, il est le bienvenu quand il veut. Il suffit qu'il me prévienne tout simplement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 25 Février 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Je suis abonné, via Facebook, à un certain nombre de pages où sont montrées de belles images.

Voici par exemple ce que diffuse ce soir la page "My Loire Valley". Il s'agit du château de Coudray-Montpensier, à Seuilly. Je le trouve magnifique.

Quel régal pour les yeux ! Que cette pierre est belle et gratifiante !

Depuis l'époque où, en culottes courtes, du côté de Chinon, je balancais des pétards allumés entre les pattes des chiens ou dans les cheminées des maisons troglodytes, j'ai toujours eu un faible pour le doux calcaire des terroirs qui ont vu naître Ronsard, du Bellay ou Rabelais.

Ici, la terre et le grès sont beaucoup plus âpres, beaucoup plus durs à travailler, c'est une tout autre histoire.

Jean-Pierre ARBON m'a demandé hier quand il pourrait se produire à la Chaslerie. J'avais rêvé de lui, initialement, pour une prochaine "Sainte-Anne à la Chaslerie" (qui aurait ainsi été un peu décalée cette fois-ci, ce qui ne serait pas pour me déplaire...), mais Jean-Pierre m'a rappelé que tous les fins juillet - débuts août, il est bloqué par son festival d'Amou.

Ce n'est pas grave, on trouvera une autre date. Puisque nous disposerons bientôt d'une chambre d'amis chauffée avec le fournil de la ferme, on pourrait presque prévoir n'importe quel moment dans l'année. Pourquoi ne pas penser à une prochaine "Journée du Patrimoine" ? Je vais soumettre l'idée à Jean-Pierre.
François LEVALET
rédigé le Lundi 29 Février 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Le donjon de Vire :

A la mort de Guillaume le Conquérant, ses fils se disputent son héritage jusqu'à ce que Henri I Beauclerc obtienne une victoire significative en 1106 à Tinchebray sur son frère ainé, Robert Courteheuse. Il réunit alors le Duché de Normandie au royaume d'Angleterre et entreprend la construction de forteresses le long des frontières du duché : Avranches, Mortain, Domfront ou Vire en 1123.

N.D.L.R. : Les lieux de ces places-fortes avaient été très bien choisis. Autant de villes bombardées lors des combats de la Libération. La Normandie a alors payé un très lourd tribut.

Tu sais ce qu'il te reste à faire...

N.D.L.R. : Cela plairait beaucoup à Carole. Mais en aurais-je les moyens ?

Je précise que Michel est un nouvel heureux propriétaire de ce matériel :

On attend que Chantal nous fasse goûter quelques bons petits plats à sa façon (pas trop petits mais aucun doute à ce sujet)...
Passages disparus
rédigé le Vendredi 11 Mars 2016
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
0
Les portraits de Maerten Soolmans et de Oopjen Coppit, épouse de Maerten Soolmans, deux œuvres de Rembrandt sont exposées depuis le jeudi 10 mars au Musée du Louvre , salle 13 Salvator Rosa , à l'extrémité de la Grande Galerie. (la salle juste avant la peinture espagnole, pour la "première période d'exposition" durant trois mois , voir l'article du Journal Le Monde).
Le roi et la reine des Pays-Bas, en voyage officiel en France, et le président de la République, François Hollande, ont célébré, jeudi 10 mars au matin, l’union du Rijksmuseum d’Amsterdam et du Musée du Louvre, union grâce à laquelle Maerten Soolmans et son épouse, Oopjen Coppit, ne seront pas séparés. Leur double portrait en pied a été peint, en 1634, par Rembrandt, un an après leur mariage et alors qu’Oopjen était déjà enceinte. En présence de quelques ministres et de beaucoup de caméras, monarques et président ont donc joué les amateurs d’art, quelques brèves minutes : il fallait bien tant de hautes autorités pour fêter cette union, tant elle a été délicate à négocier.

Le musée du Louvre et le Rijksmuseum se sont partagés l'acquisition et exposeront tour à tour le couple (qui sera toujours présenté conjointement) . L’accord avait été conclu entre le premier ministre néerlandais Mark Rutte et le président français François Hollande lors d’une rencontre à New York. Propriété de la branche française de la famille Rothschild depuis plus d’un siècle, les deux tableaux du maître néerlandais, datent de 1634. Ils n’ont été montrés qu’une seule fois au public en cent cinquante ans, pendant une exposition organisée en commun en 1956 par le Rijksmuseum d’Amsterdam et le Museum Boijmans Van Beuningen de Rotterdam.

Pour ceux qui n'avaient pas suivi le film :
France et Pays-Bas ont acheté en commun les œuvres pour 160 millions d'euros . Suivant les commentaires , le montant est beaucoup trop élevé
Un prix considéré comme très au dessus du marché
La famille Rothschild, propriétaire des tableaux depuis plus d'un siècle, était entrée en contact au printemps 2013 avec le Louvre se disant prête à les céder pour environ 160 millions d'euros. Un prix considéré comme très au dessus du marché par plusieurs experts.
L'offre avait été jugée trop élevée par le musée qui avait fini par la décliner après un an de négociation. Les deux toiles avaient alors obtenu leur certificat d'exportation, autorisant leur sortie de France. Le président du Louvre Jean-Luc Martinez avait ensuite engagé des discussions avec son homologue du Rijksmuseum Wim Pijbes pour trouver une solution associant les deux pays.

La situation s'est cependant compliquée début septembre lorsque le gouvernement néerlandais a manifesté clairement sa volonté de voir les deux toiles rejoindre les Pays-Bas. Il s'est dit prêt à apporter 80 millions d'euros, tandis que le Rijksmuseum assurait vouloir réunir les 80 millions restants.

Budget "acquisitions" du Louvre de 8 millions par an

Un discours qui a poussé la France à se dire à son tour prête à acquérir pour 80 millions d'euros un des deux portraits pour le compte du musée du Louvre. "L'opération bénéficiera du mécénat exceptionnel de la Banque de France", indiquait le ministère de la Culture.

L'acquisition d'un des tableaux par le Rijksmuseum constitue le plus gros achat d'un musée néerlandais, selon les médias locaux. Trente-sept millions d'euros avaient été dépensés en 1997 par la Banque nationale néerlandaise, via une fondation, pour acquérir le "Victory Boogie Woogie" de Piet Mondriaan.

Le budget "acquisitions" du Louvre, premier musée du monde par sa fréquentation, est d'environ 8 millions d'euros, soit 20% du montant des billets vendus. L’œuvre la plus chère acquise à ce jour par le musée est un tableau d'Ingres, Le Portrait du Comte Molé, acheté en 2009 pour 19 millions d'euros...

N.D.L.R. : Conteporain de la tour Louis XIII.