Références culturelles

Don’t miss “Bartholomeus Spranger: Splendor and Eroticism in Imperial Prague”, the first major exhibition devoted to the most significant Northern Mannerist artist of his generation, closing February 1.

Bartholomeus Spranger (Netherlandish, 1546–1611) | Hercules and Omphale | ca. 1585

N.D.L.R. : L'homme, réduit aux tâches domestiques par la femme qui se voudrait guerrière, on connaît ça...

Contemporain de la Chaslerie.
Hans von Aachen (Cologne, 1552 – Prague, 4 mars 1615)

Portrait de Rodolphe II de Habsbourg (1592) :

Allégorie de la Paix (1602), particulier, Saint-Pétersbourg, Ermitage :

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Je ne sais pourquoi, je préfère le second tableau.
Du premier modèle, j'aime autant le portrait par Arcimboldo (1590), même si la châtaigne ne me semble pas suffire pour figurer le menton prognathe typique de cette famille :

Vertumne (Rodolphe II) (~ 1590) Skoklosters Slott Suède.

Si le premier journal est fondé par Jules César au temps de son premier Consulat pour combattre la puissance et amoindrir le prestige du Sénat romain, l’ancêtre de la Presse moderne entre bientôt dans une longue période de sommeil, avant que l’imprimerie ne lui insuffle un nouveau souffle. En France, il faut attendre 1605 pour que naisse la première feuille paraissant régulièrement.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
“Bartholomeus Spranger’s wild, weird and voluptuous art at the Met.” — The Washington Post on “Bartholomeus Spranger: Splendor and Eroticism in Imperial Prague”.

Don’t miss this exhibition closing Sunday!

Bartholomeus Spranger (Netherlandish, 1546–1611) | Venus in the Smithy of Vulcan | 1610 | Kunsthistorisches Museum, Vienna

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie (on savait se réchauffer à cette époque-là...).
ÉCOLE DE FONTAINEBLEAU (Fin du XVIe siècle)
Portrait présumé de Gabrielle d'Estrées et de sa sÂœur la duchesse de Villars
Vers 1594
H. : 0,96 m. ; L. : 1,25 m.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie. Et ça me fait penser qu'il est grand temps que j'aille prendre ma douche...

1er février 2015, Bourgon.

Concert hier après-midi au château de Bourgon :

Après le concert, j'ai pu discuter avec l'organisatrice.

1er février 2015.

Sicky DARBION-SAILLY serait prête à mettre "son relationnel" (artistes, voire public) à notre disposition pour organiser une telle festivité dans le cadre de notre manoir favori. Je lui ai dit un mot de mes chers "amis Facebook" Jean-Pierre ARBON et Charles-Erick LABADILLE qui sont chacun d'accord sur le principe d'un concert à la Chaslerie. J'ai cru comprendre que Sicky recherche, y compris dans l'Orne, d'autres monuments susceptibles d'accueillir ce genre de spectacle.
Michelangelo Merisi da Caravaggio (Milan, 29 September 1571 – 18 July 1610) was an Italian painter active in Rome, Naples, Malta, and Sicily between 1592 and 1610. His paintings, which combine a realistic observation of the human state, both physical and emotional, with a dramatic use of lighting, had a formative influence on Baroque painting.
Caravaggio's innovation was a radical naturalism that combined close physical observation with a dramatic, even theatrical, use of chiaroscuro which came to be known as tenebrism (the shift from light to dark with little intermediate value).

Sette Opere di Misericordia (Pio Monte della Misericordia, Naples) :

Sette Opere di Misericordia - Michelangelo Merisi da Caravaggio<br />
(Pio Monte della Misericordia, Naples).

Il Martirio di S.Ursula :

Il Martirio di S.Ursula - Michelangelo Merisi da Caravaggio.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 10 Février 2015
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Fac - Références culturelles
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Le deuxième ouvrage d'AMEISEN "Sur les épaules de DARWIN" dont je viens de terminer la lecture est rédigé dans un style moins agréable que le premier. Trop de citations littéraires, avec un goût marqué pour un certain ésotérisme dont je me défie. Les sujets abordés sont néanmoins passionnants, notamment tout ce qui concerne les neurosciences que j'aurais volontiers étudiées à Caen...

... si mon tempérament désultoire n'avait pris le dessus.

Prochain livre sur ma table de chevet :

L'auteur est probablement une ordure mais le titre me parle et je me dis qu'on ne doit pas s'ennuyer tout le temps avec un esthète de cet acabit. Et il a sans doute des choses intéressantes à raconter sur la Russie, le monde arabe et toutes questions d'actualité d'ordre géopolitique qui n'ont jamais constitué ma tasse de thé.

Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, " Scene della vita di San Matteo", 1599-1602 - Cappella Contarelli, San Luigi dei Francesi, Roma -

Grazie all'intercessione del Cardinal Del Monte, nell'estate del 1599 Caravaggio ottenne il suo primo incarico pubblico: una commissione che avrebbe inaugurato un periodo totalmente nuovo della sua carriera. Le fasi preliminari della decorazione erano iniziate nel 1565, quando un prelato della Corte Pontificia, Mathieu Cointrel (italianizzato in Contarelli) acquistò l'ultima cappella a sinistra della navata della chiesa romana. Sin dall'inizio il programma iconografico prevedeva le scene della vita di San Matteo, commissionate di volta in volta a diversi pittori. Cointrel diede l'incarico a Girolamo Muziano, che però per ragioni ancora sconosciute rinunciò all'incarico per eseguire un ciclo analogo in Santa Maria in Aracoeli. Di conseguenza, l'esecutore testamentario di Mathieu Cointrel affidò la pala d'altare ad uno scultore fiammingo, Jacob Cornelisz Cobaert, e la volta e le pareti laterali al Cavalier d'Arpino. Anche questa volta, il progetto si arenò, il Cavalier d'Arpino eseguì solamente gli affreschi della volta e Cobaert ritardò ancora la consegna della scultura. Viste le diverse sventure, la decisione sulla decorazione cadde nelle mani della Fabbrica di San Pietro, la cui Congregazione aveva il compito di trovare il nuovo artista che avrebbe portato a termine il lavoro. Uno dei componenti della Congregazione era il Cardinal Del Monte, alla cui influenza si deve probabilmente l'incarico affidato a Caravaggio. Il Merisi inizialmente doveva eseguire solamente le due tele laterali, ma alla consegna della scultura di Cobaert (che evidentemente non soddisfò le aspettative della Congregazione, dal momento che lo rifiutarono) fu incaricato di eseguire anche la pala d'altare. I lavori di Caravaggio, iniziati nel 1599, si protrassero fino al 1602.

Anche qui mi sono dilungato molto, ma essendo forse l'opera più conosciuta e importante di Caravaggio ho preferito raccontare un minimo la storia. Nei prossimi giorni, pubblicherò le singole opere presenti nella cappella (anche la prima versione del San Matteo e l'Angelo). Continuate a seguirci! (Luca)

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Renaud CAMUS
rédigé le Mardi 17 Février 2015
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[img:900]bibiotheque-mediatheque-municipale-d-Alencon-ancienne-chapelle-des-Jesuites-XVIIe-s-reamenagee-en-1799-par-Jean-Baptiste-Delarue-avec-des-boiseries-et-des-colonnes-de-remploi-XVIIIe-s.jpg]bibiothèque-médiathèque municipale d’Alençon, ancienne chapelle des Jésuites, XVIIe s., réaménagée en 1799 par Jean-Baptiste Delarue avec des boiseries et des colonnes de remploi, XVIIIe s., Orne.[/img]Bibiothèque-médiathèque municipale d’Alençon, ancienne chapelle des Jésuites, XVIIe s., réaménagée en 1799 par Jean-Baptiste Delarue avec des boiseries et des colonnes de remploi, XVIIIe s., Orne.

La médiathèque d’Alençon s’intègre dans un espace dédié à la culture, l’îlot Aveline, situé au cœur de la ville, avec le musée des beaux-arts et de la dentelle, l’atelier national du point d’Alençon, les archives municipales, l’auditorium et le conservatoire à rayonnement départemental.

Elle abrite un patrimoine écrit unique en Basse-Normandie, riche de 57 000 documents parmi lesquels 728 manuscrits (dont 137 médiévaux), 26 incunables, et environ 40 000 livres anciens.

L’Eglise des Jésuites, construite à la fin du 17e siècle, est un édifice remarquable par sa charpente, dite à l’impériale couronnée d’un campanile hexagonal. Les livres confisqués pendant la Révolution française furent entreposés dans ce lieu de culte, désaffecté depuis le départ des Jésuites en 1762, pour servir de bibliothèque à l’école centrale de l’Orne dès 1799. La même année, l’architecte Jean-Baptiste Delarue aménage l’édifice en séparant la nef transversalement, avec au rez-de-chaussée une salle nommée aujourd’hui salle du collège, et à l’étage la salle de la chapelle. Dans cet espace, l’architecte aménage les remarquables boiseries de chêne du 18e siècle et quatre colonnes de marbre provenant de la chartreuse du Val-Dieu (Perche). Administrativement, la bibliothèque municipale d’Alençon est créée en 1803 par arrêté du gouvernement confiant à la ville la préservation des collections.

N.D.L.R. : Très beau. Avec mon projet de bibliothèque, je ne boxe évidemment pas dans la même catégorie.

Musetouch Visual Arts Magazine
rédigé le Vendredi 20 Février 2015
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Beautiful Libraries and Bookshops...
Library in the Cistercienserinnen Abbey Waldsassen.

Library in the Cistercienserinnen Abbey Waldsassen, photo by Jassy-50 via Flickr.

N.D.L.R. : Google nous en dit plus :
Waldsassen Abbey
The library of the monastery was completed in 1726 in late Baroque and early Rococo style. Richly and intricately carved shelves hold thousands of volumes bound in white pigskin and dark calfskin. Ten carved columns support a balustraded mezzanine with more shelves above. These ten columns are carved in the shape of allegorical figures, grotesque men bent under their burden of supporting the mezzanine level but also burdened by human foibles such as vanity, ignorance and boastfulness. The lindenwood carvings were completed by Karl Stilp, a local sculptor, in 1725, and have acquired a warm golden patina. The library also features a painted ceiling and ornamental plaster work.

J'ai également trouvé les photos suivantes sur le site du monastère :

Une vie au couvent dans un tel cadre, il faudrait peut-être y réfléchir...

Mais, pour notre manoir favori, un tel décor serait hors de portée à tous égards. Dommage !

La journée d'hier, avec les V.M.F. de la Manche, a commencé par une visite de l'exposition "Beauté divine !"

Couverture du catalogue - Saint Joseph père nourricier du Christ - Quatrième quart du XIXème siècle - Eglise paroissiale Saint-Martin de Villers-sur-Mer (Calvados) - Page 384 du catalogue.

26 février 2017.

26 février 2017.

Notre petit groupe d'une trentaine de personnes a bénéficié des commentaires très clairs et érudits de Mme Brigitte GALBRUN, conservatrice des objets mobiliers de la Manche :

26 février 2017.

A mon habitude, j'ai souhaité prendre des photos des tableaux qui m'intéressaient particulièrement ou de leurs détails qui me rappelaient un cher "avatar"...

26 février 2017.

... un décor de la chapelle de notre manoir favori (comme le rideau théâtral suivant)...

26 février 2017.

... quand il ne s'agissait pas du portrait d'un commanditaire presque contemporain de la Chaslerie :

26 février 2017.

Mais, très vite, une gardienne barbue m'a stoppé dans mon élan. Je me bornerai donc à faire part de quelques réflexions personnelles, après avoir scanné quelques photos du catalogue de l'exposition, superbement prises par Patrick MERRET, photographe à la direction de l'inventaire général du patrimoine culturel de la région Basse-Normandie.

Je note tout d'abord qu'à la suite de la contestation des Protestants, l'Eglise a, lors du concile de Trente, réformé l'iconographie des édifices religieux. Par voie de conséquences, les jubés et les tableaux issus de la tradition médiévale des mystères ont disparu. Triste destin de trop d'œuvres d'art, comme nous l'a encore rappelé brutalement la presse hier soir...

L'exposition est structurée autour de thèmes didactiques bien choisis. Ceux-ci ne ressortent pas bien du catalogue où il est dommage que ne figure pas une carte de la provenance des toiles exposées (on devra donc se contenter ici de ma mauvaise photo ci-dessus).

S'agissant de l'Orne, les églises dont ont été provisoirement retirés les tableaux exposés sont notamment celle, voisine, des Yveteaux (Eglise paroissiale Saint-Taurin - Annonciation (1669) par Marc-Antoine RESTOUT - Huile sur toile - h:208 ; la : 132 ; page 391 du catalogue)...

Les Yveteaux, tableau de Restout.

... et celle, remarquable (elle fait l'objet d'une notice dans le catalogue), de notre charpentier-couvreur favori, à savoir Saint-Nicolas-de-Sommaire :

Ensemble de la nef depuis le chœur - Eglise Saint-Pierre - Saint-Nicolas-de-Sommaire(Orne). Page 64 du catalogue.

Ensemble du maître-autel (1657) - Eglise Saint-Pierre - Saint-Nicolas-de-Sommaire(Orne). Page 67 du catalogue.

De l'Orne, je remarque également, provenant de Héloup, une Adoration des bergers presque contemporaine de la Chaslerie (fin XVIè début XVIIè - huile sur toile - h : 110 ; la : 80 - Page 266 du catalogue)...

Adoration des bergers - Héloup (Orne).

... de Longny-au-Perche (commune où se trouve un excellent traiteur, M. LALAOUNIS, tout le monde m'en fait des compliments après le mariage que vous savez), dans l'église paroissiale Saint-Martin, une Adoration des bergers (1629 ; huile sur toile - h : 225 ; la : 150 ; page 280 du catalogue)...

Longny-au-Perche (Orne).

... de Neauphle-sur-Dive, une Donation du Rosaire, datée de 1627 (huile sur toile - h : 178 ; la : 149 ; page 312 du catalogue)...

Neauphle-sur-Dive (Orne) - Eglisse paroissiale Saint-Martin - Donation du Rosaire - 1627.

... de Suré, une Cène, datant de 1629, par André Païs (huile sur bois - h : 129 ; la : 230 - Page 366 du catalogue), portant une inscription à gauche et le donataire à droite ; j'apprends que Judas se reconnaît traditionnellement, non seulement à sa bourse, mais aussi au tissu rayé de son costume :

Suré (Orne) - Eglise paroissiale Saint-Martin - Cène par André Païs.

Détail de la Cène de Suré.

D'ailleurs que de l'Orne, on pouvait s' intéresser à des tableaux presque contemporains de la Chaslerie, comme à Barfleur (Manche), une Visitation datant de la fin XVIè début XVIIè (huile sur toile - h : 190,5 ; la : 129,5 - Page 174 du catalogue), dont le cadre d'origine est particulièrement réussi, avec son décor de fleurs, de poires et de petites baies, en parfaite harmonie avec les couleurs du tableau...

Barfleur (Manche) - Eglise paroissiale Saint-Nicolas.

... à Orbec (Calvados), une Conversion de saint Augustin (deuxième quart du XVIIè - huile sur toile - h : 222 ; la : 149 - Page 316 du catalogue) qui m'a attiré grâce à sa représentation d'un jardin dont on pourrait s'inspirer le jour où nous restaurerons le Pournouët...

Orbec (Calvados - Eglise paroissiale Notre-Dame.

... enfin à Valognes (Manche), une immense Adoration des bergers, datée de 1641, signée de Laurent de LA HYRE (huile sur toile - h : 413 ; la : 291 - Page 376 du catalogue) :

Valogne (Manche) - Abbaye des bénédictines, Notre-Dame-de-Protection.

Mes découvertes ont débordé du cadre de l'Orne ou de l'époque de notre manoir favori. Je suis en effet tombé en arrêt devant trois tableaux représentant l'Assomption, exposés les uns à côté des autres :

- l'un, provenant de l'église paroissiale Notre-Dame d'Orbec (Calvados), daté de 1644, dû à Georges Rüge (huile sur toile - h : 242 ; la : 149 - Page 314 du catalogue) :

Orbec (Calvados).

- un deuxième, provenant de l'église paroissiale d'Irai (Orne), daté de 1688, est signé par Julien Marc, sieur de la Boulangerie (huile sur toile - h : 163 ; la : 153 - page 268 du catalogue) :

Irai (Orne).

- un troisième, provenant de l'église paroissiale Notre-Dame de La Rochelle-Normande (Manche), portant l'inscription "PETI... 1719 ?" (huile sur toile - h : 209 ; la : 159 - Page 331 du catalogue) :

Irai (Orne).

Notre conférencière nous a expliqué que ces trois tableaux sont des adaptations d'une Assomption, peinte par Pierre-Paul RUBENS vers 1618-1619 pour l'église Notre-Dame de la Chapelle à Bruxelles...

L'Assomption, par RUBENS.

... qui a fait l'objet de plusieurs versions gravées (d'où le retournement de l'image), notamment par le flamand Paul PONTIUS (1603-1658).

L'Assomption - Gravure de Pontius.

Mon regard a d'abord été attiré par le mollet gauche du personnage de gauche, puis par la posture du personnage de droite et je me suis dit que j'avais déjà vu ça quelque part.

Me revint alors en mémoire une croûte que j'ai achetée (en compagnie d'un ami qui se reconnaîtra puisqu'il fait désormais partie de notre fan-club favori), en 2004, au dépôt-vente de Tanis (près de Pontorson), que j'ai fait restaurer par Agnès ARCHIMBAUD, de Villedieu-les-Poëles, dont j'étais alors un client assidu, puis encadrer par un excellent artisan du Pré-Saint-Gervais, Pierre LAVERGNE.

Ce tableau, le voici :

27 février 2015.

Etonnant, non ?

Bon, comme vous le voyez, le moment était venu, après tant de découvertes, de faire un break. Donc direction "Le bouchon du Vaugueux"...

26 février 2015.

... avant de repartir pour de nouvelles aventures !

P.S. : Bien entendu, ma recommandation est que vous ne vous contentiez pas de ce message mais que vous alliez visiter cette exposition. Elle a été remarquablement préparée, fait honneur à toute la Basse-Normandie, nous rappelle la profondeur et l'authenticité des racines chrétiennes de notre pays et vaut donc incontestablement le détour.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 27 Février 2015
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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La 2ème partie de notre promenade d'hier à Caen, avec les V.M.F. de la Manche, nous a conduits à l'Abbaye aux Hommes...

... sous un ciel légèrement moins clément que sur la photo précédente.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

Là, je me suis surtout intéressé aux boiseries, de modèles superbes d'époque Louis XV. Contentons-nous d'observer :

- d'abord, le réfectoire :

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

- le grand escalier :

26 février 2015.

- le cloître...

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

... et ses vues sur l'abbatiale Saint-Etienne :

26 février 2015.

26 février 2015.

- le chapître...

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

... désormais à usage de salle des mariages :

26 février 2015.

26 février 2015.

- la sacristie :

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

26 février 2015.

Pour terminer cette étape, nous sommes allés nous recueillir, dans l'abbatiale, devant la tombe de notre Guillaume le Bâtard, devenu, après Hastings, Guillaume le Conquérant :

26 février 2015.

Elle ne contient plus qu'un fémur : il est donc clair que tout fout l' camp !

Dans la journée d'hier, j'ai également lu deux bouquins :

- "Discours à l'Académise suédoise" de Patrick MODIANO ; c'est bref (24 pages), très clair et cela porte sur un sujet intéressant ; ce serait donc à recommander à une certaine courge inculte qui nous gouverne ;

- "Tu montreras ma tête au peuple", un coup d'essai d'un ancien étudiant en Droit des Institutions (ma matière préférée dans l'ordre juridique), François-Henri DESERABLE ; souvent excellent, parfois un peu plus faible mais globalement très bon. Dommage qu'une fois de plus, dans ce clip, le chroniqueur au look étudié de mousquetaire s'exprime avec une hargne qui témoigne, selon moi, d'une nature terriblement complexée ; pauvre petit, cet interviewer (?) donneur de leçons ferait donc plutôt pitié face à ce jeune auteur très équilibré, lui au moins !