Références culturelles

Patrimoine Normand
rédigé le Dimanche 16 Novembre 2014
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La clef pendante de la chapelle de la Vierge, dans l'église Notre-Dame de Caudebec-en-Caux : 4,50 m de hauteur pour un poids total de plus de 7 tonnes. Une curiosité architecturale de premier ordre :

N.D.L.R. : Pas grand chose à voir avec notre manoir favori mais je suis impressionné.

The New York Times
rédigé le Mardi 25 Novembre 2014
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First folios of Shakespeare’s plays are among the world’s rarest books, intensely scrutinized by scholars for what their sometimes-minute variations — each copy is different — reveal about the playwright’s intentions.

Now a previously unknown folio has surfaced at a small library in northern France, bringing the world’s known total of surviving first folios to 233.

(...) But few books hold the first folio’s value — one was sold at Christie’s in 2006 for $6.8 million — or its mystique. It contains 36 plays, nearly all of Shakespeare’s output. Printed in a run of about 800 copies in 1623, seven years after the playwright’s death, it is considered the only reliable text for half of his plays. (No manuscripts of any Shakespeare plays survive.)

N.D.L.R. : Postérieur d'une génération à la Chaslerie.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 27 Novembre 2014
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On se souvient peut-être que "Le Royaume" d'Emmanuel CARRERE avait été éliminé de la liste des finalistes du dernier Goncourt alors que le bouquin de DAOUD avait été laissé en lice jusqu'au dernier carré.

Le palmarès de "Lire" rétablit un peu les choses. Je note également avec satisfaction que le dernier roman de Maylis de KERANGAL y est primé.

En revanche, il y est encore question d'Edouard LOUIS qui me semble à éviter.

Voici pour ceux que j'ai lus.

P.S. : Sur les conseils d'Emmanuel CARRERE, je vais lire du RENAN, dont la fiche Wikipedia montre la maison de Tréguier :

La façade avant de la « Maison de Renan » à Tréguier.

La façade arrière, sur le jardin, de la maison d'Ernest Renan à Tréguier.

Ce sera pour moi la première occasion d'approcher cet auteur que cette bâtisse contribuerait à me rendre sympathique.

lejournal.cnrs.fr
rédigé le Vendredi 28 Novembre 2014
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L’incroyable salle à manger tournante de Néron

« La salle à manger principale, qui était ronde, tournait jour et nuit sur elle-même en imitant le mouvement du monde. » La surprenante construction mentionnée par Suétone dans sa biographie de Néron a enfin été retrouvée ! En 2009, des fouilles réalisées sur le mont Palatin, à Rome, par une équipe d’archéologues franco-italienne ont mis au jour des vestiges qui correspondent apparemment à un mécanisme ayant servi à assurer la rotation du plancher de la principale salle à manger de la Domus aurea, le vaste palais impérial de Néron.

N.D.L.R. : "Ils sont fous ces Romains !"

A Hedgehog, before 1584
Hans Hoffmann (German, ca. 1530–1591/92)
Watercolor and gouache on parchment; 7 7/8 x 11 3/4 in. (20 x 29.8 cm)
Purchase, Annette de la Renta Gift, 2005 (2005.347)

Some forty years after the death of Albrecht Dürer in 1528, a renewed interest in his art led to the "Dürer Renaissance," which originated in Nuremberg, the city where he worked for most of his life, and flourished in Prague at the court of Rudolph II. It is a testimony to the formidable scope of Dürer's oeuvre that the best-known artist of that Renaissance, Hans Hoffmann, based his reputation on just one aspect of the master's work. Although Hoffmann was a painter and a draftsman of portraits and religious subjects (examples of which have been acquired by the Museum in recent years), he is remembered mainly for his studies of plants and animals. This breathtakingly lifelike depiction of a hedgehog must have been based on sketches made from life. More than Dürer, who tended to stress the objectivity of his observation, Hoffmann animated his depictions of animals, suggesting in a most touching way a human alertness absent from the greater artist's nature studies.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.

Du même, étonnant :

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 12 Décembre 2014
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J'ai toujours considéré que lire du BOURDIEU dans le texte n'est pas à la portée du premier con venu. Je m'y suis donc toujours cassé les dents.

Mais, grâce à mon camarade de promotion et néanmoins ami Dominique LEMAIRE, le style de ce penseur deviendrait presque lumineux.

Dominique présentait avant-hier à Paris son dernier ouvrage publié au "Scribe l'Harmattan" et intitulé "Bourdieu - Une sociologie réflexive" :

10 décembre 2014, Dominique LEMAIRE.

Cette présentation prenait la forme de lectures d'une anthologie de BOURDIEU choisie par Dominique et il est heureux pour moi que je sois arrivé au lieu de rendez-vous avec un peu d'avance sur l'horaire prévu car cela m'a permis de lire les 25 premières pages, elles limpides, du livre de Domino, ce qui fut une aide précieuse pour la suite de la soirée.

J'ai ainsi eu le temps de remarquer deux passages du 1er chapitre de l'ouvrage, que voici reproduits et qui me parlent particulièrement :

Ainsi donc, je serais, en raison de mes racines béarnaises, un partisan de la "famille souche" enclin comme tel à favoriser "des idéologies et des mouvements autoritaires ethnocentriques dans le contexte de la transition vers la modernité", et aussi un individu dont "les gesticulations masculines peuvent dissimuler un fort pouvoir des femmes"...

Heureux d'apprendre que le dicton béarnais "Arissou arissat, castagne lusente" ("bogue hérissée, châtaigne luisante") s'applique bien à moi. Mes voisins Normands sont désormais prévenus et n'ont qu'à bien se tenir ! Merci pour eux, Domino !

P.S. : Domino, tu ne crois pas que tu pourrais quand même penser à changer d'écharpe, de temps en temps ?
J'ai assisté, cet après-midi, au château de Bourgon, à une conférence relativement intéressante sur les plaques de cheminée :

Les hôtes, prévenants, avaient préparé un excellent vin chaud ainsi que des gâteaux que les deux chiennes de la maison, aussi gourmandes que sympathiques et dodues, n'étaient pas les dernières à apprécier.

J'ai appris que la taque de la Chaslerie datait, comme je m'en doutais (et malgré les affirmations d'érudits locaux auto-proclamés), du XVIIème siècle car une très semblable est répertoriée sous le numéro 357 dans l'ouvrage de Philippe PALASI. En aparté avant qu'il ne s'exprime, j'ai fait part à ce dernier de mes connaissances à propos de ma taque et de celle, analogue, du logis de Sainte-Marie-la-Robert. Cela n'a pas eu l'heur de l'intéresser. J'ai d'ailleurs eu le sentiment qu'il était surtout motivé par le caractère mondain attaché à sa recherche ; son jugement sur les hommes me paraît en outre contestable si je me réfère à l'agent immobilier dont il fait à l'évidence grand cas et que j'ai vu se comporter comme un voyou. Je n'ai donc pas acheté son livre, qui m'a paru fort cher quoique d'une certaine qualité.
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"Arissou arissat, castagne lusente" ("bogue hérissée, châtaigne luisante"). Décidément, ce dicton issu de la terre de mes ancêtres me plaît beaucoup et je trouve qu'il résume mes caractère et comportement de façon assez magistrale.

Hier à Bourgon, le conférencier nous parlait de la propension des châtelains à décorer de leurs armes les plaques de cheminée et, ce matin au réveil, l'idée a fait son chemin. L'écu des LEDIN est bien en place dans la principale cheminée de la Chaslerie mais il reste un écu à repeindre ou sculpter sur le linteau de granit et je n'ai pas encore arrêté de parti à ce sujet. En revanche, l'idée d'apposer une devise quelque peu elliptique me conviendrait parfaitement. Mais je serais un peu gêné, malgré tout, de laisser cette trace sur la grande cheminée.

Donc voici ma dernière réflexion (outre ses finalités déjà énumérées, ce site prend ainsi la forme d'un testament) : pourquoi ne pas graver cette fière devise sur ma pierre tombale, dans la chapelle de la Chaslerie (où je souhaite être enterré), au-dessous de mes prénom et nom et de mes années de naissance et de décès, sans rien d'autre ? Je répugne en effet, contrairement à mon futur voisin Henri LEVEQUE, à étaler des titres et qualités dont je suis par ailleurs pourvu mais dont la vie m'a appris quelles sources de désenchantement ils représentent pour moi. En revanche, un clin d'œil de sous terre à BOURDIEU ne serait pas pour me déplaire. Surtout, il donnerait à mes héritiers la possibilité de ne pas oublier de quelle souche ils sont issus, sans compter qu'il leur fournirait, lors de lointaines "Journées du patrimoine" qu'ils commenteraient, une possibilité supplémentaire de faire assaut d'esprit sur le dos (au propre et au figuré) de leur géniteur peut-être enfin apaisé.

P.S. : "Second thoughts", ce dicton mériterait aussi de figurer sur le bandeau de notre site favori, juste au-dessous de "La Chaslerie - La Haute-Chapelle (Orne)". Car il me semble également s'appliquer fort bien à notre manoir favori. Je vais donc en parler à notre "geek" favori pour qu'il me dise si, d'après lui, ça ne ferait pas "too much".
Philippe JAMART
rédigé le Dimanche 21 Décembre 2014
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Pieter Brueghel l'Ancien - JEUX D’ENFANTS

Avec 320 personnages Bruegel a répertorié les 90 jeux d’enfants les plus populaires de son époque
Mise en scène parfaitement orchestrée des nombreux personnages
Absence totale d’expression sur le visage des enfants. Ils n’ont pas l’air heureux
A droite, cinq enfants arrachent les cheveux d’un autre
D’autres jouent au cerceau, à saute-mouton
A gauche du centre un cortège d’enfants joue aux mariés
Le cadre a été influencé par des vues de cités italiennes
Prépondérance du rouge et du bleu mis en relief par le brun clair et le vert du sol
Au centre du tableau petite pyramide de deux enfants qui portent un panier et d’un suivant vêtu de rouge
Ce centre est la clé du tableau car les enfants qui forment cette pyramide imitent les adultes
Le joli paysage en haut à gauche signifie que la nature est le seul aspect par lequel se rachète un monde dominé par la folie des hommes
Voici la liste des jeux :

1. Jouer à la poupée

2. Jouer à la Messe

3a. Le pistolet à l'eau

3b. L'oiseau (hibou) sur le perchoir

4. Le masque

5. L'escarpolette

6. Grimper par-dessus un clôture

7. Le poirier ou la chandelle

8. Le jeu du nœud

9. Les culbutes ou cumulets

10. À cheval sur la barrière

11. La noce

La scène du mariage, dans les Jeux d'enfants, se trouve au croisement exact des deux diagonales du tableau, doit-on y voir la dénonciation de ce sacrement? Ne serait-ce pas, au contraire l'endroit précis, la source même de l'enfant en tant que tel?

12. Le croc en jambe

Version jouée de la punition où l'on passait entre deux haies pour se faire battre.

13. Colin-maillard

14. Jeu avec un volatile

15. Les bulles de savon

16. Le moulinet à noix

Noix qui tourne comme un yo-yo

17a. Le Toton

Probablement dérivé d'un jeu de la Rome ancienne (totum, tout), - parce que le vainqueur gagnait tout - le toton était connu déjà au seizième siècle en France, la petite fille qui nous tourne le dos sur le tableau tient un Toton dans sa main gauche. Sorte de toupie à quatre côtés, c'est l'ancêtre de la roulette, chaque face ayant une fonction, au départ précisée par une lettre. Chacun mettait sa mise en piécettes dans un « pot » commun.

Le joueur faisait tourner le Toton: la face qui reste en l'air affichant une lettre:

P: comme piller ou A du Latin accipe, accepter - le joueur ne reprenait que sa mise.

N: de l'espagnol nada, rien, ou R: rien - le joueur ne reprenait pas sa mise.

J: du français du Moyen Âge jocque, jeu - le joueur devait doubler sa mise.

F: de l'ancien français fors, « dehors », ou T , totum: le joueur gagnait tout le pot et terminait le jeu.

Il semble qu'il ait évolué vers un toton hexagonal en Angleterre, sous la forme de chiffres comme aux dés. La grandeur du toton du tableau suggère que l'on devait le faire tourner à deux mains. Plus tard, plus petit, on pouvait le lancer à deux doigts.

Par extension au XIXe siècle ça signifiait simplement une petite toupie.

17b. 'Animal' (chien) tenu en laisse (?)

Chien en pierre ou en brique tenu en laisse ?

18. Les osselets

19. Le cortège de baptême

Jouer au baptême, la marche en canard de la procession des adultes qui ramenait solennellement l'enfant à la maison après son baptême.

On peut voir chez Brueghel un prétexte à dénoncer la folie humaine : la huque bleue - sorte de capeline - que porte un enfant dans sa parodie de procession du baptême.

Se couvrir d'une huque bleue signifiait à l'époque de Brueghel l'ancien la couleur du mari trompé. C'est le rappel d'autres tableaux de Pieter Brueghel. La huque apparaît aussi dans le combat de carnaval et de Carême.

20. Pair ou impair

Devinette avec les doigts: droit ou courbé

21. Le casse-pot

22. Les échasses

23. Saute-mouton

24. Combat équestre

25. La chaise

26. Le cavalier sur son cheval de bois (cheval-bâton)

27. Remuer des excréments avec un bâtonnet

28. Flûte et tambour

29. Le cerceau

30. Crier par la bonde du tonneau

31. Le cerceau à grelots

32. À califourchon sur un tonneau

33. Le jeu des bonnets

34. Enfant avec cramique

Le pain de Baptème,

Cougnou (latin cuneolus), céramique en forme de bonhomme, offert aussi (plus petit) avec du café après un décès où à la Noël.

35. La punition ou le tape-cul

36. Marcher avec la vessie

Ballon en vessie de porc ou de mouton

37. Combien de cornes a le bouc?

38. Jouer au magasin

38b L'argile rouge

La fillette qui joue à la marchande, dans le coin inférieur droit, elle gratte une brique rouge afin de préparer les pigments du peintre, et l'artiste a signé au-dessous BRUEGEL 1560.

39. Lancement du couteau

40. Jeu de construction

Construire un Puits

41. Tirer les cheveux

42. Attraper les insectes (mouches)

Ancêtre du filet à papillon…

43. Le jeu du fléau

44. La bloquette ou la fossette

44b. Bataille de toupie (66?)

45a. Les piécettes

Les joueurs lancent des piécettes contre un mur, celui qui place sa pièce le plus près du mur a gagné.

45b. Faire tourner le bonnet au bout d'un bâton

46. La procession

47. Jouer au portier

48. Qui a la balle?

49. À cheval sur les épaules

50. Chanter de porte en porte

51. Feu de la Saint-Jean

52. Chevaucher un balai

53. Se pousser

54. Cachette courir

55. La queue du diable

56. La lutte

57. Le diable enchaîné

58. Courir en sautant vers le haut sur une porte de cave

59. Les quilles

60. Le petit bâton

61. Le jeu des noix

62. Les grandes échasses

63a. La barre-fixe

63b. La roue

64. Tenir le balai en équilibre

65. Cache-cache

66a. La toupie à ficelle

Deux sortes de toupies étaient en compétition, celle qui était enroulée d'une corde et l'autre qui était relancée par un fouet.

66b. La toupie-fouet

67. Le panier

68. Le ruban

69. Qui vais-je choisir?

Version de Maman, maman où est ton enfant

70. Faire pipi

71. Jeu de boules

72. Jeux de robe

73. Grimper sur un arbre

74. La baignade

75. Faire trempette

76. La nage avec des vessies de porc

77. Le roi détrôné

78. Jeu dans le sable

79. Tournoi aux moulinets

80. La crécelle

N.D.L.R. : Une bonne génération avant la Chaslerie. Mais 90 jeux ou 80 ?

Fausseté et imposture

Voici une situation dans laquelle je me retrouve souvent : j'emploie un mot qui me paraît clair, et soudain, l'ayant considéré de près, il me devient étrange, et je m'aperçois qu'en fait je ne sais quasiment rien, ni de la chose qu'il désigne, ni de lui.

C'est ce qui m'est arrivé avant-hier. Après avoir parlé de braguette, je me suis interrogé : qu'est-ce que tu connais vraiment de la braguette ? Quelle est son origine, son histoire ? Et quelle est l'étymologie du mot ?

Sur ce dernier point, Wikipedia nous dit que braguette (de même que bérêt et tonneau), fait partie des quelques mots de la langue francaise qui dérivent directement du gaulois. (C'est cohérent avec le fait qu'il est fréquemment associé à des gauloiseries.)

Pour la chose elle-même, je ne vais pas recopier l'encyclopédie : que chacun, si ça l'intéresse, la consulte. Je relèverai simplement que la braguette apparaît à la fin du Moyen-âge, lorsque les hommes cessent de porter des robes et que les vêtements raccourcissent. A l'origine, nous dit Wikipedia, c'est une sorte de poche, dans laquelle il n'est pas rare qu'on range son mouchoir, ni qu'on cache sa bourse (dans les deux sens du terme, je suppose), voire même (et c'est plus étonnant) qu'on fasse mûrir des fruits. De préférence des noix ou des prunes, supposé-je encore.

Du coup, l'endroit gonfle jusqu'à de prétentieuses proportions, et finit, sous François Ier et Henri II, par figurer un sexe en érection, ce dont Montaigne ne manque pas de se moquer dans les Essais : d'abord en critiquant « cette vaine et inutile pièce moulant un membre que nous ne pouvons pas seulement nommer honnêtement, dont toutefois nous faisons ostentation et parade en public » (Livre I,13), puis en s'interrogeant sur l'utilité de « l'exposition que nous faisons maintenant de nos parties génitales sous nos culottes, et souvent, qui pis est, au-delà de leur grandeur naturelle, par fausseté et imposture » (III, 5)

Passé le XVIè siècle, la mode change. Les choses, si j'ose dire, rentrent dans le rang. Au XVIIIè siècle « la braguette sera remplacée par le pont sur la culotte de l’aristocrate. Pour les autres classes sociales, elle prendra l’aspect d’une fente à l’avant du pantalon fermée par des boutons. »

N.D.L.R. : Merci de pousser notre éducation, y compris en période de vacances scolaires et sur un point aussi fondamental.

Ah oui, j'allais oublier l'essentiel : contemporaine de la Chaslerie !