Références culturelles

Le quatuor Elmire remporte le 2ème prix ex-æquo du 77ème concours de Genève, ainsi que le prix spécial de la fondation Etrillard (récompensant le projet artistique personnel le plus remarquable).

Le premier prix de ce concours est attribué au Novo quartet (Danemark).

Je félicite nos amis David PETRLIK et Hortense FOURRIER pour cette performance qui lance et consacre le grand début de leur carrière internationale.
Nous les recevrons toujours avec le même plaisir dans le Domfrontais, c'est-à-dire, pour ce qui nous concerne, à la Chaslerie et sous l'égide de "La SVAADE" !

Nous espérons en particulier avoir l'honneur de présenter le quatuor Elmire au public de "La SVAADE" dès 2024 !
// STRING QUARTET LAUREATES //
The NOVO Quartet from Denmark has won 1st Prize of the 77th Concours de Genève!!

2nd Prize was jointly awarded to Quatuor Elmire (France)...

... and Hana Quartet (Germany).

Huge congratulations to them all!! 🎉🎉🎉
The Final Round was held at Victoria Hall, in Geneva, Switzerland. Rewatch the Final on our YouTube Channel (link in bio)!
FIRST PRIZE
Novo Quartet
SECOND PRIZE EX AEQUO
Hana Quartett
Quatuor Elmire
➡️ SEE COMPLETE LIST OF OFFICIAL PRIZES & SPECIAL PRIZES ON www.concoursgeneve.ch (link in bio)
Official Jury members:
Corina Belcea (Jury Chair)
William Coleman
Gabriel Le Magadure
Christian Poltéra
Lesley Robertson
Vineta Sareika
Lydia Shelley
Photo by Anne-laure Lechat

// LAURÉATS DU QUARTET STRING //
Le NOVO Quartet du Danemark a remporté le 1er prix du 77ème Concours de Genève !! Le 2e prix a été décerné conjointement au Quatuor Elmire (France) et au Quartet Hana (Allemagne). Énorme bravo à eux tous !! 🎉🎉🎉
Le dernier tour s'est tenu hieri au Victoria Hall, à Genève, en Suisse. Revoir la finale sur notre chaîne YouTube (lien en bio) !
PREMIER PRIX
Quatuor Novo
DEUXIÈME PRIX EX AEQUO
Quatuor Hana
Quatuor Elmire
➡️ VOIR LA LISTE COMPLÈTE DES PRIX OFFICIELS & PRIX SPÉCIAUX SUR www.concoursgeneve.ch (lien dans la bio)
Membres officiels du jury :
Corina Belcea (présidente du jury)
William Coleman
Gabriel Le Magadure
Christian Poltéra
Lesley Robertson
Vineta Sareika
Lydia Shelley
Photo par Anne-laure Lechat

N.D.L.R. : Comme le rappelle par ailleurs "The Violin Channel", "In addition to cash prizes, all three ensembles will also receive two years of management from the Sartory Artists agency, and a number of special career workshop sessions — highlighting different subjects such as performance, health, career management, image, and social media."

Superbe nouvelle !
Je viens de recevoir un très gentil coup de fil de David PETRLIK que j'ai beaucoup félicité. Il s'est ouvert à moi de ses réflexions à l'occasion du "Concours de Genève" et de ses projets. Il m'a beaucoup remercié pour le soutien apporté via le site favori.

Il m'a confirmé la venue du quatuor Elmire à la Chaslerie dans le cadre de "La SVAADE".
Il appartient à Xavier MEYER de prendre le relais pour l'organisation de ce qui sera sans nul doute une grande fête et un grand honneur pour nous tous.
Je n'ai pas osé lui demander la confirmation de la date mais, lors de sa dernière venue à la Chaslerie, début octobre, on avait parlé du 25 mai 2024.
Bien entendu, nous serons très heureux de revoir et d'accueillir à cette occasion ses parents et ceux d'Hortense.

Il se confirme ainsi que le programme 2024 de "La SVAADE" démarrera sur les chapeaux de roue...
Quatuor Elmire (via "Instagram")
rédigé le Mardi 31 Octobre 2023
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (artistes et artisans) - Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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⭐️ We just won the 2nd Prize at the Geneva International Competition !! ⭐️

Big project and announces to come with the Fondation Etrillard who are supporting us ! Thank you so much for this special prize ⭐️

Thank you to the Concours for the amazing organisation and to our host family 🙏

@fondationetrillard @concoursgeneve @theviolinchannel @the_strad_

Video by our dear @amauryviduvier @avid_musicart ⚡️

@davidpetrlik @yoan_brakha @hortense.fourrier @remicarlon

N.D.L.R. : Nous sommes ravis de vous voir si heureux ! Vous avez tant de magnifiques projets à réaliser ! Merci de nous donner tant d'espoir !
Anthologie de la répartie (via "X")
rédigé le Dimanche 5 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Une dame s'exclame devant Groucho Marx :

- Ah, que j’aime la nature !

- Vous n’êtes pas rancunière, après tout ce qu’elle vous a fait.

Front Populaire
rédigé le Mardi 7 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
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Procès Dupond-Moretti : la justice politique, encore et toujours
Régis de CASTELNAU
06/11/2023

CONTRIBUTION / ANALYSE. Éric Dupond-Moretti comparaît aujourd'hui devant la Cour de justice de la République (CJR) pour prise illégale d'intérêts. Mais quoi que l'on puisse penser du garde des Sceaux, de son bilan, de son macronisme, force est de reconnaître que l'affaire est trouble… Pour l'avocat Régis de Castelnau, il faut y voir l'action d'une magistrature politisée qui cherche à faire payer l'exécutif.

Crédits illustration : © Jacques Witt/SIPA


L’audience qui s’ouvre devant la Cour de Justice de la République est un scandale institutionnel, et sûrement pas du côté cette fois-ci du pouvoir exécutif, incarné par Éric Dupond-Moretti, mais bien d’une magistrature devenue force politique et qui se croit tout permis.

Que s’est-il passé et comment en est-on arrivé à cette situation invraisemblable où le garde des Sceaux en exercice est poursuivi devant la juridiction chargée de juger les actes des ministres dans l’exercice de leur mandat ?

Probablement couvert par Emmanuel Macron, Éric Dupond Moretti a refusé de démissionner et il a eu raison. Mais la procédure dont il est l’objet, voulue avec acharnement par la magistrature, laissera des traces profondes qui vont encore affaiblir un peu plus les institutions. En particulier sur l’application du principe fondamental de la séparation des pouvoirs.

Au-delà du battage médiatique et des récupérations politiciennes cyniques ou ignorantes qui n’ont pas manqué, force est de constater qu’il exprime la totalité du problème institutionnel auquel notre pays est confronté.

« Qui t’a fait roi ? »

Emmanuel Macron doit en premier lieu son élection du printemps 2017 à une forme de coup d’État, qui a impliqué la haute fonction publique, les médias, et le grand capital. Mais qui n’a été rendue possible que grâce à l’intervention délibérée de l’institution judiciaire qui, en disqualifiant en urgence François Fillon du scrutin, a ouvert un boulevard à un presque inconnu politique choisi par le bloc élitaire. Personne de sérieux aujourd’hui ne peut réfuter la réalité de ce scénario. Que ce soit au niveau du Parquet National Financier (PNF), autorité de poursuite, des magistrats instructeurs et du soutien d’un corps faisant bloc autour d’eux pour les justifier, la justice a pris parti et agi pour favoriser l’élection d’Emmanuel Macron. Une fois qu’elle l’a porté au pouvoir, la magistrature est restée cohérente. Toutes les affaires politiques financières qui pourraient s’avérer gênantes pour Macron et son système ont pu bénéficier d’un traitement adapté… Un traitement qui finit par s’apparenter à une protection : il suffit pour s'en assurer de voir les durées interminables de procédure, les prescriptions opportunes, les classements sans suite quand ce n’est pas simplement le silence obstiné face à des scandales avérés. L'affaire dite « McKinsey » en est d'ailleurs une singulière illustration. En revanche, gare à ceux qui peuvent mettre en difficulté le pouvoir macronien. Jean-Luc Mélenchon l’a fait l’expérience ce qui concerne les adversaires politiques. Et le massacre judiciaire du mouvement des Gilets jaunes démontre la vigilance répressive vis-à-vis des revendications sociales.

Il est difficile de contester ce traitement bien particulier qui permet aux amis d’Emmanuel Macron d’éviter les foudres de la justice, fussent-elles méritées, s’attaque à ses adversaires politiques et réprime sans mesure les mouvements sociaux. Mais il faut faire attention au contresens. N’étant plus soumis au pouvoir exécutif comme par le passé, ayant conquis son indépendance, le corps judiciaire est devenu une force politique autonome. Une force qui, un fois le concept d’impartialité passé aux oubliettes, se détermine en fonction de son idéologie et du poids politique qu’il entend avoir sur la société.

Le refus de la séparation des pouvoirs

Rappelons les faits : au mois de juillet 2020 dans une de ses opérations de communication dont Emmanuel Macron raffole, Éric Dupond-Moretti a été nommé à un des postes essentiels de la République. Erreur tactique et même probablement stratégique que d’installer place Vendôme un personnage dont la légitimité et les compétences à l’occuper apparaissaient assez faibles.

Avant même que l’opinion ait pu prendre la mesure de ce problème, la magistrature française s’est immédiatement cabrée contre la nomination d’abord d’un avocat, ensuite de quelqu’un qu’elle déteste. Ce fut l’invraisemblable déclaration de la présidente de la principale organisation syndicale de magistrats (USM) jetant gaiement par-dessus bord devoir de réserve et respect de la séparation des pouvoirs et n’hésitant pas à dire que « la nomination d’Eric Dupond Moretti- place Vendôme » constituait « une déclaration de guerre à la magistrature » ! Ce mot d’ordre a été immédiatement suivi par l’ensemble du corps au sein duquel se sont multipliés réunions, assemblées générales, communiqués vengeurs et déclarations solennelles comme celle, commune, de la première présidente de la Cour de cassation et du procureur général auprès de cette juridiction, c’est-à-dire les plus hautes autorités judiciaires de notre pays !

Éric Dupond-Moretti restant à son poste, il a fallu imaginer des moyens de le faire partir et de faire comprendre à l’exécutif que désormais, aux yeux des magistrats, le choix du ministre de la Justice leur appartenait. Tout le monde sait bien dans le monde judiciaire qu’ils attendaient la nomination de l’un des leurs – en l'occurrence François Molins, qui présentait quelques gages, dont le refus d’enquêter sur la disparition et le contenu du coffre-fort de Benalla. Grosse déception : il fallait donc réagir. C’est alors que les principales organisations syndicales représentant la grande majorité du corps ont eu l’idée de déposer contre le nouveau ministre une série de plaintes devant la Cour de Justice de la République, l’organe juridictionnel ayant compétence pour juger les fautes des ministres commises dans l’exercice de leurs fonctions et non détachables de celles-ci. La qualification choisie fut celle de « prise illégale d’intérêts ». Lesdites organisations syndicales savaient très bien que ces plaintes étaient irrecevables, puisque l’article 2 du code de procédure pénale prévoit que pour saisir le juge pénal, une personne privée (ce que sont ces organisations syndicales) doit justifier d’un préjudice personnel et direct né de la commission de l’infraction. Qu’à cela ne tienne : l’association Anticor, que certains qualifient de « parquet privé du parti socialiste », s’est associée à la procédure. Ce qui a permis de contourner le problème et d’éviter l’irrecevabilité des plaintes syndicales. Habile.

Où sont les conflits d’intérêts ?

Le nouveau pouvoir politique de la justice repose aussi sur la lâcheté et l’inculture judiciaire de la classe politique. Depuis trente ans, elle passe son temps à laisser la justice prendre ses aises et lui donne des pouvoirs de contrôle sur les autres pouvoirs séparés exécutifs et législatifs en espérant d’abord complaire à l’opinion publique, et en s’imaginant ensuite que la foudre tombera sur le voisin, ce qui au fond pourrait constituer une aubaine. L’ingénuité douloureuse affichée par François Fillon face au raid dont il était l’objet au printemps 2017 en est une jolie démonstration. Cette façon de donner des gages a conduit le législateur a confier aux seuls magistrats les poursuites et l’instruction dans les procédures devant la CJR.

Plaintes des organisations syndicales, frustration devant le choix de Dupond-Moretti comme garde des Sceaux, conduite de la poursuite par François Molins, alors avocat général auprès de la Cour de cassation, etc. On atteint quand même des records savoureux en matière de conflit d’intérêts. Et il se trouve que c’est précisément ce que l’on reproche à Éric Dupond-Moretti.

Justement qu’est-ce que la « prise illégale d’intérêts » ? Il faut d’abord rappeler que cette infraction prévue par le Code pénal n’incrimine pas d’effet mais sanctionne une situation : celle dans laquelle se trouve un décideur public dont les décisions pourraient être soupçonnées d’être prises pour des motifs d’intérêt privé. En effet, la décision publique doit être chimiquement pure, reposant exclusivement sur des motifs d’intérêt public. Il n’est pas question d’enrichissement, de détournement, de corruption, d’emplois fictifs mais simplement de faire peser un soupçon sur la décision publique. Trois conditions doivent être remplies pour que l’infraction soit constituée. Tout d’abord que la personne poursuivie soit un agent public ayant agi dans l’exercice de ses fonctions, ce qui est le cas d’Éric Dupond Moretti. Ensuite que cet agent public ait, en tant qu’agent public, ce que l’on appelle « la surveillance et l’administration » d’une affaire dans laquelle il a en même temps et concomitamment un intérêt privé. C’est l’exemple du maire qui, ès-qualité, attribue un marché public à une entreprise privée dont sa femme serait gérante.

Comme d’autres, l’avocat Éric Dupond Moretti a auparavant été victime d’une enquête préliminaire secrète du PNF dont il considérait qu’elle recèlait plusieurs infractions pénales. Comme d’autres toujours, il a déposé plainte lorsqu’il l'a appris. Sollicité pour devenir Garde des Sceaux, il l’a alors retirée et n’est par conséquent plus concerné en tant que personne privée par l’éventuelle procédure à venir. Il a eu également dans sa carrière des conflits avec des magistrats qui avaient donné lieu à des procédures disciplinaires. Donc il apparaît que le nouveau garde des Sceaux avait tenu à se tenir à l’écart.

Ces précisions sont indispensables pour détromper ceux qui s’imaginent de bonne foi que le Garde des Sceaux est poursuivi pour des infractions financières immorales. Et pour essayer, sans illusion, de faire taire les politiciens opportunistes de mauvaise foi qui se réjouissent une fois de plus d’instrumentaliser la justice à des fins politiques.

Sans illusion parce que c’est maintenant le risque que nous courons. La Cour de justice de la République est composée dans sa formation de jugement d’une majorité de parlementaires en proportion de la composition de l’Assemblée nationale. C’est ainsi que Danièle Obono, récemment nommée à la CJR, va être amenée à statuer sur le sort d’Éric Dupond-Moretti… Je considère tout de même que celui-ci est un piètre Garde des Sceaux, un représentant caricatural de la dimension mondaine du macronisme, au détriment des qualités qu’on attend d’un ministre en charge d’un des postes les plus importants de la République. Il fut un avocat médiatique tonitruant dont les prestations parfois de qualité, étaient surtout destinées à plaire aux journalistes qui lui ont construit une image adaptée à la société du spectacle. Cependant, ce sont bien les magistrats qui ont mis en place les mâchoires du « piège à cons » cher au cœur du regretté Jean-Patrick Manchette. Soit Éric Dupond-Moretti est relaxé et on peut faire confiance aux syndicats de magistrats pour hurler à la connivence et aux ignorants pour entonner le chant habituel du « tous pourris ». Soit, règlement de compte politique aidant, il est condamné et ce sera alors une défaite institutionnelle donnant à la justice un droit de regard sur les choix politiques de l’exécutif.

La République ferait bien de se pencher sur le fonctionnement de sa justice, qui constitue plus que jamais une force politique autonome.

N.D.L.R. : Dommage que l'auteur ne se relise pas mieux avant de signer.

Parfaitement d'accord sur "la lâcheté et l’inculture judiciaire de la classe politique" bien que, selon mon expérience et à mon (toujours) humble avis, ces lâcheté et inculture débordent très largement du champ judiciaire, et ceci à tous les niveaux de ladite classe (ou prétendue telle).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Novembre 2023
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Lors de sa visite d'hier, Arnaud PAQUIN, devant témoins (Xavier MEYER et Carole), a affirmé être frappé par la grande similitudes de la démarche, en matière de restauration de monuments historiques, entre l'abbé LELEGARD et moi.

L'abbé Marcel LELEGARD à l'abbaye de la Lucerne


Cette pensée me touche beaucoup et je considère que je ne puis qu'être extrêmement honoré de cette comparaison avec ce Maître que je n'ai dû croiser qu'une ou deux fois mais qui m'a beaucoup inspiré au cours de ces trente-deux dernières années.
Comme Jean-Jacques ROUCHERAY, du château de Pont-Rilly, ou Philippe FAVRE, du logis de Moullins. Deux autres connaissances au caractère difficile selon moi (qui en connais peut-être un rayon en la matière) mais dont les contributions, que j'admire énormément, touchent à mes yeux au merveilleux.

Je ne trouverais pas anormal qu'une statue de l'abbé LELEGARD soit érigée dans la cour de la D.R.A.C. de Normandie, pour rappeler à qui voudrait qu'en matière de restauration du patrimoine, l'engagement déterminé de quelques-uns vaudra toujours mieux que les rodomontades stériles ou coups de tampon nerveux de nombreux autres.

Plus efficacement, je devrais réfléchir à l'idée de donner le nom de Marcel LELEGARD à un espace de la Chaslerie.
Pourquoi pas l'avant-cour, par exemple ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Novembre 2023
Vie du site - Statistiques de fréquentation - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes - Références culturelles
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Des mises à jour intempestives (ou demandes de retombées commerciales) de mes comptes "Facebook" et "Google Analytics" m'empêchent dorénavant de me connecter à ces sites.

Je ne sais pas faire ce qu'ils semblent attendre de moi.
Ils me cassent les pieds.
J'ai bien envie de me passer d'eux.

P.S. (à 15 heures) : "Google Analytics" m'est revenu. Merci à "Cambérabéro" !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 8 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
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Trois bouquins que je me suis offerts récemment et que j'aimerais trouver le temps de lire :
- "Le labyrinthe des égarés", d'Amin MAALOUF, le nouveau secrétaire perpétuel de l'Académie Française,
- "Histoire intime de la Vè République - Tragédie française", de Franz-Olivier GIESBERT dont l’œil torve, selon moi, ne dissimule pas le grand amour de la vie,
- et "Secrets de vies" de Catherine NAY, un femme talentueuse, assurément, mais à qui j'ai toujours trouvé un aspect quelque peu glaçant.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 8 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Lu le dernier "Blake et Mortimer", intitulé "L'art de la guerre".

Sans grand intérêt selon moi alors que j'avais adoré les classiques d'Edgar P. JACOBS, surtout "Le Secret de la Grande Pyramide", "La Marque jaune" et attendais impatiemment la suite de "Le Piège diabolique" publiée dans "Le Journal de Tintin" des années 1960 et 1961... A moins que ce ne fut "S.O.S. Météores" en 1958 et 1959, mais étais-je un lecteur si précoce de cet hebdomadaire ?

P.S. (du 9 novembre 2023 à 8 heures 30) : Vérification faite, c'était "Le Piège diabolique".

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 9 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Désormais doté d'yeux neufs, je sens mon goût des bouquins revenir.

J'ai donc acheté ce matin :
- "Est-ce bien nécessaire, Monsieur le Ministre ?" de mon ancien élève à l'E.N.A. puis collègue au Trésor Jean-Pierre JOUYET,
- "Edmonde l'envolée" de Dominique de SAINT PERN, à propos d'Edmonde CHARLES-ROUX, parente d'un des mes anciens adjoints au Trésor,
- "Le piéton d'Italie" de Dominique FERNANDEZ, père d'un de mes anciens collègues (que j'aimais bien jusqu'à ce qu'il me fasse faux bond)
- et, comme se le devait dans le temps tout énarque qui se respecte, le dernier prix Goncourt, "Veiller sur elle" de Jean-Baptiste ANDREA.

On pourra estimer que je vis un peu trop dans mon monde, même par procuration. Quel mal à cela, après tout ?
Anthologie de la répartie (via "X")
rédigé le Vendredi 10 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Une starlette prétentieuse vient se plaindre auprès d'Henri-Georges Clouzot :

- Votre assistant m'a traitée de petite grue !

- Mets des talons hauts.

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(Début de citation)

Envoyé : vendredi 10 novembre 2023 22:10
À : Xavier Meyer
Objet : RE: Dona Sévène

Cher Xavier,

Merci beaucoup pour cet envoi très captivant et qui va m'aider à récupérer plus rapidement.

Amicalement,

PPF

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De : Xavier Meyer
Envoyé : vendredi 10 novembre 2023 22:04
À : Fourcade Pierre-Paul <penadomf@msn.com>
Objet : Dona Sévène

Pour animer votre repos …

Pavane pour une infante défunte, Ravel. Dona Sévène

Dona Sévène & Com' Bach 4tet Prélude de Franck.

X. Meyer

(Fin de citation)
Anthologie de la répartie (via "X")
rédigé le Dimanche 12 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
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Dans les meetings, Georges Mandel était parfois conspué en raison de ses origines juives. Un jour, un spectateur interrompt son discours en criant :

- Ta gueule, le circoncis !

- Votre femme est trop bavarde…


N.D.L.R. : De circonstance, isn't it ?
Levé depuis quatre heures du matin. J'ai terminé le laïus sur la terrasse et largement entamé celui sur la cour.

Un moment de détente en gardant le rythme (LISZT, "La Campanella" par Valentina LISITSA) avec cette virtuose dont l'appendice nasal me paraît idéal pour trier les lentilles, ce qui n'est d'ailleurs pas ma préoccupation immédiate.

P.S. (à 9 heures) : J'interromps la rédaction de mon projet de "diagnostic sanitaire". Voici où j'en suis rendu. Cela fait 293 pages à cette heure et 50 Mbits sous format "pdf" tel que digéré par mon ordi. Le nombre de pages n'est nullement une fierté à mes yeux. C'est seulement un indicateur de l'avancée de ce travail, à mon simple usage en quelque sorte.

Je n'ai en rien à ce stade traité de la question des tuyaux, c'est vraiment très barbant à mes yeux. Comme j'ai traité de la cour (bien sûr à ma façon), je m'accorde un "break".

Il faudrait ensuite que je vérifie si je ne dispose pas, dans ma photothèque, de meilleures photos que celles que j'ai retenues à cette heure, prises en quasi-totalité ce mois-ci et en prévision de ce travail.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 17 Novembre 2023
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
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Je poursuis, au rythme de mes insomnies, la lecture du dernier ouvrage de Jean-Pierre JOUYET, "Est-ce bien nécessaire, Monsieur le Ministre ?", sorte de confession publique et sur le tard de ce sympathique garçon qui se définit lui-même comme un "catholique de gauche".

Quel terrible aveu de naïveté, d'aveuglement et d'absurdité des œuvres d'une vie, au demeurant bien remplie, avant d'arriver à mettre des mots, à défaut d'avoir encore le temps d'agir, sur ce qui constitue le mal français : une parfaite incapacité de l'Etat à assumer ses missions régaliennes les plus élémentaires en dépit d'une dépense et d'une dette publiques invraisemblables, d'une effervescence constante de la création de normes par des armées de fonctionnaires incontrôlés et par des élus presque aussi nombreux et tout aussi inconséquents, toutes caractéristiques qui ne peuvent mener le pays qu'à un effondrement rapide dont on voit déjà, de toutes parts et en tous domaines, les signes annonciateurs les plus inquiétants ou les preuves les plus accablantes !
Les membres du fan-club ont déjà pu comprendre que l'interprétation traditionnelle de l'histoire de la Chaslerie est en train de vasciller sous les coups de boutoir renouvelés d'Arnaud PAQUIN et de ses intuitions inédites et brillantes, notamment mais pas uniquement lors de l'avant-dernière réunion de chantier (le 6 novembre dernier), puis de Xavier MEYER et de sa fille, tous deux actifs sur le front des archives, y compris à Rouen.

Il semble en effet pouvoir être considéré comme désormais établi que, contrairement à l'idée que je m'en faisais jusqu'alors, la chapelle Sainte-Anne de la Chaslerie n'est pas du XVème siècle mais du début du XVIIème. Et il paraît de plus en plus assuré que le mur Ouest de la terrasse, percé de toutes les meurtrières étonnamment orientées que l'on sait, n'est pas, comme je l'avais cru, un vestige d'un passé médiéval qui, sur ce point au moins, serait mythique mais une construction elle aussi de quelques années seulement postérieure à 1598, année de l’Édit de Nante et, localement, de la construction du logis de la Chaslerie tel qu'il nous est parvenu.

Si, comme il paraît probable, ces brillantes intuitions au pied des murs puis premiers résultats des recherches archivistiques complémentaires devaient être confirmés, cela voudrait dire que l'"étude de diagnostic d'ensemble" confiée à Arnaud PAQUIN aurait d'ores et déjà permis une sorte de révolution copernicienne dans la connaissance et l'interprétation de pans essentiels de l'histoire ancienne du manoir favori.