Météo
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 10 Mai 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 10 Mai 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 11 Mai 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 11 Mai 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 15 Mai 2012
Journal du chantier - Terrassement - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 15 Mai 2012
Journal du chantier - Terrassement - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
Comme le mauvais temps empêche Igor et Jonathan de poursuivre les travaux extérieurs, je leur ai demandé de commencer à dégager de son fatras la pièce située au-dessus du salon du logis.Le problème est que, lorsqu'on déverse les gravats dans la benne garée dans l'avant-cour, le vent soulève les poussières et les redépose sur les ardoises du toit où elles forment une croûte. Nous recherchons une solution.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 18 Mai 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Terrassement - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 18 Mai 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Terrassement - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
Carole me met la pression pour récupérer rapidement l'usage du salon et de la salle-à-manger du logis ; nous avons en effet entreposé les meubles du salon dans cette dernière pièce, le temps que le volume situé au-dessus du salon soit dégagée de ses gravats. De plus, Lucyna GAUTIER devrait passer demain et j'aimerais bien, d'ici là, avoir mis à jour les planches à changer sous l'argile dans cette pièce du 1er étage. Enfin, il fait de nouveau mauvais temps, ce qui freine les travaux extérieurs.
Par conséquent, j'ai demandé à Igor et Jonathan de reprendre leurs déblaiements ce matin :Nous avons, cette fois, mis en place un système de toboggan et bâche qui limite l'envol de poussières sans l'inconvénient, en l'état du chantier, d'une arrivée d'eau au-dessus du salon :
Par conséquent, j'ai demandé à Igor et Jonathan de reprendre leurs déblaiements ce matin :Nous avons, cette fois, mis en place un système de toboggan et bâche qui limite l'envol de poussières sans l'inconvénient, en l'état du chantier, d'une arrivée d'eau au-dessus du salon :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 6 Juin 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 6 Juin 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Je commence à être très préoccupé par la difficulté que j'éprouve à me trouver en mesure de soumettre aux autorités administratives concernées les dossiers qu'elles requièrent pour les différents travaux projetés ou même en cours à la Chaslerie.
Ainsi, la subvention promise pour le mur Ouest de la douve Nord est bloquée par l'absence de chiffrage par un certain tiers du nombre d'heures de travail de mes salariés. J'ai déjà transmis à la D.R.A.C. une première évaluation globale signée de ce tiers mais il semblerait que les chiffres doivent être précisés. Une idée serait apparemment de se caler sur un devis établi pour un autre mur par un maçon que je ne connais pas mais ayant pignon sur rue. Encore faudrait-il que ce devis n'ignore pas des données aussi essentielles que la différence d'expérience entre cinq maçons chevronnés et deux hommes toutes mains débutants, ou les intempéries, ou le nombre de parements, ou les plus-values pour le haut du mur, les joints, les chantepleures et le drainage indispensables, etc, etc...
Au demeurant, il est curieux qu'il soit encore nécessaire de fournir à la D.R.A.C. une prévision du nombre d'heures de travail nécessaires pour restaurer le mur Ouest de la douve Nord alors que ce travail est désormais achevé à près de 80 %, comme cela aurait pu être contrôlé à tout moment par n'importe qui, la Chaslerie étant ouverte au public tout au long de l'année. Je serais d'ailleurs étonné qu'un tel "reporting" de comptabilité analytique soit exigé des entreprises ayant pignon sur rue et me demande quelle règlementation pourrait fonder un tel pointillisme du contrôle dans le cas des particuliers employant leurs propres salariés ; en d'autres termes, pourquoi cette discrimination à l'encontre de ceux qui, comme moi, mettent en oeuvre des procédés plus économes pour tous les payeurs concernés, et en particulier pour les responsables des deniers publics ?
De même, pour la restauration de la cage d'escalier du logis, le S.D.A.P. d'Alençon me dit qu'il faut lui transmettre la "demande d'autorisation de travaux sur partie classée". J'ignore en quoi consiste cette n-ème paperasse mais c'est à l'architecte de le savoir et de faire le nécessaire, me semble-t-il.
Armons-nous de patience car il en faut énormément !
P.S. du 9 juin 2012 : Sur la "demande d'autorisation" évoquée ci-dessus, il semble que j'aie eu tort de considérer ce formulaire (qui m'avait bien été communiqué) comme inutile lorsque j'en ai pris connaissance. Plus exactement, ce document est bel et bien redondant mais il me fallait quand même, les procédures administratives étant ce qu'elles sont, le remplir et l'envoyer dans les circuits administratifs...
Ainsi, la subvention promise pour le mur Ouest de la douve Nord est bloquée par l'absence de chiffrage par un certain tiers du nombre d'heures de travail de mes salariés. J'ai déjà transmis à la D.R.A.C. une première évaluation globale signée de ce tiers mais il semblerait que les chiffres doivent être précisés. Une idée serait apparemment de se caler sur un devis établi pour un autre mur par un maçon que je ne connais pas mais ayant pignon sur rue. Encore faudrait-il que ce devis n'ignore pas des données aussi essentielles que la différence d'expérience entre cinq maçons chevronnés et deux hommes toutes mains débutants, ou les intempéries, ou le nombre de parements, ou les plus-values pour le haut du mur, les joints, les chantepleures et le drainage indispensables, etc, etc...
Au demeurant, il est curieux qu'il soit encore nécessaire de fournir à la D.R.A.C. une prévision du nombre d'heures de travail nécessaires pour restaurer le mur Ouest de la douve Nord alors que ce travail est désormais achevé à près de 80 %, comme cela aurait pu être contrôlé à tout moment par n'importe qui, la Chaslerie étant ouverte au public tout au long de l'année. Je serais d'ailleurs étonné qu'un tel "reporting" de comptabilité analytique soit exigé des entreprises ayant pignon sur rue et me demande quelle règlementation pourrait fonder un tel pointillisme du contrôle dans le cas des particuliers employant leurs propres salariés ; en d'autres termes, pourquoi cette discrimination à l'encontre de ceux qui, comme moi, mettent en oeuvre des procédés plus économes pour tous les payeurs concernés, et en particulier pour les responsables des deniers publics ?
De même, pour la restauration de la cage d'escalier du logis, le S.D.A.P. d'Alençon me dit qu'il faut lui transmettre la "demande d'autorisation de travaux sur partie classée". J'ignore en quoi consiste cette n-ème paperasse mais c'est à l'architecte de le savoir et de faire le nécessaire, me semble-t-il.
Armons-nous de patience car il en faut énormément !
P.S. du 9 juin 2012 : Sur la "demande d'autorisation" évoquée ci-dessus, il semble que j'aie eu tort de considérer ce formulaire (qui m'avait bien été communiqué) comme inutile lorsque j'en ai pris connaissance. Plus exactement, ce document est bel et bien redondant mais il me fallait quand même, les procédures administratives étant ce qu'elles sont, le remplir et l'envoyer dans les circuits administratifs...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 10 Juin 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Dimanche 10 Juin 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Lundi 11 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Malgré une météo qui, pour les dix prochains jours, est tout sauf réjouissante, Igor et Jonathan poursuivent leur travail sur le mur Ouest de la douve Nord :Tous les échafaudages disponibles ont été montés côté douve, de sorte que nous ne pouvons plus abriter ce chantier sous un parapluie, ce qui est un handicap.A ce jour, le mur s'élève au minimum 4,10 m au-dessus du fond de la douve. Je trouve qu'il a très belle allure :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 12 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 12 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
La bruine persistante empêchant de maçonner convenablement, j'ai demandé à Igor et Jonathan d'aller effectuer quelques fouilles sur le mur d'escarpe. Ils ont choisi librement le lieu de leur exploration, en aval du mur. Cela me convenait tout à fait puisque, du temps d'un précédent maçon, j'avais fait sonder un endroit en amont du même mur ; je me disais donc qu'avec le nouveau sondage, je pourrais extrapoler.
Mon souhait était que nous déterminions l'épaisseur de la maçonnerie du mur d'escarpe ainsi que la nature et la qualité de sa fondation.
Voici donc Igor et Jonathan au début de cette recherche, perdus dans la végétation :Ils ont commencé à gratter la terre au pied du mur... ... ce qui a permis de dégager de nombreuses pierres éboulées :La première leçon que l'on peut tirer de ce travail est donc que nous pourrions avoir de bonnes surprises en ce qui concerne le volume de pierres réutilisables (étant néanmoins signalé que nous n'avions pas fait aussi bonne pioche, loin de là, lorsqu'on avait examiné la partie amont du mur).
Un démontage partiel du mur, sur une cinquantaine de centimètres de largeur, a fait ressortir qu'à mi-hauteur, celui-ci avait environ 85 cm d'épaisseur et qu'il était monté exclusivement à la terre :Enfin, nous avons cherché à déterminer la qualité des fondations :On a ainsi constaté que les pierres de fondation étaient loin d'être énormes (leur taille est comparable à celle du tiers le plus gros des pierres du mur). Elles sont tout simplement juxtaposées sur l'argile du sol, sans plus de soin d'assemblage que sur le reste du mur.
En conclusion, des fondations légères ont suffi à un mur monté à la terre pour résister environ 500 ans. Ce sont les racines des arbres et arbustes poussés entre les pierres du mur qui, à la longue, ont fait là le plus de dégâts. Au terme de notre petite étude, on peut espérer que, dans la meilleure des hypothèses, on pourra retrouver sur place une moitié des pierres nécessaires à la restauration du mur d'escarpe. Rien dans ce mur ne donne à penser que sa construction soit différente de celle de l'ancien mur de terrasse ou bien de l'ancien mur Ouest de la douve Sud, deux restaurations achevées (ou en passe de l'être) avec succès. Contrairement au mur Ouest de la douve Nord, il n'y a pas de source qui cherche à se frayer un chemin à travers ce mur-ci. Donc sa restauration ne devrait pas nous poser de problème particulier autre que l'étalement du chantier dans le temps afin de nous permettre de réunir à un rythme suffisant les financements indispensables.
P.S. du 13 juin 2012 : La conclusion la plus nouvelle que je viens de tirer est celle relative à la quantité de pierres qui pourraient être réutilisées dans le cadre de la restauration du mur d'escarpe. A la réflexion, je me dis que cela vaudrait la peine de procéder à un ou deux autres sondages des éboulis au pied du mur pour examiner si on y retrouve autant de pierres que lors de nos fouilles d'hier. On profitera des prochaines précipitations pour nous y livrer (cela ne devrait donc pas tarder, hélas).
Mon souhait était que nous déterminions l'épaisseur de la maçonnerie du mur d'escarpe ainsi que la nature et la qualité de sa fondation.
Voici donc Igor et Jonathan au début de cette recherche, perdus dans la végétation :Ils ont commencé à gratter la terre au pied du mur... ... ce qui a permis de dégager de nombreuses pierres éboulées :La première leçon que l'on peut tirer de ce travail est donc que nous pourrions avoir de bonnes surprises en ce qui concerne le volume de pierres réutilisables (étant néanmoins signalé que nous n'avions pas fait aussi bonne pioche, loin de là, lorsqu'on avait examiné la partie amont du mur).
Un démontage partiel du mur, sur une cinquantaine de centimètres de largeur, a fait ressortir qu'à mi-hauteur, celui-ci avait environ 85 cm d'épaisseur et qu'il était monté exclusivement à la terre :Enfin, nous avons cherché à déterminer la qualité des fondations :On a ainsi constaté que les pierres de fondation étaient loin d'être énormes (leur taille est comparable à celle du tiers le plus gros des pierres du mur). Elles sont tout simplement juxtaposées sur l'argile du sol, sans plus de soin d'assemblage que sur le reste du mur.
En conclusion, des fondations légères ont suffi à un mur monté à la terre pour résister environ 500 ans. Ce sont les racines des arbres et arbustes poussés entre les pierres du mur qui, à la longue, ont fait là le plus de dégâts. Au terme de notre petite étude, on peut espérer que, dans la meilleure des hypothèses, on pourra retrouver sur place une moitié des pierres nécessaires à la restauration du mur d'escarpe. Rien dans ce mur ne donne à penser que sa construction soit différente de celle de l'ancien mur de terrasse ou bien de l'ancien mur Ouest de la douve Sud, deux restaurations achevées (ou en passe de l'être) avec succès. Contrairement au mur Ouest de la douve Nord, il n'y a pas de source qui cherche à se frayer un chemin à travers ce mur-ci. Donc sa restauration ne devrait pas nous poser de problème particulier autre que l'étalement du chantier dans le temps afin de nous permettre de réunir à un rythme suffisant les financements indispensables.
P.S. du 13 juin 2012 : La conclusion la plus nouvelle que je viens de tirer est celle relative à la quantité de pierres qui pourraient être réutilisées dans le cadre de la restauration du mur d'escarpe. A la réflexion, je me dis que cela vaudrait la peine de procéder à un ou deux autres sondages des éboulis au pied du mur pour examiner si on y retrouve autant de pierres que lors de nos fouilles d'hier. On profitera des prochaines précipitations pour nous y livrer (cela ne devrait donc pas tarder, hélas).
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 13 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 20 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 20 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Admirez les pectoraux d'Igor que j'ai réussi à photographier avant qu'il ne renfile un polo !Avec Jonathan, ils placent les dernières pierres avant la collerette du mur Ouest de la douve Nord, c'est-à-dire à 4,75 m au-dessus du fond de la douve.
Comme toujours, leur travail est très soigné, ce qui nécessite de retailler une grande proportion de pierres :
Comme toujours, leur travail est très soigné, ce qui nécessite de retailler une grande proportion de pierres :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 20 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers - Géologie - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 20 Juin 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Murs divers - Géologie - Météo - Désultoirement vôtre !
Du haut de ce mur, 4,75 m de maçonnerie vous contemplent !En rentrant ce soir à la Chaslerie, j'ai eu la bonne surprise de constater que le soleil avait dopé Igor et Jonathan : non seulement ils ont fini de monter le mur Ouest de la douve Nord jusqu'au niveau de la collerette, mais ils ont aussi nivelé le terrain surplombant ce mur en utilisant de la bonne terre. Certes, il reste pas mal d'éclats de grès sur le terrain mais Bernard les éliminera avec la placidité qu'on lui connaît. J'aurais également préféré que le mur soit jointoyé avant ce terrassement mais ne faisons pas la fine bouche !
Pour confectionner la collerette, il va nous falloir des dalles en grès d'ici, ce qui est difficile à trouver sauf si nous rouvrons la vieille carrière, en haut de l'Avenue de la Chaslerie ; nous en avions tiré les dalles utilisées pour couronner les 120 m du mur de terrasse, il y a trois ans déjà.
Pour confectionner la collerette, il va nous falloir des dalles en grès d'ici, ce qui est difficile à trouver sauf si nous rouvrons la vieille carrière, en haut de l'Avenue de la Chaslerie ; nous en avions tiré les dalles utilisées pour couronner les 120 m du mur de terrasse, il y a trois ans déjà.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 21 Juin 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 21 Juin 2012
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Météo - Désultoirement vôtre !
Quel printemps pourri ! En 21 ans de Normandie, je n'ai jamais vu cela, il a dû pleuvoir plus de 2 jours sur 3. Et ça continue de plus belle aujourd'hui.
Le bon côté de la chose, c'est qu'après l'élagage rigoureux et systématique que je leur ai fait subir au printemps, les arbres de la Chaslerie sont en très grande forme ; les troncs se développent et s'allongent comme je ne l'aurais jamais espéré. Il va falloir que je contacte Thierry BOURRE pour qu'il me réexplique comment et quand éclaircir les plantations.
Le bon côté de la chose, c'est qu'après l'élagage rigoureux et systématique que je leur ai fait subir au printemps, les arbres de la Chaslerie sont en très grande forme ; les troncs se développent et s'allongent comme je ne l'aurais jamais espéré. Il va falloir que je contacte Thierry BOURRE pour qu'il me réexplique comment et quand éclaircir les plantations.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Juin 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 27 Juin 2012
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Murs divers - Météo - Désultoirement vôtre !
Malgré une météo toujours tristounette et le terrain détrempé qui en résulte, la maçonnerie du dos d'âne du mur Ouest de la douve Nord devrait être achevée demain en début d'après-midi, pour la visite d'Arnaud TIERCELIN :Avant de commencer à jointoyer, il faudra consolider l'aval immédiat des chantepleures ; en effet, l'eau y coule en permanence, de sorte que la terre serait rapidement érodée si nous n'y prenions garde.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Juin 2012
Journal du chantier - Administration - Statistiques de fréquentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Météo - Vie du site - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 28 Juin 2012
Journal du chantier - Administration - Statistiques de fréquentation - Pouvoirs publics, élus locaux - Météo - Vie du site - Désultoirement vôtre !
Je sens un certain relâchement de l'attention en cette fin d'après-midi certes torride. Que se passe-t-il donc du côté du Nord Cotentin ? J'escomptais à tout le moins venant de cet horizon septentrional, une demande pressante de compte rendu de la visite de M. TIERCELIN...
Guy HEDOUIN
rédigé le Jeudi 28 Juin 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Ferronnerie - Menuiserie - Terrassement - Logis - Bâtiment Nord - Aile "de la belle-mère" - Ferme et son fournil - Murs divers - Liens divers - Archives, histoire, documentation - Transmission du patrimoine - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Météo - Vie du site - Désultoirement vôtre !
rédigé le Jeudi 28 Juin 2012
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Bonsoir,
Voilà, voilà, j'arrive, alors cette rencontre fut-elle fructueuse ?
Avez-vous eu un interlocuteur de choix ou me trompé-je sur ses connaissances des châssis ?
Je retiens mon souffle, dépêchez-vous, on manque d'air par ici.
A l'occasion, si les châssis de fenêtres de la boulangerie ne sont pas posés, une photo d'un plan plus rapproché, me rendrait service.
Bonne soirée !
N.D.L.R. : Ah ! Enfin vous voilà !
Je commence par vous répondre sur les nouveaux châssis de fenêtres de M. DUVEAU. Ils sont désormais posés. Voici ce que cela donne pour le fournil de la ferme :Il reste bien sûr à jointoyer et peindre tout cela. Compte tenu du fait qu'il s'agit, à ma demande, de doubles vitrages pour ce bâtiment destiné à être occupé l'hiver, je trouve que le résultat n'est pas mauvais. Qu'en dites-vous ?
S'agissant de la visite du représentant de la D.R.A.C., j'ai trouvé qu'elle s'est achevée dans un bien meilleur climat que celui que j'avais ressenti au départ. Alors qu'il faisait une chaleur torride, mon interlocuteur a en effet préféré commencer par une réunion dans mon bureau au cours de laquelle il a souhaité passer en revue les différents dossiers en suspens. Or il est de fait que ceux-ci sont nombreux. Manifestement, ma façon de rédiger des courriels (et, sans doute, des messages sur notre site favori) n'est pas ressentie par certains fonctionnaires comme une aide à ne pas mélanger les informations dont ils ont besoin dans le cadre de leurs procédures ; il faudrait que j'en tienne compte à l'avenir. Ainsi :
- pour la restauration de la charpente et de la couverture des écuries, j'ai rappelé que je faisais en sorte de lancer ces travaux au premier semestre 2013 mais que je devais attendre que mon fils aîné ait décidé, en liaison avec l'architecte, s'il y a lieu ou non de modifier les lucarnes, d'en ajouter ou d'en enlever ; je pense que mes explications ont convaincu que le problème était pris ici à bras le corps ;
- pour les travaux du menuisier et du forgeron sur diverses fenêtres du logis et du bâtiment Nord, mon interlocuteur savait que j'avais déjà encaissé les subventions correspondantes mais ignorait si les travaux avaient été effectués ; il paraît en effet que manque à ses dossiers de suivi une certification émanant du S.D.A.P. Il a néanmoins pu se rendre compte que tous ces travaux avaient bel et bien été réalisés ;
- puis il a abordé le dossier de la cage d'escalier du logis ; après que Lucyna GAUTIER a fourni, comme on le sait et suite à la demande de la D.R.A.C., son estimation du nombre d'heures de travail de mes employés, il semble qu'il faille désormais expliciter la nature précise des travaux que ces derniers réaliseront ; ceci ne me pose pas de problème ; j'espère seulement que ce nouveau document que je vais préparer sans délai sera le dernier qui me sera réclamé avant que le dossier de demande de subvention ne puisse être déclaré complet ; il m'a semblé en tout cas qu'à l'occasion de ce dossier, mon interlocuteur avait bien compris l'économie réalisable par rapport à un devis officiel, ce qui est un point essentiel à mes yeux ;
- pour le mur Ouest de la douve Nord, mon interlocuteur a souhaité de nouveaux justificatifs sur deux points : le nombre d'heures de travail de mes employés et l'utilité du poste "aléas" dans le chiffrage de Lucyna GAUTIER (d'autant que ce dernier date quasiment de la fin du chantier) ; sur le premier point, je suis en mesure de fournir toutes explications et même de nombreuses photos confirmant la réalité des travaux effectués (qualité des fondations, double parement du montage, soin des travaux, réalité des drainages, durée précise de chaque tâche, etc...) ; sur le second point, il nous reviendra, à l'architecte et à moi, d'exposer que le poste "aléas" a été conçu comme un fourre-tout destiné à parer à l'incertitude de postes non facturés par des tiers ; donc il me semble que tout cela est un petit peu fastidieux à détailler mais que nous devrions pouvoir fournir rapidement les explications attendues ;
- pour le mur d'escarpe, j'ai exposé les démarches en cours afin de détourner le filet d'eau au fond de la douve, ce qui a sans doute rassuré mon interlocuteur sur mon souci de respecter toutes les réglementations, même extérieures à son champ de compétence. Sur le fond, mon interlocuteur a estimé que je pourrais être autorisé très rapidement à démonter le mur existant mais qu'il lui faudrait davantage d'éléments avant d'autoriser le coulage des nouvelles fondations ; c'est, d'après moi, à ce moment-là de notre entretien que l'atmosphère s'est détendue et que le dialogue est clairement devenu constructif ; j'ai en effet exposé que je répugnais à faire intervenir un cabinet d'études coûteux pour des calculs de fondations que je saurais effectuer moi-même, s'agissant d'un mur de soutènement parfaitement classique, et mon interlocuteur, lui aussi ingénieur, l'a admis ; ceci était un point crucial pour moi. A partir de là, la conversation a porté librement sur les complexités des procédures et j'ai pris bonne note des références internet d'un document établi par les conservateurs régionaux des monuments historiques pour tâcher d'éclairer le public ; j'étudierai ce document.
Voilà, je pense, l'essentiel de ce que nous nous sommes dits dans mon bureau. Nous sommes ensuite allés sur le terrain. J'ai commencé par montrer l'intérieur du bâtiment Nord et donné un aperçu de l'intérieur du logis. Mon interlocuteur a ainsi pu se rendre compte du fait, étonnant pour tout observateur sensé, que je fais passer la préservation du gros-œuvre de la Chaslerie avant le confort de ma petite famille ; à mon avis, il ne doit pas rencontrer souvent de zigotos de mon acabit ; il est même probable que tout fonctionnaire des affaires culturelles doit se réjouir du fait que, tel Bernard Palissy, je sacrifie énormément à l'intérêt du bâtiment. Mon interlocuteur a cependant noté la grande humidité de la première volée de la cage d'escalier (due, selon moi, au très brutal réchauffement de l'atmosphère au cours des dernières 24 heures ainsi qu'à l'usage abusif de ciment par mes prédécesseurs).
Ce n'est donc qu'à la fin de la visite que nous sommes allés examiner les douves. Nous sommes très rapidement passés à côté d'Igor et de Jonathan (il m'a semblé que la qualité de leur travail avait fortement impressionné). Mon interlocuteur s'est cependant étonné des joints creux ; je lui ai répondu que c'était habituel dans le Domfrontais, à la différence du Perche par exemple (je me suis cependant abstenu de lui signaler que les joints du châtelet d'entrée d'un manoir géographiquement voisin, le manoir de la G., étaient ainsi, à mes yeux, complètement ratés). Enfin, nous sommes descendus dans les douves et mon visiteur y a pris de nombreuses photos.
Au final, M. TIERCELIN m'a semblé tout à fait rassuré par les travaux réalisés ainsi que par la coïncidence entre mes déclarations sur le mur d'escarpe et ce qu'il a pu constater d'autant plus aisément que l'herbe avait été coupée à son intention. Je retiens également qu'il m'a assuré que les promesses de subventions seraient bien (sauf circonstance majeure exceptionnelle) tenues et que je n'ai pas non plus de souci à me faire à propos des subventions nécessaires pour la restauration du mur d'escarpe et des biefs. Nous sommes convenus de rester en contact si j'avais d'autres éclaircissements à demander sur les textes.
Nous n'avons guère parlé de la passion de mon interlocuteur pour les châssis anciens de fenêtres. J'espère bien que cela sera possible à notre prochaine rencontre.
P.S. (du 7 juin 2017) : Avec le recul de 5 ans supplémentaires de travaux (et de galères, administraaaâââtives et autres), je trouve que la lecture de ce compte rendu conserve quelque chose de réconfortant pour moi.
Voilà, voilà, j'arrive, alors cette rencontre fut-elle fructueuse ?
Avez-vous eu un interlocuteur de choix ou me trompé-je sur ses connaissances des châssis ?
Je retiens mon souffle, dépêchez-vous, on manque d'air par ici.
A l'occasion, si les châssis de fenêtres de la boulangerie ne sont pas posés, une photo d'un plan plus rapproché, me rendrait service.
Bonne soirée !
N.D.L.R. : Ah ! Enfin vous voilà !
Je commence par vous répondre sur les nouveaux châssis de fenêtres de M. DUVEAU. Ils sont désormais posés. Voici ce que cela donne pour le fournil de la ferme :Il reste bien sûr à jointoyer et peindre tout cela. Compte tenu du fait qu'il s'agit, à ma demande, de doubles vitrages pour ce bâtiment destiné à être occupé l'hiver, je trouve que le résultat n'est pas mauvais. Qu'en dites-vous ?
S'agissant de la visite du représentant de la D.R.A.C., j'ai trouvé qu'elle s'est achevée dans un bien meilleur climat que celui que j'avais ressenti au départ. Alors qu'il faisait une chaleur torride, mon interlocuteur a en effet préféré commencer par une réunion dans mon bureau au cours de laquelle il a souhaité passer en revue les différents dossiers en suspens. Or il est de fait que ceux-ci sont nombreux. Manifestement, ma façon de rédiger des courriels (et, sans doute, des messages sur notre site favori) n'est pas ressentie par certains fonctionnaires comme une aide à ne pas mélanger les informations dont ils ont besoin dans le cadre de leurs procédures ; il faudrait que j'en tienne compte à l'avenir. Ainsi :
- pour la restauration de la charpente et de la couverture des écuries, j'ai rappelé que je faisais en sorte de lancer ces travaux au premier semestre 2013 mais que je devais attendre que mon fils aîné ait décidé, en liaison avec l'architecte, s'il y a lieu ou non de modifier les lucarnes, d'en ajouter ou d'en enlever ; je pense que mes explications ont convaincu que le problème était pris ici à bras le corps ;
- pour les travaux du menuisier et du forgeron sur diverses fenêtres du logis et du bâtiment Nord, mon interlocuteur savait que j'avais déjà encaissé les subventions correspondantes mais ignorait si les travaux avaient été effectués ; il paraît en effet que manque à ses dossiers de suivi une certification émanant du S.D.A.P. Il a néanmoins pu se rendre compte que tous ces travaux avaient bel et bien été réalisés ;
- puis il a abordé le dossier de la cage d'escalier du logis ; après que Lucyna GAUTIER a fourni, comme on le sait et suite à la demande de la D.R.A.C., son estimation du nombre d'heures de travail de mes employés, il semble qu'il faille désormais expliciter la nature précise des travaux que ces derniers réaliseront ; ceci ne me pose pas de problème ; j'espère seulement que ce nouveau document que je vais préparer sans délai sera le dernier qui me sera réclamé avant que le dossier de demande de subvention ne puisse être déclaré complet ; il m'a semblé en tout cas qu'à l'occasion de ce dossier, mon interlocuteur avait bien compris l'économie réalisable par rapport à un devis officiel, ce qui est un point essentiel à mes yeux ;
- pour le mur Ouest de la douve Nord, mon interlocuteur a souhaité de nouveaux justificatifs sur deux points : le nombre d'heures de travail de mes employés et l'utilité du poste "aléas" dans le chiffrage de Lucyna GAUTIER (d'autant que ce dernier date quasiment de la fin du chantier) ; sur le premier point, je suis en mesure de fournir toutes explications et même de nombreuses photos confirmant la réalité des travaux effectués (qualité des fondations, double parement du montage, soin des travaux, réalité des drainages, durée précise de chaque tâche, etc...) ; sur le second point, il nous reviendra, à l'architecte et à moi, d'exposer que le poste "aléas" a été conçu comme un fourre-tout destiné à parer à l'incertitude de postes non facturés par des tiers ; donc il me semble que tout cela est un petit peu fastidieux à détailler mais que nous devrions pouvoir fournir rapidement les explications attendues ;
- pour le mur d'escarpe, j'ai exposé les démarches en cours afin de détourner le filet d'eau au fond de la douve, ce qui a sans doute rassuré mon interlocuteur sur mon souci de respecter toutes les réglementations, même extérieures à son champ de compétence. Sur le fond, mon interlocuteur a estimé que je pourrais être autorisé très rapidement à démonter le mur existant mais qu'il lui faudrait davantage d'éléments avant d'autoriser le coulage des nouvelles fondations ; c'est, d'après moi, à ce moment-là de notre entretien que l'atmosphère s'est détendue et que le dialogue est clairement devenu constructif ; j'ai en effet exposé que je répugnais à faire intervenir un cabinet d'études coûteux pour des calculs de fondations que je saurais effectuer moi-même, s'agissant d'un mur de soutènement parfaitement classique, et mon interlocuteur, lui aussi ingénieur, l'a admis ; ceci était un point crucial pour moi. A partir de là, la conversation a porté librement sur les complexités des procédures et j'ai pris bonne note des références internet d'un document établi par les conservateurs régionaux des monuments historiques pour tâcher d'éclairer le public ; j'étudierai ce document.
Voilà, je pense, l'essentiel de ce que nous nous sommes dits dans mon bureau. Nous sommes ensuite allés sur le terrain. J'ai commencé par montrer l'intérieur du bâtiment Nord et donné un aperçu de l'intérieur du logis. Mon interlocuteur a ainsi pu se rendre compte du fait, étonnant pour tout observateur sensé, que je fais passer la préservation du gros-œuvre de la Chaslerie avant le confort de ma petite famille ; à mon avis, il ne doit pas rencontrer souvent de zigotos de mon acabit ; il est même probable que tout fonctionnaire des affaires culturelles doit se réjouir du fait que, tel Bernard Palissy, je sacrifie énormément à l'intérêt du bâtiment. Mon interlocuteur a cependant noté la grande humidité de la première volée de la cage d'escalier (due, selon moi, au très brutal réchauffement de l'atmosphère au cours des dernières 24 heures ainsi qu'à l'usage abusif de ciment par mes prédécesseurs).
Ce n'est donc qu'à la fin de la visite que nous sommes allés examiner les douves. Nous sommes très rapidement passés à côté d'Igor et de Jonathan (il m'a semblé que la qualité de leur travail avait fortement impressionné). Mon interlocuteur s'est cependant étonné des joints creux ; je lui ai répondu que c'était habituel dans le Domfrontais, à la différence du Perche par exemple (je me suis cependant abstenu de lui signaler que les joints du châtelet d'entrée d'un manoir géographiquement voisin, le manoir de la G., étaient ainsi, à mes yeux, complètement ratés). Enfin, nous sommes descendus dans les douves et mon visiteur y a pris de nombreuses photos.
Au final, M. TIERCELIN m'a semblé tout à fait rassuré par les travaux réalisés ainsi que par la coïncidence entre mes déclarations sur le mur d'escarpe et ce qu'il a pu constater d'autant plus aisément que l'herbe avait été coupée à son intention. Je retiens également qu'il m'a assuré que les promesses de subventions seraient bien (sauf circonstance majeure exceptionnelle) tenues et que je n'ai pas non plus de souci à me faire à propos des subventions nécessaires pour la restauration du mur d'escarpe et des biefs. Nous sommes convenus de rester en contact si j'avais d'autres éclaircissements à demander sur les textes.
Nous n'avons guère parlé de la passion de mon interlocuteur pour les châssis anciens de fenêtres. J'espère bien que cela sera possible à notre prochaine rencontre.
P.S. (du 7 juin 2017) : Avec le recul de 5 ans supplémentaires de travaux (et de galères, administraaaâââtives et autres), je trouve que la lecture de ce compte rendu conserve quelque chose de réconfortant pour moi.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 4 Juillet 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Menuiserie - Bâtiment Nord - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 4 Juillet 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Menuiserie - Bâtiment Nord - Météo - Désultoirement vôtre !
Comme il a plu (pour changer...) une partie de l'après-midi, Igor et Jonathan ont profité de la présence de l'aspirateur de compétition des menuisiers pour retailler des pierres d'une embrasure de fenêtre dans ma "chambre mortuaire" :Armés de la disqueuse, ils ont ainsi pu faire disparaître des malfaçons d'un précédent maçon qui auraient gêné la prochaine pose de boiseries aux murs de cette pièce.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 6 Juillet 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 6 Juillet 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
Quand, comme aujourd'hui, il ne cesse pratiquement pas de pleuvoir, je suis obligé de confier à Igor et Jonathan des travaux à l'abri. J'ai de plus le souci de permettre à Carole de récupérer son salon le plus vite possible. Il faut dire que nous n'en prenons pas toujours le chemin comme elle va le découvrir ce week-end :Igor et Jonathan ont donc gratté l'aubier des solives du plafond du salon puis les ont enduites d'un produit vermicide recommandé par Sébastien LEBOISNE :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 8 Juillet 2012
Météo - Annonces - Dans l'Orne - Désultoirement vôtre !
rédigé le Dimanche 8 Juillet 2012
Météo - Annonces - Dans l'Orne - Désultoirement vôtre !
Et, toujours sous la pluie, promenade ce matin dans les rues de Domfront, pour accompagner le coq de l'église Saint-Juilen qui allait être béni par l'évêque de Séez, Mgr Jacques HABERT...... afin de marquer l'avancement des travaux de restauration du clocher, grâce à l'association présidée par Jacques LAURENSOU (à droite sur la photo) :Nous avons suivi la procession entraînée par des troupes folkloriques dont "Le Trou Normand" ...... ici devant "L'auberge de Grandgousier"...... puis devant l'échauguette...... enfin, devant la porte d'Alençon :
Guy HEDOUIN
rédigé le Mercredi 11 Juillet 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Entretien du site - Liens divers - Archives, histoire, documentation - Météo - Vie du site - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 11 Juillet 2012
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Bonjour,
Celui-ci n'est pas mal non plus.
Il n' y pas de quoi lever les bras au ciel, cela a existé et ce n'est pas plus laid que les cochonneries que l'on fait maintenant.
A part cela, le relooking du site prend forme.
A la Bézirie, c'est le déluge, de plus en plus difficile de faire l'entretien extérieur.
Bonne journée !
N.D.L.R. : A la Chaslerie aussi, il pleut comme vache qui pisse. Impossible de travailler dehors à la maçonnerie ou d'entretenir les charmilles. Vous me trouvez donc attelé à ma bécane.
Celui-ci n'est pas mal non plus.
Il n' y pas de quoi lever les bras au ciel, cela a existé et ce n'est pas plus laid que les cochonneries que l'on fait maintenant.
A part cela, le relooking du site prend forme.
A la Bézirie, c'est le déluge, de plus en plus difficile de faire l'entretien extérieur.
Bonne journée !
N.D.L.R. : A la Chaslerie aussi, il pleut comme vache qui pisse. Impossible de travailler dehors à la maçonnerie ou d'entretenir les charmilles. Vous me trouvez donc attelé à ma bécane.
Guy HEDOUIN
rédigé le Mercredi 11 Juillet 2012
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rédigé le Mercredi 11 Juillet 2012
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Encore moi... Vu le mauvais temps, je suis derrière le micro, je viens de trouver ceci, ça fait rêver.
N.D.L.R. : Cela paraît superbe, en effet.
N.D.L.R. : Cela paraît superbe, en effet.