Les fourreaux avaient été inclus dans la maçonnerie sur la base du permis de construire obtenu par Nicolas GAUTIER. Le problème est qu'à l'époque, je ne photographiais pas systématiquement toutes les phases du chantier. Donc Régis devra revenir, muni d'un souffleur, pour essayer de comprendre les circuits d'ores et déjà en place.
Dans le nouveau contexte, marqué notamment par mes problèmes de trésorerie et l'absence du moindre relais familial, Régis me suggère de réfléchir à l'hypothèse d'un chauffage au bois pour ce bâtiment. Je me dis qu'on pourrait implanter la chaudière dans la "maison de Toutou" (pour limiter l'aspect disgracieux de la sortie de gaz brûlés) et la réserve de bûches dans l'appentis de la cave. Certes, cela supposerait des manipulations et transports de charges lorsque Francis ne sera plus à mon service et je ne suis pas sûr de pouvoir m'en charger à l'époque où le problème se poserait.