Trois heures du matin, je suis réveillé et devant mon ordi. Le vent souffle très fort et les portes fermées vibrent entre leurs chambranles, au moins dans ma partie de l'étage du "bâtiment Nord". J'imagine qu'une fenêtre s'est ouverte dans le logis, entraînant des appels d'air. Ou qu'est tombé l'un de ces plastiques censés obstruer des baies en attente, depuis bien trop longtemps, de restauration des menuiseries extérieures (bientôt dix ans passés à paperasser sans fin, problème connu).

P.S. (dix minutes plus tard) : Je viens d'aller faire un tour dans le logis, à la lumière d'une lampe-torche puisque seul le salon y dispose d'un éclairage électrique encore fonctionnel. Dans la "salle dévastée", une de ces "occultations-provisoires-qui-durent" est prête à tomber et vibre fortement dans sa niche. Igor nous manque qui saurait la refixer. Je tâcherai de bricoler quelque chose quand il fera jour.