Quand, dans les écuries, on fait un peu de ménage, ...

... on s'aperçoit que la séparation d'avec l'ancien salon de l'"aile de la belle-mère" (celle qui portait une ridicule cheminée que j'ai éliminée il y a quelques années déjà) est constituée de pierres montées au ciment et même pas solidarisées avec les parements intérieurs des façades :

Donc, là encore, un travail aussi minable dans la conception que dans la réalisation. Évidemment dû, dans les années 1950, à qui nous savons.

A dégager !

P.S. (du 17 janvier 2023 à 18 heures 30) : Ayant pris connaissance de ce message, Carole me dit qu'elle ne comprend pas mon acrimonie à l'encontre d'une homme décédé il y a une cinquantaine d'années et qui ne peut donc plus se défendre face à mes attaques hargneuses.

Mais que voulez-vous, le travail bâclé ou idiot me révolte. Quand on a la chance d'entreprendre une tâche telle que la restauration d'un monument historique, on ne doit pas selon moi faire n'importe quoi. J'ai sans aucun doute le plus grand mal à tolérer le moindre écart par rapport à cette règle de conduite et c'est comme ça.