1 - Au titre de ceux dus à la lésine bien connue de mon prédécesseur des années 50, on peut citer :
- la cloison sous la charretterie qu'il faudrait remplacer par de bons matériaux convenablement implantés ou agencés :
- la "problématique des poutres pourries" au premier étage du logis, patate chaude que se refilent tous mes interlocuteurs obligés depuis une douzaine d'années mais qu'Arnaud PAQUIN est bien décidé à régler dès la "tranche A" de travaux que l'on sait :
- le repositionnement d'une sablière intérieure, au premier étage de la tour Sud-Ouest, qu'un architecte en chef des monuments historiques, alcoolique notoire, avait négligé de traiter (comme d'ailleurs les "poutres pourries") alors que c'était pourtant son mandat :
- le changement des poutres rachetèques et pleines d'aubier et la densification du solivage dans la salle-à-manger du logis :
- pour les mêmes raisons, un travail analogue au premier étage du colombier :
2 - Au titre de ceux pour lesquels j'étais le maître d'ouvrage :
- le montant pourri d'une lucarne de la ferme :
- un arbalétrier de la ferme dont Roland BOUSSIN n'avait pas vu, sous le contrôle de Nicolas GAUTIER, qu'il était cassé :
3 - Au titre de ceux dont la réunion de chantier d'hier a montré l'opportunité :
- l'élargissement de la trémie de l'escalier de la cave :
- le cloisonnement à prévoir à l'étage de la cave, sur le modèle de celui-ci du rez-de-chaussée :
Bref, comme on le voit, on ne manque pas de grain à moudre, ceci sans même parler, par exemple, du retour de la ferme au profil de longère, tel qu'il est envisagé.