Message #49017

Il est 6 heures 30 du matin, j'arrive au terme du pensum que je m'étais imparti avant que l'architecte du patrimoine n'arrive, vers 11 heures, au manoir favori afin de poursuivre sa "mission n°2".

Je m'offre le plaisir de terminer cette revue en apothéose, avec la mise en ligne des documents qui ont clos ma relation avec un bien pénible titulaire du monopole légal en question.

Le coup est arrivé lors d'une rencontre sur place, en présence de mon "officier traitant". J'avais rendu compte de l'incident sur le site favori en un message que ledit fonctionnaire m'avait demandé de retirer parce que la photo de sa silhouette y apparaissait à deux endroits. Voici donc ledit message dont j'ai pris le soin de faire disparaître les photos incriminées sur le tirage-papier que je viens de scanner :


Et voici les derniers échanges qui m'ont valu, selon toute vraisemblance, d'être ni plus ni moins que black-listé longtemps par les dignes représentants régionaux de ladite corporation ; un haut-fonctionnaire retraité du ministère de la culture, mandaté à cet effet par mes soins, aura échoué à faire lever ce sympathique veto :


Comme on le constate ici une nouvelle fois, je n'ai pour ma part rien à cacher. J'espère que cela évitera à d'autres les impasses que j'ai explorées.

Je conclurai mon envoi en adressant une nouvelle fois de vifs et chaleureux remerciements à Arnaud PAQUIN, architecte du patrimoine mais, avant tout, gentleman, pour avoir eu le cœur de me sortir d'un aussi incroyable pétrin.

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