Message #48938

Le document qui suit est important dans l'histoire de ma relation avec la D.R.A.C. :

J'avais obtenu qu'une étude préalable à la restauration des douves (mur d'escarpe, à l'exclusion des biefs) soit subventionnée. La subvention avait été calée sur un devis pour cette étude émanant de l'architecte pressentie, Lucyna GAUTIER, devis qui s'est révélé très insuffisant quand Lucyna a souhaité faire intervenir un bureau d'études. J'ai argué que mon diplôme d'ingénieur devait me permettre de me passer de ce surcoût. Ensuite et surtout, j'ai compris que je n'aurais pas les moyens financiers de mes ambitions, donc ai renoncé à ce projet de restauration. Par voie de conséquence, la D.R.A.C. n'ayant pu réaffecter à un autre monument l'enveloppe que j'avais ainsi abandonnée, non consommée, mon "officier traitant" m'en a beaucoup et longtemps voulu de ce loupé dont on peut dire qu'il m'est très largement imputable.

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