Message #47512

Voici, prises ce soir à 17 h 30 à partir de ma fenêtre, deux photos de la cour :

7 décembre 2019.

7 décembre 2019.

Comme on peut l'imaginer, il est impossible d'accéder au bâtiment Nord sans se crotter les chaussures. Et, même en se déchaussant dès l'entrée, on y importe un volume de boues incompatible avec une vie normalement civilisée. A ce propos, je m'avoue étonné que Carole ne râle pas devant cet état de fait pour le moins inconfortable, pour ne pas dire désagréable.

Néanmoins, le moral des troupes est bon :
- l'architecte du patrimoine a accepté - c'est du moins ce que j'ai compris - d'encadrer notre chantier favori pour que soient menées à bien, sous ma gestion, les restaurations du colombier et de la partie Nord du logis (pour ne citer ici que le principal) ;
- le bureau d'études avec qui il y a eu quelques turbulences doit réfléchir en ce moment à la réponse à apporter à ma lettre du 25 novembre dernier ; j'espère qu'elle sera constructive ;
- la vente de Pontorson a été menée, du moins à ce stade, en un temps record et me permettra de financer les doigts dans le nez mon programme de travaux ;
- de façon générale, je me trouve en prise avec une série d'intervenants, dûment sélectionnés et éprouvés, en qui j'ai confiance pour surmonter toutes les difficultés qui ne manqueront pas de se présenter.

En fait, dans l'hypothèse où le bureau d'études se remettrait au travail pour notre chantier favori, la principale hypothèque tiendrait à la disponibilité d'Igor qu'en l'état du dossier, je devrais perdre fin février. A ce propos, beaucoup dépendra de son admission au stage de formation qu'il souhaite. Or, compte tenu des dysfonctionnements bien connus de Pôle-Emploi, il est fort possible que sa candidature soit retoquée une nouvelle fois. Ce serait malheureux pour lui mais, peut-on penser, bienvenu pour moi.

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